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mercredi 29 décembre 2010

Quand tu as un syndicat fort ,tu as des demandes niaiseuses comme :

Parce que les facteurs se font vieux et grincheux,ça donne ça!

Ça ? Quoi ? ,................$#@?&%*? , Y sont sourds,pas d'équilibre,manque de jugement,n'aime pas la neige,adore les chats,pas les chiens,mais adore la police,et j'en passe ! Quand t'es rendu que leurs circulaires annuelle ,nous montre qui faut déneiger nos marches d'escalier,faut pas être trop allumé !


Postes Canada reconnaît que sa directive de retirer les guirlandes sur les rampes peut paraître surprenante, mais que c'est une question de sécurité pour ses facteurs.

«C'est une politique de longue date. C'est une question de sécurité pour nos facteurs. Ils font de 800 à 1000 adresses par jour», indique la porte-parole de Postes Canada, Christiane Ouimet. «On leur (facteurs) demande de bien tenir la rampe pour garder l'équilibre avec le sac de 35 livres qu'ils portent. S'ils glissent, ce sera plus difficile de se retenir sinon.»

L'application de la politique dépend toutefois du secteur. Des lettres de sensibilisation peuvent être envoyées. On leur indique aussi de bien dégager leur entrée.

«On le fait de façon systématique, de demander de déglacer. On demande aussi d'éviter d'installer les guirlandes de Noël et même d'Halloween. Dans certains secteurs, on peut faire des rappels.»

Retenue de courrier

Si les personnes refusent d'obtempérer, il arrive que le courrier soit retenu. «Avant d'arrêter la livraison, on essaie de s'entendre avec le client. Notre but, c'est de livrer, pas de retenir. Parfois, on y arrive, à cet extrême-là. Ça va selon le cas», indique-t-elle. On n'a toutefois pas de données sur les retenues à cause des guirlandes.

Christiane Ouimet reconnaît que cela peut choquer certaines personnes, mais que c'est ainsi. «On peut comprendre que les gens ne soient pas contents.»

lundi 27 décembre 2010

C'est qui le criminel ? BP ???

États-Unis - Un rapport pointe BP du doigt dans la libération d'un terroriste
Abdelbaset al-Megrahi (à gauche, en compagnie du fils de Mohammar Khadafi) a été accueilli en héros à son retour en Lybie l'an dernier, ce qui a soulevé la colère des États-Unis.
© AFP Photo

Un rapport pointe BP du doigt dans la libération d'un terroriste

Un rapport sénatorial américain pointe le rôle joué par le groupe pétrolier BP dans la libération controversée en août 2009 du Libyen Abdelbaset al-Megrahi, seul condamné dans l'attentat de Lockerbie, parce qu'il n'avait soi-disant que trois mois à vivre.

Dans ce rapport intitulé Justice bafouée, dont l'AFP s'est procuré copie mardi, quatre sénateurs reprennent point par point le fil des événements qui a mené à la libération par les autorités écossaises de M. Megrahi, toujours vivant 16 mois plus tard.

La libération du seul auteur condamné de l'attentat contre le vol Pan Am de 1988 (270 morts, dont 189 Américains) au-dessus du village de Lockerbie (Écosse), accueilli en héros en Lybie, avait fait scandale aux États-Unis au point que le Sénat avait lancé une commission d'enquête.

«Les preuves montrent que le gouvernement britannique était préoccupé par l'avenir d'un contrat pétrolier de 900 millions de dollars entre BP et Tripoli», écrivent les sénateurs, en précisant que ce contrat était «le plus important dans l'histoire du groupe».

REF.:

75% du monde pense choisir le jour de sa mort ? Non , c'est Dieu !

L’épineux dossier qu'est l’euthanasie semble rallier une grande part de la population québécoise.

C’est du moins ce qui ressort d’un sondage mené par l’IRB (Indice relatif de bonheur) en novembre 2010, qui indique que 75 % des répondants estiment que l’être humain devrait pouvoir décider lui-même du moment de sa mort.(Wow ! c'est tu toute des non-croyants ???)

Pourtant, cette même étude fait valoir que seulement 46 % opteraient pour l’euthanasie s’ils étaient atteints d’une maladie incurable et douloureuse. Signe que certains veulent étirer le plus possible leur passage sur terre, 24 % des personnes sondées souhaiteraient, dans pareilles circonstances, utiliser tous les moyens pour prolonger la vie.

« Les gens adhèrent à ce principe, mais aussitôt que cela les touche personnellement, ils hésitent à passer à l’acte », affirme Pierre Côté, président de l’IRB, qui a constaté que l’âge des répondants influence la position qu’il adopte dans ce dossier. « À 25 ans, tu pètes le feu. Mais en vieillissant, on est de plus en plus en contact avec des personnes qui souffrent. » Une réalité qui vient, selon lui, remettre les choses en perspectives.

Glorifier la souffrance

Les résultats de ce sondage ne surprennent aucunement Paul Brunet, président du Conseil pour la protection des malades. « Il y a des gens qui craignent qu’il y ait une hécatombe si on légalise l’euthanasie, mais ce n’est pas vrai. Les gens aiment vivre. »

Décriant ce qu’il qualifie de « glorification de la souffrance », moussée notamment par la droite religieuse, M. Brunet prône de son côté pour le libre-choix.

« Nous avons le droit de décider et même de se tromper. C’est l’ultime exercice de notre droit à l’intégrité physique », mentionne celui qui voudrait que l’on autorise le recours à l’euthanasie aux personnes lucides qui apprennent qu’ils souffrent d’une maladie mortelle même s’ils ne sont pas en phase terminale.

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jeudi 23 décembre 2010

Les Pétrolières et la loi du 12-12 ?

A chaque année a Noel ,le 12ième mois vers le 12 decembre il y a toujours 12 cents de plus pour le prix de l'essence a Montreal ;-)


Montréal - Bond de 12 cents du prix de l’essence

© Agence QMI / Stéphane Grégoire

MONTRÉAL – Une mauvaise surprise attendait les automobilistes de Montréal jeudi matin. Le prix de l’essence a fait un bond de 12 cents.

Le carburant se vendait à près de 1,24 $ le litre. Mercredi, on pouvait se procurer l'essence à 1,11 $ ou 1,12 $ le litre.

CAA-Québec a récemment émis un avis selon lequel les Montréalais paient trop cher le litre d'essence.

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jeudi 16 décembre 2010

Des Infirmières Robot aux Urgence ?

États-Unis - Des infirmières-robots aux urgences
Les chercheurs ont imaginé des robots qui se déplaceront pour la prise en charge de patients dans les salles d'attente.
©AFP PHOTO / Yoshikazu TSUNO
Mme Jigger de la rue Plessi n'a rien remarquée de différent,sinon que ses mains sont froide ! "Ahhhhhhhhhh Mon dieu,y a pas rien de changer ,c'est comme avant ! "



Les infirmières en charge de l'accueil dans les services d'urgences aux États-Unis pourraient se voir bientôt remplacées par des robots appelés TriageBots, enfin, c'est ce qu'ont imaginés des ingénieurs informatiques à l'Université Vanderbilt au Tennessee.

Une équipe d'ingénieurs travaille au développement de systèmes robotiques qui puissent recueillir des informations médicales, prendre des données basiques de diagnostic, et prendre des décisions sur les besoins immédiats d'un patient.

Université Vanderbilt

Le projet de l'Université Vanderbilt a été annoncé dans un communiqué le 6 décembre, et explique que la mise en place de TriageBots devrait arriver d'ici cinq ans.

Les chercheurs ont donc imaginé des robots qui se déplaceront pour la prise en charge de patients dans les salles d'attente, mais aussi des kiosques électroniques munis d'écrans tactiles et de messages vocaux pré-enregistrés. Des douleurs dans la poitrine? Le kiosque alertera immédiatement le personnel hospitalier. Sinon, il évaluera vos signes vitaux, vous fera remplir des documents et vous indiquera dans quel service patienter.

Selon les chercheurs, environ 40% des patients des services d'urgences arrivent avec des symptômes qui peuvent engager leur pronostic vital. Les TriageBots peuvent prendre en charge les 60% restant, et réduire ainsi les temps d'attente et accroître l'efficacité des hôpitaux, toujours selon l'étude.

L'équipe de chercheurs a fait un présentation de leur travail à la conférence robotique «Humanoids 2010»à Nashville, le 6 décembre.

Robots dans les hôpitaux

Mais les robots dans les centres hospitaliers, ça n'a rien de nouveau, surtout au Japon où un robot réceptionniste, non-androïde, à l'hôpital Aizu Central au nord de Tokyo, accueille les visiteurs et répond aux questions posées oralement. Une infirmière-androïde, appelée Actroid F, a aussi été présentée il y a quelques mois au Japon.

Un autre robot, le RIBA (Robot Assistance for Interactive Body) créé par l'institut japonais de recherche physique et chimique, rend service aux patients des hôpitaux en les aidant à se lever de leur lit.

Par ailleurs, une troupe de robots-ménagers officie dans les hôpitaux britanniques: ils transportent les déchets et les draps à nettoyer, pendant que d'autres livrent les plateaux-repas et les médicaments.

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lundi 13 décembre 2010

L'ébauche de l'Impérialisme Américain par la force Mondiale du FMI

La crise commence a peine pour l'Europe!
Le ministre irlandais des Finances, Brian Lenihan, a annoncé jeudi qu'il envisageait de taxer à 90% les bonus de banquiers, sur fond de scandale provoqué par Allied Irish Bank (AIB) qui a prévu d'accorder 40 millions d'euros de bonus à son personnel.

«Je vais inclure un amendement dans la prochaine loi des Finances pour introduire une taxation de 90% sur les futurs bonus des banquiers», a déclaré M. Lenihan à Dublin devant le Dail, la chambre basse du Parlement irlandais.

Le gouvernement irlandais a présenté mardi au Parlement le budget d'austérité le plus sévère de l'histoire du pays, exigé par l'Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI) en échange d'un plan de sauvetage de 85 milliards d'euros (113 milliards de dollars). Dans le cadre de ce plan, 10 milliards d'euros (14 milliards de dollars) sont immédiatement disponibles pour recapitaliser les banques irlandaises, au coeur de la tempête financière ayant mis le pays à genoux.(Et en passant le FMI rend les pays plus pauvre qu'il ne sont,au point que les pays super-pauvres ne pouvant plus payés voient leurs dettes s'effacés,et ensuite on leurs en prête encore)


Le gouvernement britannique a publié jeudi les modalités d'application d'une loi instituant une taxe permanente sur les banques destinée à rapporter 2,5 milliards de livres (environ 4 milliards $ CAD) par an à l'État.

Selon la version finale du texte diffusée par le ministère des Finances après plusieurs mois de consultations, la taxe s'élevera à 0,05% du bilan des banques en 2011 et à 0,075% ensuite.

Son principe avait été arrêté en juin après l'arrivée au pouvoir de la coalition conservatrice/libérale démocrate, puis confirmé par le ministre des Finances George Osborne lors de la présentation en octobre de coupes budgétaires d'une ampleur sans précédent.

Mais les modalités de son calcul restait à déterminer, les banques ayant tenté jusqu'au dernier moment d'en alléger le montant.


La taxe entrera en application le 1er janvier prochain et s'appliquera à toutes les banques britanniques et à toutes les filiales de banques étrangères dont le bilan est supérieur à 20 milliards de livres (23 milliards d'euros).

Elle vise, selon le gouvernement, «à favoriser des profils d'investissement moins risqués» et à s'assurer que «les banques versent une contribution équitable en fonction des risques qu'elles font courir au système financier britannique».

L'État avait été obligé de débourser des dizaines de milliards d'euros lors de la crise financière de fin 2008 pour empêcher le naufrage de grandes banques britanniques, comme la Royal Bank of Scotland.

Ces aides expliquent en partie l'ampleur du déficit public (10,1% en 2010) qui a contraint le gouvernement à annoncer un plan d'austérité d'une ampleur sans précédent.

A partir du début de l'année 2010, avec le déclenchement de la crise de la dette grecque, puis de la crise irlandaise, la zone euro entre dans une période de turbulence qui génère de nombreux débats tant sur la gouvernance de la zone, que sur les politiques économiques à suivre, voire sur la pérennité de la zone elle-même. Ces débats entraînent certaines évolutions institutionneles et structurelles.

La zone euro est une des principales étapes de l'intégration économique au sein de l'Union européenne. Il était prévu à la création de l’Union économique et monétaire que tous les pays de l'UE l'intègrent à terme.

À sa création, en 1999, la zone euro comprenait onze des quinze pays5 que l'UE comptait alors, essentiellement les pays fondateurs ou historiques. À leur entrée, ils étaient censés respecter lescritères du pacte de stabilité et de croissance. L'Italie et l'Espagne ont fait des efforts budgétaires importants pour respecter ces critères. Certains pays (Italie, Belgique, etc.) ont intégré la zone malgré une dette publique supérieure à 100 % du PIB.

Suite à la crise financière de 2007-2008, la zone euro est entrée en récession au troisième trimestre de 2008, comme l'ont montré les chiffres officiels parus en janvier 200918. Le 11 octobre 2008 , les chefs d'Etat et de gouvernements de la zone Euro ont tenu un sommet extraordinaire à Paris pour élaborer un plan d'action commun à l'Eurozone et à la Banque centrale européenne afin de stabiliser l'économie de l'Union européenne. Les dirigeants ont bâti un plan destiné à faire face à la crise financière de 2008. Ils se sont mis d'accord sur un plan de sauvetage des banques prévoyant une entrée des gouvernements dans les banques et des garanties.

Début 2009, en février, des inquiétudes sur la fragilité de la zone euro se font jour, et les dettes de la Grèce, de l'Espagne et du Portugal voient leur note dégradée par les agences de notation, ce qui entraîne une hausse des taux d'intérêt auxquels ils peuvent emprunter19. Parallèlement, certains, tel Laurent Cohen-Tanugi20 avancent que le plan de relance européen estimé à 200 milliards d'euros (1,5% du PIB) n'est qu'un agrégat de plans nationaux suffisants pour éviter une dépression mais insuffisants pour une sortie de la crise par le haut.

Finalement, en 2009, la zone euro est entrée en récession économique et son PIB a chuté de 4%21. Sa croissance prévue par le FMI en 2010 et 2011 est relativement faible 22.


Le plan de 750 milliards et la décision de la BCE[modifier]

Dans la nuit du 9 au 10 mai 2010, pour faire face à la peur des marchés et éviter que la crise grecque s'étende à l'Espagne, au Portugal voire à l'Italie, l'Union européenne en coopération avec le FMIse dote d'un fonds de stabilisation de 750 milliards d'euros (La commission européenne est autorisée à emprunter 60 milliards d'euros, 440 milliards apportés par les États et 250 milliards apportés par le FMI)10. Durant la journée du dimanche 9 mai 2010, le président Barack Obama soucieux des répercussions sur les autres pays de la crise, téléphone deux fois à Angela Merkel et une fois àNicolas Sarkozy pour leur faire part que les États-Unis voulaient une « action résolue »59. Dès dimanche matin la Fed avait ouvert des lignes de crédit aux banques centrales afin d'éviter qu'elles manquent de dollars}59. Le 10 mai, la BCE décide de permettre aux banques centrales de la zone d'acheter de la dette publique et de la dette privée sur les marchés secondaires.



Les questions sur le devenir de la zone euro[modifier]

Un très grand nombre de questions continuent à se poser parmi les quelles :

  • Y aura-t-il des pays en défauts de paiement et si oui avec ou sans maintien dans la zone euro ?
  • Comment réduire l'endettement sans tomber dans la récession ?
  • Comment augmenter le potentiel de croissance de la zone euro qui permettrait à terme de desserrer plus aisément l'étau de l'endettement ?72. Question subsidiaire : dans l'économie mondiale quelle spécialisation doit adopter la zone euro pour assurer son avenir.
Pour Alain Lamassoure président de la commission des budgets du parlement européen, la crise a montré que le modèle économique de la plupart des États était en faillite. Il voudrait que budget européen ait les financements nécessaires à la "Stratégie 2020" qui vise à investir dans les secteurs d'avenir73
  • Pour Thomas Klaus, de l'European Council on Foreign Relations74, le plan suppose que les pays acceptent de ne plus être souverains en matière de politique économique et budgétaire, l'accepteront-ils ?
  • La Zone euro est-elle assez homogène ? ou y a-t-il de facto deux zones euro, une zone du Nord (Allemagne, Autriche, Pays-Bas notamment) et une zone du Sud (France, Espagne, Portugal, Italie, Grèce...) 75 ?


Faut être a moins de 15 cm du bord du trottoir pour les véhicules d'urgence ?

Un agent de stationnement de Montréal ,les fameux Bonhommes Vert,semble avoir usé d'un zèle hors du commun, hier : au lendemain de l'importante bordée de neige, il a remis une série de tickets à des automobilistes pour s'être stationnés à plus de 15 centimètres du trottoir.

«C'est d'un ridicule consommé», a indiqué Paul Robertson, l'un de ces automobilistes, qui n'avait pas d'autre mot pour qualifier la situation.

Il n'en revient pas qu'en pleine tempête de neige, la ville soit si sévère et si intolérante envers les automobilistes.

À ses yeux, on pourrait accepter une petite dérogation au règlement, le temps que le déneigement soit complété.

L'agent de sécurité qui ha-bite LaSalle a dû se stationner un peu plus loin qu'à l'habitude, mardi soir, à son retour du boulot, puisque les places de stationnement près de chez lui étaient prises.

Un mètre du trottoir

Il s'est stationné sur la rue Comte, comme plusieurs autres voitures l'étaient.

Mais compte tenu de la quantité de neige tombée la veille et tout au long de la journée, il n'a pu se garer aussi près qu'à l'habitude de la chaîne de trottoir.

Pour M. Robertson, il s'agissait évidemment d'une façon de faire exceptionnelle, dans une circonstance hivernale exceptionnelle.

Il se trouvait à un peu plus d'un mètre du trottoir, selon lui. Et il devait y avoir environ un mètre de neige.

Hier matin, quand il s'est rendu à sa voiture, il avait un constat d'infraction dans son pare-brise. Tout comme la presque totalité des voitures de ce segment de rue.

«J'ai eu une amende de 52 $, déplore le citoyen. C'est de l'abus. Il faut dénoncer ça, si-non, ça va toujours continuer.»

On reproche à l'automobiliste d'avoir «stationné un véhicule à plus de 15 cm de la bordure la plus rapprochée de la chaussée», contrevenant ainsi à l'article 2030 du règlement municipal.

Le constat d'infraction a été émis à 8 h 07.

Contestation possible

Pour M. Robertson, c'est du zèle, un manque de jugement.

Il a même pris des photographies de son véhicule, du banc de neige, de son billet, des autres véhicules, etc.

Pour la police de Montréal, la solution est simple :

«Si les gens croient qu'ils ont reçu un billet qu'ils pensent non-mérité, ils peuvent le contester», explique le sergent Ian Lafrenière.

Pour lui, chaque cas est un cas d'espèce qui doit être analysé à la pièce.

La police fait aussi valoir que dans certains cas, le stationnement loin du trottoir peut rendre dangereuse la circulation automobile.

«Il faut que les véhicules d'urgence puissent passer», dit le sergent Lafrenière.

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