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mardi 17 avril 2012

Sans discrétion,..............fait moi rire ;-)

Le budgets discrétionnaires de tous les ministres du gouvernement québécois ??6
Hahahahhaaa!!!!


Banques alimentaires - Québec investit près de 200 000 $
 
© Joël Lemay / Archives Agence QMI
Pension des fonctionnaires ou pension alimentaire,.....c'est élémentaire Watson !



QUÉBEC – La ministre déléguée aux Services sociaux, Dominique Vien, a offert une aide financière de 197 000 $ au réseau Banques alimentaires Québec.
L'aide financière provient des budgets discrétionnaires de tous les ministres du gouvernement québécois et sera distribuée dans l'ensemble des régions de la province.
La ministre Vien rappelle qu'il existe un programme de soutien aux organismes communautaires, mais elle refuse toutefois de dire qu'il s'agit d'un aveu de sous-financement de ces organismes par le gouvernement.
«On a des organisations où les besoins sont très importants et immédiats et c'est le cas des personnes démunies, a-t-elle expliqué. Depuis trois ans, on a pris l'habitude d'aller chercher dans les budgets discrétionnaires des ministres une aide d'appoint. […] C'est l'affaire de toute la communauté de venir en aide à ces organismes-là.»
Aide toujours bienvenue
Banques alimentaires Québec, qui chapeaute les 18 membres Moissons du Québec, accueille avec plaisir cette aide additionnelle, tout en rappelant que les manques sont criants.
Daniel Tremblay précise que pour chaque dollar reçu en dons, les banques alimentaires redistribuent 15 $ en nourriture aux plus pauvres.
«C'est du 1500 %», a-t-il fait remarquer.
Pas moins de 150 000 personnes reçoivent des denrées alimentaires gratuitement tous les mois au Québec.
«Nous, on estime qu'on ne répond qu'à seulement 50 % des besoins. Donc, il y a encore beaucoup d'efforts à faire», a expliqué le président de l'organisme.
Selon une étude faite en 2011, plus de la moitié des organismes d'aide alimentaire ont remarqué une augmentation de leur clientèle au cours de la dernière année.
Entre 2008 et 2011, Banques alimentaires Québec a vu les recours à l'aide augmenter de 22 %.

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Partir à la découverte du «7e continent» Plastique ?

France  - Explorer le «continent de plastique» du Pacifique
 
©Shutterstock

Explorer le «continent de plastique» du Pacifique

CAYENNE - Guidée par des satellites high-tech, une goélette française des années 1930 va prochainement partir à la découverte du «7e continent», gigantesque plaque de déchets plastiques flottant sur l'océan Pacifique et grande comme six fois la France.
«Choqué par les déchets rencontrés dans l'océan» lors de sa participation à une course en solitaire transatlantique à l'aviron en 2009, l'explorateur Patrick Deixonne a décidé de monter cette expédition scientifique pour alerter sur la «catastrophe écologique» en cours dans le nord-est du Pacifique.
Cette plaque de déchets est «située dans des eaux peu concernées par la navigation marchande et le tourisme, le problème n'intéresse que les écologistes et les scientifiques. La communauté internationale ne s'en soucie guère pour l'instant», estime-t-il.
Membre de la Société des explorateurs français (SEF) qui parraine l'aventure et fondateur d'Ocean Scientific Logistic (OSL), basée à Cayenne en Guyane française (Amérique du Sud), M. Deixonne explique à l'AFP vouloir «être les yeux des Français et des Européens sur ce phénomène».
Ex-sapeur pompier au Centre spatial de Kourou et fin connaisseur de la forêt guyanaise, Patrick Deixonne, 47 ans, se définit comme un «explorateur d'une nouvelle génération qui doit documenter les grandes problématiques environnementales, car l'information est la clef du changement».
La mission «7e continent» appareillera le 2 mai de San Diego (Etats-Unis) à bord de L'Elan, une goélette à deux-mâts de 1938, pour un mois de navigation et un périple de 2 500 milles (4 630 km) entre la Californie et Hawaï, où l'explorateur Charles Moore a découvert par hasard en 1997 cette incroyable nappe de débris plastiques.
Jusqu'à présent, hormis un passage de la mission Tara-Océans dans la zone pour y prélever du plancton, seules deux expéditions américaines l'ont étudiée, en 2006 et 2009.
Les déchets s'amalgament au point de rencontre de courants marins qui s'enroulent sous l'effet de la rotation de la Terre, selon le principe de la force de Coriolis, et forment un immense vortex appelé «gyre».
La force centripète aspire lentement les détritus vers le centre de cette spirale qui serait l'une des plus importantes connues sur la planète: 22 200 km de circonférence et environ 3,4 millions de km2, selon le Centre national des études spatiales (Cnes) qui parraine le projet.
«On estime à plusieurs dizaines de millions de tonnes les quantités de déchets dans chacun des cinq gyres du globe», explique Georges Grépin, biologiste conseiller scientifique d'OSL.
Ce sont «essentiellement des microdéchets de plastique décomposé en suspension sur 30 mètres de profondeur. Ce n'est pas un continent sur lequel on peut marcher au sens propre», précise-t-il.
La goélette sera guidée par deux satellites de la NASA, Aqua et Terra, pour se rendre là où la concentration de déchets est la plus forte afin d'en mesurer la densité, avec des prélèvements d'eau, de planctons et de matériaux.
Un capteur réalisé par des élèves ingénieurs sera testé dans une bouée dérivante. Il doit permettre à terme de distinguer dans l'eau les plastiques des planctons et autres particules vivantes, puis de cartographier les zones polluées grâce à l'imagerie satellite, ce qui serait une première mondiale.
Douze bouées dérivantes d'études scientifiques de l'agence américaine National oceanic and atmospheric administration (NOAA), du programme d'étude des océans de l'Unesco et du projet jeunesse Argonautica seront également lâchées durant le parcours pour permettre à des milliers d'étudiants dans le monde de mener une étude des courants marins.
Pour en savoir plus sur l'expédition et la suivre en direct: Cliquez ici.

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lundi 16 avril 2012

Inside Apple, d’Adam Lashinsky: dans les coulisses de la firme la plus secrète du monde

« Inside Apple » : dans les coulisses de la firme la plus secrète du monde

Avec Inside Apple, le journaliste Adam Lashinsky offre une plongée dans les coulisses de l’une des entreprises les plus secrètes du monde sur laquelle il a enquêté pendant plusieurs mois, interviewant d’anciens employés et des personnes toujours en poste.
Spécialisé dans les nouvelles technologies, en charge des affaires de Wall Street et de la Silicon Valley au magazine Fortune, le journaliste analyse dans cet ouvrage documenté et truffé d’anecdotes quelques-uns des secrets les mieux gardés de la firme à la pomme en matière d’innovation, de design, de marketing, de communication, de management, de lobbying. Et tente de percer la recette de son formidable succès.
L’auteur revient sur l’histoire de la compagnie californienne et s’attarde sur la personnalité de Steve Jobs et la façon dont ce dernier a façonné l’entreprise. Il offre également un éclairage sur les pièges qui attendent Apple aujourd’hui que son charismatique fondateur a disparu, remplacé par Tim Cook.
Derrière ses murs, pas ou peu de mobilité dans les postes. Les services sont cloisonnés et ne communiquent que par l’intermédiaire de quelques responsables. Une personne et une seule prend la responsabilité finale d’un projet, quelle que soit sa taille.
Un seul objectif est présent dans l’esprit de tous les employés, qui subissent une pression incroyable : la nécessité de réaliser le produit parfait.
Pas vraiment le paradis pour les collaborateurs d’Apple, mais les résultats sont là… jusqu’à présent.
Adam Lashinsky est également éditorialiste sur la chaîne Fox News et copréside chaque année plusieurs conférences sur les nouvelles technologies.
Inside Apple, d’Adam Lashinsky, traduit de l’anglais par Erwan Jégouzo, aux Editions Dunod. 256 pages


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dimanche 15 avril 2012

Il a attendu quatre mois avant de recevoir un premier chèque d'aide sociale

L'aide sociale est difficile à obtenir
 

L'aide sociale est difficile à obtenir

 
Obtenir l'aide sociale n'est pas si facile.
Par Ève Lévesque | Agence QMI
Plus de 83% des demandeurs d'aide sociale ont du mal à l'obtenir en raison des délais de traitement et de la quantité de documents exigés.
C'est ce qu'indique un sondage publié mercredi par la Coalition pour l'accessibilité aux services des centres locaux d'emploi.
En octobre, M. Walton s'est déchiré le tendon d'Achille en pratiquant un sport, ce qui l'a empêché de travailler. Il s'est aussitôt tourné vers le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale pour obtenir de l'aide sociale.
Le ministère lui a demandé entre autres une lettre de son ancien employeur pour prouver l'état de sa situation. «Comme je n'avais pas de revenu déclaré, mon employeur refusait d'écrire cette lettre parce qu'il ne voulait pas de problème avec la justice,» a-t-il confié.
M. Walton a attendu quatre mois avant de recevoir un premier chèque d'aide sociale, une période extrêmement éprouvante pour cet homme de 40 ans.
Pendant ses démarches, M. Walton n'a jamais pu discuter avec l'agent qui s'occupait de son dossier. Les communications se faisaient par lettre uniquement. «Au bas des lettres, il y avait un numéro de téléphone, mais jamais d'extension pour rejoindre l'agent qui s'occupait de mon dossier», a-t-il expliqué.
Et lorsqu'il est parvenu à parler à quelqu'un, il devait chaque fois argumenter pour prouver qu'il ne percevait plus aucun revenu. « Les agents cherchaient continuellement des raisons de ne pas me donner de prestations d'aide sociale, au lieu de trouver les raisons pour lesquelles ils pouvaient m'aider », a-t-il déploré, affirmant qu'il s'est senti humilié.
En janvier, M. Walton a reçu un premier chèque d'aide sociale après avoir bénéficié du soutien de Projet Genèse, un organisme communautaire défenseur des droits sociaux.
«On implore le gouvernement de rétablir le contact avec les citoyens», a dit Marilyne Alerte, intervenante en droits sociaux chez Projet Genèse. «Les gens sont perdus devant tout le côté administratif. Les gens sont déjà submergés par tous leurs autres problèmes. Ils ne savent pas comment ils vont faire pour manger le lendemain.»


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Corruption zéro ?




Corruption Zéro: Création d'une coalition citoyenne contre la corruption ?

MONTRÉAL, le 20 nov. /CNW Telbec/ - "Notre génération prend aujourd'hui les devants afin que cessent notamment le mode d'attribution de contrats actuel, le financement politique occulte, les systèmes de prête-nom et la collusion qui priorisent les intérêts personnels plutôt que collectifs. Il en va de la qualité de notre démocratie et c'est pour cette raison que nous avons créé Corruption Zéro," affirme Ryan Hillier, fondateur de la coalition Corruption Zéro
Alors que les scandales de corruption entachent la sphère politique québécoise et que le cynisme culmine au sein de notre société, des jeunes membres de multiples formations politiques s'allient sous la bannière de Corruption Zéro, une coalition qui proposera un modèle novateur, éthique, transparent et durable.
En effet, Corruption Zéro souhaite établir un forum de discussion destiné à l'ensemble de la population québécoise afin de réformer les méthodes d'un système politique en crise, ponctué par les récents scandales qui ont touché toute la sphère politique québécoise. Corruption Zéro lance aujourd'hui son site web www.corruptionzero.com, destiné à susciter les commentaires et la discussion publique afin de proposer des mesures à la hauteur des attentes de la population du Québec.
"Notre action culminera le 9 décembre prochain, à l'occasion de la Journée internationale contre la corruption. Nous adressant d'abord à nos élus, nous rendrons public une déclaration visant à rassurer la population face à la génération montante, en rendant publique une série de recommandations issues des propositions citoyennes," a expliqué Ryan Hillier.
"Nous souhaitons que la coalition que nous lançons aujourd'hui devienne un mouvement populaire qui sera assez fort et constructif pour que les façons de faire changent une fois pour toute. Que l'empire des enveloppes s'effondre et qu'émerge une vision propre, éthique et renouvelée de notre système politique !," a conclu M. Hillier.

Profil de Corruption Zéro

Corruption/ZÉRO est le fruit d'une collaboration non partisane de jeunes militantes et militants évoluant dans les structures des diverses formations politiques municipales, québécoises et canadiennes. Provenant d'une multitude de secteurs, les collaborateurs de Corruption/ZÉRO ont comme dénominateur commun la volonté d'apporter un vent de fraîcheur au système politique en place. Corruption/ZÉRO est composé de Ryan Hillier, Émilie Auclair, Marc-Antoine Cloutier, Jocelyn Desjardins, Sarah Désilets-Rousseau, Alexis Devroede-Languirand, Geneviève Giguère, Catherine Goyer, Marco Nocella, Jonathan Pedneault, Marie-Andrée Plante, Ahmad Nazha et de Zara-Emmanuelle Villani.
Renseignements: Marc-Antoine Cloutier, Directeur des communications, Corruption Zéro, (514) 710-0684 
 
 
 
 

Piratage Des sites internet du gouvernement et du PLQ attaqués

Piratage - Des sites internet du gouvernement et du PLQ attaqués
 
©Shutterstock

MONTRÉAL – Des sites internet et des comptes de courriels du gouvernement et du Parti libéral du Québec ont été la cible d'attaques, vendredi. En milieu de soirée, les sites du parti du premier ministre Charest, plq.org, du ministère de l'Éducation, www.mels.gouv.qc.ca, de la page qui explique l'augmentation de la hausse des frais de scolarité, www.droitsdescolarite.com, ou encore de l'Aide financière aux études (AFE), www.afe.gouv.qc.ca, étaient tous inaccessibles.
L'attachée de presse de la ministre Line Beauchamp, Hélène Sauvageau, a confirmé à l'Agence QMI en fin de soirée, vendredi, que des gens ont essayé d'attaquer les sites internet du ministère de l'Éducation. Elle a ajouté que les accès ont été fermés le temps qu'une équipe de techniciens rétablisse la situation.
Également joint par l'Agence QMI, le directeur des communications du Parti libéral du Québec, Michel Rochette, a également confirmé que le site web du parti était bel et bien visé par une attaque.
«C'est quand même mieux de bloquer des sites web que de bloquer des ponts avec des travailleurs dans leur voiture, a fait savoir M. Rochette. Et surtout moins pire que de saccager des lieux, intimider des citoyens à leur bureau ou à leur domicile.»
Il a ajouté que l'attaque a eu lieu vers 18 h et que certains courriels avaient également été visés par l'attaque, mais dans ce cas précis, la situation a été rétablie.
Michel Rochette a aussi souligné que des techniciens étaient à l'œuvre pour rétablir le site.
Les auteurs de l'attaque n'étaient pas encore connus vendredi en fin de soirée.


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Que devient un smartphone perdu ?

Une étude montre que 9 fois sur 10 son contenu est fouillé par celui qui met la main dessus… Rien qu'en France, 500 smartphones sont perdus chaque jour. Que deviennent-ils lorsqu'ils sont trouvés par un tiers ? Intéressante question à laquelle a voulu répondre Symantec à travers une petite expérience.

L'éditeur a ainsi "perdu" 50 smartphones truffés de données dans plusieurs villes américaines. Ces terminaux étaient équipés de logiciels espions afin de pouvoir observer d'éventuelles manipulations.

Bien sûr Symantec entend par ce biais montrer qu'il est indispensable de protéger ses données avec une solution de sécurité, et pourquoi pas la sienne…

Pour autant, les résultats de cette étude confirment que bien de personnes résistent à l'idée de fouiller dans un mobile qui ne lui appartient pas…

En effet, 96% des téléphones ont été consultés par ceux qui ont mis la main dessus. 89% sont allés fouiller dans les données personnelles et 83% dans les données professionnelles.

Plus glorieux, 50% des smartphones ont été spontanément renvoyés aux vraix-faux propriétaires qui avaient laissé leurs coordonnées dans l'appareil.

Rappelons que si un logiciel de sécurité peut s'avérer utile, un simple écran de verrouillage (avec code sur iPhone ou schéma sous Android) permet déjà de se protéger de la plupart des indiscrets...


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