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dimanche 13 mai 2012

C'est la génération C (internet) qui conteste les prêts et Bourses

Les quatre jeunes arrêtés relativement aux bombes fumigènes qui ont paralysé le métro de Montréal, jeudi, sont accusés de complot, méfaits et « incitation à craindre des activités terroristes », un chef d’accusation rare.
Ils ont brièvement comparu, hier midi, par vidéoconférence au palais de justice de Montréal.
À la télévision d’une petite salle de comparution, Roxanne Belisle, 23 ans, Geneviève Vaillancourt, 25 ans, Vanessa L’Écuyer, 22 ans, et François Vivier-Gagnon, 22 ans, se tenaient côte à côte, l’air plutôt calme.
Ce dernier fait aussi face à une accusation de possession d’une arme prohibée, soit un couteau papillon.
L’avocat de la Couronne, Me Steeve Larivière, s’est opposé à leur libération conditionnelle en raison de la gravité des accusations qui pèsent contre eux, notamment celle reliée au terrorisme. Les quatre jeunes doivent revenir dans le box des accusés, lundi, pour savoir s’ils seront libres pour la suite des procédures judiciaires.
Après avoir vu leur photo faire le tour des médias, les quatre étudiants ont plié sous la pression et se sont livrés aux policiers, vendredi après-midi.
Perquisition
Ils ont été arrêtés en lien avec les bombes fumigènes lancées sur les rails à la station de métro Lionel-Groulx.(les photos viennent du public ,car les photos des cacaméras du métro de Mtl étaient trop flou)
D’autres suspects sont toujours recherchés concernant les méfaits commis dans d’autres stations de métro en pleine heure de pointe, jeudi matin.
Lors du passage du Journal, hier après-midi, des policiers de l’identification judiciaire effectuaient une perquisition à l’appartement de Roxanne Belisle, dans l’arrondissement Verdun.
Aucun locataire n’était sur place, s’est contenté de dire un enquêteur.
Selon Daniel Lacoursière, porte-parole au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), deux autres appartements et un véhicule étaient toujours fouillés, en fin de journée.
Vendredi matin, les policiers avaient également visité le logement de Vanessa L’Écuyer et François Vivier-Gagnon, dans Hochelaga-Maisonneuve. Les policiers ont emporté quelques boîtes ainsi qu’un sac.
Une mère dévastée
Contactée par téléphone, hier, la mère de Vanessa L’Écuyer s’est dite complètement dévastée. « Ça ne va pas bien, a-t-elle dit. Ça fait deux jours que je ne dors pas. »
Les grands-parents de l’étudiante étaient également soufflés par cette nouvelle. « Je ne pensais pas qu’elle était allée jusque-là, lance la grand-mère de Vanessa. Elle a été influencée. »
Avec la collaboration de l’Agence QMI


REF.:

Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc !

Montréal - Les indignés de retour
Les indignés du mouvement «Occupons Montréal» s’installent à nouveau au square Victoria. 
©ELIZABETH LAPLANTE/AGENCE QMI
Après occupons wall street ,........................................

Les indignés de retour


L'Espagne reviens après 1 an,avec sont mouvement de contestation du chômage et de la crise économique.80 villes d'Espagne y participe !

MONTRÉAL – Les indignés du mouvement « Occupons Montréal » étaient de retour au square Victoria, samedi, à Montréal. Dès 9 h, ils se sont à nouveau installés à l'endroit même où ils s'étaient réunis pendant plusieurs semaines, l'automne dernier, pour dénoncer les injustices du système capitaliste.
En milieu d'après-midi, ils étaient près de 150 personnes à avoir répondu à l'appel. Au programme : quatre jours de mobilisation intensive, du 12 au 15 mai.

À LIRE ÉGALEMENT:
Journée mondiale d'action
«On vit une mobilisation sans précédent et ce qu'on veut, c'est élargir la cause étudiante aux autres luttes sociales», a expliqué Carminda Mac Lorin, du collectif Journées d'actions populaires pour un printemps érable et global (JAPPEL). Selon Mme Mac Lorin, qui a participé à chaque journée de mobilisation d'Occupons Montréal à l'automne dernier, il n'est pas impossible que le mouvement s'étale sur plus de quatre jours. « Les gens qui sont ici sont indignés et assez créatifs […] Je ne peux pas vous dire ce qui va se passer, mais que ce soit ici ou d'autres façons, il y aura de la mobilisation », a-t-elle affirmé.
«On l'espère», ont pour leur part indiqué Alain Mignault et Francine Nadal, qui après avoir participé à Occupons Montréal à l'automne, souhaitent que cette nouvelle mobilisation s'étirera durant plusieurs jours.
Outre des tables, des réserves de nourriture et plusieurs affiches installées un peu partout, aucun campement n'était encore apparent, vers 16 h 30, au square Victoria. Sur les réseaux sociaux, les organisateurs sollicitaient l'aide de la population pour se doter de tables, chaises, sacs de couchage et matériel pour prodiguer des premiers soins, entre autres choses.
D'ailleurs, parmi les gens rassemblés en matinée, Sylvie était responsable des premiers soins. Secouriste de formation, il s'agit de sa première expérience à Occupons Montréal. La dernière fois, «je l'avais suivi à distance. Là, j'ai décidé de sortir de derrière mon clavier», a-t-elle dit.
En novembre dernier, la Ville de Montréal avait exigé le démantèlement des abris permanents qui avaient été construits sur le site. Les contestataires avaient peu à peu quitté le square Victoria pour l'hiver, se promettant de revenir au printemps.
Questionnée au sujet du lien établi jusqu'à présent avec la Ville de Montréal et les policiers, Mme Mac Lorin a indiqué qu'elle avait reçu un appel très courtois de la Ville en début de semaine, afin de savoir ce qui se préparait.
Quant à la police, la jeune femme a indiqué que «la dernière fois, ça c'était bien passé avec la police. Là, la conjoncture est différente donc on verra bien.»
Nouvelle réglementation
Le 27 janvier dernier, soit peu de temps après le démantèlement du campement au square Victoria, une nouvelle règlementation a été adoptée par la Ville de Montréal.
Ce règlement sur la prévention des incendies prévoit que les tentes doivent être homologuées selon le Laboratoire des Assureurs du Canada (UCL) et les appareils de cuisson de même.
Rejoint par téléphone, le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) a indiqué que des agents se sont rendus au square Victoria samedi afin de vérifier les installations du mouvement Occupons Montréal.
«Pour l'instant, il n'y a pas de tentes ou d'appareils de chauffage donc on va suivre le déroulement durant la fin de semaine et on va se prononcer plus officiellement lundi», a souligné Julie Gascon, chargée de communication au SIM.


REF.:

CIBC: Chute d'au moins 10% du marché immobilier d'ici 2013

L’immobilier inquiète ?


Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.


REF.:

Le Canada,premier pays a abandonner la carte de crédit ?

Êtes-vous en burnout du crédit?

 par: - 10 mai 2012 Commençons-nous à « slaquer » sur la carte de crédit? Votre voisin a-t-il abandonné l’idée de s’acheter un château avec garage double, pour se rabattre sur un joli cottage, plus abordable?
Avons-nous enfin écouté les avertissements de Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, qui nous répète depuis des mois dans les médias qu’il faut cesser de s’endetter comme si demain n’existait pas?
Si c’est le cas, applaudissons notre retour sur terre.
Benjamin Tal, lui, pense que oui. L’économiste de la CIBC a publié un rapport dans lequel il explique qu’une « fatigue du crédit » commence à s’abattre sur le Canada.
Le crédit à la consommation a augmenté de seulement 2,3 % depuis un an. Il a même diminué en mars par rapport au mois précédent. C’est le rythme le plus faible depuis les années 1990. Tout ça, rappelons-le, avec des taux d’intérêt qui demeurent historiquement bas.
Le marché hypothécaire aussi ralentit. Le solde des prêts hypothécaires a augmenté de 6,3 % annuellement. Oui, ça demeure élevé. Mais c’est un rythme plus faible que la moyenne des deux dernières années (7,3 %). Et par rapport au mois dernier, l’augmentation est de 0,5 %. La plus faible depuis 2001, souligne Tal, qui n’hésite pas à donner une part du crédit à Mark Carney et à la Banque du Canada pour avoir martelé leur message de prudence.
Il était temps
Un passage de l’étude m’a fait sursauter. Imaginez : pour la première fois depuis 2002, le crédit à la consommation au Canada augmente plus lentement qu’aux États-Unis.
Attendez… la première fois depuis 2002? Nous, Canadiens, avons été encore plus accrocs au crédit que nos voisins Américains depuis tout ce temps?
Oui. Contrairement à la perception populaire, nous dit l’économiste, le crédit à la consommation au Canada a augmenté deux fois plus vite qu’aux États-Unis durant la dernière décennie. Suite à la crise, alors que ce recours au crédit ralentissait aux États-Unis et sombrait même en territoire négatif, il continuait d’augmenter au Canada. Et même à accélérer! Aujourd’hui, les rôles s’inversent. La consommation à crédit augmente chez nos voisins du sud, et ralentit au Canada.
L’immobilier inquiète
Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.

REF.:

samedi 12 mai 2012

150$ un ticket pour chien dans une auto ? et les bébés ??? $$$ ???

C'est drôle ,aucune écriteau a ce sujet de la part de la ville de Mtl ????

Gagne de chiiiiiiiii;-)


REF.: Gens Charette,Gérald Tremblay,



C'est quoi le plus grave ,.............un bébé dans l'auto ou un chien ????

Voyez les histoires d'horreur:
(Québec) Martin Racicot n'a pas mis en danger la vie de l'enfant laissé dans sa voiture une quinzaine de minutes le soir du 28 octobre 2007, a décrété le juge Rémi Bouchard. L'homme de 28 ans est donc acquitté de l'accusation d'avoir abandonné un enfant.
Même si Racicot n'a pas agi de façon responsable, de dire le juge, la vie de l'enfant n'a pas été mise en danger ni exposée à l'être au sens du Code criminel, d'analyser le juge en rendant son verdict. Le magistrat a appliqué à la lettre l'article du Code criminel qui traite de l'abandon d'un enfant de moins de 10 ans.
Le texte de loi, a rappelé le juge Bouchard, stipule qu'il y a crime lorsque la vie d'un enfant est effectivement mise en danger ou exposée à l'être, ou que sa santé est effectivement compromise de façon permanente, ou exposée à l'être. On parle donc de situation où le danger est réel, et non pas hypothétique ou probable, continue le magistrat dans son analyse.
Or, le soir du 28 octobre 2007, l'enfant de sept mois est demeuré sans surveillance une ou deux minutes, soit le temps que des gens s'aperçoivent qu'un bébé se trouvait seul dans une auto et communiquent avec le 9-1-1. Ces gens ont assuré la surveillance de l'enfant avant l'arrivée des policiers et le retour de Racicot à sa voiture une quinzaine de minutes plus tard, a rappelé le juge.
Selon le rappel des faits, Racicot gare sa voiture devant le restaurant Cochon Dingue du boulevard Champlain. Le moteur tourne, et l'habitacle est réchauffé pendant une dizaine de minutes, car l'homme attend sa conjointe qui a terminé sa soirée de travail au Théâtre Petit Champlain.
Voyant que cette dernière tarde, Racicot décide de se rendre au théâtre après avoir arrêté le moteur et verrouillé les portières. Puisque l'enfant dort, il choisit de ne pas le réveiller et le laisse dans le siège de l'auto.
Dès son arrivée au théâtre, sa conjointe l'informe en avoir encore pour seulement cinq minutes. Il décide de l'attendre sur place. Mais des policiers ont vite mis fin à l'attente.
Selon l'expertise d'un professeur de génie mécanique appelé par la défense, l'habitacle était à 37 degrés au moment où Racicot est sorti de la voiture, et à 12 degrés à son retour.
Des échanges entre Racicot et les policiers ont envenimé la situation, a noté le juge. D'ailleurs, Racicot a déposé une plainte en déontologie policière.
Le geste reproché à Racicot s'est produit le 27 octobre 2007. Or, l'accusation a été déposée le 21 avril 2008, soit une semaine avant le délai de prescription.Aux États-Unis, 49 enfants sont morts en 2010 d'un coup de chaleur après avoir été oubliés dans un véhicule, selon l'organisation Kids And Cars, qui milite pour la protection des enfants dans les véhicules.

REF.:





mercredi 9 mai 2012

Fraude de 100 millions $,pour des cartes clonées: C'est toute nous autres qui payerons ça $$$

Fraudes de 100 millions $ - La GRC démantèle un réseau international de fraudeurs
Au total, 61 personnes font l'objet d'un mandat d'arrestation. 
© Sylvain Girard / Agence QMI
Fraudes de 100 millions $

La GRC démantèle un réseau international de fraudeurs


MONTRÉAL – Les policiers d'une équipe intégrée de la GRC et de la SQ avaient procédé à l'arrestation de 48 personnes, en fin d'après-midi mercredi, dans le cadre d'une importante opération visant à démanteler un réseau de fraudeurs qui fabriquaient des cartes clonées, à Montréal et sur la couronne nord. Au total, 61 personnes font l'objet d'un mandat d'arrestation. Les principales têtes dirigeantes des organisations impliquées dans ce réseau ont été identifiées, a précisé la GRC, mercredi matin, en point de presse. Ces arrestations pourraient mener au dépôt de 368 chefs d'accusation. Situation peu commune, des accusations de gangstérisme seront portées en lien avec une affaire de fraude.

«Cette opération vise le démantèlement d'un réseau de fraudeurs par cartes de paiement à l'échelle internationale», a expliqué le sergent Christian Lamarre de la GRC. Les fraudes potentielles sont évaluées à près de 100 millions $.
«Il y a eu des fraudes à des échelles moins importantes, mais cette fois-ci, avec un montant de 100 millions $, c'est considérable», a-t-il ajouté.
D'autres arrestations sont à prévoir d'ici la fin de la journée. «Nous avions 250 policiers au total, mais au fil de la journée leur nombre est inconnu. Cependant, l'opération est toujours en cours et il y a encore des équipes sur le terrain», a indiqué à l'Agence QMI le sergent Lamarre, en entrevue téléphonique en milieu d'après-midi.
Cette enquête, baptisée Chapitre, a été amorcée en septembre 2008 par l'Équipe intégrée de lutte contre la contrefaçon (EILC), une équipe conjointe de la GRC et de la SQ, à laquelle se sont joints des agents d'autres corps de police municipaux. Elle a été instituée à la suite des plaintes de plusieurs institutions financières aux prises avec une augmentation des cas de fraude.
Des techniques de fraude connues
Pour en arriver à la fabrication de cartes clonées, les fraudeurs subtilisaient d'abord un terminal de point de vente dans un commerce, juste avant la fermeture, en le remplaçant par un faux. Après avoir inséré une puce informatique ou un dispositif de clonage dans le terminal volé, ils revenaient au commerce le lendemain et réinstallaient le terminal.
Ne restait plus qu'à télécharger les données des cartes de paiement des clients à l'aide d'un système Bluetooth, à fabriquer de fausses cartes comportant les données véridiques des clients et à vider leurs comptes bancaires.
Depuis le début de l'enquête en 2008, les policiers ont effectué plus de 80 perquisitions qui ont permis de mettre la main notamment sur plus de 12 000 fausses cartes bancaires, près de 200 terminaux (TPV), de fausses devantures de guichet, 90 ordinateurs, 13 véhicules et 120 000 $ en argent américain et canadien.
Vigilance
Les policiers recommandent aux commerçants de vérifier régulièrement l'état de leurs terminaux et s'assurer qu'ils ne peuvent être retirés. La vigilance est de mise pour les clients lors de transactions.
Longue enquête
L'opération de mercredi matin est l'aboutissement d'une longue enquête au cours de laquelle une série de perquisitions avaient été effectuées par la même équipe intégrée, notamment le 17 novembre 2010.
«Ce jour-là, l'équipe de la GRC et de la SQ, ainsi que des policiers d'autres corps de police municipaux avaient effectué 34 perquisitions, notamment à Montréal, Québec et même Vancouver. L'opération concernait des individus qui volaient des terminaux de points de vente pour reproduire des cartes de débit», a poursuivi le sergent Lamarre.
Il s'agit de la deuxième fois en deux semaines qu'une opération visant un réseau de fraudeurs par cartes de débit se déroule au Québec.


REF.:

Psychologie cannine : Trouvez les 2 erreurs et gagner un chiot vacciné

Les 2 erreurs sont:
On s'est mis à courir
et
s'il avait la rage 

Voici l'histoire d'Horreur:

Mont-Saint-Grégoire - Un chien attaque cinq personnes
Le propriétaire du chien abattu, Guy Giroux, reconnaît qu’il avait un chien de trop et que la Ville l’avait avisé qu’il ne respectait pas son règlement.  
© Francis Dugas / Agence QMI

MONT-SAINT-GRÉGOIRE - Un chien en liberté a causé tout un émoi sur le Rang Double à Mont-Saint-Grégoire. En moins d'une heure, l'animal s'est attaqué à deux cyclistes, à un adolescent de 14 ans et à deux policiers, qui l'ont finalement abattu.
Déreck Roy, 14 ans, faisait du jogging avec un ami sur le Rang Double à Mont-Saint-Grégoire, vers 18h45, le 2 mai, quand un bouledogue a surgi. «On s'est mis à courir, j'ai réussi à l'éviter une fois, mais il m'a finalement mordu au coude gauche», a raconté l'adolescent.
Selon lui, le chien est resté accroché à son bras une bonne trentaine de secondes. «Il mordait si fort que je le maintenais au-dessus du sol, a-t-il dit. Il m'a finalement lâché et c'est là que ça a commencé à faire très mal.»
Manon Brodeur, qui était avec son mari, a été témoin de la scène. «Nous avons fait entrer les jeunes chez nous. Le bras de Déreck saignait abondamment», a-t-elle dit, en soulignant qu'elle a immédiatement appelé la Sûreté du Québec et la mère de la victime.
Moins d'une demi-heure plus tard, un cycliste de 18 ans a été attaqué par le même chien, mais s'en est tiré seulement avec un jean déchiré.
Quelques minutes plus tard, le mari de Mme Brodeur a escorté une cycliste d'une cinquantaine d'années qui passait par là, pelle à la main. «Le chien a tout de même chargé la dame. Elle n'a pas été blessée, mais elle a eu toute une frousse», a raconté Mme Brodeur.
À leur arrivée, les policiers ont tenté de maîtriser l'animal, en vain. Ils ont dû l'abattre.
La mère du jeune Déreck Roy est furieuse. «Je compte porter plainte contre le propriétaire du chien et la Ville de Mont-Saint-Grégoire», a dit Maryse Champagne. Elle croit qu'il devrait y avoir plus d'inspecteurs municipaux pour faire la surveillance des chiens en liberté.
Rage?
Bien que la blessure de Déreck Roy n'ait pas nécessité de points de suture, sa mère attend avec impatience les résultats de l'autopsie réalisée sur le chien, pour déterminer s'il avait la rage.
«Si c'est le cas, les médecins devront peut-être ouvrir son bras pour éliminer la bactérie», a dit Mme Champagne, qui s'inquiète des séquelles possibles sur le bras de son fils, qui joue au football.
Les policiers ont remis au propriétaire du chien deux amendes de 150$.


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