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jeudi 10 février 2022

Équitabilité et Gestionnaire ne vont pas ensemble ?

 

 

Équitabilité et Gestionnaire ne vont pas ensemble ?

 

Pourquoi ?

S'il n'y a pas d'équité dans les négociations, les directives, personnes ne va arriver à un résultat!

Et surtout si, il y a division à l'intérieur du groupe, vous êtes foutu !

Dans le cas où un clan devient dominateur, la loi de la meute, comme chez les loups, formera des solitaires dangereux, pas seulement pour la meute, mais pour l'ensemble de l'écosystème. Et dans l'éventualité où le ratio gestionnaire/employé est trop élevé, ce sera le chaos.

C'est pareil avec tout le monde des mammifères.

 



REF.: Vu sur le web

Poème de la Cabane:

 

 
Poème de la Cabane:


Dans ta cabane, .....va-t'en dans ta grotte
au tréfonds du gouffre, dans les entrailles de l'enfer

l’enfer n’est pas le fait d’être séparé de Jésus,
Mais la douleur de résister à notre salut en Jésus
Alors que nous ne sommes pas capables de lui échapper,
Il est là Lui qui est l’Amour Véritable.

Il n'y a pas d'enfer, pas de lieux
mais juste assez de place pour l'amour de dieu


Par le pardon, qui est la première étape vers l'amour de soi et des autres, a l'aide de la sagesse.

Par:T30

jeudi 3 février 2022

Les 7 choses à ne pas dire à vos enfants d’après les psychologues

 

 

Les 7 choses à ne pas dire à vos enfants d’après les psychologues



Dans les premières années de leurs vies les enfants sont entièrement dépendants de leurs parents.

Ces derniers doivent tout leur apprendre, leur apprendre à manger, parler, marcher, lire et compter et doivent en même temps leur apporter amour et protection. Au niveau du développement affectif et psychologique les parents ont un rôle déterminant et les actes ou les paroles que l’on prononce peuvent marquer en bien ou en mal ses enfants pour le restant de leurs vies.

Concernant l’avenir et la stabilité émotionnelle et psychologique beaucoup de choses se décident dans l’enfance. Pour le bien-être des enfants il y a des expressions à ne jamais dire, d’ailleurs voici les 7 choses à ne pas dire à vos enfants d’après les psychologues.


1- Tu es une mauvais(e) garçon/fille

 


Laisser votre enfant penser qu’il est un mauvais enfant et pas digne de vous, voire une personne très toxique.

Même s’il a commis des erreurs, votre enfant a le droit à l’erreur à condition qu’il essaie de faire mieux la prochaine fois. Il faut pardonner nos propres erreurs mais aussi les erreurs des autres.

2- Tu m’as vraiment déçu

 


Faites attention à ce que votre enfant pense, surtout s’il pense qu’il est une honte pour vous et qu’il ne fait pas assez bien pour vous.

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En effet sur le long terme cela peut le marquer à vie et lui faire penser que vous ne l’estimez pas ou que vous ne l’avez jamais aimé.

Alors, essayez de les comprendre les choses calmement sans les affecter psychologiquement.

3- SILENCE! Arrêtez de pleurer

 


Si vous punissez ou grondez votre enfant et que celui-ci se mette à pleurer, vous devez le laisser témoigner sa tristesse et sa colère et ne pas l’empêcher d’exprimer ses sentiments.

Au cas où vous lui intimiez l’ordre de cesser ses larmoiements, celui-ci va penser que dans la vie il faut refréner ses émotions pour ne pas apparaître stupide.

Dans cette situation le mieux était d’attendre qu’il cesse de pleurer de lui-même et lui expliquer que son comportement n’est pas bon.

Dans la plupart des cas, attendre que le calme soit revenu est la meilleure solution.

4- Tu es un grand maintenant, tu ne dois plus avoir peur

 


La peur est un sentiment naturel, une part de notre instinct et nous sert à nous protéger des dangers extérieurs.

En culpabilisant votre enfant par rapport à sa propre peur vous ne faites que plus de dégâts. Vous rajoutez un sentiment de honte à la peur elle-même.

Préférez opter pour une explication rationnelle pour lui prouver qu’il n’a aucune raison d’avoir peur.

Ne gérez pas ses émotions à sa place.

5-  Tout ce que je fais c’est pour toi

Tout donner pour ses enfants est une chose normale lorsqu’on a choisi d’avoir des enfants, mais vous ne devriez jamais le dire.

Car vos enfants ne vous doivent rien et n’ont aucune dette envers vous. Il n’y a pas de réciprocité ni de relation donnant-donnant, vos enfants sont sous votre responsabilité.

En revanche vous pouvez les faire participer à certaines activités ou leur confier certaines tâches (tondre la pelouse, sortir les poubelles) pour le responsabiliser et lui apprendre l’autonomie.

6- Tu n’es pas assez bien

 


En effet on ne peut pas choisir un enfant sur catalogue et une fois qu’on l’a, on ne peut pas retourner au SAV pour en changer, on doit faire avec.

Avoir de trop grandes attentes de la part d’un enfant peut laisser des traces indélébiles sur votre enfant.

Faites-lui comprendre au contraire que vous l’acceptez comme il est. Votre rôle consiste simplement à l’aider à faire mieux et à apprendre de nouvelles choses.

Attention à ne pas ruiner sa confiance en lui. Car l’estime de soi détruite met beaucoup de temps pour revenir.

7- Tu n’es pas beau, tu es trop gros

 

Peu importe l’apparence de vos enfants, ils sont la chair de votre chair et vous ressemblent quoi qu’on en dise.

S’ils ne sont pas aussi beaux que les enfants des publicités à la télé et qu’ils ont pris un peu d’embonpoint, pas la peine de leur faire remarquer et encore moins de vous moquez d’eux.

En effet à cet âge dans la cour de récréation les autres enfants sont cruels et peuvent se moquer de votre enfant. S’il rentre à la maison et subit à nouveau des moqueries il risque de se sentir extrêmement mal et devrait plutôt voir son domicile comme un lieu lui apporte le calme, la sécurité et le soulagement.

Au lieu de vous moquer faites en sorte qu’il se nourrisse correctement et la perte de poids surviendra très vite. Faites-lui pratiquer une activité physique.

 

REF.:   https://mamanly.com/les-7-choses-a-ne-pas-dire-a-vos-enfants-dapres-les-psychologues/?fbclid=IwAR31QVBowo9y4-_4BFvTADTrB4XbNQbfTp73XVjhDssRD8plF4b9FJR2StI

dimanche 30 janvier 2022

Hausse d’appels pour survolter les batteries: Les vrais raisons !!!

 

 

Hausse d’appels pour survolter les batteries: Les vrais raisons !!!

Le confinement garde CAA-Québec occupé

Le confinement et les déplacements limités ont ironiquement causé des maux de tête à de nombreux automobilistes qui n’ont pas réussi à démarrer leur véhicule, à cause de leur batterie d’auto tombée à plat.

« Comme les gens utilisent très peu leur véhicule, la batterie se draine et perd sa charge petit à petit, ça s’applique même aux batteries neuves »explique le porte-parole de CAA-Québec, Pierre-Olivier Fortin.

Autrement dis: (trop d options électriques comme le démarreur a distance: mais moué ça a OFF en hiver,sur ton bazou vieux de 10 ans)

Depuis le début de la crise de la COVID-19, le Québec s’est peu à peu retrouvé confiné. Les rues sont désertées et les chroniqueurs à la circulation font état jour après jour de l’absence de congestion sur les grands axes routiers du Québec.

5000 appels

Or, paradoxalement, le nombre d’appels d’assistance routière à CAA-Québec n’a fait qu’augmenter. Lors des 12 premiers jours d’avril, l’organisme a reçu pas moins de 5000 appels pour des problèmes liés aux batteries, soit 19 % de plus qu’à pareille date l’an passé. 

« Le service de remplacement sur place des batteries a quant à lui connu une hausse de 171 % », ajoute M. Fortin.

Freins aussi

Si les problèmes de batterie d’auto sont légion malgré les règles de confinement, les freins des véhicules routiers pourraient également être mis à mal pour ceux qui n’utilisent plus beaucoup leur auto. 

Car après trois ou quatre jours sans rouler, de la rouille peut apparaître sur la surface des disques. Avec le temps, le problème peut s’aggraver et causer des problèmes au système de freinage.

C’est pour cela que CAA-Québec recommande de « rouler un peu » lorsque l’on va faire son épicerie ou pour d’autres besoins essentiels, afin de permettre à sa voiture de recharger sa batterie et d’entretenir les freins.

« L’idée, ce n’est pas de sortir pour rien, mais tant qu’à le faire, autant que ça vaille la peine et de rouler un petit 15 ou 20 minutes », conclut M. Fortin. 

Sinon une batterie a plat que tu survolte toi-même,avec un survolteur au lithium a 90$ (moins cher qu'un towing),tu devra rouler 30 minutes maximum pour être en paix !!!

 (Ça prend 300mA pour démarrer ,alors pour un survolteur au lithium a 1500 mA a 90$ c,est assez pour un truck ,image! alors pour 3000 mAmpère c'est trop cher a 350$ cibole !)

Hausse de survoltage,....C'est faux,car pour plusieurs automobilistes qui ont fait leur entretient d'hiver a leurs garagistes, il en est autrement!

Plusieurs véhicules avec des batteries neuves ou batteries testées, n'ont pas démarrés !

Pourquoi?

C'est que maintenant les garagistes ne teste pas les alternateurs et vous disent même que pas besoin ! Pour simplement faire de l'argent et vous rendre en un client fidèle ! 

Même problème avec les pneus changés sans changer la valve (qui coûte 2.00$) et qui va vous occasionner un pneu mou rapidement durant votre saison froide !

 

 REF.: T30 et https://www.journaldemontreal.com/2020/04/17/hausse-dappels-pour-survolter-les-batteries

lundi 17 janvier 2022

Les humains ingèrent des microplastiques et c’est nocif

 

 
Les humains ingèrent des microplastiques et c’est nocif
Nous ingérons des microplastiques et c’est nocif


REF.:  AFP

Par:
Élizabeth Ménard


10 décembre 2021 16H18 Mise à jour 10 décembre 2021 16H18
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    Une étude démontre que les niveaux de microplastiques auxquels nous sommes exposés sont nocifs.

    Des études précédentes avaient déjà révélé que nous sommes exposés à des niveaux élevés de microplastiques par la contamination de l'eau et de la nourriture que nous consommons.

    Nous ne savons pas encore ce qu'il advient des microplastiques une fois entrés dans le corps humain.

Consommer des niveaux élevés de microplastiques est potentiellement nocif pour le corps humain avec des effets allant de la réaction allergique à la mort cellulaire, conclut une première étude dans le monde sur le sujet.

• À lire aussi: Nos vêtements rejettent des tonnes de microplastiques dans les cours d'eau

• À lire aussi: Fini les sacs de plastique chez Walmart

L’étude, menée par des chercheurs de l’Université de Hull et la Hull York Medical School en Angleterre, compare les concentrations de microplastiques auxquelles les humains sont exposés en ingérant de l’eau et de la nourriture contaminés et celles qui affectent la viabilité cellulaire.

«Notre recherche montre que nous ingérons des microplastiques à des niveaux qui sont cohérents avec des effets nocifs sur les cellules, qui sont dans plusieurs cas l’événement déclencheur d’effets sur la santé», explique le chercheur principal de l’étude, Evangelo Danopoulos.  

Des études précédentes avaient démontré que les humains sont exposés à des niveaux élevés de microplastiques de par leur consommation d’eau, de fruits de mer et de sel de table.

Un reportage du Bureau d’enquête de Québécor, paru le mois dernier, révélait d’ailleurs l’omniprésence des microplastiques, notamment dans les cours d’eau du Québec.

«Tout ce microplastique est cumulé dans la chaîne alimentaire», nous avait expliqué la chargée de projet en réduction des matières résiduelles du Groupe de recommandations et d'actions pour un meilleur environnement (GRAME), Luisa Novara.

«C’est dur à dire quels sont les impacts parce que les études sont en cours. Mais on a toutes les raisons de croire que ça a un impact sur notre santé», avait-elle mentionné.

L’étude parue mercredi vient donc confirmer ce que plusieurs croyaient: les niveaux de microplastiques auxquels les humains sont exposés sont nocifs.

«Nous voyons des réactions incluant la mort cellulaire et des réactions allergiques comme effets potentiels de l’ingestion ou l’inhalation de hauts niveaux de microplastiques», détaille Evangelo Danopoulos.

Il reste maintenant à déterminer ce qu'il advient des microplastiques après leur entrée dans le corps, souligne le chercheur. 


REF.:  https://www.24heures.ca/2021/12/10/les-humains-ingerent-des-microplastiques-et-cest-nocif

5 types de crises de colère que votre enfant peut avoir

 

 5 types de crises de colère que votre enfant peut avoir

Les crises de colère sont souvent la manière dont les enfants doivent montrer leurs émotions et leurs sentiments. C'est parce qu'ils ne sont pas encore capables de gérer leurs actions et leurs réactions.
5 types de crises de colère que votre enfant peut avoir

Selon les experts en la matière, les crises de colère sont définies comme les explosions ou détonations émotionnelles de la colère chez les enfants de 1 à 5 ans. Elles se présentent par une colère et des pleurs soudains et incontrôlés, le plus souvent sans raisons apparentes. Voulez-vous savoir quels types de crises de colère existe-t-il ? Voici les cinq plus courantes.
Types de crises de colère chez les enfants

Lorsque les enfants pleurent, donnent des coups de pied et hurlent avec force, se jetant au sol, ils ne s’occupent généralement pas des raisons. La plupart des parents ont peur de ces crises, il est donc important de connaître et de différencier les types de crises, leur origine et la manière dont nous devrions réagir dans chaque cas.
1. Crises pour attirer l’attention ou demander quelque chose

Cette crise est la plus utilisée chez les enfants pour tenter d’exercer un contrôle parental et de les dominer. Habituellement, ils le font pour demander plus d’attention, soit parce qu’ils se sentent jaloux pour l’un de leurs frères et sœurs, soit simplement pour leur donner plus de temps.

Les experts disent que cette crise est parfois due au fait que l’enfant se sent isolé. La meilleure attitude à prendre est de le laisser se calmer pour observer les raisons qui l’ont amené à réagir ainsi.

Cela peut également être dû au fait que ses besoins n’ont pas été pris en compte ou par une simple manipulation. Si la réponse est la première option, il est important que vous y prêtiez plus d’attention quand il vous parle, et que si c’est la seconde, vous démontrez que vous ne pouvez pas toujours avoir tout ce que vous voulez.
les crises des enfants

Dans ce type de crises de colère pour attirer l’attention, les enfants pleurent, donnent des coups de pied et se jettent au sol, parfois même arrêtent de respirer pendant quelques secondes. La chose la plus conseillée est de ne pas céder à sa demande, car il réussira ainsi à vous manipuler. Vous devez l’ignorer complètement, à moins que cela ne provoque une détérioration majeure de l’environnement. Laissez-le tranquille un moment, et après qu’il se soit calmé, essayez de dialoguer avec lui et faites-lui voir la raison.

2. Les crises dues à la frustration ou à la fatigue

Ce type de crise est très fréquent. Ce n’est que le signe qu’il est petit et ne contrôle pas ses sentiments et ses émotions, donc il pleure et devient irritable.

Souvent, la frustration est le résultat de ne pas comprendre ou de comprendre certaines instructions qui sont assignées. Si tel est le cas, il est important que vous passiez du temps à expliquer les choses et à parler de ce que vous ressentez. Aussi, il est bon que vous célébrez ses réalisations et ses efforts, ce qui renforcera son estime de soi.

Par contre, l’enfant peut faire une crise de colère simplement parce qu’il est fatigué et qu’il a besoin de dormir. Dans ces cas-là, vous devriez l’emmener à son lit et le laisser se reposer, après un moment, il aura oublié la crise de colère.
3. Crises de refus de faire quelque chose

Tout d’abord, vous devriez analyser si c’est une situation qui provoque une sorte de stress ou d’anxiété, car alors vous ne devriez pas forcer l’enfant à faire certaines choses. Mais si ce n’est pas comme ça, alors vous devriez la minimiser et ne pas céder.

Ce type de crise se produit généralement quand ils refusent de se coucher, d’aller à l’école ou d’accomplir une tâche qui leur a été confiée. Tout d’abord, l’important est que vous ne vous laissiez pas manipuler à cause de son apparente tristesse ou de sa colère.

Parfois, il est possible d’éviter différents types de crises en les avertissant à l’avance de ce qu’il faut faire.
4. Crises destructrices

Ce type de crise est très agressive et peut parfois conduire à des épisodes désagréables. Chez eux, les enfants peuvent perdre le contrôle et, en plus de crier, de frapper ou de lancer des objets – souvent – involontairement.

Si cela se produit, la meilleure solution consiste à emmener votre enfant dans un endroit calme et à le laisser seul comme punition pour qu’il puisse réfléchir. Après 10 minutes, essayez d’établir un dialogue avec lui, dans lequel vous expliquez les raisons pour lesquelles vous ne pouvez jamais réagir violemment.

    “Il est important de connaître et de différencier les types de crises de colère, leur origine et la manière dont nous devrions réagir dans chaque cas”

5. Colère auto-destructrice

Il s’agit de crises dans lesquelles les enfants perdent tout contrôle et finissent par blesser d’autres personnes ou même eux-mêmes.

Pour éviter les accidents, vous devez le tenir dans vos bras et lui parler tout en restant calme. Après quelques minutes, vous reviendrez à vos sens ou vous en aurez assez de vous battre avec vous.
crises des enfants sont difficiles

Si votre enfant a habituellement ce type de réaction, il est important que parfois, lorsqu’il n’est pas en colère, on lui parle et lui explique les alternatives. Il doit montrer son désaccord ou sa colère. Tout d’abord, il ne faut pas lui permettre de se frapper, encore moins de frapper les autres.

En tant que parents, il est très important de comprendre le fonctionnement du cerveau de nos enfants, car dans la plupart des cas, ils n’agissent pas de manière intentionnelle et calculatrice. En bref, ils n’ont toujours aucun contrôle sur leurs émotions ou leurs actions, simplement parce que leur cerveau est en développement et qu’ils n’ont pas encore la capacité de gérer leurs actions.

 

REF.:   https://etreparents.com/5-types-de-crises-de-colere-que-votre-enfant-peut-avoir/

Les enfants qui se mettent facilement en colère


Les enfants qui se mettent facilement en colère

Les enfants qui se mettent en colère facilement ont besoin de plus de soins et d'attention.
Les enfants qui se mettent facilement en colère

Les enfants qui se mettent en colère facilement ont besoin d’une attention et de soins particuliers, car cette réaction peut cacher des malaises intérieurs cachés. Nous développerons ce sujet plus en détail dans cet article.
La colère

La colère est une émotion fondamentale de l’être humain qui découle d’une situation de désaccord avec une situation donnée. Les enfants sont gouvernés par leurs émotions et ils vivent toutes leurs manifestations avec une grande intensité. Dans le cas de la colère, ce n’est pas une mauvaise chose qu’ils ressentent cette émotion. Le problème se pose lorsque le comportement qui génère cette colère est nuisible ou se généralise.
Les enfants qui se mettent facilement en colère

Si nous nous arrêtons pour regarder de plus près, nous serons en mesure de trouver dans les moments précédents la cause qui a généré cette réaction. Une réponse inattendue, un besoin insatisfait, une caresse ou une attention non reçue ou offerte à un autre, etc. peuvent être les raisons qui déclenchent une nouvelle réaction de colère chez l’enfant.
jeune fille en colère

Il est très important d’accorder une attention particulière à ces cas, car une telle colère continue n’est ni normale ni saine. Il sera important pour nous d’entamer, seul ou avec l’aide d’un professionnel, un processus d’analyse de notre situation personnelle afin de détecter quels aspects peuvent générer ces réponses de frustration.
Les causes de la colère fréquente d’un enfant

Il y a plusieurs déclencheurs possibles pour ces comportements :

    Une situation stressante actuelle : naissance d’un frère ou d’une sœur, divorce, entrée à l’école, examens, etc.
    Une situation continue (et souvent normalisée) de violence physique ou psychologique. Ces expériences provoquent deux réactions chez les enfants : l’impuissance acquise ou l’attaque. Dans ce dernier cas, les enfants expriment leur colère contre les personnes qui causent les dommages et peuvent généraliser cette réponse à toute autre situation qu’ils perçoivent comme une menace.

    Des situations de mauvais traitements ou de stress subis par la mère pendant la grossesse et les premières années de son éducation. Cette expérience génère chez les enfants une réaction d’ennui émotionnel et une réaction automatique de méfiance et d’attaque devant d’éventuelles situations hostiles.
    Un modèle de réponse familiale basé sur la frustration et la colère. Les enfants apprennent par imitation, adoptent le modèle de réaction de la famille et le généralisent à des situations qui génèrent de l’inconfort.

Il est d’une importance vitale que l’enfant découvre les raisons qui provoquent ses réactions de colère et agisse en conséquence pour modifier la situation.
Comment nous pouvons aider les enfants qui se mettent en colère

Afin d’intervenir dans ces cas, il est recommandé que les différents domaines impliqués dans la vie de l’enfant (famille et école, principalement) mettent en œuvre de manière coordonnée une série de réponses pour accompagner l’enfant dans la résolution satisfaisante de son problème. Les principales recommandations seraient :
fille en colère dans un jardin

    Adopter une attitude respectueuse et calme. Montrez-lui, par l’exemple, une nouvelle réponse alternative. Répondre à une colère avec plus de colère renforce la réaction initiale de l’enfant.
    S’intéresser à lui, à ses émotions et à son interprétation personnelle de la situation. Cela nous permettra de comprendre un peu mieux son comportement et de lui offrir un accompagnement affectif, en de nombreuses occasions, l’une des causes principales de ces comportements.
    Lui offrir et l’encourager à trouver des alternatives de réponse plus saines et plus respectueuses : techniques de relaxation et de respiration, choix d’objets pour évacuer sa colère, histoires qui abordent le sujet, etc.
    Exprimer clairement vos limites : vous pouvez exprimer votre colère sans agresser personne ni détruire quoi que ce soit.

    Encourager la conscience de soi émotionnelle : lorsque l’enfant parvient à réagir sans se fâcher, il est important de renforcer son nouveau comportement et de lui dire d’observer comment il se sent par rapport à ce qu’il ressent quand il se fâche.
    Observer quelles situations génèrent la réponse pour les éviter ou, si elles se produisent, pour proposer les alternatives convenues. Petit à petit, l’enfant intériorisera les nouvelles réponses.
    Encourager l’empathie. Dans les cas où les enfants expriment leur colère par l’agression, il est important de travailler avec eux pour qu’ils puissent comprendre ce que ressent la personne agressée (“Comment penses-tu que X se sent maintenant ?“, “Est-ce que ça te fait plaisir de le voir comme ça ?“)

Conclusion

Intervenir dans le cas d’enfants en colère est une question cruciale. A la fois pour encourager l’adaptation actuelle de l’enfant à son environnement et à la tranquillité de sa famille et de ses enseignants. Mais également pour éviter de graves problèmes d’inadaptation sociale et émotionnelle à long terme.

En agissant de la sorte, ces enfants disposeront de ressources plus saines pour gérer leurs émotions. Et ainsi résoudre de façon satisfaisante tout problème qui pourrait survenir dans leur vie. Face à la frustration, la colère cessera d’être leur réponse automatique et leur santé mentale sera récompensée.
 

 

REF.:  https://etreparents.com/les-enfants-qui-se-mettent-facilement-en-colere/?utm_medium=org&utm_campaign=repost&utm_source=mcfb&utm_content=mc_239914&fbclid=IwAR2UYK9NYp8S1ajezDKJ2-YSdC-wNgVlJJMafTBUhq6wblWpMIXDlLheMZQ