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mercredi 8 octobre 2014

Cibler les sources des journalistes, c'est cibler le journalisme


Quand la police traque les sources journalistiques


Le 23 septembre dernier, mon téléphone a sonné en début d'après-midi. Numéro non identifié. Au bout du fil, un homme s'identifie comme Michel Comeau, enquêteur à la Sûreté du Québec.
Voici, au meilleur de mon souvenir, et sur la foi de notes prises immédiatement après les faits, ce qui s'est passé après.
«Il faudrait que je vous voie.
- OK... À quel sujet?
- Euh, écoutez, je vais vous en parler en personne. Êtes-vous disponible maintenant?
- Maintenant, non, je suis en déplacement pour La Presse...
- Il faudrait que ce soit le plus tôt possible. On peut aller vous voir, ou vous pouvez venir à la Sûreté du Québec.»
J'étais curieux. Et j'étais inquiet. La police qui m'appelle, ça semble urgent, on refuse de me dire l'objet de la rencontre: j'ai imaginé quelques scénarios déplaisants impliquant des proches ou ma personne.
«Bon, OK. À La Presse, à 18h.
- Parfait, a répondu Comeau, soudainement très pressé de raccrocher. Merci, on se voit t...
- Un instant, l'ai-je interrompu. C'est à quel sujet? Est-ce que ça a un rapport avec ma job?
- Hum, écoutez, je vais vous dire ça tantôt.»
À 17h50, texto de Comeau, en débarquant de la voiture: Patrick! Un peu mal à l'aise d'aller te rencontrer à La Presse. Aurais-tu un endroit neutre proche de ton bureau?
«Mal à l'aise» ? Misère...
Starbucks, à côté du journal, ai-je signifié au cachottier policier provincial.
Le sergent Michel Comeau est arrivé avec son partenaire, le lieutenant Patrick Tremblay. Cheveux en brosse, petit, d'un âge qui doit frôler celui de la retraite à la SQ. L'autre, un géant, mon âge. Les deux portaient un costard sorti du même tailleur sans talent qui habille tous les agents en civil de la SQ.
Comeau et Tremblay, qui travaillent pour la division des Normes professionnelles de la SQ, étaient très souriants, très amicaux. Ils ont ouvert la discussion en s'intéressant à mon travail. Dans mon souvenir, Comeau et Tremblay étaient:
1. Sincèrement impressionnés par mon habileté à jongler avec La Presse, Deux hommes en or et mes commentaires chez Paul Houde, au 98,5 FM: «T'es partout!»
2. Sincèrement admiratifs de mon talent: «C'est bon, c'que tu fais!»
3. Sincèrement fan de l'émission Deux hommes en or: «Je regarde ça avec ma femme, le vendredi!»
4. Sincèrement convaincus que le journalisme est «tellement important!»
Bref, je ne les sentais pas sincères du tout.
On aurait dit deux récents diplômés du cours Comment se faire des amis? de l'institut Dale Carnegie qui testaient leurs nouvelles techniques sur moi...
Je ne savais toujours pas de quoi les deux flics voulaient me parler. Mais je savais qu'il y avait une crosse dans l'air.
J'ai arrêté de parler.
Comeau a fini par dire:
«Tu sais pourquoi on veut te voir, non?
- Non.
- Ben là, t'as quand même une idée?
- Aucune idée, Michel.
- Sérieux?
- Sérieux.»
J'ai pensé que si le sujet du meeting était SI évident, pourquoi diable ne pas m'en avoir parlé au téléphone plus tôt?
«On enquête sur l'affaire Ian Davidson.
- OK.»
Là, j'ai tout compris.
***
Comeau et Tremblay me conviaient à une partie de pêche, dont j'étais le poisson, afin de connaître les sources de La Presse, quand le journal a raconté les dessous de la traque du policier ripou Ian Davidson, qui a tenté de vendre la liste des informateurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) à la mafia.
Le 18 janvier 2012, avec Fabrice de Pierrebourg et Vincent Larouche, j'ai signé un texte rempli de détails sur la traque frénétique de Davidson par ses anciens collègues du SPVM, à l'automne 2011. Un texte qui nommait Davidson. Celui-ci s'est suicidé, ce jour-là.
«T'as deux choix, m'a dit Comeau. Un, tu te lèves et tu t'en vas: t'es pas obligé de nous parler. La jurisprudence est claire! Les journalistes ont le droit d'avoir des sources et de les protéger!
- OK.
- Deux, tu nous parles, pour aider cette personne-là...»
C'est alors que l'autre flic, Tremblay, appliquant sans doute la troisième partie de son cours chez Dale Carnegie, s'est penché vers moi, le non-verbal full empathique:
«On le sait que c'est une bonne personne, cette personne-là.
- Oui, a fait Comeau en se penchant à son tour vers moi, l'image même de la sollicitude, c'est une très bonne personne...»
J'oublie la façon exacte dont Comeau m'a présenté la chose, mais il m'a dit que si d'aventure j'acceptais d'expliquer à la police les motivations de cette «bonne personne», ils pourraient appuyer moins fort sur le crayon, au moment de déposer des accusations. Accusations imminentes, m'a-t-il juré.
***
Appuyons sur pause, avant d'aller plus loin.
Parfois, des sources aident les journalistes. Ce sont des gens qui ne sont pas autorisés à parler aux journalistes. Des gens qui ont leurs propres raisons de vouloir parler, de lever le voile sur des enjeux que le pouvoir - l'État, les partis politiques, des intérêts syndicaux, des gens d'affaires - voudrait occulter.
L'enquêteur Comeau avait raison: les tribunaux, la Cour suprême en tête, encadrent cette relation privilégiée entre les journalistes et leurs sources confidentielles d'information. Ce n'est pas une relation aussi protégée que celle d'un avocat et de son client. Mais elle est plus protégée que celle entre un boucher et son client...
Sans sources confidentielles, il n'y a pas de journalisme digne de ce nom. Il y a des communiqués de presse et des versions officielles écrites par des faiseurs d'image qui ont tout à gagner à vous présenter la version Disney des choses, une version rose qui sent - vous l'aurez deviné! - le lilas.
Or, depuis quelques années, il y a une réelle paranoïa par rapport aux sources des journalistes au sein de l'État québécois, qu'il soit géré par le PQ ou le PLQ. Les vices du système importent peu: il faut débusquer ceux qui informent les journalistes sur ces vices. Et le pouvoir utilise la SQ pour trouver ces sources. Le but étant de vous présenter la version des choses qui plaît au pouvoir, celle - eh oui! - qui sent le lilas.
Je ne suis pas journaliste d'enquête. Mais parfois, je fais des enquêtes, je participe à des enquêtes avec des collègues.
Et j'ai cette règle, bien simple: je ne parle pas des sources. Jamais. Je ne dis pas à qui je parle. À qui je ne parle pas. De quoi je leur parle. Ou pas.
Je ne parle des sources à personne, ni à ma mère morte, ni à mes blondes, ni à mon chat.
Et surtout pas aux flics.
***
Comeau venait donc de me donner deux options.
«Ça va être l'option un, Michel. Je vais me lever et m'en aller.
- On respecte ça.
- À qui je parle, à qui je ne parle pas, désolé, ça ne regarde personne.»
Il m'est passé par la tête que je ne savais même pas qui était cette «bonne personne» dont Comeau et Tremblay voulaient me parler. La Presse avait, sur l'affaire Davidson, des sources...
Je me suis levé. Comeau, encore assis, m'a alors dit de garder le silence sur cette rencontre et sur ce qui venait de s'y dire, même s'il ne s'était rien dit de conséquent.
«Si tu en parlais, m'a-t-il dit, ça pourrait être vu comme une entrave au travail des policiers.»
L'article 129 (a) du Code criminel canadien touche l'entrave au travail des policiers. Comeau était donc en train de me menacer, à mots à peine voilés, de me coller une accusation criminelle.
Je m'attends donc à ce que le sergent Comeau vienne m'arrêter prochainement. Parce que je viens d'écrire tout ce que j'ai vu et entendu dans le piège à con qu'il m'a tendu.
Sinon, il me faudra prendre ses paroles pour ce que je crois qu'elles étaient: des menaces vides.
***
Permettez que j'appuie sur pause, encore une fois.
La SQ, en 2002, est allée à Laval, avec les pouvoirs de la police, pour enquêter sur l'administration Vaillancourt. Et elle n'a rien trouvé! Sachant ce qu'on sait aujourd'hui sur Laval, sachant que c'était un dépotoir de collusion à ciel ouvert, c'est à mon sens une autre preuve que la SQ est une police politique qui n'embête jamais trop, trop le pouvoir...
La SQ a vu une de ses enquêtes sur la FTQ capoter, il y a quelques années. Pourquoi? Parce que quelqu'un, à la SQ, a prévenu le gouvernement de Jean Charest que cette enquête était en cours. La FTQ, mystérieusement, a su qu'elle était visée. Les cibles ont cessé de se parler au téléphone. L'enquête a avorté.
Y a-t-il eu une enquête criminelle pour savoir qui, à la SQ, a prévenu le gouvernement?
Non.
Y a-t-il eu une enquête criminelle pour savoir qui, dans le gouvernement Charest, a prévenu la FTQ?
Non.
La SQ, sur ordre de Québec, a plutôt déclenché une enquête pour savoir... qui a raconté les dessous de cette enquête avortée au Journal de Montréal.
Le pouvoir n'aime pas quand ses versions roses, qui sentent le lilas, sont contredites. La SQ est alors utilisée pour faire peur à quiconque voudrait parler. Le pattern est connu.
***
Jeudi dernier, j'ai appelé mon ami Félix Séguin, journaliste à TVA Nouvelles, pour le féliciter d'un scoop, un scoop portant justement sur l'affaire Davidson: la fuite était plus grave que la police ne l'avait admis à l'origine et Félix l'a prouvé, avec son collègue Andrew McIntosh.
«Si t'as cinq minutes, lui ai-je dit, je voudrais te voir aujourd'hui. Faut que je te parle d'un truc.
- Tu veux me parler de ta rencontre avec la SQ?»
Je suis tombé à la renverse.
«Comment tu sais ça?!
- Un contact me l'a dit. Et y a des policiers qui laissent entendre que tu offres une belle collaboration...»
Félix savait bien, en entendant cette fable, que c'était de la merde. Mais j'y voyais maintenant plus clair: non seulement la SQ était allée à la pêche avec moi, non seulement elle avait tenté de me piéger, mais elle laisse en plus courir le bruit que je parle, tactique d'enquête vieille comme le monde...
Il y a un mot pour ça, il commence avec un «c» et il rime avec soeur.
On dira que c'est une affaire de journalistes. Faux. C'est une affaire qui concerne tout le monde: la SQ met plus d'efforts à traquer les sources des journalistes qu'à coffrer les amis du pouvoir. Cibler les sources des journalistes, c'est cibler le journalisme.
Inquiétant.

La version de la Sûreté du Québec

Michel Forget, directeur des communications de la Sûreté du Québec, a défendu la conduite des enquêteurs Comeau et Tremblay, qui ont tenté d'inciter un chroniqueur de La Presse à révéler des sources journalistiques.
«Initialement, on suspectait une fuite policière. La plainte émanait du Directeur des poursuites criminelles et pénales. Oui, le supérieur des enquêteurs, l'inspecteur-chef Mario Smith, pour une rencontre de cette importance, en avait été informé. J'ignore s'il était au courant du modus operandi choisi par les enquêteurs pour vous rencontrer.
«Oui, j'étais au courant que les enquêteurs allaient vous rencontrer. Non, je ne savais pas de quelle façon ils allaient vous approcher.
«S'ils ont préféré vous rencontrer hors de La Presse, c'est par souci de discrétion envers la personne que l'on rencontre, afin qu'elle n'ait pas à expliquer à ses confrères pourquoi elle rencontre la police.
«Non, vous n'avez pas été mis sur écoute pour cette enquête. Vous n'avez pas été suivi. Ni vos collègues journalistes.
«Non, ce n'est pas du tout normal que le journaliste Félix Séguin ait appris que la SQ vous avait rencontré. Si quelqu'un en a parlé, c'est un manque d'éthique.
«Si vous rapportez le verbatim de votre rencontre avec la police dans La Presse, et que ça ne nuit pas à l'enquête, non, vous ne serez pas accusé d'entrave au travail des policiers. Si ce que vous rapportez nuit à une enquête, tout est subjectif par la suite.
«Dire à quelqu'un qu'il peut être accusé d'entrave s'il parle d'une rencontre avec la police, ce n'est pas des menaces. C'est une façon de conclure une rencontre.»


Source.:

L'orgasme vaginal et le point G n’existent pas selon une nouvelle étude

L'orgasme vaginal et le point G n’existent pas. Voici les conclusions d’une étude scientifique publiée dans la revue médicale Clinical Anatomy.Sexy couple in bed
Les auteurs de la recherche soutiennent qu’il n’existe pas différents types d’orgasmes chez la femme. Le terme générique d’«orgasme féminin» devrait être utilisé, puisque l’«orgasme clitoridien» est un mythe, rapporte le Daily Mail.
Les experts affirment que la majorité des femmes n'ont jamais atteint l'orgasme pendant la pénétration. Ces dernières croient avoir un problème sexuel, basé sur des croyances populaires irréelles : l’orgasme vaginal.
Les chercheurs ont conclu que le clitoris, aussi appelé «pénis féminin», est la clé de l’orgasme chez la femme. Comme c’est le cas pour l’homme, la jouissance n’est pas possible si cet organe n’est pas stimulé.
Le docteur Vincenzo Puppo, qui a coécrit l’étude, affirme qu’«après avoir éjaculé, l’homme peut continuer à embrasser et caresser sa partenaire pour la mener à l’orgasme».
La taille importe
L’étude controversée survient quelques mois après celle qui a révélé que la taille du clitoris d'une femme peut nuire à sa capacité de jouir.
Publiées dans le Journal of Sexual Medicine, les recherches américaines ont prouvé que le clitoris des femmes qui atteignent difficilement l’orgasme est petit et situé loin du vagin.
Cette étude pourrait aider les chercheurs à élaborer un traitement pour les femmes souffrant d'anorgasmie (absence d’orgasme).


Source.:

lundi 22 septembre 2014

Poême: Dans mon imagination




Dans mon imagination, je vois un monde plus juste
Où tout le monde vit dans la paix et l'honnêteté
Je rêve d'âmes qui sont toujours libres
Comme les nuages ​​qui volent
Pien »de l'humanité dans les profondeurs de l'âme

Dans mon imagination, je vois un monde lumineux
chaque nuit il ya moins ténèbres
Je rêve d'âmes qui sont toujours libres
Comme les nuages ​​qui volent
Pien »de l'humanité

Dans mon fantasme existe un vent chaud
Qui respire dans la ville, comme un ami
Je rêve d'âmes qui sont toujours libres
Comme les nuages ​​qui volent
Pien »de l'humanité dans les profondeurs de l'âme



Source.:"Nella Fantasia" as written by Ennio/ferrau Morricone

lundi 1 septembre 2014

Harpeur l'Évangiliste ?

Il fait de la Théocratie,en utilisant son gouvernement Théocratique.
Dans la théocratie, le titulaire de la souveraineté est en effet la divinité.
Dans son acception première, le terme théocratie désigne uniquement l'idée que Dieu gouverne et il est inventé par Flavius Josèphe pour justifier un désintérêt des croyants pour la politique1. En ce sens, l'idée de théocratie implique que « l'agir humain, dans toute son ampleur, reçoit sa norme du divin2 », mais ne correspond à aucune forme de gouvernement humain.
Au contraire, depuis le XIXe siècle, le terme théocratie est le plus souvent employé pour désigner des régimes politiques fondés sur des principes religieux ou gouvernés par des religieux. Dans ce cas, certains auteurs préfèrent parler de « hiérocratie », terme proposé par Max Weber et qui désigne spécifiquement le gouvernement des religieux3. Cependant, l'usage le plus répandu est de parler de théocratie dès qu'il y a confusion entre politique et religion.


 Le  documentaire La droite religieuse au Canada réalisé par Jon Kalina et produit par Nathalie Barton en a parlé et sera diffusé en première mondiale l’émission Zone Doc sur Ici Radio-Canada le vendredi 29 août à 21h.

Le Canada d’aujourd’hui est sans doute perçu comme l’un des pays les plus laïcs au monde : nos lieux de culte sont à moitié vides et nos élites politiques parlent très rarement de religion. Mais à quel point sommes-nous réellement laïcs?

La droite religieuse au Canada s’interroge sur la dimension religieuse du gouvernement actuel et se demande dans quelle mesure elle affecte ses décisions de politique intérieure et étrangère. Car qu’il s’agisse des droits des femmes, des sciences du climat ou de l’appui inconditionnel du Canada au gouvernement d’Israël, Stephen Harper et ceux qui l’entourent sont à l’écoute de la droite religieuse.

Entre Québec, Ottawa, Alberta, Israël et Cisjordanie, le film se penche sur cette face méconnue des conservateurs – nous emmenant à la rencontre de politiciens proches de Stephen Harper, de chrétiens évangéliques attendant le retour du Messie ainsi que de nombreux critiques qui s’inquiètent des conséquences des politiques actuelles sur les droits humains, les changements climatiques et la recherche scientifique au Canada.



Tout a commencer , lorsque Harper coupa le poste du conseillier national des sciences !L’abolition du poste de Conseiller national des sciences auprès du Gouvernement du Canada par le premier ministre Stephen Harper traduit son mépris pour la science, a déclaré aujourd’hui le Parti Vert. Le poste, créé en 2002, cessera d’exister en mars prochain lors du départ à la retraite du conseiller actuel, M. Arthur Carty.La science ne sera pas la matière forte du gouvernement Harper. Après avoir été à couteaux tirés avec ses opposants pour ses positions sur le réchauffement climatique et, plus récemment, le redémarrage d’un réacteur nucléaire, après avoir vu certains de ses députés s’afficher comme créationnistes, voilà qu’est aboli le seul poste où un scientifique avait un accès direct au premier ministre.


Et par la suite, Gary Goodyear,fut nommé en 2008 comme Ministre de la science et de la technologie, est un autre évangéliste qui n'a jamais voulu  admettre en publique ,qui croit pas en la théorie de l'évolution de Darwin ou au créationnisme!
 Harper a coupé dans les programmes, a cause de ses croyances d'évangéliste qui a rejeter les sciences qui ralentisse les programmes pétroliers des sables bitumineux , qui sont les plus pollueur de l'histoire !











Harper et Benyamin Netanyahou, israel power !Harper est dans l'Église protestante conservatrice, il a connu le mouvement de l'alliance chrétienne et Missionnaire !
Louis  Rousseau de l'UQAM  en science des religions en parle.
Le mentor a Harper était nul autre que l'évangéliste, Preston Manning.
Il protège le marché du pétrole,tout conne son père, qui est originaire de Moncton, qui était comptable agréé et travaillait pour Imperial Oil.


Le mouvement de contestation des scientiphiques mit au chomage ,par l'Évangéliste Harpeur !
 

your a looser put a "L" in your face!
Si Jésus revient en terre des élus d'Israel, ou non,c'est pas a nous de faire quoi que se soit, et en utilisant la politique a la théocratie,vraudrait mieux que le Divin soit déja dans le temple de vos coeurs et non a attendre quelque chose qui est déja arriver! Tu es en retard sur le programme Stephen !L!$!




 Source.:

dimanche 10 août 2014

Le Ouèrnement prendra 1 an pour corriger une faille informatique : Le décompte a commencé en Août 2014 a .....;-)

Plusieurs cyberattaques au Conseil national de recherches du Canada (CNRC) par des Hackers Chinois


Le CNRC doit rebâtir son infrastructure informatique

Le CNRC doit rebâtir son infrastructure informatique,j'ai très "Harpeur" de ce qui va arriver ? woah nelly,.........Disait Stephen ;-)

Est-ce que le Wouèrnement Harper , écoute ses fonctionnaires , ou les met en chomage ? Ça va pas bien au Fédéreule les Z'amis !

 





OTTAWA - À la suite de plusieurs cyberattaques dont il a été la cible récemment, le Conseil national de recherches du Canada (CNRC) a fait savoir, jeudi, qu'il sera dans l'obligation de mettre en place une toute nouvelle infrastructure des Technologies de l'information (TI) afin de minimiser le risque d'autres attaques.(C'est quand ,qu'on va savoir c'est qui la Taupe a lunette ?)
Selon le CNRC, «la création d'une telle infrastructure sécurisée et intégrée au réseau du gouvernement pourrait prendre un an», peut-on lire dans le communiqué publié jeudi.
Ottawa a imputé la responsabilité de ces attaques à la Chine. Dans un communiqué publié mardi sur le site du Secrétariat du Conseil du Trésor, le gouvernement canadien a affirmé avoir «récemment détecté et confirmé une cyberintrusion dans l'infrastructure des technologies de l'information (TI) du CNRC par un acteur hautement perfectionné parrainé par l'État chinois».
L'ambassadeur chinois a publié de son côté une déclaration dans laquelle il niait ces allégations, les qualifiant de «non professionnelles».

Source.:

mercredi 6 août 2014

Facebook : voici le Top 10 des arnaques

 Les arnaques concernant Facebook sont très courantes car elle peuvent
cibler tous les 1,3 milliard d'utilisateurs du réseau social.

Bien qu'ultra surveillé, le réseau social le plus utilisé au monde n'est pas exempt d'arnaques en tout genre. De fausses pages frauduleuses vous attirent avec pour seul but de vous faire télécharger un programme ou une vidéo ; mais ces téléchargements cachent un virus qui infecte votre ordinateur.

Qui a visité mon profil Facebook ?


C'est une question récurrente qu'on se pose lorsqu'on a un profil sur le réseau social : on aimerait bien savoir qui vient voir notre page. Ce n'est donc pas étonnant que 30,20% des arnaques Facebook soient issues de ce type de page.

L'idée est simple : la page vous propose de télécharger un plug-in permettant de savoir qui a visité notre profil Facebook mais en réalité le programme est un virus. Facebook, qui sait très bien qui a visité qui, se garde bien de vous le dire.

La couleur de Facebook ne vous plaît pas ?


La deuxième arnaque la plus répandue concernant le réseau social de Mark Zuckerberg est la possibilité, via encore une fois un petit logiciel, de changer la couleur de Facebook. Le bleu n'est peut-être pas du goût de tout le monde, au fond.

Eh bien sachez que cela est impossible. Aucun programme ne vous permet de changer la couleur de Facebook et tous les programmes vous promettant cela sont des virus cachés. Bitdefender estime qu'ils représentent aujourd'hui 7,38% des arnaques liées au réseau social.

La sextape de Rihanna et de Taylor Swift


Taylor Swift a été au centre de la plus importante des arnaques Facebook en 2013 : une page proposait de télécharger la sextape de la chanteuse américaine... mais bien entendu il s'agissait d'un faux.

Cette année, la blonde a été remplacée par Rihanna ; mais le principe est le même. L'arnaque la plus courante, selon le spécialiste de la sécurité Bitdefender, a été la page permettant de télécharger la sextape de Rihanna. A la clé, non pas les ébats de la star mais bien un virus.

Le Top 10 des arnaques Facebook

Et voici le classement complet des arnaques liées au réseau social :

1. Qui a visité mon profil
2. Changez la couleur de Facebook
3. La sextape de Rihanna et son petit-ami
4. Consulte mon nouveau statut et reçoit gratuitement un T-shirt Facebook.
5. Dites au revoir au Facebook bleu
6. Produits défilmés. Distribution gratuite
7. Qui vous a supprimé de ses amis ?
8. Le top 10 des profils qui vous harcèlent le plus !
9. Découvre comment voir qui visite ton profil, tu n'es pas au bout de tes surprises !
10. Je viens de modifier le thème de mon Facebook. C'est incroyable.


REF.:

mardi 29 juillet 2014

Génération mal au pouce ?.........ou le "RTFM syndrom" ?$?

Comment pourrait t'on concevoir que l'opérateur de l'autoclave et stérélisation ne pouvait pas savoir que son manuel (RTFM=read the friendly manual) et plan ,ne correspondait pas a son modèle de rétracteur de foie ? Et comment ne pas faire une deuxième examen ou un autre poste de vérification ,concernant un appareil servant au sidatique ne doit pas même servir pour d'autre opération que les sidatique ?$$$? Au Fédéral comme au Provinchiale, on gère la pauvreté (ça on le savaient), et maintenant la médiocrité !

Lisez l'histoire d'horreur:

Environ 150 patients de l'hôpital Lachine ont récemment été avisés qu'ils risquaient d'avoir contracté une infection incurable telle qu'une hépatite ou le VIH après avoir subi une chirurgie bariatrique, a appris le journal .
L'hôpital Lachine, l'un des deux centres d'excellence dans ce type d'intervention, assure avoir pris les mesures appropriées pour corriger cette situation «possiblement dangereuse». Bien que l'établissement n'ait détecté aucun cas de transmission, il demeure à la recherche de patients à risque manquant toujours à l'appel.

Stérilisation «sous-optimale»

En février dernier, l'hôpital a acheminé une lettre à tous les patients ayant subi une chirurgie bariatrique entre la fin 2012 et le début 2014.
«Nous avons constaté que le processus de nettoyage d'un des instruments utilisés lors de votre chirurgie aurait possiblement été inadéquat. Malgré la stérilisation appliquée par la suite selon les normes, il est possible que cette dernière ait été sous-optimale», peut-on lire dans le document.
L'instrument en question, un rétracteur de foie, est exclusivement utilisé pour ce type d'opération. Il s'agit d'un outil «extrêmement difficile à nettoyer», selon une source bien au fait du dossier.

Risque d'infection réel

Le directeur médical de la prévention des infections du CUSM, Dr Charles Frenette, reconnaît qu'il ne s'agit pas d'un instrument «commun». Il affirme que celui-ci aurait dû être démonté pour le nettoyage, mais que cela n'a pas été fait de façon systématique.
«Le manuel d'instruction qu'on avait se référait à l'ancien modèle qui lui ne se démontait pas. (...) On s'est aperçu qu'il y avait une accumulation de débris. Comme il y a un léger danger qu'ils aient été contaminés, on a écrit une lettre à tous les patients pour qu'ils subissent des tests pour les maladies transmises par le sang», indique-t-il.
La missive indique que «le risque de transmission d'infection est très faible», mais la source interne précise que le risque est «bel et bien réel» puisqu'au moins un patient était déjà atteint de l'hépatite avant même l'opération, fait qu'a reconnu Dr Frenette.

Patients introuvables

Ce dernier tient d'ailleurs à préciser qu'aucun nouveau cas de transmission n'a été détecté chez les patients testés jusqu'à présent. Cependant, 11% des patients concernés demeurent toujours introuvables.
«Le risque n'est pas plus élevé pour eux que pour les autres patients. C'est peut-être plus rassurant pour eux de savoir qu'on n'a trouvé aucun nouveau cas», soutient Dr Frenette.
Ce dernier estime que la situation est maintenant sous contrôle, puisque l'établissement procède dorénavant au démontage systématique du rétracteur de foie avant le nettoyage et la stérilisation.


REF.: