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vendredi 3 février 2012

Vivre dans la rue dignement !

Soins intensifs: Dans la rue




Pénélope Boudreault est infirmière de proximité pour Médecins du monde. Son bureau, c'est le centre-ville de Montréal. Elle et sa collègue Sarika Beauchamp s’y rendent de jour comme de soir pour aller à la rencontre de ceux qu'elles soignent, les gens de la rue. À chaque année, les mois de novembre et de décembre sont durs pour cette clientèle vulnérable. C'est dans la rue, les centres communautaires, les bars et les piqueries que les deux infirmières établissent des ponts avec eux et tentent de leur redonner du souffle. Leur rôle : soigner et accompagner des patients mal desservis par le système de santé. Un travail qu'elles font de pair avec les intervenants de tous les organismes et ressources des quartiers qu'elles visitent. Les suivre, c'est découvrir la ville, ses recoins parfois sombres, ses marginaux et surtout, c'est mettre en exergue la vocation de jeunes professionnels de la santé aux idéaux nourris mais confrontés aux écueils d'un système en pleine mutation, dont les rouages manquent définitivement d'huile. Des jeunes qui travaillent en étroite collaboration, sur le terrain, pour atteindre une clientèle difficile d'accès dans un milieu de travail qui est, tous les jours, dur et confrontant.

Beaucoup de ressources existe,pour s'en sortir et  Médecins du Monde en action est la pour vous aider;

L'Unité d'intervention mobile l'Anonyme :
L’Anonyme fait la prévention du VIH/SIDA auprès :
- des jeunes de 14 à 30 ans,
- de toute personne de plus de 30 ans susceptible d’avoir des comportements à risque.

Philosophie d'intervention: Notre action est basée sur une approche humaniste, l’écoute active et le respect du rythme personnel. Nous adoptons l’approche de la réduction des méfaits associée aux comportements à risque.

Objectifs:Outre la prévention des infections transmises sexuellement et par le sang (ITSS) auprès des populations à risque, l’Anonyme :

- intervient dans l’environnement des jeunes et des personnes ayant des comportements à risque,
- promouvoit leur santé globale,
- développe une collaboration avec différentes instances du réseau de la santé, des services sociaux et communautaires afin d’orienter les personnes qui se sentent prêtes, dans leur démarche de prise en charge,
- offre un lieu de formation professionnelle pour les étudiants et stagiaires des institutions d’enseignement collégial et universitaire.

Partenaire de la Direction de santé publique depuis 1998, l’Anonyme a le mandat de réduire la propagation des ITSS. Les intervenants effectuent donc l’échange et la distribution de matériel de prévention tout en référant, en faisant de l’éducation et en orientant en matière de santé physique ou mentale. Mais les intervenants offrent aussi de l’accompagnement vers les refuges ou les diverses ressources sociales ou en santé, en particulier lorsque les personnes n’ont plus de pièces d’identité ou de cartes d’assurance-maladie.

Stella :
Aujourd’hui, jusqu'à une douzaine de personnes travaillent à temps plein pour Stella et le nombre de nos membres ne cesse de croître.
Les actions entreprises par les membres de Stella et de la Coalition pour les droits des travailleuses et travailleurs du sexe ont suscité l’intérêt des gouvernements national, provincial et municipal de même que du mouvement des femmes du Québec. Tous ces acteurs étudient désormais le discours des travailleuses du sexe et l'incluent dans leur réflexion.
Aujourd'hui, l’expertise des femmes de Stella est reconnue et recherchée. Nous recevons régulièrement des prix et sommes membres de divers comités, coalitions, groupes de recherche et conseils d’administration, tandis que notre présence dans les médias et à titre de conférencières invitées est constante.


 Autres ressources: Ici !

Réchauffement climatique,"GES" , une farce de Capitali$te !

CA_NathalieElgrablyLevy

Nathalie Elgrably-Lévy

Journal de Montréal, Publié le: | Mise à jour:
La classe politique québécoise prend très à cœur la question du réchauffement climatique et ne manque pas une occasion de réitérer la nécessité de se conformer au protocole de Kyoto.
Tout récemment, Mme Marois déclarait : « Un gouvernement du PQ va continuer dans la voie (du protocole de) Kyoto. […] Et Kyoto, nous, on y croit. » Peu de temps avant, le ministre de l’Environnement, Pierre Arcand, annonçait la mise en place d’une bourse du carbone afin de réduire de 20 %, d’ici à 2020, les émissions de GES par rapport au niveau de 1990.
Leurs intentions sont certainement louables, mais leurs positions catégoriques deviennent absurdes à la lumière des dissensions scientifiques qui minent chaque jour davantage la théorie du réchauffement anthropique. À écouter leurs propos tranchés et leur dévotion à la cause, on pourrait croire qu’ils ignorent totalement les séismes qui secouent à répétition la science du climat. Ne s’informent-ils donc pas ?
Il y a quelques jours à peine, un autre collectif, celui-ci composé de 16 chercheurs de réputation mondiale, a signé un texte nous invitant à ne pas paniquer à propos du réchauffement climatique. Selon eux, il n’existe aucun argument scientifique irré­futable pour justifier l’adoption de mesures radicales de décar­bonisation de la planète.
La vérité triomphe
L’impact de ce texte est toutefois marginal à côté du coup de grâce porté, presque simultanément, par l’unité de recherche sur le climat de la University of East Anglia (UEA), située au Royaume-Uni. On se souvient que ce sont principalement des chercheurs de cette université qui ont influencé le GIEC, les décisions de nos gouvernements et les propos apocalyptiques d’Al Gore. L’un d’eux, David Viner, avait même affirmé que les enfants britanniques ne connaîtraient pas la neige. On se souvient également que ce sont les chercheurs de ce même établissement qui ont été au centre du scandale des courriels (Climategate). On leur reprochait, entre autres, d’avoir dissimulé l’absence de réchauffement au cours de la dernière décennie.
Heureusement, la vérité finit toujours par triompher. Des chercheurs de la UEA viennent de dévoiler leurs dernières conclusions à la suite de l’analyse de données provenant de 30 000 stations. Le verdict est simple : il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis 1997 ! Vous avez bien lu, le berceau de la théorie du réchauffement climatique confirme que sa thèse était fausse. Son discours alarmiste était donc non fondé. L’édifice climato-catastrophiste était lézardé depuis plusieurs années. Avec les révélations de la UEA, il s’est complètement écroulé.
Quelques questions
J’adresse donc quelques questions élémentaires à nos politiciens encore déterminés à sauver l’humanité : maintenant que vous savez que les chercheurs qui sont à l’origine de la thèse du réchauffement climatique sont revenus sur leurs affirmations et qu’ils confirment que la température n’a pas bougé depuis 15 ans, allez-vous à votre tour réviser vos politiques environnementales ?
Êtes-vous toujours résolus à saboter notre économie avec une bourse du carbone destinée à corriger un problème que vous êtes maintenant seuls à voir ?
La thèse du réchauffement climatique est morte… Un véritable leader ne pourra feindre de l’ignorer !

REF.:

mercredi 1 février 2012

Les voitures a essence réduiront 4,1 fois plus les "GES" que les auto électriques

Voiture électrique - Pas la panacée pour l'environnement
Une voiture électrique conçue par TATA est présentée au Salon international de l'auto de Détroit, en janvier 2012. 
© STAN HONDA / AFP
Voiture électrique

Pas la panacée pour l'environnement !

BERLIN - Le développement des voitures électriques en Allemagne peut permettre de réduire les émissions de CO2 mais dans une moindre mesure que celle de voitures traditionnelles moins gourmandes en carburant, selon une étude publiée lundi par l'Institut allemand d'écologie appliquée.
(quoi,c'est tu le Lobby du pétrole que parle pour les voitures a essence ? )
L'institut, qui estime que d'ici 2030 les voitures électriques, hybrides compris, représenteront 14% du parc allemand, a calculé que grâce à elles, les émissions de gaz à effet de serre devraient baisser de 6%, selon une étude commandée par le ministère de l'Environnement.
«Mais il ne s'agit pas d'oublier les voitures conventionnelles. Si les voitures à essence gagnent fortement en efficacité énergétique d'ici 2030, elles peuvent faire baisser de 25% les émissions de gaz à effet de serre» dues à la circulation automobile,(4,1 fois plus que les autos électriques) beaucoup plus donc que les voitures électriques, relève Florian Hacker, chercheur, dans un communiqué de presse accompagnant l'étude.
Par ailleurs l'institut met en garde contre d'éventuels effets pervers pour l'environnement qui pourraient apparaître si toutes les voitures électriques sont rechargées au même moment, en soirée après une journée de travail, occasionnant «des pics de consommation à des moments défavorables».
Cela pourrait «renforcer le recours à des centrales à charbon polluantes, qui sont surtout mises à contribution pendant la nuit en Allemagne».
«La condition décisive pour que les voitures électriques soient un succès est le développement des énergies renouvelables», de manière à ce que toute la consommation supplémentaire occasionnée par ces véhicules soit couverte par des sources «vertes», conclut Charlotte Loreck, experte des questions du marché de l'électricité de l'institut.
Ce dernier a calculé qu'en 2030 les voitures électriques consommeront 11 térawattheures, soit 2% de la consommation actuelle de l'Allemagne.

REF.:

samedi 28 janvier 2012

Financer un véhicule,au-delà de quatre ans, ça peut être vraiment exagéré

Financement d'une voiture - Quatre ans c'est assez
Le CAA-Québec dénonce les offres jusqu’à huit ans offertes aux consommateurs par certains constructeurs. 
© JEAN-FRANCOIS DESGAGNES / ARCHIVES AGENCE QMI

Quatre ans c'est assez

QUÉBEC - Financer l'achat d'une voiture avec intérêts au-delà de quatre ou cinq ans est vraiment déraisonnable selon le CAA-Québec, qui dénonce les offres jusqu'à huit ans offertes aux consommateurs par certains constructeurs. «On ne veut pas jouer à la mère avec les consommateurs, mais on leur demande d'être vigilants. Une voiture est un bien qui se déprécie extrêmement rapidement et surtout après quatre ans», explique M. Philippe St-Pierre, responsable des communications au sein de l'organisme.
Par exemple, acheter une Impala Chevrolet au prix de détail, avec taxes, de 34 756$ coûtera, en bout de ligne, 41 251$ si elle est financée sur 84 mois à un taux d'intérêts de 4,99%.
Mais là où le CAA-Québec s'inquiète davantage, c'est l'argent que perdra le consommateur s'il décide de vendre sa voiture après quatre ans. Dans le même exemple, la valeur résiduelle de l'Impala sera de 7700$ alors qu'il restera des versements de 17 679$ à faire, soit une perte nette de 9979$ pour le consommateur. «On voit donc qu'au-delà de quatre ou de cinq ans, ça peut être vraiment exagéré de financer un véhicule», ajoute M. St-Pierre.
Intérêts
Mais tout est dans la notion d'intérêts sur le financement à long terme. Comme plusieurs constructeurs proposent 0% à l'achat, il faut donc réfléchir pour une voiture neuve, dit-il.
«À l'opposé, quand on voit des offres jusqu'à 96 mois à 4% ou 5% d'intérêts, c'est huit ans. On se retrouve en 2020 et c'est long pour un propriétaire de voitures qui aime changer régulièrement», dit le porte-parole du CAA.


REF.:

Mercantilisation de la vie ou entraide économique ?


Forum social - «Les peuples ne doivent pas continuer à payer pour cette crise»
 
©CHRISTOPHE SIMON / AFP

«Les peuples ne doivent pas continuer à payer pour cette crise»

PORTO ALEGRE - «Les peuples ne doivent pas continuer à payer pour cette crise», ont déclaré samedi les mouvements présents au Forum social, principal rassemblement anticapitaliste de la planète, qui achevait ses travaux ce week-end à Porto Alegre (sud du Brésil).
Le Forum a rejeté dans le relevé de conclusions de ses travaux «les mesures d'austérité» contenus dans «des trains de mesures économiques qui privatisent les biens, baissent les salaires, réduisent les droits, aggravent le chômage et exploitent les ressources naturelles».
Il a appelé de ses voeux «un État libéré des multinationales et au service des peuples».
Le Forum a vu la forte résurgence du thème lancé par le mouvement «Occupy Wall Street» à la fin de l'an dernier au cours duquel les citoyens ont fait savoir aux élites politiques et économiques qu'ils ne se sentaient pas représentés, affirmant: «Nous sommes les 99% et vous n'êtes que le 1%».
Quelque 40 000 personnes ont participé à cette édition extraordinaire du Forum social mondial, convoquée pour définir la position des organisations sociales au prochain sommet de l'ONU Rio+20, une rencontre qui a pour objectif de faire que les dirigeants de la planète s'engagent dans une nouvelle «économie verte» et sociale.
Le Forum a appelé à une journée mondiale de manifestations le 5 juin prochain.
Il a également lancé «Le Sommet des Peuples» qui sera installé en juin à Rio de Janeiro et appellera des dizaines de milliers de personnes à exercer une pression effective sur les dirigeants présents à Rio+20 qui se tiendra dans le courant du même mois.
Les mouvements sociaux ont vivement critiqué le concept d'«économie verte» que ce sommet, le quatrième que l'ONU convoque pour le développement durable depuis 1972, prétend instituer.
«Ils essaient d'imposer l'économie verte comme solution à la crise de environnementale et alimentaire», mais «en plus d'aggraver le problème, on aboutit à une mercantilisation de la vie», ont estimé samedi les mouvements sociaux au cours d'une assemblée qui était le principal événement des cérémonies de clôture du Forum.
Le Forum social mondial vise à opposer la position des citoyens au Forum économique mondial qui réunit à la même période de l'année à Davos, en Suisse, les dirigeants politiques et les grands chefs d'entreprises de la planète.


REF.: