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lundi 9 janvier 2012

Les Pitbulls non équilibrés ou Maîtres déséquilibrés ?

Celui de Keven Frégeau avenue de Gaulle,Charlesbourg quebec
Y reste ou ? ..................ici.
Quand les pitbulls sont maltraites ,c'est ça qui arrive ! Surtout que Kevin a poignardé son chien ?!!!!

Marie-Claude Poliquin, de Saint-Hippolyte ,n'aurait pas présenter de la bonne manière le chiot a la cliente qui s'est fait défigurer ,par la mère pitbull qui protégait son petit!

César Millan ,n'a jamais dit de faire ce que font la plupart de c'est illétrés et apprenti chef de meute a la gomme !César Millan dit  qu'il réhabiliter les chiens et forme les gens, et il veut aider à éduquer les gens sur les pit-bulls, parce que mettre fin aux préjugés commence avec l'éducation. Et ce n'est pas seulement des pit-bulls, il ya des préjugés au sujet de toutes les races. Donc, sur CesarsWay.com, nous voulons faire davantage pour aider à éduquer.Et l'histoire de Daddy et Junior en est la preuve !

Le chien descent du loup,le singe descent de l'arbre et l'homme lui,descent aux enfers. Ce n'est pas un joujou,on le flatte quand il est calme et non quand il est anxieux,c'est pour ça que vous encouragez son mauvais comportement.Faut que les mâles soient castrés,équilibrés et soumis,sinon ne jamais regarder un chien anxieux dans les yeux,et faut présenter le derrière d'un chien et le faire sentir avant tout !Tout le mode saient que les jeunes d'aujourd'hui ne sont pas mature avant d'avoir passé leurs crises d'ado,alors c'est pas avant 33 ans environ pour nos générations X ou Y ou C !
Et pour équilibré votre chien,il faut que votre chien parte a la rencontre d'une meute ou d'un parc a chien ! Seulement 5% des maîtres connaissent vraiment la psychologie canine,et comme beaucoup d'humain ne sont pas équilibré,leurs chiens aussi.

 


REF.:

Drame Bonaventure:Le 2ième poplicier aurait dû tirer dans les jambes du déficient mental

C'est ce que tous les spécialistes se disent actuellement pour cette tragédie du Métro Bonaventure .
Pas de gun Taser,car il n'y en avait pas de disponible!


Abattu au métro Bonaventure - L'itinérant abattu tentait de s'en sortir
Farshad Mohammadi 
© Courtoisie

MONTRÉAL - L'itinérant abattu par les policiers vendredi au métro Bonaventure prenait part à un programme de réinsertion sociale parrainé par l'Institut universitaire en santé mentale Douglas depuis l'été dernier. Grâce au programme « Chez soi », Farshad Mohammadi, 34 ans, a donc été suivi et avait même réussi à emménager dans un logement, un appartement supervisé, l'été dernier.

Mohammadi a par contre été expulsé du logement en novembre dernier en raison de ses problèmes de comportement.
Ce projet-pilote financé par la Commission de la santé mentale du Canada a été lancé l'été dernier dans cinq villes canadiennes : Moncton, Montréal, Toronto, Winnipeg et Vancouver.
Il a pour mission d'aider les itinérants aux prises avec des problèmes de santé mentale à sortir de la rue.
Les gens qui ont côtoyé Mohammadi dans la rue font état de son caractère calme, mais imprévisible, et de sa consommation de drogue. Il était vu dans les rues de Montréal depuis 2008 et il fréquentait plusieurs refuges.
Gilles St-Louis, un ancien voisin de Farshad Mohammadi a fait état du comportement parfois explosif du sans-abri. « Des fois, il était agressif un peu, verbalement. Souvent, il venait m'achaler pour de la bouffe. Avec son argent il achetait du pot. Je lui ai dit un jour "Si t'es capable d'acheter du pot t'es capable d'acheter de la bouffe avec".
Il n'était pas content quand je lui ai dit ça, il m'a dit : "I'm gonna fuck you up" ».
Cet ancien voisin, qui a aussi été sans-abri, n'a jamais pensé que Mohammadi s'attaquerait aux forces de l'ordre. « Je savais qu'il était malade, mais pas à ce point-là. Des fois il faisait des crises, il parlait fort dans sa langue, y'a eu des plaintes », a-t-il dit.
Une enquête de la Sûreté du Québec est toujours en cours en lien avec les évènements de vendredi lorsque l'homme a été abattu par les projectiles des policiers dans le métro.


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dimanche 8 janvier 2012

C ki l'cave ? Fermer une ligne de métro pour un fou tuer dans une sortie de métro !

C'est ce que fait allègrement la STM a chaque bavure de police dans le métro !
On cherche des pièces a conviction,...............un X-acto ? Laisser les étinérants tranquilles,.........c'est ce qu'on voit a 5:30 hrs le matin dans les bancs du métro souterrain de Montréal (parce que la police du Métro est couché),juste a côté des coquerelles (Guy-concordia)et verres vides a côté des poubelles qui sont rendu au premier plancher maintenant (le bac a recyclage est changé de place)!
Drame au métro Bonaventure - L'homme abattu était un sans-abri
Une agression armée contre des policiers est survenue à la station de métro Bonaventure, située sur la ligne orange, à Montréal, le vendredi 6 janvier 2012.  
© Mathieu Lebrun / Agence QMI
La ligne orande est la plus souvant interrompu de tous !

Le suspect abattu vendredi après-midi à la station de métro Bonaventure, au centre-ville de Montréal, était un sans-abri, ont confirmé samedi matin les policiers.
Il s'agit de Farshad Mohammadi, un homme de 34 ans d'origine iranienne. Les policiers n'avaient pas encore réussi à joindre sa famille, samedi.
Des responsables de la Mission Old Brewery ont indiqué que M. Mohammadi avait fréquenté ce refuge pour sans-abri au cours des dernières années. Ils étaient toutefois sans nouvelle de lui depuis environ deux ans.

À lire également:
Un homme meurt sous les balles de la police
La Sûreté du Québec tente toujours de démêler les détails de cet événement. Mais selon des témoins, les agents du SPVM auraient d'abord voulu interpeller le suspect, pour un motif encore nébuleux. Deux policiers auraient ordonné à la victime de se coucher au sol.
«Il y avait deux policiers, un avec une matraque électrique et l'autre avec un fusil, ils pointaient un homme, a raconté Carl, témoin de la scène. L'homme marchait les mains dans les poches, manteau de cuir, cheveux gris peignés par en arrière [...] Un personnage assez louche qui restait calme même si les policiers pointaient des armes sur lui. Il continuait de marcher sans regarder les policiers.»
«Il avait l'air de quelqu'un fâché de s'être fait prendre, a précisé le témoin. Il avait l'air lucide.» Le suspect aurait alors tenté de fuir par un escalier. «Quand il a tourné le coin, on a entendu trois coups de feu, a ajouté Carl. On a tourné le coin et il y avait un policier par terre.»
Un agent a été sérieusement blessé par une arme tranchante et son collègue a été victime d'un choc nerveux. Tous deux ont été transportés à l'hôpital et avaient reçu leur congé, samedi en mi-journée. Ils devaient être rencontrés par les enquêteurs par la suite.
Quant au suspect atteint par balle à l'épaule, selon certaines sources, il a succombé à ses blessures. Station fermée. L'événement a engendré une opération policière de grande envergure aux alentours du 1000, De La Gauchetière, qui donne accès à la station de métro Bonaventure.
Celle-ci a été fermée jusqu'à la fermeture du métro vendredi soir afin que les enquêteurs puissent faire leur travail. La Société de transport de Montréal a cependant pu rouvrir la station samedi matin dès les premiers départs. Le métro s'y arrêtait normalement.
Comme le veut la politique du ministère de la Sécurité publique, un autre corps policier – la SQ, en l'occurrence – a été chargé de faire la lumière sur l'intervention des policiers de Montréal.
Intervention questionnée
Trop de questions demeurent en suspens, selon le spécialiste en intervention policière, Martin Courcy. «Pourquoi les policiers n'ont pas tiré lorsque leur vie était en danger? Pourquoi ils ont seulement tiré lorsque l'individu se sauvait? Est-ce qu'il représentait une menace quand il s'est sauvé?» demande M. Courcy.
De leur côté, les représentants des personnes itinérantes se disent irrités par la situation. «Les interventions policières tournent mal dans un trop grand nombre de cas, donc il faut agir autrement», croit Pierre Gaudreau, du Regroupement pour les personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). M. Gaudreau estime que le mode d'intervention des policiers et la façon d'enquêter sur leur travail doivent être revus.


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