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jeudi 9 décembre 2010

Ce Tawin a fraudé pour plus de $18,9 millions les Québécois

Construction - Deux entreprises de Tony Accurso accusées de fraude fiscale
Tony Accurso
© Archives

Deux grandes entreprises de construction du Québec appartenant à l’homme d’affaires millionnaire de Laval, Tony Accurso, ont été accusées de fraude fiscale lundi après une enquête par l’Agence du revenu du Canada qui a duré un an.

Les entreprises sœurs Simard-Beaudry Construction Inc. et Construction Louisbourg Ltée, ont été chacune accusée d’avoir délibérément évité de payer une somme totale de 4,1 millions $ en taxes, indiquent les dossiers déposés en cour.

L'enquête fédérale de fraude fiscale a conclu que Louisbourg a évité de payer 3,3 millions $ en impôt sur le revenu en déduisant des dépenses douteuses pour un montant de 15,3 millions $ pour les années d’imposition 2003 à 2008.

L’entreprise Simard-Beaudry a été accusée d’éviter de payer la somme de 783,269 $ en impôt sur le revenu en déduisant 3,6 millions $ en dépenses douteuses pour les années d’imposition 2005 à 2008.

Ni M. Accurso, ni aucun autre dirigeant d’entreprise n’ont été inculpés hier et la porte-parole de l’Agence du revenu du Canada, Kareen Dionne, n'a pu expliquer pourquoi. Dans d'autres cas similaires, les dirigeants d'entreprise responsables d’autoriser l’usage de fausses factures ont personnellement fait face à des accusations.

L’Agence QMI laissé plusieurs messages au bureau d’affaires des deux entreprises à Laval, mais il n’y a eu aucun retour d’appel.

Les entreprises doivent comparaître en cour à Laval mardi matin, a indiqué Mme Dionne.

Si elles sont reconnues coupables, les entreprises s'exposent à des amendes de pas moins de 50% et de pas plus de 200% du montant d’impôt qu'elles ont tenté d’éviter de payer.

Cela signifie des amendes allant de 1,65 million $ à 6,6 millions $ pour Louisbourg, tandis que les amendes pour l’entreprise Simard-Beaudry pourraient se situer entre 39,000 $ et $ 1,56 million $ au maximum.

Les accusations de fraude fiscale déposées lundi font suite à des perquisitions dans les bureaux des entreprises Louisbourg et Simard-Beaudry réalisées en 2009, qui étaient soupçonnées d’utiliser des factures bidon pour gonfler leurs dépenses d'affaires et réduire ainsi leurs factures d'impôt fédéral.

Les enquêteurs de l'Agence du revenu du Canada alléguaient dans les mandats de perquisition qu’ils voulaient regarder de plus près des factures fictives utilisées par les deux entreprises pour un montant de 4 millions $, mais les allégations de lundi montrent que la valeur des fausses factures dans cette fraude fiscale s’élevait plutôt à 18,9 millions $.

Il s’agissait d’un dossier délicat pour l’Agence du revenu du Canada, qui a suspendu ou congédié quatre de ses employés qui ont été associés à cette conspiration.

L'affaire a été délicate pour l'Agence, qui a suspendu ou congédié quatre de ses employés qui ont été liés à la conspiration, dont deux qui auraient aidé à cacher 1,7 million $ dans des comptes à l’étranger qui sont des paradis fiscaux.

Un autre homme d’affaires est accusé dans cette affaire. Il s’agit de Francesco Bruno, qui est accusé d’avoir aidé Simard-Beaudry. L’entreprise de M. Bruno loue des espaces à bureaux dans un édifice appartenant au mafieu emprisonné Vito Rizzuto.

L’agence fédérale est aux trousses d’entreprises comme Simard-Beaudry et Louisbourg pour maintenir la confiance du public dans le système fiscal.

L'Agence du revenu du Canada a mis en place un groupe de travail au Québec pour aider à détecter et à poursuivre les fraudeurs de l'impôt dans l'industrie de la construction, a indiqué sa porte-parole, Kareen Dionne.


REF.:

A la société des tas : Des primes équivalant à 40 % ou 50 % de leur salaire de base.

Médias - Les patrons de la SRC/CBC faisaient des mises à pied mais touchaient de grosses primes


OTTAWA – Tandis que les Canadiens subissaient les conséquences de la récession en 2008 et 2009, les cadres supérieurs de la SRC/CBC ont continué à empocher de généreuses primes, certaines dépassant allègrement la centaine de milliers de dollars pour une seule année.

Pour l’année financière qui s’est terminée en mars 2009 – mois durant lequel 61 000 Canadiens ont perdu leur emploi – les 10 principaux cadres supérieurs de la société d’État se sont partagé en primes un montant de 888 699 $. Les primes individuelles allaient de 4300 $ jusqu’à 165 090 $ pour la plus élevée, ce qui correspond à 3,5 fois le salaire moyen d’un travailleur canadien, selon Statistiques Canada.

Ces informations obtenues par l’Agence QMI révèlent également que huit des cadres les plus élevés dans la hiérarchie pouvaient avoir droit à des primes équivalant à 40 % ou 50 % de leur salaire de base.

En février 2009, tout juste un mois avant la fin de l’année financière marquée par le versement de ces primes, le président de la SRC/CBC, Hubert Lacroix, cherchait à obtenir une rencontre avec le premier ministre Stephen Harper afin de demander plus d’argent pour la société d’État.

Plutôt qu’un ajout à la subvention de 1,1 milliard $ payée à la SRC/CBC chaque année par les contribuables canadiens, M.Lacroix voulait un prêt gouvernemental de 60 millions $ pour réussir à traverser la récession.

La SRC/CBC affirmait qu’à titre de société d’État, elle n’avait pas autant de capacité d'emprunter de l’argent durant des périodes difficiles, et qu’elle devrait effectuer des coupures si elle ne trouvait pas de nouvelles sources de financement.

Lorsque la récession a frappé à l’automne 2008, les revenus publicitaires ont diminué dans le monde des médias, et la plupart des entreprises ont entrepris des mesures de compression des coûts, allant du gel des budgets à des mises à pied.

La SRC/CBC a finalement annoncé 800 mises à pied et la vente éventuelle d’actifs.

L’annonce de ces coupures est survenue une semaine avant la fin de l’année financière marquée par le versement de ces 888 699 $ en primes aux cadres supérieurs.

M.Lacroix a promis en avril 2009 à un comité parlementaire que les primes à l’intention des 553 autres administrateurs et cadres éligibles seraient coupées de 20 à 50 % , ce qui permettrait au diffuseur d’État de récupérer 4 millions $.

Durant l’année financière qui s’est terminée en mars 2010, les primes des cadres supérieurs ont fort peu diminué : les 10 cadres principaux se partageant tout de même 778 799 $.

REF.:

Isabelle Gascon Vs Guy Turcotte sur les réseau sociaux ?



La justice ? c'est 11 jurés ,........ce sont eux les juges avec 100% des preuves,pas toi,ni nous,sinon $$$ tu deviendra pôve pauve ,pauvres,et supposément heureuse ou satisfaite ?!$$$!








Un membre de sa famille a partagé sur le web les clichés pris lors d'une fête au domicile des parents de l'homme de 40 ans, à Saint-Hubert.
Le Journal de Montréal publie, mardi matin, ces premières images de l'ex-cardiologue depuis le drame du 20 février 2009.
Jugé criminellement non responsable des meurtres de ses deux jeunes enfants pour cause de troubles mentaux, Guy Turcotte bénéficie maintenant de sorties sans escorte de l'Institut Pinel.
Isabelle Gaston, mère d'Olivier et de Anne-Sophie assassinés par leur père, croit que ces photos de son ex-conjoint relèvent d'une démarche «marketing».

ok , suivant ! ,..................bonne chance Guy ! Tu sauvera encore des vie , fait tes preuves en médecine  familiale !








Y a juste la mafia qui venge les morts ! Pardonne et donne ,par Don,quoi ? ................a tu quelques chose a donner ou a reprendre ? La est la question !
 Bizou X hiboux joujoux ou cailloux ?







Des pieds ;-) et des mains par les 5 avocats invités(pour remonter la popularité du système judiciaire) contre Isabelle Gascon(ras-le-bol) qui retient ses paroles a propos du système de justice Québécois qui est 10 ans en avance sur celui des "States" LOL ;-)
C'est ce qu'ont a entendu hier le 13.12.12 (le lendemain du 12.12.12)a téléQc a l'émission Open Télé ,Ma TV ,.....................Isabelle est confrontée a enlever ses oeillières ,afin d'ouvrir sa vision a la maladie mentale dans notre société de psychotique en herbe!
Isabelle Habillé en noir ,sans boutons rouges ?  En ésotérisme la couleur noire est associée à des éléments supposés appartenir à l'autre côté du monde, en particulier les ténèbres : la Lune noire (Lilith), l'origine de cette symbolique réside dans le fait que le noir est la couleur de la nuit, de l'obscurité, du non-visible. À l'opposé dublanc, de la lumière. Le noir représente aussi parfois le renouveau.

envoi un texto a Benoît ! Maintenant tu peu pardonner a yug !






REF.: LeroyomedesconsPointcon,LeroyauneDesConnespouinconn,google,yahoo,

lundi 6 décembre 2010

Allez-vous comprendre ,bande de cave ?


DESPERADOS DU VOLANT. Chaque année au Québec, les accidents de la route font de nombreuses victimes. Témérité, étourderie et impatience seraient à l’origine de cette réalité. Pourquoi des citoyens respectueux des lois, une fois au volant, adoptent-ils un comportement déviant ?


Et n'oubliez pas,un cowboy qui soit en Pinto,en Mustang ou en Ford,contrôle toujours sa monture,ne parle pas au cellulaire, et ne suit pas un autre cowboy !!!


Un traitement royal,est demandé pour un ex-policier meurtrier

Ontario - Un ex-policier meurtrier s'en va en prison
Larry Ryan
© Agence QMI

TORONTO – Un policier retraité de Toronto a été jugé coupable, lundi, du meurtre de son épouse, et restera derrière les barreaux pour au moins dix ans.

Le jury a déclaré Larry Ryan coupable du meurtre au second degré de sa femme, au Palais de justice de Brampton, en Ontario. Par la suite, le juge Joseph Fragomeni a imposé une sentence de prison à vie à l’ex-policier âgé de 60 ans.

Seule la possibilité de libération conditionnelle reste à déterminer dans cette sentence, à savoir si le meurtrier pourra en profiter d’ici 10 ou 25 ans.

La victime, une agente immobilière, a été retrouvée sans vie au domicile du couple, après avoir reçu quatre coups de feu, le 9 novembre 2008. Larry Ryan qui devait partir en voyage de chasse ce matin-là, s’est plutôt servi de son arme à feu contre son épouse.

mercredi 1 décembre 2010

Vous allez tous mourir comme des chiens ?

Émission «J.E.» - Négligence dans un CHSLD de Lachine
Lyne Arel-Chalifoux a raconté dans une entrevue accordée à l’émission «J.E.», comment à ses yeux, son père de 78 ans a dépéri au cours de sa dernière année au centre d’accueil.
© Agence QMI

MONTRÉAL — Le Protecteur du citoyen enquête sur le centre d’hébergement de soins de longue durée de Lachine, depuis que la fille d’un patient de ce CHSLD a déposé une plainte de négligence.

Lyne Arel-Chalifoux a raconté dans une entrevue accordée à l’émission «J.E.», comment à ses yeux, son père de 78 ans a dépéri au cours de sa dernière année au centre d’accueil.

«Les vrais problèmes ont débuté en septembre 2009, quand ils l’ont déménagé du 5e au 3e étage en raison de travaux de construction», a dit Mme Arel-Chalifoux.

En un an, la fille de Gaston Arel a formulé officiellement quatre plaintes au commissaire aux plaintes du centre d’hébergement concernant : les heures prolongées au lit, l’alimentation sous forme de purée, la dénutrition, une plaie non soignée et le traitement inadéquat de troubles intestinaux.

M. Arel, déjà très affaibli, souffrait du syndrome d’Ogilvy, une maladie douloureuse qui se caractérise par une paralysie du gros intestin et qui provoque un gonflement de l’abdomen.

«Le ventre peut gonfler puisque dans l’intestin il y a une fermentation naturelle. Donc, il y a des gaz qui s’accumulent, des matières aussi qui s’accumulent : il y a une distension du gros intestin» explique Mickeal Bouin, gastro-entérologue au Centre Hospitalier de l’Université de Montréal.

Un des traitements consistait à insérer un tube rectal pour vider son intestin. Lors d’une visite impromptue, Mme Arel-Chalifoux a retrouvé son père, seul dans sa chambre, en détresse.

«Mon père était au lit, il gigotait, il avait un gros ventre, il était souffrant et il avait un tube rectal entre les fesses et un sac à poubelle vert. Le sac était là pour amasser les déchets, mais il n’y en avait pas parce que le traitement n’avait pas fonctionné. Mais le sac s’était ramassé entre les deux fesses», a expliqué la femme.

Elle a appelé l’infirmière qui lui a «inséré un deuxième tube alors qu’il en avait déjà un dans les fesses […] Si j’avais pu perdre connaissance […], j’étais sidérée», a ajouté Mme Arel-Chalifoux.

Au cours de la dernière année, l’homme a été transporté à l’urgence plusieurs fois pour traiter ce syndrome.

Lors d’une autre des visites de sa fille, le personnel de l’hôpital a découvert une plaie sur un des testicules du patient.

«[J’ai vu] la plaie sur son testicule et [j’ai revu] le sac à poubelle vert entre ses deux fesses et là je me suis dit : "Ça ne se peut pas qu’il ait une plaie comme ça, parce qu’ils lui ont flanqué des sacs à poubelle vert".» Comme si ce n’était pas suffisant, Mme Arel-Chalifoux a appris du médecin du CHSLD que son père souffrait aussi de dénutrition.

Pourtant, elle avait manifesté, par écrit, son opposition à ce qu’on lui donne de la purée parce qu’il refusait de s’alimenter.

À la suite du dépôt des plaintes, le centre de santé et de services sociaux de Dorval-Lachine-Lasalle a vérifié les pratiques de son personnel.

La commissaire aux plaintes, qui donne raison à madame Arel-Chalifoux, dénote sur le plan de la dénutrition que «des mesures ont été prises en 2009 pour répondre aux besoins nutritionnels» de Gaston Arel.

Cependant, il a fallu «attendre en septembre 2010 pour obtenir une évaluation de contrôle».L’enquête a permis de déterminer qu’un «manque de ressources médicales est en partie responsable d’un tel délai.»

Concernant l’insertion des tubes rectaux, l’enquête a confirmé que la «technique n’était pas maîtrisée par l’infirmière» et que l’utilisation de deux tubes et de sacs de plastique «était inadéquate». «Un suivi» a été effectué avec l’infirmière concernée.

Le rapport, qui protège l’identité de l’infirmière fautive, n’apporte aucune précision sur le suivi qui a été fait ni sur l’utilisation de sacs.

La direction du CHSLD Lachine a refusé d’accorder une entrevue à l’équipe de «J.E.» parce que le Protecteur du citoyen mène lui aussi son enquête sur ce dossier. Depuis, Gaston Arel est mort d’une pneumonie à l’hôpital Lachine à la mi-octobre.

L’émission « J.E. » présentera un reportage complet sur cette histoire vendredi à 19 h sur les ondes de TVA.





REF.: http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/11/20101125-223412.html

Les malades a domicile devront faire du pictage

Santé - Les soins à domicile amputés



MONTRÉAL – Conséquence directe des compressions en santé, les budgets pour les soins à domicile ont fondu, ce qui fait craindre le pire à des milliers de patients.

L'organisme montréalais Ex Aequo, qui défend les droits des personnes ayant une déficience motrice, a rendu public un sondage mené auprès de 270 usagers.

L’étude a permis de constater que 77 pour cent d’entre eux ont subi des réductions de services totales ou partielles ou ont été menacés d'en subir. Au total, il leur manque au moins 868 heures par semaine de soutien à domicile.

Dominique Viel, par exemple, a perdu 45 minutes sur les trois heures que le CLSC de son quartier lui consacrait chaque semaine. Elle vit seule dans un petit logement, mais craint maintenant de se retrouver un jour en institution en raison de la diminution des soins à domicile.

«J'ai vraiment peur de vieillir dans ces conditions-là, a-t-elle confié. Je suis sortie d'une institution psychiatrique pour m'en aller en réadaptation. Je ne veux pas être réinstitutionnalisée, jamais dans 100 ans.»

«Ils coupent beaucoup dans le ménage, ils coupent beaucoup dans les repas, a renchéri Dominique Marsan. On accordait, auparavant, trois heures par semaine pour la préparation des repas. Maintenant, il y a quelques personnes qui arrivent encore à avoir une heure par semaine ou une heure et demie par semaine.»

Claire Dionne, une victime du scandale du sang contaminé, subit elle aussi les contrecoups des réductions budgétaires. «J'avais des heures de massage des jambes à cause de ma douleur, puis on me les coupe pour la moitié de l'année. Ça me permettait de dormir au cours d'une bonne partie de la nuit.»

Aide réclamée

Ex Aequo demande l'intervention immédiate du ministre de la Santé et de l'Agence de la santé de Montréal pour éviter que ces personnes démunies soient de plus en plus isolées de la société.

«Présentement, la dynamique du réseau de la santé et des services sociaux, c'est de faire plus avec moins», a dénoncé Marc-André Burelle-Favron, d’Ex Aequo. REF.: