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lundi 31 octobre 2011

Cartes cloné: Dans les Stations SHELL a Montréal,

La Banque CIBC a inactivé plusieurs milliers de cartes clôné qui serait relier a un réseau impliquant ce Garage SHELL du 1125 de l'Église a Montréal et a bien d'autres adresses.......,alors allez pas la,..............allez chez Ultra.................a côté !

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Cartes clônées : Les endroits potentiellement indésirables

Cartes débit clônées a Montréal,...................surtout dans les garages et dépanneurs.
On veut des noms des adresses a éviter !

Et des garages ,y en n'a plusieurs,comme le SHELL station service du 1125 église a Montréal,tout le monde se la fait clônée un jour ou l'autre !

La Banque CIBC a inactivé plusieurs milliers de cartes clôné qui serait relier a un réseau impliquant ce Garage SHELL de Montréal,alors allez pas la,..............allez chez Ultra.................a côté !

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Quelque 5000 cartes de débit clonées a Alma

Alma - Quelque 5000 cartes de débit potentiellement clonées
 

MONTRÉAL – Environ 5000 cartes de débit ont pu être clonées dans un commerce d'Alma avant que sonne la fin de la récréation et que les institutions financières annulent les cartes de leurs clients y ayant effectué des achats. André Chapleau, directeur des communications pour le Mouvement Desjardins, a confirmé la nouvelle à l’Agence QMI.
«Sur les 5000 cartes, nous en avons 2000, a-t-il indiqué au téléphone. Ce sont des cartes que nous désactivons par mesure préventive. Toutes n'ont pas nécessairement été clonées.»
Les banques et caisses ont l'habitude de réagir de la sorte grâce à un réseau d'information.
«Dans le milieu bancaire, précise M. Chapleau, dès que l'on détecte un terminal sur lequel il y a pu y avoir des transactions illicites ou du clonage, nous obtenons un relevé de toutes les cartes qui y sont passées et les désactivons. Nous évitons donc les coûts et désagréments.»
On refuse toutefois de dévoiler le nom du commerce touché. «Parfois ce n'est pas le propriétaire du commerce qui est fautif, mais un employé corrompu, explique André Chapleau. (Dans ce cas-ci), le commerce n'est pas affilié à nous et n'a pas d'équipements du Mouvement Desjardins.»
Ce qui peut surprendre les clients, c'est qu'une carte à puce ne les immunise pas contre la fraude. Du moins, pas encore.
«La carte à puce a une bande magnétique parce que tous les équipements ne sont pas encore adaptés à la puce, poursuit le directeur des communications. Seulement nous, Desjardins, comptons 40 000 appareils dans différents commerces. Imaginez quand ont réuni toutes les banques. Tant que les systèmes vont coexister comme ça, il y aura un danger potentiel.»
En 2006, les pertes découlant de la fraude par cartes de débit ont atteint 95 millions $, selon Travaux publics et Services gouvernementaux du Canada.

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dimanche 30 octobre 2011

Policier mit K.O. par un gamin de 15 ans

Faits divers - Le policier tabassé à La Prairie toujours sur le carreau
L’agent Patrick Boucher de la Régie de police Roussillon. 
© Archives QMI

LA PRAIRIE - Le policier agressé par un élève de l’école de la Magdeleine à La Prairie, le 27 septembre, n’a pas encore repris du service. L’agent Patrick Boucher de la Régie de police Roussillon avait reçu des coups en voulant maitriser un élève de 15 ans désireux de régler ses comptes avec un confrère de classe. Il a subi une commotion cérébrale et une entorse cervicale.
Il est toujours en arrêt de travail et n’a pas encore donné sa version des faits à ses collègues enquêteurs relativement à cette histoire controversée.
Des collègues le remplacent pour effectuer ce travail qui consiste principalement à remplir des rapports relativement à des vols et des accrochages physiques qui surviennent entre les élèves.
« Des policiers en patrouille visitent aussi l’école de façon sporadique pendant les pauses et l’heure du dîner », a expliqué le porte-parole de la Régie de police Roussillon, René Fleury.
Le policier Patrick Boucher, un ancien travailleur de rue, est apprécié par les anciens et présents élèves de cette école qui ont été nombreux à commenter l’agression dont il a été victime.

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Selon Charest: Les «taupes» du P.Q. sont 'rouge" !

Crise au PQ : - Les «taupes» sèment la zizanie
Le député de Blainville, Daniel Ratthé. 
© Assemblée nationale

QUÉBEC - Des péquistes tentent de saborder le parti de l'intérieur, mais ces «taupes» ne perdent rien pour attendre, prévient le député Daniel Ratthé.

EN VIDÉO:
Les porte-panier dénoncés Une autre voix pour le départ de Marois
Pauline Marois s'accroche
Le député de Blainville est au nombre des députés qui ont contesté le leadership de Pauline Marois en caucus mercredi. Qu'à cela ne tienne, il est choqué que les discussions à l'interne soient sans cesse étalées sur la place publique,et sont les contes-actions du parti Libéral,face a la controverse du dossier de la collusion du monde de la construction.


«Je suis insulté, c'est un manque de respect, je n'ai aucun respect pour eux et le jour où je vais apprendre c'est qui, je vais les dénoncer», a-t-il pesté jeudi, après avoir constaté que ses interventions au caucus avaient été rapportées aux médias.
Le député Ratthé promet d'être discret à l'avenir en caucus: «Mes discussions vont être très, très limitées parce que je n'ai plus confiance».
Des gens à l'interne (les taupes rouges)tentent de saborder le Parti québécois, croit-il fermement. «Il y a quelqu'un ou des personnes actuellement qui ont intérêt à ce que les crises se multiplient parce que si les discussions du caucus restaient au caucus, on n’alimenterait pas les crises et on pourrait avoir des discussions franches et animées et on règlerait les problèmes entre nous!» s'est-il indigné.
Pour son collègue de Bourget, Maka Kotto, ce sont les mutins qui méritent d'être dénoncés,ont veut des noms. «93,8% lors d'un vote de confiance, ça a une signification. Ceux qui ne comprennent pas ça ont un problème psychiatrique», a-t-il signalé, avant de s'engouffrer dans le caucus qui précède les périodes de questions.
Depuis le printemps dernier, les crises qui se succèdent au PQ ont été alimentées par des fuites dans les médias.
La débandade a commencé début juin par la publication d'un courriel envoyé par la députée Lisette Lapointe à ses collègues, qui jugeait «pathétique» que Pauline Marois force ses troupes à appuyer le projet de loi privé sur le futur amphithéâtre de Québec. Quelques jours plus tard, le caucus péquiste encaissait la démission de quatre députés - Lisette Lapointe, Pierre Curzi, Louise Beaudoin et Jean-Martin Aussant.
À la mi-juin, des enregistrements d'échanges privés entre Pauline Marois et les lieutenants péquistes de tout le Québec, où certaines critiques étaient cinglantes, avaient été rendus publics.
Marois rencontre les dissidents
Outre M, Ratthé, d'autres députés ont pris la parole pour critiquer vertement le leadership de leur chef. C'est le cas notamment du député de Masson, Guillaume Tremblay, et du député de Berthier, André Villeneuve ainsi que Guy Leclair, de Beauharnois.
Mercredi soir, au terme de plusieurs heures de discussions musclées, Pauline Marois a réussi tant bien que mal à contenir une mutinerie de certains de ses députés. Elle a affirmé haut et fort qu'elle serait aux commandes du parti lors des prochaines élections et que ceux qui l'avaient contesté ne quittaient pas.
Jeudi, elle a rencontré les députés récalcitrants. «On est toujours en discussion, je n'ai pas désavoué ma chef publiquement et je ne le ferai pas ce matin (jeudi)», a soutenu Daniel Ratthé.
Mme Marois s'est également entretenue avec le député Bernard Drainville, que plusieurs soupçonnent d'avoir un oeil sur la chefferie du parti. Le député de Marie-Victorin n'a pas participé aux dernières heures cruciales de caucus de son parti à cause d'un déplacement.
«Nous avons eu une discussion très franche, très humaine et je pense qu'on s'est bien compris. On a discuté des difficultés actuelles, on s'entend que ce n'est vraiment pas facile, mais mois je l'ai assuré de mon engagement et je lui ai dit que j'allais tout faire pour contribuer à recoller les pots cassés», a relaté M. Drainville.

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Économie mondiale Les coopératives offrent une «réponse tangible» à la crise

Économie mondiale - Les coopératives offrent une «réponse tangible» à la crise
La PDG du Mouvement Desjardins, Monique Leroux. 
© Agence QMI

MONTREAL - Face aux convulsions du capitalisme financier, les coopératives offrent une «réponse tangible» pour relancer l'économie mondiale, estime dans un entretien à l'AFP Monique Leroux, PDG du Mouvement Desjardins, plus grande coopérative financière du Canada. Le hasard fait bien les choses. Il y a trois ans, l'Assemblée générale des Nations unies proclamait 2012 «année internationale des coopératives», et c'est lundi que l'ONU doit inaugurer le début de cette année des coopératives ... à New York, où des manifestants «occupent» Wall Street pour dénoncer les excès du monde de la finance et les inégalités croissantes.
Les coopératives sont des entités ayant pour but de servir les intérêts économiques de leurs participants. L'Europe connaît surtout des coopératives agricoles, mais il y a aussi des coopératives financières qui assurent par exemple le micro-crédit ou deviennent des caisses d'épargne, à l'instar de Desjardins, qui comptent 5,8 millions d'adhérents principalement au Québec.
Ces adhérents contractent des prêts, des hypothèques, font leur opérations financières quotidiennes dans les caisses et touchent à la fin de l'année une part des profits de l'institution.
Avec la crise actuelle du capitalisme financier, «la conjoncture est favorable» au mode coopératif, lance la PDG du mouvement des caisses Desjardins, premier groupe financier coopératif au Canada, sixième dans le monde, fort d'actifs avoisinant 172 milliards de dollars. En 2012, il sera l'hôte du premier Sommet mondial sur les coopératives.
«Quand on regarde ce qui ce passe actuellement, on sent une forme de déconnexion entre les grands enjeux financiers» et «une grande partie de la population», dit-elle. «Cela nous semble parfois aussi bien loin des réalités de l'économie réelle».

800 millions de membres
Selon l'ONU, les coopératives financières, agricoles, sanitaires, etc., comptent plus de 800 millions de membres et emploient plus de 100 millions de personnes dans le monde. À elles seules, les 300 plus grandes coopératives totalisent des revenus annuels de 1 100 milliards, «l'équivalent du PIB du Canada ou de l'Espagne», souligne la femme d'affaires de 57 ans. Les coopératives offrent-elles une alternative aux grandes entreprises? «Le modèle coopératif c'est vraiment une réponse tangible aux enjeux à la fois économique et démocratique de nos sociétés», soutient-elle.
Les conseils d'administration des coopératives sont constitués de membres plutôt que de gestionnaires tributaires des actionnaires. Dans les coopératives, «on n'a pas un petit groupe de gens qui se connaissent entre eux, mais une représentation assez large des membres, des perspectives diversifiées».

Résilience
Et dans les périodes de tumultes, ces organisations ont montré «leur résilience» car elles prennent des décisions à plus long terme orientées en théorie vers l'intérêt des membres, renchérit-elle. «Prendre des décisions à court terme, trimestrielles, pour faire monter le prix de l'action, ce n'est pas du tout une motivation autour de la table des conseils d'administration (des coopératives, ndlr), ni même dans les équipes de direction», résume l'une des femmes les plus influentes du Canada.
Des critiques jugent que les coopératives calquent les comportements des grandes entreprises lorsqu'elles veulent les concurrencer, d'où le défi de trouver ce difficile équilibre entre le capital financier et humain, les revenus et les hommes, en développant les coopératives.
Le «milieu des grandes entreprises est généralement plus organisé que le milieu coopératif», d'où l'intérêt de réunir petites, moyennes et grandes coopératives pour un premier Sommet mondial à Québec, à l'octobre 2012, afin de structurer ces organisations et assurer leur pérennité dans l'économie mondiale.

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