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mardi 17 mai 2011

Ben Laden n'avait pas fait ses backups avec son ordi

Les fuites d'infos et l'arrestation récente de haut gradé(Muhammad Ali Qasim Yaqub) est le résultat de la saisit de l'ordi de Ben Laden !

ISLAMABAD - Le Pakistan a annoncé mardi l'arrestation d'un important «commandant d'Al-Qaïda», de nationalité yéménite, Muhammad Ali Qasim Yaqub, alias Abu Sohaib Al Makki, à Karachi (sud).
L'homme ne figure toutefois apparemment pas dans les listes des membres d'Al-Qaïda les plus recherchés dans le monde, et l'armée pakistanaise présente sa capture comme un « évènement majeur pour démêler l'écheveau du réseau Al-Qaïda opérant dans la région».
Dans un communiqué intitulé «Important commandant d'Al-Qaïda arrêté à Karachi», l'armée pakistanaise assure que Yaqub, est "un important membre actif" du réseau d'Oussama ben Laden, tué il y a deux semaines par un commando américain dans le nord du Pakistan.
«Il a été arrêté par les agences de sécurité à Karachi», la gigantesque capitale économique du Pakistan, est-il écrit dans le texte qui ne précise pas quand l'arrestation a eu lieu.
«Selon les premiers éléments de l'enquête, Al Makki est yéménite et a travaillé directement sous les ordres des chefs d'Al-Qaïda le long de la frontière entre le Pakistan et l'Afghanistan», assure l'armée.
L'annonce de cette arrestation intervient après que le Pakistan et les Etats-Unis, par la voix du sénateur John Kerry se prévalant du soutien de Barack Obama, ont mis lundi en avant leur volonté de «rétablir la confiance» entre les deux alliés, après deux semaines de crise née de l'élimination de Ben Laden dans une opération américaine secrète à Abbottabad, une ville-garnison pakistanaise.
Ils ont ainsi promis que les deux pays travailleraient désormais «ensemble» en cas d'action contre toute «cible de première importance» au Pakistan.
M. Kerry était le premier haut responsable américain à se rendre au Pakistan depuis la mort de Ben Laden.
Cette attaque, «clandestine», déplore Islamabad, a provoqué un vif émoi au sein d'une population très majoritairement antiaméricaine, non pas pour la mort de Ben Laden mais pour la «violation de la souveraineté» du Pakistan.
De leur côté, de très hauts responsables et des élus américains ont accusé les autorités pakistanaises au mieux d'incompétence, au pire de complicité en soulignant le fait que le chef d'Al-Qaïda a pu se cacher des années durant dans une ville qui abrite environ 10 000 militaires.
Depuis qu'Islamabad a proclamé son soutien à Washington dans sa «guerre contre le terrorisme» fin 2001, les autorités pakistanaises ont tué ou arrêté et livré aux Etats-Unis des dizaines de cadres d'Al-Qaïda, dont Khalid Sheikh Mohammed, chef militaire du réseau qui a reconnu avoir préparé les attentats du 11-Septembre, ou le Saoudien Abu Zoubaydah, l'un des lieutenants de Ben Laden.
Avant la mort de Ben Laden, Washington louait les efforts d'Islamabad dans la lutte contre Al-Qaïda mais estimait que l'armée n'en faisait pas assez, et qu'une frange avait pactisé avec certains talibans afghans dans leurs bases arrières.
En retour, le Pakistan considère qu'il paye le plus lourd tribut à la «guerre contre le terrorisme» que les Etats-Unis ont «importé» après une campagne ratée en Afghanistan. Les cadres d'Al-Qaïda et des talibans afghans avaient en effet fui vers le Pakistan voisin lors du bombardement puis de l'invasion de l'Afghanistan par une coalition internationale emmenée par les Américains après le 11 Septembre 2001.
Al-Qaïda et ses alliés talibans pakistanais ont décrété à l'été 2007 le jihad à Islamabad pour son soutien à Washington. En conséquence, ces quatre dernières années, près de 4400 Pakistanais ont péri dans plus de 480 attentats, suicide pour la plupart. 

E= McTwitt,.............E= MC Quoi ?

Ouiiiii la formule d'Einstein !


Un crime: c'est deux victimes

Avant, un crime impliquait un coupable et une victime.

Maintenant, un crime implique deux victimes : la personne qui a été volée ou agressée, et la personne qui a été poussée sur la voie du crime et de la délinquance par la société.

La deuxième victime est même plus victime que la première, car elle a été « agressée » et « violée » par la société toute entière, plutôt que par un seul individu ! Et ce crime a été concerté, planifié, voulu par le méchant système capitaliste !

Se faire voler prend dix minutes. On a peur, mais on s’en remet.

Alors que devenir un criminel est le résultat de plusieurs années de misère.

Il faut donc s’intéresser davantage à la deuxième victime qu’à la première.

Comme raisonnement tordu, on a rarement vu pire…



REF.:

dimanche 15 mai 2011

Formule pour calculer l'économie d'essence

Enfin une formule pour calculer une économie d'essence,...............pu besoin de voiture au propane pour vous faire pomper,pu de Diésel,pu de voiture électrique ,.................un verre d'eau avec ça !


Voila la formule miracle qui a fait ses preuves :


E= McTwitt
Si ≤ 1/2 Res. + 56 Km = $ *.**
(oui évidemment c'est basé sur la formule de la relativité) OK,comme tout est relatif mon chère Watson !
E= Énergie que l'on met pour trouver la station service qui baisse ses prix !
Mc = pour ,............ta le temps de t'acheter un Big Mac Jack!
et Twitt= j'te dis pas LOL !,.................OK, c'est pour ceux qui vont twitter le prix sur twitter !...............JOKE !

Mais il y a une condition a la formule :
Si ≤ 1/2 Res. + 56 Km = $ *.**


OK , On va expliqué ça :
Si et seulement Si :  (c'est une condition pour l'application de la formule);
≤ 1/2 Res = qui veut dire;...............que si ton réservoir d'essence est plus bas que la moitié !
56 Km = Bien la,tu n'a qu'a gazer qu'a 56 Km de Mtl ,soit a St-Clite(les filles adore ça) ou a Valleyfield(c'est la région golden belt petrolium du Québec),car 56 Km , c'est environ 56 kilomètre de mtl LO-LOL !


= $ *.** = Ça représente tout simplement ton économie d'essence mon n'Homme !


 *.** = NOTA: ya un astérix ,icitte ,juste a côté du gros Obélique! 
 Alors de préférence cette formule est optimmisée pour la saison hors Hiver et de préférence quand le prix baisse vite le soit après 18:00 Hrs et/ou que vous êtes en tabar&@%%$?............et que vous êtes décidé a sortir une fin de semaine ,en gazant en banlieu de  montréal !

samedi 14 mai 2011

2 150 personnes non qualifiées pour enseigner dans nos écoles

Éducation - 47 profs n'ont qu'un diplôme du secondaire
Les profs qui enseignent dans nos écoles ne sont pas tous qualifiés. Au moins 47 ne possèdent qu’un diplôme du secondaire. 
© Martin Chevalier/Agence QMI

Incapables de recruter des profs en nombre suffisant, les écoles du Québec ont dû embaucher 2 150 personnes non qualifiées pour enseigner dans leurs classes, cette année, dont plusieurs qui ne possèdent rien d'autre... qu'un diplôme d'études secondaires.
Selon ce qu'a appris le Journal, les écoles de la province ont dû se résigner à émettre au moins 47 «tolérances d'engagement » à des diplômés du secondaire, de-puis le début de l'année scolaire.
Des centaines d'individus, diplômés du cégep ou ayant complété d'autres formations que le baccalauréat en enseignement, ont aussi reçu cette «permission exceptionnelle» d'enseigner.
Même s'ils ne sont pas qualifiés, ces 47 diplômés du secondaire se sont vus confier l'enseignement de matières parfois importantes, comme le français et les mathématiques. Certains sont même titulaires de classe au primaire (voir encadré).
Les institutions privées n'échappent pas au phénomène. Alors qu'elles n'accueillent que 12 % des élèves du Québec, elles ont émis près de 40 % des tolérances d'engagement délivrées à des diplômés du secondaire.
Problème de valorisation
Les données obtenues par le Journal révèlent un sérieux problème de valorisation de la profession enseignante, croit Manon Bernard, de la Fédération des syndicats de l'enseignement. «On a tout un travail à faire pour rendre cette profession attrayante, dit-elle, et il faut faire des efforts pour garder en emploi ceux qui ont choisi la profession. Quand on dit que près de 20 % des jeunes diplômés quittent l'enseignement après quatre ans, [on a un problème].»
Les directeurs d'école abondent dans le même sens. «On ne prend pas soin de nos enseignants, déplore Chantal Longpré, de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement. Ça fait combien d'années qu'on cherche des solutions et qu'on ne les met pas en application ?», lance-t-elle.
Manon Ber nard estime qu'il faut «changer la perception» de la population à l'égard du travail des enseignants. «Est-ce qu'on est conscient de la valeur du travail et de la qualité des personnes qui enseignent dans nos écoles ?», demande-t-elle.
La question du salaire, «qui n'est pas intéressant», doit également être prise en considération, croit Chantal Longpré.
Recrutement difficile
Mme Longpré se garde toutefois de remettre en question les compétences des personnes à qui des tolérances d'engagement sont accordées. «Dans la grande majorité des cas, ces personnes ont été choisies par les directions d'école, dit-elle. Et il y a des régions où c'est plus difficile de recruter des gens qualifiés», fait-elle valoir.
Manon Bernard ajoute que ces permissions exceptionnelles d'enseigner ne sont valables que pour un an, et qu'elles sont accordées en désespoir de cause, lorsqu'aucun candidat détenant les qualifications requises n'est disponible.

Les profs non qualifiés en chiffres*
Nombre total
Pas moins de 2 150 «tolérances d'engagement» ont été délivrées en date du 20 avril 2011, dont :
1 558 à l'enseignement régulier
592 en formation professionnelle
Diplômés du secondaire
Parmi ces 2 150 profs non-qualifiés:
47 ont un diplôme d'études secondaires (DES)
9 ont un diplôme d'études secondaires avec mention (DESM)
265 ont un diplôme d'études professionnelles (DEP)
287 ont un diplôme d'études collégiales (DEC)
1 173 ont un baccalauréat
76 ont une maîtrise
293 ont un autre type de diplôme
Enseigner avec un DES
Voici les matières enseignées par les 47 diplômés du secondaire :
5 enseignent l'anglais, langue seconde
4 sont titulaires de classe au préscolaire ou au primaire
4 enseignent les mathématiques
4 enseignent la musique
2 enseignent l'anglais, langue d'enseignement
2 enseignent une autre langue
2 enseignent le cours d'éthique et culture religieuses
2 enseignent les sciences humaines
1 enseigne le français, langue d'enseignement
1 enseigne le français, langue seconde
20 enseignent en formation professionnelle
Au privé aussi
Voici la répartition des 2 150 tolérances d'engagement :
1 683 dans les écoles publiques
467 dans les écoles privées
* : Le nombre d'individus non qualifiés qui enseignent peut être moins élevé que le nombre de tolérances émises. Plusieurs tolérances peuvent être émises pour un même individu.
REF,: , MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION
sebastien.menard@journalmtl.com

La Loi Villanueva ??!

Rapport sur la discrimination et le profilage racial - Des réformes exigées
 

La mort de VIllanueva aura donner naissance a cette réforme sur le profilage racial !
Rapport sur la discrimination et le profilage racial

Des réformes exigées


La Sécurité publique doit réformer ses politiques et pratiques pour bannir le profilage racial et la discrimination, un problème aigu qui doit être enrayé sans délai, a conclu la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse dans un rapport dévoilé mercredi.
EN VIDÉO:Profilage racial: y aura-t-il réforme?
Près de la moitié des recommandations de la Commission s’adressent expressément aux forces policières et aux autres responsables de la sécurité publique. Elle propose, entre autres, d’interdire le profilage racial dans la Loi de la police, tout comme dans le Code de déontologie des policiers du Québec.
De plus, l’article de la loi conférant aux policiers le droit au silence et à la non-collaboration devrait être aboli, selon la Commission. Pour l’instant, les données colligées par les services de police à propos du profilage peuvent être gardées secrètes par les policiers.
«Il en va de l’accès à l’égalité et la paix sociale, s’est inquiété le président de la Commission Gaétan Cousineau. Ignorer le problème serait la pire des choses à faire.»
Les jeunes issus des minorités visibles sont plus interpellés que les autres par les policiers, et ce, souvent sans motif valable, ont dénoncé les membres de la Commission. «Recevoir un traitement différent parce qu’on fait partie d’un groupe différent, ce n’est pas normal», a souligné son président.
Tous les intervenants visés
La Commission ratisse large avec ses 90 recommandations. Elle interpelle aussi bien les forces de police que l’ensemble des paliers de gouvernement, la protection de la jeunesse et le milieu de l’éducation. Elle appelle à des efforts concertés pour redonner espoir aux jeunes des minorités visibles et pour rétablir leur confiance dans les institutions publiques.
«On ne croit pas que les Québécois soient racistes, a assuré Monsieur Cousineau, mais nous avons tous des préjugés et des stéréotypes. Lorsqu’on est en position d’autorité, il est important d’en être conscient».
Le SPVM réagit
Le Service de police de Montréal (SPVM) accueille favorablement la plupart des recommandations de la Commission, a déclaré son directeur Marc Parent. Il a toutefois manifesté des réserves quant à la divulgation de données collectées par les policiers et à l’abrogation du droit au silence dont ils bénéficient.
S’il admet qu’il y a un problème de discrimination au sein des forces, Monsieur Parent ne s’entend pas avec la Commission sur le caractère systémique de ce profilage.
«Il y a une mince ligne entre le profilage racial et le profilage criminel», a-t-il déploré. Il assure que des mesures ont déjà été prises pour contrer le profilage racial : des formations interculturelles pour les employés de la SPVM et le repositionnement du mandat de certaines escouades.


REF.:

Plus de la moitié de la production céréalière mondiale jetée a la poubelle

Alimentation - Plus d'un milliard de tonnes de nourriture gaspillées chaque année
 
© Shutterstock/ Agence QMI
Alimentation

Plus d'un milliard de tonnes de nourriture gaspillées chaque année


ROME - «Plus d'un milliard de tonnes de nourriture soit un tiers des aliments produits sont gaspillées chaque année, affirme le Fonds des Nations unies pour l'alimentation (FAO) qui a appelé à réduire les déchets alimentaires pour nourrir le monde». Au total, le tiers des aliments produits chaque année sur la planète pour la consommation humaine, soit environ 1,3 milliard de tonnes, est perdu ou gaspillé, selon un rapport préparé par la FAO, basée à Rome.
Ce volume équivaut à plus de la moitié de la production céréalière mondiale (2,3 milliards de tonnes en 2009-2010), alors que près d'un milliard de personnes - 925 millions - souffrent de la faim dans le monde.
Selon les experts de la FAO, les pays industriels et les pays en développement gaspillent grosso modo les mêmes quantités de nourriture, soit respectivement 670 millions et 630 millions de tonnes.Mais pour des raisons différentes.
Dans les pays en développement, les pertes alimentaires sont importantes «aux stades de la production, de la récolte, de l'après-récolte et de la transformation», en raison notamment d'infrastructures défaillantes et de technologies dépassées».
Dans les pays industriels, le gaspillage de nourriture, «est trop souvent le fait des commerçants et consommateurs qui jettent à la poubelle des aliments parfaitement comestibles». En Europe et en Amérique du Nord, chaque consommateur gaspille entre 95 et 115 kg par an.
Soulignant, que «les pertes et le gaspillage alimentaires entraînent la dilapidation des ressources, notamment l'eau, la terre, l'énergie, le travail et le capital», les auteurs du rapport apportent des suggestions pratiques.
Dans les pays en développement, la FAO propose «le renforcement de la chaîne d'approvisionnement alimentaire en facilitant l'accès direct des petits paysans aux acheteurs». Les secteurs privé et public devraient également investir davantage dans les infrastructures, le transport, la transformation et l'emballage.
Pour les pays industriels, la FAO met en cause les normes de qualité qui «exagèrent l'importance de l'aspect extérieur», entraînant la perte de «grandes quantités d'aliments». Elle appelle donc les consommateurs, «disposés à acheter des produits dont l'aspect n'est pas exactement conforme aux normes pourvu qu'ils soient sûrs et bons», à exercer leur influence sur ces normes.
Autre suggestion: la vente directe des produits de la ferme au consommateur, donc sans se conformer aux normes des supermarchés, et l'utilisation par les organisations commerciales et caritatives de produits destinés à la poubelle «mais encore acceptables en termes de salubrité, goût et valeur nutritive».
D'une façon générale, il conviendrait de changer les habitudes du consommateur, «généralement poussé à acheter plus de nourriture qu'il n'en a besoin». En finir avec les promotions du genre «Trois pour le prix de deux», les plats surdimensionnés déjà cuisinés ou les buffets à prix fixes qui poussent le client à remplir abondamment son assiette.
«Il convient de faire comprendre aux consommateurs des pays riches qu'il est inacceptable de jeter inutilement à la poubelle de la nourriture qui aurait pu servir», conclut la FAO pour laquelle «l'éducation à l'école et les initiatives politiques constituent de bons points de départ».

REF.: