Rechercher sur ce blogue

samedi 26 mars 2011

La technique gignac est un échec,..........on ne provoque pas un chien enragé,même chose pour un homme !

 
Mort de Valérie Gignac

La coroner remet en question l’intervention policière

LAVAL - La mort de la policière Valérie Gignac en 2005 aurait été causée par l’utilisation d’une stratégie inadéquate et dangereuse. C’est ce que conclut la coroner Andrée Kronström dans un rapport rendu public lundi.
Valérie Gignac a été tuée par balle au cours d’une intervention policière qui a mal tourné le 14 décembre 2005. La jeune femme de 25 ans et son partenaire répondaient à un appel pour une dispute dans un immeuble résidentiel de Laval. À son arrivée sur les lieux, la policière a été atteinte d’un projectile tiré à travers la porte. Elle est morte dans les heures qui ont suivi.
Le Bureau du coroner indique que la décision prise par l’agente d’enfoncer la porte du logement n’était pas la bonne. Cette conclusion est pratiquement identique à celle présentée par la CSST en 2008. On affirmait alors que les policiers avaient mal évalué la situation.
«Au lieu de maintenir le contact avec le locataire qui, malgré sa colère, répondait à l'agent qui l'interpellait, la policière menace de défoncer la porte. L'ouverture forcée n'était pas la technique à utiliser et était donc inappropriée», écrivait alors l’inspecteur Jean-Guy Bergeron.
La coroner recommande notamment que l’École nationale de police (ENPQ) allonge le cours de formation des aspirants policiers. «On ne peut que s’enrichir de ce rapport-là, a commenté Pierre Saint-Antoine, directeur des communications de l’ENPQ. Depuis ce temps, nous avons amélioré nos formations, notamment en ce qui concerne les techniques de préparation aux évènements.»
L’École de police n’offre cependant toujours pas de formation spécifique sur les entrées forcées. «Nous sommes présentement en révision de programme et nous évaluons la pertinence d’ajouter cette formation», a expliqué Pierre Saint-Antoine.
Du côté de la police de Laval, on affirme qu’il n’y a rien de nouveau dans ce rapport. «On respecte ce qui est écrit évidemment, a expliqué le sergent Simon Charrette, porte-parole de la police de Laval. Mais ce sont des choses que nous savions déjà et nous avons déjà ajusté nos pratiques depuis ce temps.»
Le corps de police offre d’ailleurs depuis 2007 une formation à tous ses agents sur la capacité d’endiguement et l’enfoncement des portes.
REF.:

Mame Blancheville lave 4 fois plus blanc que la normale avec son nouveau Tide extra puissant

Quatre policiers destitués - La Ville de Sherbrooke devra payer 1 million $
 
Quatre policiers destitués

La Ville de Sherbrooke devra payer 1 million $

SHERBROOKE – Reconnus coupables de voies de fait à l’encontre d’Hugo Lemay en décembre 2004, les policiers Hugues Ré, Denis Turgeon, Pierre Bégin et Guy Hovington pourraient empocher un million de dollars de la Ville de Sherbrooke pour compenser leur salaire et les avantages dont ils ont été privés durant les procédures judiciaires.
Le juge de la Cour supérieure Gaétan Dumas a confirmé la décision de l’arbitre des griefs, André Bergeron, rendu le 22 mars 2010, qui ordonnait à la Ville de rembourser cette importante somme d’argent aux policiers destitués de leur fonction.
Le juge Dumas affirme que la décision de l'arbitre n'est pas déraisonnable. «Il s'agit principalement d'une question de fait. L'arbitre décide que la Ville aurait pu facilement réaffecter les policiers dans une autre tâche. Elle a décidé de ne pas le faire et de les suspendre sans solde sans faire enquête et en se fiant uniquement au verdict rendu».
Le 25 avril 2003, les quatre policiers en cause ont été accusés de voies de fait et d'agression armée contre Hugo Lemay. Le 18 décembre 2004, ils ont été reconnus coupables.
Les policiers ont fait appel, un appel que la Cour a rejeté le 25 juillet 2007. Le 17 janvier 2008, la Cour suprême a refusé d'entendre l'appel des policiers et le 15 septembre de la même année, les quatre policiers ont été destitués.
Tout au long des procédures judiciaires, sauf du 3 septembre 2003 au 21 décembre 2004, la Ville les a suspendus sans traitement.
L'Association des policiers et policières de Sherbrooke (APPS) s’est dite satisfaite de la décision émise par le juge Gaétan Dumas qui a rejeté la requête de la Ville de Sherbrooke en révision de la sentence arbitrale.
«Nous sommes heureux de cette décision. Étant présumés innocents, les policiers ne pouvaient pas être suspendus sans traitement, jusqu'au moment où tous les recours ont été épuisés et qu'un jugement final a été rendu. Nous espérons que cette saga judiciaire prenne fin, permettant aux policiers de tourner la page une fois pour toutes», a souligné Claude Toupin, président de L’APPS.
La Ville de Sherbrooke a affirmé pour sa part que la décision de l’arbitre était mal fondée en droit et déraisonnable, notamment parce l’arbitre est parti du postulat que la présomption d’innocence devait bénéficier à tout accusé, même après avoir été reconnu coupable en première instance, et ce, jusqu’à l’épuisement des recours, incluant la Cour suprême.
La Ville a également évoqué que l’arbitre s’était livré à une interprétation erronée de la Loi sur les cités et villes quant au pouvoir de suspension sans solde d’un employé.
«C’est une décision importante parce qu’elle pourrait avoir un impact considérable sur d’autres groupes d’employés à la Ville s’il devait y avoir des accusations au criminel. On devrait alors suspendre avec traitement ou réintégrer à des tâches administratives tout employé accusé d’un acte criminel jusqu’à la Cour suprême», a déploré Serge Paquin, président du comité exécutif à la Ville de Sherbrooke.
REF.:

Un lutteur sumo complète un marathon

Los Angeles - Un lutteur sumo complète un marathon
Kelly Gneiting 
© AFP / Archives

Un lutteur sumo de près de 400 livres est devenu dimanche l'homme le plus lourd de l'histoire à compléter un marathon. Selon le Los Angeles Times, Kelly Gneiting, un Américain de 40 ans qui fait osciller la balance à 396 livres, a mis neuf heures, 48 minutes et 52 secondes pour compléter les 42 kilomètres du marathon de Los Angeles sous de forts vents et une pluie battante.
Il a complété les 12 premiers kilomètres en joggant avant de marcher jusqu'à la fin.
Puisqu'il allait beaucoup plus lentement que la normale, il a dû marcher sur les trottoirs et obéir aux panneaux de signalisation pendant une bonne partie de la course, les rues ayant été rouvertes.
«J'en ai vraiment arraché lors des derniers huit kilomètres, a-t-il raconté au Los Angeles Times. Mais je me suis dit, si je dois ramper pour terminer, je vais le faire.»
Selon Fox News, il ambitionne maintenant de traverser la Manche à la nage et de marcher de la mer Morte jusqu'au mont Everest.
REF.: