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mardi 29 mai 2012

Carré Rouge: L'agent 728 "La Vache" asperge au poivre de Cayenne


La constable 728 a eut 6 jrs en pénitence pour avoir donné 2 shuts de poivre de cayenne !Stéfanie Trudeau, rendue célèbre bien malgré elle après avoir aspergé de poivre de cayenne des manifestants injurieux à son endroit.Dans une vidéo amateur diffusé au lendemain de la manifestation nocturne du 20 mai dernier à Montréal, on peut voir la policière asperger de poivre de cayenne des manifestants qui cherchaient à la provoquer. La vidéo souligne toutefois que les manifestants n'auraient pas tenté d'attaquer la policière et ne semblaient pas représenter une menace pour elle.


Soir après soir, les policiers de l’escouade antiémeute de la police de Montréal ont beau être traités de « robots » par les manifestants, ils sont des humains qui ont aussi leurs peurs, leurs sentiments et leurs opinions sur le conflit étudiant qui perdure depuis trois mois. Le Journal s’est entretenu avec l’un d’eux et vous résume l’entrevue sous forme de questions-réponses.
Comment pouvez-vous rester de glace devant les manifestants qui vous insultent et lancent des objets ?
« Nous sommes formés pour ça. On se retient en se disant que nos boss nous donneront bientôt le go pour foncer. C’est notre bonbon. Ce qui nous fait le plus c…, c’est quand on reçoit des objets et que nos officiers ne nous donnent pas l’ordre de foncer ».
Hésitez-vous à donner des coups de matraque et avez-vous peur de blesser quelqu’un ?
« Non, nous n’avons aucune hésitation. Par contre, nous sommes formés pour frapper de façon à ne pas blesser. On vise le ventre, le devant des cuisses et les bras par exemple ». « Quand une manifestation est déclarée illégale, les gens n’ont plus d’affaire là. Ils ont beau lever les mains en l’air et faire des signes de peace and love, ils seront ramassés pareil ». « Les gars appellent ça National Geographic parce que quand on fonce, les jeunes partent comme des gazelles ! Les jeunes nous trouvent athlétiques malgré les 65 lbs qu’on a sur le dos ».
À combien évaluez-vous les manifestants qui veulent en venir à un affrontement avec vous ?
« Environ 20 % des manifestants veulent la confrontation. Ce sont des jeunes qui veulent tout virer à l’envers et je trouve cela aberrant ».
Que pensez-vous de la façon dont la direction de la police gère le conflit depuis le début ?
« Ce n’est pas parfait, il y a un peu de frustration sur la ligne, mais il y a davantage de satisfaction. Le directeur Parent vient nous voir presque chaque soir pour nous appuyer et on s’améliore tout le temps ».
Que pensez-vous des actes de brutalité policière que l’on voit constamment en boucle sur Internet et dans les médias ?
« J’aimerais que les journalistes soient plus critiques envers ceux qui se plaignent de brutalité. Nous ne sommes pas parfaits, mais je trouve que les gars travaillent bien et que des écarts de conduite, il n’y en a pas eu beaucoup en trois mois ». «Il y a eu l’affaire de la policière 728. Sur la vidéo, le vidéaste dit qu’elle donne une mauvaise image à notre service et c’est un peu vrai. Je trouve ça plate ». « Par contre, beaucoup se plaignent pour rien. Les 500 arrêtés l’autre soir se plaignaient de ne pouvoir aller pisser lorsqu’ils étaient entassés dans des autobus. On n’était pas pour les amener au Hilton ».
Croyez-vous qu’il aurait fallu que la Ville et le gouvernement soient plus sévères ?
« Oui, il aurait fallu faire des arrestations de masse et donner des amendes salées dès le début. Mais maintenant, ce n’est plus arrêtable. Je ne crois pas aux négociations qui doivent débuter lundi ».
Croyez-vous que le gouvernement doit mettre de l’eau dans son vin ?
« Les deux parties devraient mettre de l’eau dans leur vin, mais le gouvernement ne doit pas reculer avec la hausse des droits de scolarité, sinon je vais être frustré. Et je ne suis pas un libéral, je déteste Jean Charest et je ne voterai jamais pour lui ».
Que pensez-vous de l’origine de ce conflit ?
« La hausse des frais de scolarité est justifiable. Au Québec, on est dans la m... Est-ce qu’on peut avoir l’éducation gratuite en plus du système de santé universel, des garderies à 7 $, etc. Ce sont des enfants-rois qui veulent tout avoir et ne rien payer ».


REF.:

lundi 28 mai 2012

Scandale au Vatican: Le majordome du pape arrêté par la gendarmerie

Scandale au Vatican - Le majordome du pape arrêté par la gendarmerie
Le livre choc, Sua Santita reproduit des dizaines de fax ultra-secrets. 
© Andreas Solaro / AFP

CITE DU VATICAN - Le Vatican a officiellement confirmé samedi l'arrestation, ainsi que l'identité, du majordome du pape Benoît XVI, l'un des auteurs présumés de fuites de documents confidentiels, précisant qu'il est toujours incarcéré. «Je confirme que la personne, arrêtée mercredi pour possession illégale de documents confidentiels retrouvés à son domicile situé sur le territoire du Vatican, est M. Paolo Gabriele, qui reste incarcéré», indique un communiqué du directeur de la salle de presse du Vatican, le père Federico Lombardi.
Dès vendredi, les médias italiens avaient identifié en la personne du majordome du pape l'auteur des fuites qui ont empoisonné ces derniers mois la vie du Vatican et de la hiérarchie catholique.
«L'accusé a nommé deux avocats de son choix (...) et il a eu l'occasion de les rencontrer. Ceux-ci pourront le rencontrer dans les prochaines phases de la procédure», poursuit le communiqué assurant que M. Gabriele bénéficie de «toutes les garanties juridiques prévues par le code pénal et de procédure en vigueur dans l'État de la Cité du Vatican».
«La phase d'instruction se poursuivra tant que la situation au coeur de l'enquête ne sera pas claire, après quoi le juge d'instruction décidera de l'acquittement ou du renvoi en justice», précise père Lombardi.
«Tout le monde le connaît au Vatican, il y a un sentiment de suprise et de douleur ainsi que de grande amitié envers sa famille, qui est aimée. Nous souhaitons que sa famille puisse surmonter cette épreuve», a ajouté plus tard le père Lombardi en s'adressant à des journalistes.
M. Gabriele «aime tellement le pape qu'il ne le trahirait jamais», a affirmé pour sa part, sous couvert de l'anonymat, un prélat auprès duquel le majordome du pape se confessait dans le passé, cité par le quotidien La Stampa.
«Je connais Paolo depuis des années et si les accusations étaient fondées, alors ce ne serait plus possible de croire en qui que ce soit. Je l'ai suivi spirituellement et je peux témoigner que j'ai trouvé en lui une personne aimant l'Église et très dévouée aux papes, d'abord Jean Paul II et maintenant Benoît XVI», a ajouté le religieux.
«Ce qui se passe est incompréhensible pour moi parce que tout le monde au Vatican avait de l'estime pour Paolo, je n'ai jamais entendu dire du mal de lui ou des ragots sur son compte et vous pouvez me croire que c'est plutôt rare car malheureusement dans notre environnement il arrive souvent d'entendre des médisances», a dit l'homme, qualifié de «Monseigneur» par le journal.
La gendarmerie vaticane avait arrêté M. Gabriele mercredi, un mois environ après la création d'une commission d'enquête au Vatican, composée de trois cardinaux et chargée d'élucider l'affaire des fuites qui secouent le petit État depuis le mois de janvier.
Samedi dernier était sorti en Italie un livre choc, Sua Santita (Sa Sainteté), reproduisant des dizaines de fax ultra-secrets dont le pape était le destinataire ou avait eu connaissance et que des «gorges profondes» ont ensuite livrés à l'auteur, le journaliste Gianluigi Nuzzi.
Ces documents illustrent de nombreux débats internes, par exemple sur la situation fiscale de l'Église, les finances des instituts catholiques, les scandales sexuels chez les Légionnaires du Christ ou encore les négociations avec les intégristes.


REF.:

Anonymous: Vos Prêts et Bourses en recouvrement ?


Ça arrivera un jour ou l'autre,car une dette de 30,000.00$ c'est facile avec les intérêts qui va avec !
Et un travailleur en temps partiel avec l'obligation d'accepter un salaire a 70% de son salaire,s'il devient chomeur et retourne sur le marché de l'emploi;c'est pas plus drôle avec le nouveau plan Fédéral de l'assurance emploi qui devrait être appeler L'assurance Chomage avec tous les travailleurs saisonniers que l'on connaît ,des McJob,........................ y en a encore !
Alors mieux vaut faire une faillite!
Faut attendre 10 ans et probablement mettre vos impôts de ces année ,non payés aussi dans votre faillite.
Pour une première faillite c'est 9 mois de paiement,et si vos revenus sont trop bas ,chez un bon Syndic de faillite(faut magasiner)il vous en coutera 100$/mois pour avoir la paie.

Alors mettez cette dâte (10 ans,a partir de la fin des études)dans votre cellulaire et ça va sonner ,car a ct'heure les agenda de portable sont bien fait pour ça !

Vous perdrez vos TPS au Syndic et TVQ(ou Solidarité) pour le ministère de l'Éducation,mais après 7 ans de la date de fin d'étude le Ministère de l'Éducation (comme créancier)n'y aura pas le droit,n'y même vos remboursements impôt Provincial post-faillite.Faut vraiment vérifier ,car le Ministère de l'Éducation est vraiment malhonnête la dessus et vous l'enlèvera quand même,...............alors voyez s'y ! Y disent que c'est l'informatique ;-)

Au ministère de l'Éducation c'est Mme Julie Plourde au numéro de téléophone suivant ,qui s'occupe de ça ;-)

1-866-615-5100 extention 6339 !$!

vous pouvez aussi commander de la pizzza a Mame  Jojohanne Laliberté au service de recouvrement,
au 1-866-615-5100, au poste 6282 (gratiche câliche),ou par coucouiriellle a
johanne.laliberte@mels.gouv.qc.ca !

REF.:,G00gle, La CLASSE,Carré ROUGE,

dimanche 27 mai 2012

Fraude au SPVM: Un ex-enquêteur reconnu coupable

Fraude au SPVM - Un ex-enquêteur reconnu coupable
Mario Lambert a été fortement ébranlé au prononcé de la décision du juge Jean-Pierre Dumais de la Cour du Québec. 
© Joel Lemay / Agence QMI

MONTRÉAL - La déclaration de culpabilité de l'enquêteur Mario Lambert sème la consternation à la police de Montréal et dans le milieu judiciaire. La destitution attend maintenant l'enquêteur qui a été reconnu coupable d'avoir utilisé frauduleusement un ordinateur de la police. « J'en reviens pas, j'en reviens pas », a répété continuellement le policier, en s'épongeant le front, après avoir entendu le juge Jean-Pierre Dumais de la Cour du Québec prononcer le mot coupable.
Dans l'assistance, composée de nombreux parents, amis et collègues venus l'appuyer, c'était la consternation alors que l'on pouvait entendre en sourdine, une proche de l'accusée en pleurs, dans le corridor.
« Fais de l'air », a dit un proche de l'accusé à un enquêteur des Affaires internes affecté au dossier et visiblement partagé dans ses sentiments.
Cette affaire divise assurément les policiers de Montréal.
Mario Lambert avait une réputation irréprochable avant d'être arrêté à l'été 2009. Une membre immédiate de sa famille est d'ailleurs toujours policière au SPVM.
Enquêteur aux Crimes majeurs, Mario Lambert a témoigné des dizaines de fois dans des causes de meurtre et autres et était très apprécié des procureurs. « C'est vraiment triste », nous a dit l'un d'eux dans les corridors.
C'est d'ailleurs en raison de la sensibilité de l'affaire que c'est un juge de Québec qui l'a présidée.
Mario Lambert était probablement l'un des enquêteurs les plus branchés auprès des sources. Il pouvait pratiquement prévoir qui serait la prochaine victime de meurtre dans la métropole. Cette promiscuité avec ses sources, c'est probablement ce qui constitue le noeud du problème.
Plaques « plantées »
Toute cette affaire a débuté en avril 2009, lorsqu'un collègue de Mario Lambert a appris de l'une de ses sources qu'une personne liée au crime organisé était capable d'obtenir des informations de la Centrale de renseignement policier du Québec (CRPQ) par le biais d'un enquêteur de la police de Montréal. Les enquêteurs des Affaires internes ont alors entrepris une enquête qui leur a permis de cibler Mario Lambert. Par le biais de sources, ils ont amené ce dernier à vérifier des informations sur les plaques d'immatriculation de trois véhicules. En réalité, deux de ces plaques étaient factices et l'autre appartenait à un véhicule hors service de la ville.
Des caméras installées et pointées vers les ordinateurs ont également capté Mario Lambert en pleine consultation du CRPQ (Centre de renseignement des policiers du Québec).
Il a été arrêté et accusé de trois chefs d'utilisation frauduleuse d'un ordinateur de la police.
Il n'a pas nié les faits, mais s'est défendu en disant notamment que les vérifications étaient liées à des enquêtes qu'il menait et qu'une source lui avait indiqué qu'un membre du crime organisé conduisait un véhicule portant l'une des plaques.
Invraisemblable
Le juge Dumais a conclu que l'accusé n'a reçu aucune compensation financière en échange des renseignements. Par contre, il a taillé en pièces la version de l'accusé, la qualifiant d'invraisemblable et l'a déclaré coupable sur tous les chefs.
« L'accusé savait, malgré les mises en garde, qu'il ne devait pas utiliser les informations du CRPQ à des fins personnelles. C'est plutôt le contraire qu'il a fait. C'est en pleine connaissance de cause qu'il a violé les conditions d'utilisation du CRPQ soit en révélant des informations confidentielles à des tiers non autorisés », écrit le juge dans sa décision.
En appel
La Loi de police prévoit qu'un policier est destitué automatiquement aussitôt qu'il est reconnu coupable d'une accusation criminelle. L'avocat de Mario Lambert, Me Richard Perras, a déjà laissé entendre qu'il en appellera du jugement.
Mario Lambert est suspendu sans solde depuis 2009. Sa défense lui aurait déjà coûté plus de 100 000$, nous a-t-on dit.
La peine maximale pour une telle accusation est de 10 ans, mais toutes les personnes consultées s'entendent pour dire qu'il serait surprenant que l'enquêteur soit incarcéré.
« On ne met pas un policier comme ça en prison. Sa sentence, il l'a déjà eue », nous a-t-on confié dans le corridor. Il est blanchi,mais pas sur papier ,autrement dit !


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Assurance-emploi Accepter des emplois «convenables» ?


Assurance-emploi - Accepter des emplois «convenables»
La ministre canadienne des Ressources humaines et du Développement des compétences, Diane Finley. 
Photo Blair Gable / Reuters

OTTAWA – En vertu des nouvelles règles d'assurance-emploi annoncées jeudi par le gouvernement Harper, les chômeurs qui reçoivent à répétition des prestations d'assurance-emploi seront dorénavant contraints d'accepter un emploi même si celui-ci est moins payant que celui qu'ils occupaient précédemment. La ministre canadienne des Ressources humaines et du Développement des compétences, Diane Finley, a ainsi mis fin aux rumeurs et dévoilé les détails de la réforme annoncée par son gouvernement dans le dernier budget fédéral. Les modifications devraient entrer en vigueur à compter de l'an prochain. Le gouvernement évalue que moins de 1 % des chômeurs perdront leurs prestations avec ces nouvelles règles.
Essentiellement, les chômeurs devront à l'avenir faire la preuve qu'ils sont actifs dans leur recherche d'emploi et accepter un travail jugé «convenable» même si celui-ci peut être jusqu'à 30 % moins payant que leur emploi précédent.
Le gouvernement dit ainsi vouloir «jumeler les Canadiens aux emplois disponibles » et, pour ce faire, met de l'avant différentes initiatives. L'une d'elles vise à renforcer les obligations des prestataires en définissant ce qu'est un « emploi convenable».
Six critères ont été établis, dont l'un obligeant un chômeur à accepter un emploi même si celui-ci est situé à une heure de route de son domicile.
Le gouvernement a aussi créé trois catégories de prestataires (voir encadré). On retrouve les «travailleurs de longue date», qui auront plus de temps pour dénicher un emploi avant d'être forcés d'élargir le cercle de leur recherche. Les «prestataires fréquents» devront pour leur part, dès le départ, trouver un emploi que le gouvernement juge «semblable» à celui qu'ils occupaient. Enfin, on retrouve les «prestataires occasionnels» qui, après 18 semaines de prestations, devront accepter un travail pour lequel ils se qualifient.
Dans les trois cas, les prestataires pourraient éventuellement avoir à se trouver un emploi et subir une baisse salariale significative.
«Les prestataires obligés d'accepter un emploi disponible auront toujours des revenus plus élevés que ceux des prestations d'assurance-emploi», a pour sa part fait valoir la ministre Finley. Cette dernière fait référence au fait que les prestations auxquelles les chômeurs ont droit ne représentent de toute façon que 55 % du salaire qu'ils gagnaient avant de perdre leur emploi.
«Recherche raisonnable»
Par ailleurs, le gouvernement veut aussi définir ce qu'est une «démarche de recherche d'emploi raisonnable». Les prestataires devront ainsi faire la preuve qu'ils sont actifs dans leurs démarches, et ce, sur une base quotidienne.
Les changements apportés feront aussi en sorte que les Canadiens seront considérés d'abord par les employeurs avant que ceux-ci ne recourent aux travailleurs étrangers temporaires pour pourvoir des postes vacants.
Les critiques à l'endroit des modifications apportées au régime n'ont pas tardé à fuser. La porte-parole du NPD en matière de finances, Peggy Nash, a accusé le gouvernement conservateur de vouloir «démoniser» les gens qui se retrouvent sans emploi.
Le porte-parole du Conseil national des chômeurs (CNC), Pierre Céré, a affirmé qu'il s'agissait carrément d'une «déclaration de guerre aux travailleurs saisonniers», qui, ajoute-t-il, représentent 34 % des prestataires d'assurance-emploi au Québec.
Le secrétaire général de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ), Daniel Boyer, a, pour sa part, qualifié cette réforme de «recul».
«On est en train de revenir au travail forcé», a-t-il lancé.
M. Boyer indique que les modifications de la définition «d'emploi convenable» toucheront les travailleurs saisonniers, soit dans le domaine de la construction, des pêches ou autre, ainsi que ceux qui occupent des emplois plus précaires.
«On fait supporter aux chômeurs les problèmes structurels d'emploi», a-t-il indiqué.
Trois catégories de prestataires créées

  • Travailleurs de longue date (25 % de tous les prestataires)
    Ils ont cotisé au régime d'assurance-emploi pendant sept ans au cours des dix dernières années et ont touché des prestations régulières ou des prestations pour pêcheurs pendant une période de moins de 35 semaines au cours des cinq dernières années.
    Ils devront, après 18 semaines de prestations, élargir leur recherche d'emploi pour englober des emplois « semblables » à leur emploi habituel et accepter un salaire à partir de 80 % de leur salaire précédent.

  • Prestataires fréquents (17 % de tous les prestataires)
    Ils ont demandé plus de trois fois des prestations régulières ou de pêcheurs et touché des prestations pendant plus de 60 semaines au total depuis cinq ans.
    Ils devront dès le début élargir leur recherche d'emploi pour englober des emplois semblables à leur emploi habituel et accepter un salaire à partir de 80 % de leur salaire précédent.

  • Prestataires occasionnels (58 % de tous les prestataires)
    Cette catégorie englobe tout le reste des prestataires.
    Ils devront après 18 semaines de prestations élargir encore leur recherche d'emploi pour inclure tout le travail pour lequel ils sont qualifiés et accepter un salaire à partir de 70 % de leur salaire précédent, mais au-dessus du salaire minimum.


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  • Avaaz.org Charest: un mouvement mondial réclame sa démission

    Avaaz.org - Charest: un mouvement mondial réclame sa démission
    Jean Charest 
    Photo: Archives Reuters

    Alors que le conflit étudiant continue de faire jaser à l'extérieur du Québec, une pétition réclamant la démission de Jean Charest ainsi que des membres de son gouvernement a été mise en ligne sur une plateforme web citoyenne, jeudi.
    L'objectif du créateur de la pétition, publiée sur le site Avaaz.org, un organisme se décrivant comme «le plus grand mouvement citoyen mondial en ligne pour le changement», est de recueillir plus de 200 000 signatures appuyant la démission du premier ministre du Québec.
    La pétition est en ligne depuis jeudi. Le mouvement en était déjà à plus de 26 000 signatures en soirée vendredi.
    Majoritairement ratifiée par des Québécois, la pétition a en outre recueilli des signatures provenant de la France, la Belgique et l'Allemagne.
    Le mouvement Avaaz rejoint plus de 14 500 000 membres dans le monde, provenant de plus de 190 pays. Avaaz est disponible en 14 langues.
    Lancée en janvier 2007, la plateforme web permet aux citoyens du monde de créer des pétitions en ligne afin de se prononcer sur des enjeux d'actualité.
    Outre les causes politiques comme celle du conflit étudiant, le mouvement s'est penché par exemple sur le sauvetage de l'Amazonie au Brésil en recueillant plus de deux millions de signatures pour empêcher l'adoption d'un article permettant aux exploitants forestiers de tondre la forêt.

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    Hackers: Anonymous lance un message au gouvernement

    Conflit étudiant - Anonymous lance un message au gouvernement
     
    Photo: Agence QMI / Archives

    MONTRÉAL – Le collectif d'activistes informatiques Anonymous a diffusé une nouvelle vidéo, vendredi, sur YouTube, dans laquelle il demande au gouvernement du Québec de faire cesser toutes violences policières envers les manifestants pacifiques. Dans cette vidéo, intitulée « Police et Violence », le collectif indique qu'il « a été particulièrement choqué et horrifié par l'extrême violence de la répression des manifestations pacifiques, organisées par les étudiants québécois ».
    À LIRE ÉGALEMENT:
    32e manif: concert de casseroles La ministre Courchesne optimiste
    Le «Libération» parle des étudiants québécois
    Anonymous exige du gouvernement du Québec de mettre un terme immédiat à la répression, et de ne faire recours en aucun cas aux violences policières à l'encontre des manifestants pacifiques.
    Samedi dernier, le collectif avait également lancé sur YouTube « Opération Québec », une vidéo dans laquelle Anonymous exprimait son désaccord envers la loi 78 en plus d'accuser le gouvernement « d'assassiner le droit de manifester ».
    Récemment, le collectif a fait de nombreuses actions de perturbations, notamment en bloquant certains sites internet du gouvernement du Québec.
    En début d'après-midi lundi, les sites du ministère de la Sécurité publique et de Déontologie policière du gouvernement du Québec ont été les cibles d'Anonymous.


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