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samedi 5 mai 2012

Comment faire facher un Premier Ministre ?

En lui disant que: La crise étudiante était calculée pour conduire à une élection de son parti politique !


      ou        

VICTORIAVILLE – Le premier ministre Jean Charest ne pavoise pas après avoir obtenu une entente qui lui permettra peut-être de sortir de l'une des plus importantes crises de l'histoire du Québec.
«Tout le monde en sort en gagnant. On va soumettre tout le monde à un exercice de rigueur. Les gens vont y contribuer, les universités, puis les recteurs vont ouvrir leurs livres, et puis, si on arrive à un bon résultat, on va appliquer le gain au bon endroit», a dit M. Charest en entrevue à l'émission Larocque-Lapierre.
Jean Charest a expliqué pourquoi il a permis le retour de la CLASSE après les avoir expulsés il y a 10 jours.
«Le représentant de la CLASSE a dénoncé la violence très clairement surtout le vendredi soir», a-t-il dit.
Le premier ministre a choisi de convier des représentants des établissements, les étudiants, mais surtout, les syndicats, afin d'éviter un autre dérapage lors des discussions. «Pour qu'on puisse avoir une discussion différente de celle qu'on avait eue, juste en se parlant face à face, avec certains interlocuteurs avec qui on avait des difficultés», a-t-il dit.
M. Charest croit que certaines personnes ont voulu profiter de ce débat pour essayer de créer du chaos et s'attaquer au gouvernement.
Il s'est dit particulièrement troublé après avoir appris que deux manifestants avaient été gravement blessés vendredi. «Ça nous fait beaucoup de peine quand ça arrive, parce que c'est la dernière chose qu'on veut», a-t-il ajouté.
Pas d'élections, affirme Charest
Il est toujours aussi enragé lorsqu'on suggère que cette crise était calculée pour conduire à une élection. «Ça m'a offusqué, parce que c'est comme s'il y avait un calcul là-dedans de la part du premier ministre du Québec, que ça soit inscrit dans une stratégie électorale!» a-t-il précisé.
Donc, déclenchera-t-il des élections? Jean Charest affirme que non. «Au parti libéral du Québec on n'a pas réservé d'autobus», a-t-il souligné.
L'entrevue complète de Jean Charest sera présentée à l'émission Larocque-Lapierre diffusée dimanche à 12h30 sur les ondes de TVA et à 13h30 sur les ondes de LCN.


REF.:

vendredi 4 mai 2012

Politicaillerie: C'est la volonté du Peuple ?

Ça prend du vent pour avoir du changement !
 Menaces de Mort,envers le Premier Ministre Jean Charest

Un individu de 25 ans arrêté

Menaces envers Jean Charest - Un individu de 25 ans arrêté
La Sûreté du Québec (SQ) a arrêté un jeune homme de 25 ans, en lien avec la publication sur internet d'une vidéo de menaces à l'endroit de Jean Charest. 
© Youtube

MONTRÉAL - Un homme de 25 ans a plaidé non-coupable à des accusations de menaces de morts en lien avec la publication sur internet d'une vidéo fustigeant Jean Charest. Maxime Brown a été remis en liberté lundi après-midi après avoir brièvement comparu au palais de justice de Montréal.
Même si l'accusé a été libéré, il doit respecter de nombreuses conditions, dont ne jamais se trouver à moins de 200 mètres du premier ministre ou de sa famille, ne jamais tenter de communiquer avec le premier ministre ou sa famille, ni prendre part à une manifestation. Il ne peut pas non plus accéder à internet, ni diffuser de vidéos sur le web.
Maxime Brown reviendra en cour le 11 juin prochain.
« La nuit dernière, la Division des enquêtes sur la menace extrémiste, en collaboration avec l'équipe de surveillance de la SQ, a arrêté un jeune homme de 25 ans, à la suite de menaces visant l'intégrité physique d'un membre du gouvernement », a indiqué Ingrid Asselin, porte-parole de la SQ, en entrevue à LCN, lundi matin.
Elle a ajouté que « certaines personnes se croient souvent à l'abri lors de l'envoi de messages de la sorte sur les réseaux sociaux ».
La SQ avait annoncé dimanche soir qu'elle ouvrait une enquête au sujet d'une vidéo dans laquelle on pouvait voir un homme brandissant une épée et criant vouloir éliminer le premier ministre et tuer ses enfants.
« Dernièrement, on a une recrudescence des menaces envers les élus via les différents médias sociaux. On déploie tous les moyens mis à notre disposition pour en retracer le ou les auteurs », a expliqué Ingrid Asselin.




REF.:

vendredi 20 avril 2012

Le Délateur Claude Lachapelle: Un organisateur politique Redoutable se verra octroyer une sentence bonbon ?













Crédit photo : archives Journal de Montréal
Claude Lachapelle (à gauche) en menait tellement large dans l'entourage du maire de Mascouche Richard Marcotte qu'il était devenu son véritable bras droit

Claude Lachapelle, celui qui a servi de délateur à l'escouade Marteau, en menait tellement large dans l'entourage du maire de Mascouche Richard Marcotte qu'il était devenu son véritable bras droit.
Le maire, qui fait l'objet d'un mandat d'arrestation et de six accusations criminelles, était loin de se douter qu'il serait trahi par son chef de cabinet.
Le coup de filet de Marteau et de l'Unité permanente anticorruption (UPAC), mené mardi, a permis de porter 47 chefs d'accusation contre 15 personnes, en plus d'une firme d'ingénierie et une autre de construction.
De nombreuses sources à qui nous avons parlé hier nous décrivent Claude Lachapelle comme un homme discret, mais efficace.
Ayant fait carrière comme représentant en assurances, il a commencé à graviter dans l'entourage de M. Marcotte dès la campagne électorale victorieuse de 1991. Pendant près de deux décennies, comme organisateur électoral bénévole pour Richard Marcotte, il a bâti des liens de confiance en apparence inébranlables avec le maire.

Bras droit

Mais ses premiers liens d'emplois officiels avec la Ville n'apparaissent qu'à la suite de l'élection municipale de 2009. Marcotte venait de remporter un sixième mandat comme maire, mais avec 53 % des votes obtenus, il ne jouissait plus de la même position confortable que lors des élections qu'il avait remportées par acclamation.
Il a alors nommé Claude Lachapelle comme chef de cabinet. Un travail de trois jours par semaine, rémunéré 50 000 $ par an.
«C'est lui qui était le plus près du maire, son bras droit», résume une source.
Fin février 2011, à peine plus d'un an après sa nomination, il a quitté son poste, au cœur de pressions de la part d'élus et de citoyens pour alléger les dépenses au cabinet du maire.
Aujourd'hui, certains conseillers ne sont pas surpris qu'il ait pu avoir un rôle à jouer dans le présumé stratagème de fraude auquel la SQ associe aussi le maire, l'ancien directeur général Luc Tremblay et l'homme d'affaires Tony Accurso.

Intermédiaire

Selon les mandats d'arrestation, c'est même Claude Lachapelle qui servait d'intermédiaire en acceptant les avantages conférés au maire Marcotte par des hommes d'affaires et des entrepreneurs. «Qui tu envoies comme intermédiaire? C'est souvent la personne en qui tu as le plus confiance. Si les accusations sont vraies, c'est logique qu'il ait été l'intermédiaire», avance le conseiller municipal Serge Hamelin. L'ancien député provincial de Masson, Luc Thériault, s'estime pour sa part «surpris» que Claude Lachapelle ait informé la police.
«Il était vu par certaines personnes comme un organisateur politique redoutable. Il faisait ça depuis longtemps», remarque-t-il.
Hier, il a été impossible de parler à Claude Lachapelle. Il n'a pas répondu à nos appels à son domicile.Le nom de Claude Lachapelle apparaît dans la moitié des 47 accusations portées contre les 14 suspects arrêtés, hier, dans le cadre de l’opération Gravier de la SQ.
« Grand coup »
Fait à noter, les accusations dans lesquelles le nom de Claude Lachapelle est cité concernent des actes qui se sont échelonnés de janvier 2005 au 5 avril dernier.
Or, Lachapelle a quitté ses fonctions de chef de cabinet du maire Marcotte sous les pressions de l’opposition et de la population, en mars 2011.
Cela voudrait donc dire, comme nous l’ont indiqué nos sources, que Lachapelle est resté dans l’entourage du maire même après avoir quitté ses fonctions.La police souhaite qu’il intercède auprès des autorités suisses afin de saisir les avoirs du maire Marcotte, qui aurait placé de l’argent dans une banque de la ville de Bâle.

A suivre,....................... pendant que Richard Marcotte est dans la marmite.

REF.: