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mercredi 21 mars 2012

On a hâte de pousser ta chaise roulante ;--)

Selon un sondage avec les aidants naturels,plusieurs s'offre déja pour offir leurs services de qualité !

La liste d'attente est longue:

Jean Charest, Line Beauchamp , Hitler,

Mouammar Kadhafi ,

, Ben Laden ,

George W. Bush ,

Raymond Bachand ,

Pierre Elliott Trudeau ,

 Dont plusieurs chaises ont été serrées ? .......................

etc .... faîtes vos offres !

mardi 20 mars 2012

Enfin on saient pourquoi les taux d'intérêt augmente !

Laval - Il clonait des cartes de crédit à son nom
 
© Archives Reuters

SAINT-JÉRÔME – Un individu de Laval a été arrêté dimanche au magasin Sears de Saint-Jérôme avec en main 4000 $ de cartes-cadeaux. Le suspect se les serait procurées grâce à des cartes de crédit qu'il aurait clonées.
Il « avait fabriqué des fausses cartes, mais à son nom, avec ses coordonnées, ce qui nous a permis de le retracer facilement », a expliqué le lieutenant-détective Éric Boivin, de la police de Saint-Jérôme. C'est à la suite d'une transaction frauduleuse au magasin Sears de Deux-Montagnes que le personnel des magasins Sears a été alerté, en l'occurrence des employés du magasin de Saint-Jérôme.
Lorsque l'homme s'est présenté au magasin du Carrefour du Nord, le personnel, qui avait en main son identité, a joué le jeu et, tout en le faisant patienter, a contacté la sécurité et les policiers qui l'ont arrêté sur place.
Le suspect était accompagné par deux complices. Ces deux derniers attendaient dans un véhicule à l'extérieur et n'ont pu être attrapés par les policiers.
L'enquête est en cours et l'individu devrait comparaître au cours des prochains jours. Il aurait un dossier mineur d'antécédent judiciaire et aurait par ailleurs un bon emploi.
« Il agissait pour le compte d'un groupe organisé et le faisait pour l'argent. Il récoltait 10 % de ses collectes », a expliqué le lieutenant-détective Boivin.

REF.:

dimanche 18 mars 2012

Les étudiants gère la pauvreté


Dans la peau des étudiants



Dans le contexte de la grève qui dure depuis quelques semaines, des étudiants nous ouvrent leurs livres de comptes et nous dévoilent les secrets de leur budget. Ils nous expliquent ce que ça implique d’étudier au Québec en 2012. 
Contrairement à ce que l’on peut penser, la réalité des étudiants n’est pas toujours rose. Au-delà des clichés du téléphone cellulaire et des partys arrosés, les sandwichs au beurre d’arachides et les fins de mois difficiles font partie du quotidien de plusieurs jeunes.
Alors que le débat sur la hausse des frais de scolarité fait rage, le Journal est allé à la rencontre de cégépiens et d’étudiants des universités de partout à travers le Québec pour connaître leur réalité.
Premier constat : plusieurs ne bénéficient pas d’aide parentale et doivent assumer seuls le paiement de leurs frais de scolarité.
« Un enfant dont les parents ont un bon salaire n’a pas accès aux prêts et bourses. Le système ne tient pas compte du fait que certains étudiants doivent se débrouiller seuls », explique Marc-Olivier Gagnon, qui assume les frais de ses études en techniques policières.
Il a « trop travaillé »
Le système des prêts et bourses complique aussi la réalité des étudiants qui ne peuvent en bénéficier s’ils ont un travail le moindrement payant.
« L’an prochain, mes prêts et bourses seront moins importants parce que j’ai « trop » travaillé cette année, lance Guillaume Houle, un étudiant en sociologie. Dès que tu fais plus de 4 000 $ par année, c’est coupé. »
« Ça devient un cercle vicieux. Tu as moins d’aide financière, donc tu travailles plus et, finalement, tu as moins de temps pour tes études. »
Prêts à des sacrifices
Tous les étudiants rencontrés se sont dits prêts à faire des « sacrifices » pour mener à bien des études universitaires.
« Je ne m’attends pas à manger des filets mignons comme à la maison, affirme Émilie Joly. Je mange des pâtes en masse, mais on a quand même le droit à une certaine qualité de vie. »
Par ailleurs, si plusieurs lésinent sur la nourriture ou les sorties, tous possèdent un téléphone cellulaire.
« Ce n’est pas un luxe », s’écrie Camille Marceau, une mère monoparentale, qui étudie en droit.
« C’est notre outil de travail à nous, les étudiants. Et ce n’est pas parce qu’on étudie qu’on doit mendier dans la rue », poursuit-elle.
« Je suis tannée du discours selon lequel nous sommes tous des bébés gâtés. Oui, il y en a. Mais venez donc passer une semaine dans la vie d’un étudiant normal, ce n’est pas aussi facile qu’on le croit. »

Guillaume Houle
28 ans
Originaire de Montréal
Étudie en sociologie à l’Université de Montréal
Frais de scolarité et livres : environ 2 000 $ par session
Budget mensuel
Épicerie : 200 $
Appartement (incluant chauffage et électricité) : 287 $ (avec 4 colocs)
Internet : inclus dans son loyer
Téléphone cellulaire : 50 $
Sorties et dépenses personnelles : 40 $
Transport : pas de voiture. Carte d’autobus à 180 $ pour l’année (forfait universitaire)
Aide parentale : aucune
Aide financière : 7 000 $ en bourses et 2 440 $ en prêts
Dette : limite de 12 000 $ atteinte sur sa marge de crédit
Travail : permanent à l’Association générale étudiante du Collège Ahuntsic. Effectue 20 heures par semaine. Salaire horaire de 12 $.
En grève depuis le 23 mars
« 
Les frais de scolarité élevés compromettent mon projet de vie de faire un doctorat en socio­logie et d’enseigner à l’université. »

« 
J’effectue un retour aux études et je suis stressé. Vais-je pouvoir faire une maîtrise ou devrais-je retourner sur le marché du travail ? »
Marc-Olivier Gagnon
20 ans
Originaire de Saint-Jérôme
Étudie en techniques policières au cégep de Rimouski
Frais de scolarité et livres : environ 450 $ par session
Budget mensuel
Demeure chez ses parents, qui lui fournissent le toit et la nourriture
Téléphone cellulaire : 25 $
Sorties et dépenses personnelles : 50 $
Transport : pas de voiture. Carte d’autobus à 49 $
Aide parentale : logis et couvert
Aide financière : aucune
Dette : aucune
Travail : Militaire au sein de la réserve de l’armée canadienne. L’an passé, ce travail à temps partiel lui a rapporté 10 000 $
En grève depuis le 29 février
Se présente tous les jours au cégep pour rencontrer des étudiants et établir des piquets de grève.
« 
Mes parents ne paient pas mes études. Mais je n’ai pas accès aux prêts et bourses, car ils font un bon salaire. Je dois donc travailler pour payer mes études. Ça m’inquiète pour l’université. »
« 
J’ai peur pour ces études si les frais de scolarité augmentent. C’est pourquoi je suis en faveur de la grève, même si je risque de perdre ma session. »
Tristan Wettstein
23 ans
Originaire de France
Étudie en science politique et histoire à l’Université Concordia
Frais de scolarité et livres : environ 1 800 $ par session
Budget mensuel
Épicerie : 200 $
Appartement (incluant chauffage et électricité) : 160 $ (avec une coloc dans une chambre)
Internet : 50 $
Téléphone cellulaire : payé par son père
Sorties et dépenses personnelles : 100 $
Transport : pas de voiture ni de carte d’autobus
Aide parentale : aucune, sauf le paiement du téléphone cellulaire. Depuis un an, ses parents ne peuvent plus le soutenir financièrement.
Aide financière : 1 500 $ en bourses et, récemment, 250 $ en prêt d’urgence de l’association des étudiants étrangers de Concordia
Dette : aucune
Travail : Tristan ne peut pas travailler au Québec. Il cumule de petits boulots pour l’Université Concordia et fait de la traduction pour des particuliers français.
En grève depuis le 7 mars
« 
J’ai un budget très serré. Je me débrouille en cuisinant beaucoup et en ayant recours au service alimentaire de Concordia. »

« 
J’arrive à peine à arriver. Heureusement, j’ai des amis solidaires qui m’aident beaucoup. »
Karolane Baillargeon
21 ans
Originaire de Montréal
Étudie en enseignement de l’anglais à l’Université du Québec à Montréal (UQAM)
Frais de scolarité et livres : environ 1 600 $ par session
Budget mensuel
Épicerie : 200 $
Appartement (incluant chauffage et électricité) : 550 $
Internet : inclus dans son loyer
Téléphone cellulaire : 55 $
Sorties et dépenses personnelles : 100 $
Transport : pas de voiture. Carte d’autobus à 44 $
Abonnement à un gym : 55 $
Aide parentale : aucune
Aide financière : 500 $ en bourse pour l’année et 700 $ pour un prêt qu’elle n’a pas encore utilisé
Dette : aucune
Travail : donne des cours privés d’anglais à des particuliers. Environ 2 000 $ par mois
N’est pas en grève, car elle suit ses cours à distance
« 
Je fais un bon salaire, mais j’ai travaillé fort pour y arriver. Si j’ai des ennuis financiers, je peux couper dans mon budget, notamment en rédui­sant ma facture de téléphone. »
« 
C’est possible de réussir sans aide parentale. Au début, je me suis endettée, mais j’ai appris de mes erreurs. Tout est une question de choix. »
Camille Marceau
24 ans
Originaire de Québec
Étudie en droit à l’Université Laval
Frais de scolarité et livres : environ 2 000 $ par session
Budget mensuel
Épicerie : 250 $
Appartement (incluant chauffage et électricité) : 300 $ (avec deux colocs)
Internet : 50 $
Téléphone cellulaire : 50 $
Frais de garde de son fils : 120 $
Transport : pas de voiture. Carte d’autobus à 60 $
Aide parentale : aucune
Aide financière : 604 $ par mois en prêts et bourses
Dette : limite de sa carte de crédit atteinte depuis quelques semaines
Travail : donne des ateliers de droit quelques heures par mois. Consacre le reste du temps à son fils et à ses études
La faculté de droit de l’Université Laval n’est pas en grève
J’ai besoin de 950 $ par mois pour vivre et j’en reçois 604 $. J’ai atteint la limite de ma carte de crédit. Je ne sais pas comment je vais finir le mois. »
« 
J’ai besoin de 950 $ par mois pour vivre et j’en reçois 604 $. J’ai atteint la limite de ma carte de crédit. Je ne sais pas comment je vais finir le mois. »
« 
 La hausse des frais de scolarité risque de me forcer à abandonner mon rêve d’être avocate et d’offrir une belle vie à mon fils. »
Émilie Joly
18 ans
Originaire de Val-d’Or
Étudie en communications et médias au Collège de Rosemont
Frais de scolarité et livres : environ 268 $ par session
Budget mensuel
Épicerie : 160 $
Appartement (incluant chauffage et électricité) : 455 $ (en résidence)
Internet : inclus dans son loyer
Téléphone cellulaire : 30 $
Sorties et dépenses personnelles : 50 $
Transport : pas de voiture. Carte d’autobus à 43 $
Aide parentale : ses parents paient son loyer
Aide financière : aucune
Dette : aucune
Travail : bibliothécaire à Val-d’Or durant l’été. Elle ne travaille pas pendant ses études.
En grève depuis le 5 mars
Elle milite activement au sein de son association étudiante.
« 
C’est bien beau de se nourrir de sandwichs au beurre d’arachides et de spaghettis. Mais les étudiants aussi ont droit 


 
 

Gérer votre maison à distance avec votre téléphone?

Tendance domotique - Êtes-vous prêts à gérer votre maison à distance avec votre téléphone?
Contrôler sa maison grâce à son téléphone intelligent, une tendance qui s'annonce. 
© Shutterstock

Chauffage, eau, TV, systèmes de communication: tous les équipements de la maison deviennent progressivement contrôlables à distance grâce à des applications. Ce sera là l'une des plus grandes tendances observées au salon Electronic House Expo (EHX) qui se tiendra du 15 au 17 mars à l'Orange County Convention Center d'Orlando, en Floride.
L'événement réunira 10 000 professionnels venus présenter leurs dernières nouveautés en matière d'électronique, de solutions d'économie d'énergie et de sécurité numérisée.
L'une des tendances majeures concerne le contrôle à distance, via téléphone intelligent ou tablette, des systèmes de sécurité et de gestion de l'énergie.
Parmi les nombreux exposants figure DynaQuip, qui présentera sa gamme de produits WaterCorp. Celle-ci permet de couper l'arrivée d'eau de la maison à l'aide d'un téléphone ou par Internet. BitWise Controls montrera des systèmes domotiques compatibles iOS et Android destinés à remplacer les panneaux de contrôle, dont le prix est souvent exorbitant. PCS produit quant à lui une gamme de systèmes luminaires à contrôler via un appareil connecté à Internet.
À l'occasion du EHX, des séminaires seront également organisés à destination des fabricants et professionnels du marketing du secteur de la sécurité électronisée.
Cette tendance aux systèmes domotiques contrôlables à distance par application était également sensible au CES, l'un des plus grands événements du secteur technologique, qui a eu lieu aux États-Unis du 10 au 13 janvier.
On y a notamment vu un réfrigérateur LG dont on peut vérifier le contenu à distance, et une machine à laver Samsung connectée au WiFi, dont on peut contrôler les cycles de lavages à distance.
Pour plus d'informations sur EHX: ehxweb.com

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