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dimanche 12 février 2012

La fiscalité des justes: La justice fiscale d'Obama

Présidentielle - Obama propose un budget 2013 empreint de justice fiscale
Barack Obama 
© JIM WATSON / AFP

Obama propose un budget 2013 empreint de justice fiscale

WASHINGTON - Barack Obama va envoyer lundi un budget 2013 empreint de justice fiscale au Congrès dominé par ses adversaires républicains, à moins de neuf mois de la présidentielle lors de laquelle il espère obtenir un nouveau bail de quatre ans à la tête des États-Unis. Dans la lignée de son discours sur l'état de l'Union, M. Obama va préconiser d'augmenter la fiscalité sur les plus riches afin de reconstruire selon lui l'économie américaine sur des bases saines, au moment où une reprise du marché de l'emploi laisse espérer une embellie après la récession de 2007-2009.
Face au Congrès, il avait souhaité le 24 janvier le rétablissement d'une économie où «tout le monde a une chance, où tout le monde fait son dû, et tout le monde joue selon les mêmes règles».
Cette proposition de budget, qui risque fort de se heurter à l'hostilité des républicains majoritaires à la Chambre des représentants, s'inscrit aussi dans la continuité des accords sur la lutte contre les déficits conclus avec les parlementaires en 2011, avec une baisse des dépenses de 1000 milliards de dollars sur dix ans.
Au chapitre des revenus, elle inclut la mesure vedette souhaitée par M. Obama lors de son discours sur l'état de l'Union, la «règle Buffett» du nom du multimilliardaire américain Warren Buffett, qui veut que les foyers aux revenus supérieurs à un million de dollars par an ne soient pas assujettis à un taux d'imposition inférieur à 30%.
Le président souhaite aussi laisser expirer pour les plus aisés les cadeaux fiscaux consentis par son prédécesseur républicain George W. Bush en 2001 et 2003, effectuer 360 milliards d'économies dans les dépenses sociales et couper de 5% les dépenses militaires par rapport à l'année budgétaire en cours, conformément à un plan déjà acté par le Pentagone.
En éliminant des niches en faveur des sociétés pétrolières, gazières et charbonnières, le plan budgétaire vise 41 milliards de rentrées fiscales supplémentaires en dix ans.
Il prévoit de mettre les banques à contribution au titre de leur responsabilité dans la crise financière de 2008 via un prélèvement extraordinaire censé rapporter 61 milliards de dollars, toujours sur dix ans. Mais cette proposition date déjà de deux ans et n'a jamais été examinée par le Congrès, même à l'époque où les alliés de M. Obama y étaient majoritaires.
Stimuler l'emploi
Côté dépenses, la proposition de budget prévoit plus de 350 milliards de dollars pour stimuler l'emploi et 476 milliards pour les infrastructures.
Elle envisagera un déficit de 901 milliards pour l'année budgétaire 2013, qui débutera le 1er octobre prochain, un mois avant l'élection présidentielle lors de laquelle M. Obama remettra son mandat en jeu. Cette somme représente 5,5% du produit intérieur brut des États-Unis.
Dans le même temps, la Maison Blanche a une nouvelle fois revu à la hausse ses prévisions de déficit pour l'exercice budgétaire en cours, qui atteindra 1330 milliards de dollars, soit 8,5% du PIB, selon elle. Début septembre, elle espérait encore le contenir à 956 milliards de dollars, 6,1% du PIB.
En présentant ces données vendredi, la Maison Blanche s'est refusée à donner ses estimations de croissance et de chômage, des données qui peuvent grandement influer sur les équilibres.
Ces estimations pourraient évoluer à la lumière d'une reprise de l'emploi apparemment plus vigoureuse que prévu: le taux de chômage officiel est tombé à 8,3% de la population active en janvier, une baisse de 0,4 point en deux mois, mais encore loin du niveau de début 2008, à 5%.
M. Obama a prévu de présenter son budget lundi aux Américains lors d'un déplacement à Annandale, dans le nord de la Virginie (est), non loin de Washington.




REF.:

Faut investir 17 millions $ pour contrôler l'intimidation chez les "Y

En Effet la génération Y , a des probl^mes de comportement! Des caméras dans les bus de la STM,au caméras dans le belle ville de Montrèal, et j'en passe!
Maintenant c'est :

Le gouvernement Charest a annoncé dimanche de nouvelles mesures contre l'intimidation dans les écoles.

Il débloquera 3 millions $ pour mettre sur pied une nouvelle campagne nationale de publicité diffusée notamment à la télévision et sur le web.
Quebecor et Télé-Québec ont déjà manifesté leur intention de participer à la cause et devraient diffuser trois messages d'une minute, sur le thème «l'intimidation, c'est fini. Moi, j'agis».
La ministre de l'Éducation Line Beauchamp a également confirmé la poursuite du plan d'action instauré en 2008 visant à instaurer un système de monitorage de la violence dans les écoles. Le programme qui a coûté 17 millions $ depuis son instauration continuera d'être financé à la hauteur de 6 millions $ par année.
Un appel à la mobilisation
Cette campagne est «un appel à tous les Québécois, afin de faire disparaître un phénomène qui existe depuis toujours, mais que nous ne pouvons plus tolérer», a déclaré dimanche Jean Charest.
Le premier ministre a tenu à rappeler que les efforts ne se feraient pas seulement dans les cours d'écoles, mais aussi auprès des parents des victimes d'intimidation. La sensibilisation concernera aussi les jeunes intimidateurs.
Line Beauchamp a invité les membres du personnel scolaire, les députés, les élus municipaux, les chefs syndicaux et d'organismes sociaux à signer la Déclaration québécoise d'engagement contre l'intimidation et la violence. Ce document appelle les signataires à intervenir directement lorsqu'ils sont témoins d'intimidation.
« Des études sur le sujet ont révélé que neuf fois sur 10 les actes d'intimidation se font devant un public et que les deux tiers du temps, il est possible d'arrêter ce phénomène s'il y a intervention immédiate », a affirmé la ministre.
Le ministre de la Sécurité publique Robert Dutil et le ministre de la Santé et des Services sociaux Yves Bolduc ont tous deux fait connaître leur volonté de faire front commun pour sensibiliser et informer la population québécoise.
Une nouvelle législation
La ministre Beauchamp a aussi annoncé son intention de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires à l'Assemblé nationale, un projet de loi afin de modifier la Loi sur l'instruction publique et la Loi sur l'enseignement privé afin d'établir des balises et d'intégrer une notion d'obligation d'intervention en cas d'intimidation. Le contenu de la loi devrait être révélé la semaine prochaine.


Un pas vers la solution Les réactions ont rapidement déferlé à la suite de l'annonce de la nouvelle stratégie de lutte contre l'intimidation à l'école du gouvernement Charest.
C'est un pas vers la solution, ont reconnu la présidente de l'Association québécoise des directions d'écoles du Québec, Danielle Boucher et le président de l'Association montréalaise des directions d'établissement scolaire, Gaétan Neault.
«Nous sommes prêts à travailler avec ces outils proposés, et nous sommes persuadés que l'ajout de nouvelles ressources nous permettra de lutter contre l'intimidation et la violence à l'école», a affirmé Danielle Boucher.
«Ces mesures permettront de mieux faire prendre conscience aux jeunes que cette violence mine la réussite de tous les élèves et qu'elle affecte ces jeunes pour la vie», a ajouté M. Neault.
La Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement (FQDE) a salué les bonnes intentions du gouvernement, mais a émis des réserves sur les répercussions attendues. «Sans ressource directe dans l'école, la stratégie ne sera qu'un nouveau vœu pieux du gouvernement», a lancé Chantal Longpré, présidente de la FQDE.


Un roman pour contrer l'intimidation
Dominique Hardy / Agence QMI Une auteure du Lac-Saint-Jean s'est inspirée de 120 témoignages de victimes d'intimidation pour écrire son nouveau roman, «Les coulisses de l'intimidation», visant à contrer ce fléau qui laisse des traces durant la vie adulte.
«J'ai vécu l'enfer», confie Chantale Potvin, elle-même victime de ce phénomène amplement dénoncé ces derniers mois. Lorsqu'elle était jeune, ses camarades de classe se moquaient de sa tache de vin au visage en plus de la comparer à sa sœur jumelle. Par chance, elle avait son grand frère pour veiller sur elle. Mais tout le monde n'a cependant pas cette chance.
«Le but du roman, c'est de dire aux gens comment ça laisse des traces toute une vie, l'intimidation», explique-t-elle. L'histoire tourne autour d'un personnage fictif, Michel, âgé dans la cinquantaine, qui tente de reconstruire sa vie après avoir été victime d'intimidation dans sa jeunesse.
«Depuis le début de l'écriture, il y a un an, je me suis rendu compte que tout le monde est concerné par ça, souligne Chantale Potvin, aussi enseignante au secondaire. On a beau ne pas en avoir vécu, on en a été témoin, on en a fait subir», selon elle.
Elle a été touchée par le témoignage d'un homme de 32 ans qui a plus tard mis fin à ses jours, incapable de chasser les marques de l'intimidation dans son enfance.
«J'espère qu'un réalisateur de film se penchera aussi sur la question», souhaite-t-elle. «Les coulisses de l'intimidation» est notamment disponible sur le site web de l'auteure www.chantalepotvin.com.


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samedi 11 février 2012

L'argent ou le Temps ?

Bienvenue dans un monde où le temps a remplacé l'argent. Génétiquement modifiés, les hommes ne vieillissent plus après 25 ans. Mais à partir de cet âge, il faut "gagner" du temps pour rester en vie. Alors que les riches, jeunes et beaux pour l'éternité, accumulent le temps par dizaines d'années, les autres mendient, volent et empruntent les quelques heures qui leur permettront d'échapper à la mort. Un homme, accusé à tort de meurtre, prend la fuite avec une otage qui deviendra son alliée. Plus que jamais, chaque minute compte.

 

Réflection:
Dans le film on dit : Personne ne devrait vivre éternellement, si même on doit mourir.
Ou plutôt:"Personne de devrait être multimillionnaire,car tous vont mourrir ,pauvres d'esprit "


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vendredi 10 février 2012

Vidéosurveillance : Des Caméras dans le transport public


Vidéosurveillance - Capitale «protégée»
La présence des caméras dans les autobus a permis de réduire considérablement les actes de violence envers les chauffeurs. 
© Annie T Roussel / Agence QMI

QUÉBEC - Les caméras de surveillance prolifèrent à Québec depuis les fêtes du 400e anniversaire, en 2008. Les voies publiques sont scrutées comme jamais. Sur un kilomètre de marche, on compte jusqu'à dix caméras dans les secteurs les plus «hot» de la ville.
C'est le cas de la colline Parlementaire, qui abrite l'Assemblée nationale. Du parc de l'Amérique-Française jusqu'à la côte de la Potasse, en passant par l'avenue Honoré-Mercier, il y a une caméra aux 100 mètres!
Toutes ces caméras appartiennent à la division des transports de la Ville de Québec qui en possède 70 au total pour couvrir l'ensemble de son territoire. Avant les fêtes du 400e, on en comptait à peine une vingtaine. Ce réseau s'est développé indépendamment des autres systèmes de surveillance des édifices et des garages municipaux.
D'ailleurs, un groupe de chercheurs de l'Université Laval fait actuellement un inventaire plus poussé à ce sujet. On estime que les rues, les parcs et les stationnements représentent approximativement 1 % du nombre total de caméras répertoriées.
Place au spectacle!
La Ville de Québec justifie ces acquisitions par l'augmentation du nombre de spectacles de grande envergure présentés chaque été dans ses murs. Les caméras auraient pour objectif de faciliter la gestion des feux de circulation à distance.
«C'est très utile. Après le spectacle d'Elton John, l'année dernière, les gens ont pu quitter la colline Parlementaire en une heure et demie, alors qu'il y avait plus de 100 000 personnes sur place», a expliqué Jacques Perron, porte-parole.
Les images sont visionnées «au besoin» dans un centre opérationnel situé qui a été inauguré l'automne dernier dans l'arrondissement Beauport. Seul un cercle restreint d'employés municipaux constitué de policiers, de pompiers, d'ingénieurs, etc., ont accès à cet endroit névralgique.
«On peut suivre une trentaine de scènes en même temps», a laissé tomber M. Perron.
Des zooms super puissants
Ces caméras dernier cri installées à des poteaux d'éclairage ou de signalisation sont si puissantes, selon nos sources, qu'elles permettent de zoomer sur un enfant pour détecter la couleur de sa crème glacée.
Malheureusement, la demande du «Journal» pour visiter ces installations est demeurée lettre morte. Aucune nouvelle acquisition ne serait prévue pour 2012. La Ville considère que le territoire est assez bien couvert pour l'instant. L'achat des caméras fait suite à des décisions administratives.
Dans l'ensemble, l'industrie de la vidéosurveillance croît à un rythme de 10 % par année.


La Ville de Québec, le Réseau de transport de la Capitale (RTC) ainsi que l'Université Laval ont dépensé des centaines de milliers de dollars en fonds publics pour acheter des dispositifs de surveillance. Il suffit d'être le moindrement aux aguets pour les détecter. Sur le campus de l'Université Laval par exemple, où il existe un réseau de tunnels souterrains, on est passé de 2 à 50 caméras en cinq ans. Pour quels motifs?
«Je ne suis pas en mesure de vous répondre», a rétorqué Sylvain Gagné, porte-parole de l'établissement, se référant à la Loi sur l'accès aux documents d'organismes publics et la protection des renseignements personnels pour expliquer son silence.
Avec un taux de criminalité parmi les plus bas au pays — deux meurtres en 2011 —, comment se fait-il que les caméras de surveillance poussent comme des champignons?
Selon le RTC, la présence des caméras dans les autobus a permis de réduire considérablement les actes de violence envers les chauffeurs.
«C'est dur à dire si c'est juste ça, mais on est très satisfaits de l'expérience. On a combiné d'autres moyens pour faire de la prévention. On a ajouté des boutons de panique et introduit les cartes à puce pour minimiser l'interaction avec les chauffeurs», a fait savoir Carole Brousseau, porte-parole du RTC. Les autobus articulés des lignes 800 et 801 sont équipés de six caméras et de deux micros. Le coût de ces dispositifs est évalué entre 8000 $ et 10 000 $ par véhicule.
Pour des raisons de sécurité
La politique sur l'utilisation de la vidéosurveillance a été adoptée par le RTC en 2008. Au dire de Mme Brousseau, le nombre d'événements liés à des agressions physiques ou verbales est passé de 113 au moment de l'adoption de la politique à 67, en 2010. Il s'agit d'une baisse de 41 %.
«On peut voir une nette diminution. Pour nous, la vidéosurveillance contribue à réduire le risque pour nos chauffeurs. On sait que c'est rentable.» Pour des raisons de sécurité, le RTC ne veut pas préciser le nombre exact d'autobus munis d'un dispositif de vidéosurveillance.
«C'est confidentiel», a ajouté Mme Brousseau.
Concernant la présence des caméras, la société de transport n'a jamais reçu de plaintes de la part de la clientèle.
Comme dans du beurre
En novembre 2011, l'équipe du professeur Stéphane Leman-Langlois, criminologue et titulaire de la Chaire du Canada en surveillance et construction sociale du risque de l'Université Laval, a fait un sondage auprès de 625 usagers du RTC. Les résultats sont pour le moins surprenants.
«L'immense majorité des gens ne voit aucun problème de violation de leur vie privée. En même temps, ils disent qu'ils ne sont pas suffisamment informés des raisons de la présence des caméras», a expliqué M. Langlois.
À plusieurs endroits, des messages très visibles ont été installés à l'intérieur des autobus pour prévenir les usagers qu'ils peuvent être filmés. Les images sont effacées après 14 jours.


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L'Affaire Davidson: ce qu'ils on dit est vrai et sera jamais cautionné par le SPVM !

Supposons mettons: La police tend un piège a un policier ?

 Et il tombe dedans,.........et prend sa retraite ,...............mais...?

À vendre: une liste de 2000 informateurs ?


Un policier expérimenté au sein de l'unité des renseignements du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui a récemment pris sa retraite, fait l'objet d'une enquête depuis l'automne dernier pour avoir tenté de vendre des informations hautement confidentielles à la mafia sicilienne, a rapporté TVA Nouvelles hier.
Des informations hautement confidentielles, notamment des listes contenant le nom d'informateurs de police et d'agents-sources, sont gardées à la Place Versailles, au siège du SPVM.
Le policier aurait offert au crime organisé italien des renseignements qui figuraient sur ces listes hautement secrètes, plus spécifiquement à un membre important de la mafia sicilienne(qui aurait coulé l'information,........parce qui n'avait pas le choix ?..........ou parce qu'il ne voulait pas tomber dans ce prétendu piège,.........on ne vend pas,on donne et on s'en sert ,comme les Hells qui vol un portable qui contenait ,le/les noms de certaines taupes du SPVM ,dont Claude De Serres,il y a deux ans,qui était un agent-source ,un agent civil d'infiltration, un ACI,et qui fut liquider)
Radio-Canada a précisé, hier, qu'il aurait soumis quatre noms de sources à un contact du côté de la mafia pour montrer qu'il était sérieux et pour entamer des négociations. La société d'État a ajouté que «son stratagème aurait échoué».
Des sources ont affirmé à TVA Nouvelles que lorsque le policier, un sergent-détective, aurait eu accès à ces informations «sensibles», il était encore au service du SPVM. Toutefois, quand il aurait tenté de fournir les informations aux criminels, il avait déjà pris sa retraite.

Écoute électronique
Ces mêmes sources affirment que c'est une écoute électronique qui aurait permis de découvrir que la taupe présumée aurait offert des informations au crime organisé en échange de plusieurs centaines de milliers de dollars. C'est à la suite de cette écoute que l'enquête aurait été déclenchée.
Le policier était apparemment l'un des rares à avoir accès à la base de données. Le policier était même l'un des responsables de celle-ci parmi une petite équipe.
Cette liste pourrait contenir plus de 2000 noms d'individus qui fournissent de l'information aux policiers lors d'enquêtes, notamment sur le crime organisé.
Il y aurait deux façons de consulter ces documents, en version papier ou encore sur un support informatique.
«C'est toujours décevant de voir des choses comme celles-là qui se produisent. Mais, bien entendu, je peux vous assurer que nous prenons toutes ces informations et toutes ces allégations au sérieux», affirme Didier Deramond, du Service des enquêtes spécialisées du SPVM. «Ce n'est pas une question de faille de système informatique, loin de là. C'est une question personnelle, d'individu qui a porté certaines actions.»
Employé discret
Selon les informations obtenues par TVA Nouvelles, le policier est décrit comme un employé discret et de confiance. Il avait été embauché au SPVM en 1978 et il était affecté à la section des renseignements depuis 1992.
Pendant 20 ans, il a eu accès aux renseignements les plus confidentiels du service de police de la plus grande ville du Québec.
Les enquêteurs des crimes majeurs du SPVM n'ayant pas terminé leur enquête, il n'y a aucune accusation criminelle déposée contre lui.(donc il ne sera pas protégé et est exposé a un règlement de compte)
«Un effet épouvantable»
Richard Dupuis, ancien enquêteur au service des enquêtes criminelles du SPVM, a travaillé auprès de ce policier pendant trois ans. En entrevue à TVA Nouvelles, il se dit très surpris de ces allégations, croyant que cet individu était «au-dessus de tout soupçon».
«C'était une personne à son affaire, plutôt calme. Je suis très surpris de voir que la cupidité a pu l'amener à commettre un tel geste», dit M. Dupuis.
La divulgation de la liste comprenant le nom de tous les informateurs est un geste très grave, affirme M. Dupuis. «C'est la base du renseignement criminel. Lorsqu'on recrute un informateur, on lui garantit que son identité ne sera pas dévoilée. Là, on a tenté de vendre les informations, ça a un effet épouvantable.»
Il ajoute que le SPVM tentera de se dissocier des gestes de cet ex-policier. «On se souviendra, dans d'autres cas de policiers corrompus, qu'on a rapidement sorti ça de façon publique», ajoute M. Dupuis.
Le SPVM, la Fraternité des policiers de Montréal, la Fédération des policiers municipaux du Québec et le ministère de la Sécurité publique ont tous refusé d'accorder une entrevue au Journal à ce sujet. Le porte-parole du Parti québécois en matière de sécurité publique, Bertrand Saint-Arnaud, ne nous a pas rappelé, tandis que la porte-parole du deuxième groupe d'opposition, Sylvie Roy, n'était pas disponible pour commenter.


Le 18 janvier 2012, Ian Davidson( cet ex-policier,retraité,côtoyant la mafia),s'est suicidé(lui-même apparament ?),son corps a été retrouvé dans une chambre de l'hôtel Best Western Châteauneuf, en bordure de l'autoroute 15, à Laval.Le secret de toute cette histoire sera bien garder,ou comme dirait la mafia , coulé dans le ciment ,l'honneur est sauvé pour les deux camps ! Mais sa selon des informations obtenues par le journaliste Alain Gravel, sa conjointe et sa fille de 10 ans l'avaient accompagné au Best Western Châteauneuf de Laval pour tenter de le mettre en sécurité(elles en savent plus qu'on pensent). Elles ont toutes deux passé la nuit avec lui.Chose certaine, sa famille craignait suffisamment pour sa sécurité pour le mettre en toute hâte à l'abri dans une chambre d'hôtel.

 L'appât du gain reste le mobile soupçonné derrière cette tentative(on sait pas ? peut-être que noui? peut-être que non?) de monnayer une liste de plusieurs centaines d'informateurs. On croit que Davidson avait l'intention de vendre la liste au plus offrant, d'empocher le magot et de s'installer au Costa Rica, où il aurait des assises. Son frère Alexander J. Davidson y posséderait une luxueuse résidence.Selon des sources policières, plusieurs membres de la mafia montréalaise y auraient élu domicile.Pour le Costa Rica: On estime que 4,5 milliards $ sont perdus annuellement en évasion fiscale venant du crime et de la corruption. Concernant l'argent blanchi, on parle de 1,6 milliard $, l'équivalent de 20 % du produit intérieur brut (PIB) de l'économie du pays.

Mais en Octobre Davidson, n'a pu se rendre au Costa Rica avec un autre policier(Taupe du SPVM ? ou ami de Davidson ?),car on l'a intercepté a l'aéroport Trudeau!
Était-t'il payer pour la liste ou pour les noms divulgués ou laisser sur support informatique chez eux ,comme ceux trouvés dans sa jeep ou on a confisqué son ordinateur portable avec une liste de noms d'informateurs civils (la nuit de son suicide, a l'arme blanche)? Était-il a la recherche de contacts d'ex-informateurs ,déja rendu au Costa Rica,son Frère,......... ? Le Costa Rica était la récompense et l'asile
Selon Claude Poirier ,Davidson il aurait eut des entrés ou des contacts (de policiers mafieux) pour être en contact avec la mafia.Tout comme l'ex-président des USA , George W. Bush ,père, avait des contacts avec Ben Laden et sa famille.Tout le monde saient ça,car la CIA après avoir formé Ben Laden au terrorisme,il l'ont laissé a lui-même!Donc,quand sa sert plus a rien ,et plus aucune information sur l'ennemi vous reviens,on l'élimine.
Pour Davidson,si sa chambre d'Hotel fut réserver par une femme (et non lui) et qu'il a laisser une lettre a sa mort, a son Hotel,c'est qu'il se rendait la pour en finir,car plus personne ne voulaient dealer avec lui. Parce qu'abandonner par ceux avec qui il faisait affaire ? Ou que Davidson même s'il avait les entrés pour cotoyer le milieu de la mafia,ceux-ci (dont Tony Mucci par l'entremise de son avocat)n'ont pas accepter la liste d'informateurs(car c'est mieux une liste d'infiltrateurs),par peur du risque que ça représente.Tony Mucci ? (Celui qui avait tiré sur le journaliste Jean-Pierre Charbonneau)Et que Davidson ,ex-SPVM n'aurait jamais eut la chance de quitter le pays incognito.Il était un lien ,rien de moins.Le Costa Rica c'était du vent ,que laissait miroiter ces supposés amis.Et le commandant à la retraite, Richard Dupuis, lui a eu sous ses ordres Ian Davidson, Benoît Roberge et Philipe Paul, aurait dû se garder une petite gêne. Ce n'est pas parce que tu es nommé à la tête d'un groupe que tu es compétent.xLors de la diffusion de l'émission Policier criminel , ce commandant dit que Benoît Roberge lui a communiqué le renseignement qu'un tueur des Hells Angels revenait au Québec et que sa source d'information demandait d'attendre un peu avant de procéder à l'arrestation, afin de protéger sa propre vie,c'est bizarre.


Celui qui a aidé Ian Davidson à marchander la base de données contenant le nom de milliers d'informateurs confidentiels était encore plus proche qu'un ami.
C'était son fils, Christian.
C'est Christian, un travailleur de la construction dans la vingtaine, qui a approché le gang de Kurdes, par courriel. Il a également été enregistré discutant de cela avec son père par les policiers qui étaient à ses trousses, entre avril et octobre 2011.
C'est ce qui ressort d'informations recoupées par les différents journalistes de La Presse qui, cette semaine, ont travaillé sur cette affaire troublante et fascinante, celle d'un policier sans histoire qui, après 33 ans de carrière, décide de monnayer des données hypersensibles.
Rien n'indique, selon ce qu'on sait, que le fils ait eu accès au contenu de la base de données. Il aidait son père - qu'il présentait comme son «patron» - à marchander ces informations.
Et comme lui, Christian Davidson n'a jamais été accusé dans cette affaire.
Pourquoi?
Parce que monter le dossier d'accusation a représenté un véritable casse-tête pour les policiers et pour la Couronne après que Davidson eut été interpellé à l'aéroport de Montréal, en octobre.Plusieurs personnes s'étonnent aussi que ceux qui ont réussi à coincer M. Davidson ne l'aient pas mis aux arrêts immédiatement pour éviter toute nouvelle fuite de renseignements. Les règles de divulgation de la preuve sont telles que la Couronne aurait probablement dû remettre à la défense le matériel informatique récupéré, au prix d'efforts dignes d'un thriller, par les policiers affectés à l'enquête.Ian Davidson n'avait pas seulement tenté de remettre aux criminels la liste de noms d'informateurs, mais aussi une bonne partie du contenu des enquêtes en cours. Le discours officiel au SPVM n'en donnait pas toute l'envergure. Pour leurs révélations, les deux journalistes ont remporté le prix du meilleur scoop de l'année 2014 de l'Association canadienne des journalistes en juin dernier.

Certains diront que de stooler des collègues de travail corrumpu au SPVM ,ça revient par vous mettre dans l'embarras et de vous retrouver en policier corrompu  vous même,mais par des manigances inventées de toute pièce pour vous fermer la gueulle !
REF.:

mercredi 8 février 2012

La chanson que les Banquiers déteste et qui deviendra réalité bientôt ?

Les Parisiennes ?






MC Solaar - L'Argent Ne Fait Pas Le Bonheur ?

 

Michèle Richard - L'argent ne fait pas le bonheur - 1968

 

 

Clip de BEBAK "L'argent ne fais pas le bonheur

 

REF.: l'enfer,

mardi 7 février 2012

Parce qu'on se pardonne,.....même en bas !




Le désordes,fera la place a ....................


l'ordre ,la fuite de la.......de la jeunesse qui vous oublira . Car par l'usure du temps,vous serez changer en silice ,que l'ont mettra dans leurs iPod.


REF.: Heaven,