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dimanche 13 janvier 2013

Le Premier journaliste a percer la censure de la guerre d'Irak aux Terroristes

 Le Premier journaliste a percer la censure de la guerre d'Irak aux Terroristes


guerre, NWD, terrorisme

Le premier journaliste a se rendre sur l'autoroute de la mort et a se mettre amis avec les soldats des USA pour prendre en photos les horreur de la guerre d'Irak est : Kenneth John Jarecke.


Selon les spécialistes ,le terrorisme : c'est d'inculquer la peur par tous les moyens.Le fait de faire peur est un acte majeur,et très grave,par ce qu'on saient que la peur est instinctive et nous fait réagir de façon prémitive.Donc si quelqu'un par une quelconque action inculque la peur et la terreur.Il modifie la pensée de l'individu ,son comportement et ses réactions.Donc le terrorisme est dangereux pour cela.Il n'est pas dangereux, a cause des victimes qu'il crées ,car il fait moins de victimes que les accidents de la route.il n'est pas dangereux a cause des armes,il est dangereux parce qu'il change foncièrement la psychologie des individus ,des humains.





 sa première photo publié seulement en Angleterre,les médias des États-Unies l'on censuré.


Nota:
A Osirak il y a eut une première centrale nucléaire livré par la France et détruite par Israel.Il y a eu 22 pays qui ont fournit des armes en irak.
L'italie a envoyé de l'équipement pour transformer l'uranium de l'Traq.
L'allemagne a fournit des armes chimiques a l'Iraq.
Les USA ont vendus des hélicoptères pour l'Iraq pour épandre des pesticides,mais celle-ci les utilisa et modifia pour faire la guerre.

samedi 29 décembre 2012

Le Bush-WTC Syndrome ?

Le Bush-WTC Syndrome ??? 

C'est que lorsque le FBI ,le MI6 et le service secret Allemand (BND),ont averti le président Bush des attaques du WTC (World Trade Center),ainsi que les fausses informations des armes de destruction massive en Irak,il n'a rien fait ,et a simplement appliqué sa politique !
Pour l'administration Bush c'était l'information qu'on avait besoin pour justifier la guerre en Irak(une guerre inventée) .Car la peur des États-Unies est de recevoir une bombe nucléaire sur la tête.Et par la propagande de la chasse aux Terroristes ,les américains ont changés foncièrement la psychologie des individus ,et des humains ,en inculquant la peur pour avoir l'approbation du public a cette cause.

La fille de l'embassadeur du Koweit a washington a été payée plus de $ 10 Millions par le firme de marketing Hill and Knowlton(qui avait un contrat avec le gouvernement du Koweit) pour faire un faux témoignage ,concernant les atrocités de la guerre en Irak.La firme fait des propagande que Saddam est la copie conforme d' Hitler.
La fille de l'embassadeur du Koweit.
La firme Hill and Knowlton.


En Fevrier 2003, Collin Powell a dit devant l'ONU qu'il avait un témoin qui justifiait la production d'armes de destruction massives.Et Fared Al Janabi(l'espion voyou exilé d'Irak) a mentionné durant un entrevu qu'il avait inventé les croquis du Laboratoire mobile d'armes de destruction massives ,a la demande des États-Unies.Donc,c'est a la demande du Colonel Lawrence Wilkerson,chef du cabinet de Colin Powell (2002-2005)que l'on refit les schémas représentant ,le laboratoire d'armes biologiques mobile


Donc,les informations ont été utilisées pour correspondre a la politique de la Maison Blanche par l'intermédiaire du Militaire qui pilotait le dossier,sans l'aide de la CIA.Et que nous savons maintenant que le MI6 et les services de renseignement allemand,avaient prévenu la CIA ,qu'a leur avis , balle courbe ,n'était pas totalement crédible . Et après la guerre,les USA ne trouveront jamais la trace de ce Laboratoire mobile.

Ce n'est qu'a ce moment que la CIA n'a eut la possibilité d'interroger "balle courbe" . Peu après ,elle a pris la mesure ,très inhabituelle d'émettre un avis de rétractation pour tous les renseignements que "balle courbe " a fourni.

Lorsque les enjeux sont trop élevés ,il y a toujours la tentation d'aller trop loin !
C'est ce que la Maison Blanche a peut-être fait pour controler ,le pétrole et le Terrorisme ,en même temps !

*** Donc Hydro-Québec comme toutes les grosses entreprises,ne peuvent offrir un service d'entretien de ses installations ??? C'est comme les viaducs du secteur de Laval ,qui nous ont tombé dessus(le ciment comme la surveillance des travaux étaient minable) !


REF.: Google est ton ami,

samedi 10 novembre 2012

Ben Laden retrouvé grace a un Montréalais ?

Interrogatoires - Les aveux d'un ancien imam montréalais auraient permis de retrouver Ben Laden
Mohamedou Ould Slahi 
Photo courtoisie / Agence QMI

Les aveux d'un ancien imam montréalais auraient permis de retrouver Ben Laden

MONTRÉAL - La confession d'un ancien imam d'une mosquée de Montréal aurait permis de retracer Oussama ben Laden au Pakistan, et de l'éliminer en avril 2011. C'est ce que indique l'ouvrage The Finish : The Killing of Osama bin Laden du journaliste américain Mark Bowden, publié le mois dernier.
Ce sont les informations fournies durant des interrogatoires par un ancien chef religieux d'une mosquée montréalaise, Mohamedou Ould Slahi, qui ont permis de remonter la piste de Ben Laden.
Mohamedou Ould Slahi a rejoint les rangs d'Al-Qaïda dans les années 1990, et est venu s'installer à Montréal en novembre 1999, où il a remplacé lors du ramadan l'imam de la mosquée Al Sunnah Al Nabawiah. Il s'est alors mêlé aux activités d'un cercle d'immigrants originaires d'Afrique du Nord actifs dans le réseau de Ben Laden, incluant notamment Ahmed Ressam. Ce dernier a été récemment condamné à 37 ans de prison pour avoir tenté de faire exploser une bombe à l'aéroport de Los Angeles lors du passage à l'an 2000.
Arrêté en Mauritanie après les attentats du 11 septembre 2001, puis soumis à des «interrogatoires coercitifs», Mohamedou Ould Slahi a mentionné le nom d'Abu Ahmed al-Kuwaiti. Ce dernier, un messager fidèle de Ben Laden, aurait permis aux services secrets américains de localiser la résidence où se cachait le chef d'Al-Qaïda, en banlieue de la ville d'Abbottabad, au Pakistan.
Si le nom d'Abu Ahmed al-Kuwaiti est revenu souvent par la suite dans les aveux de prisonniers incarcérés à Guantanamo, c'est Mohamedou Ould Slahi qui l'a prononcé pour la première fois, a confirmé Mark Bowden. C'est grâce à lui que l'on a commencé à s'intéresser à Ahmed al-Kuwaiti, lequel a conduit jusqu'au chef d'Al-Qaïda.


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jeudi 27 septembre 2012

Drone robotisé et sans émotion

Innovation - Les drones deviendront intelligents et totalement autonomes
 
Photo apfelweile - Fotolia

WASHINGTON - La flotte américaine de drones est appelée à laisser sa place à une nouvelle génération de robots plus rapides et plus intelligents qui opéreront sans intervention humaine, une autonomie grandissante qui pose de nombreuses questions morales et légales.

Aussi sur Canoe.ca:

Dossier spécial Robotique: une révolution à la porte de notre société
- Les guerres de robots, l'avenir des conflits armés?
- 6 robots déjà en fonction dans l'armée américaine
- Ces innovations ne relèvent plus de la science-fiction!
À l'heure actuelle, les Predator et autre Reaper sont contrôlés, parfois à des milliers de kilomètres, par le joystick d'un pilote. Mais avec les investissements massifs du Pentagone dans l'«autonomie» des systèmes d'armes robotisés, les scientifiques prévoient qu'à l'avenir des engins volants, terrestres ou sous-marins travailleront aux côtés de l'homme avec une supervision minimale.
«Avant, ils étaient aveugles, sourds et stupides. On commence maintenant à les faire voir, entendre et sentir», explique Mark Maybury, le scientifique en chef de l'armée de l'Air américaine, pour qui les humains n'auront plus à intervenir que pour donner un ordre ponctuel.
Pour Peter Singer, expert en armements robotiques et auteur de «Wired for War», le rôle de l'homme «passe de celui d'un opérateur à distance à celui de superviseur ou de gestionnaire qui lâche de plus en plus la bride» au robot.
En dépit des progrès technologiques, le Pentagone assure que l'utilisation des armements resteront sous contrôle de l'homme.
«Les progrès permis par la science, les besoins politique et du champ de bataille nous emmènent dans des contrées où le juriste n'est pas encore prêt à aller», constate cependant Peter Singer.
Au cours de la prochaine décennie, les progrès informatiques devraient permettre à des drones de voler par eux-mêmes, comme des «ailiers robotiques» d'avions classiques, pronostique Werner Dham, ancien scientifique en chef de l'Air Force.

Beaucoup plus près qu'on l'imagine

En plein désert d'Arizona (sud-ouest), des expérimentations ont déjà commencé avec des hélicoptères d'attaque Apache volant en formation avec des hélicoptères drones.
«On n'est plus très loin d'avoir un seul hélicoptère volant avec une formation complète de drones», explique Werner Dahm, désormais professeur à l'université d'Arizona. «On en est beaucoup plus près que ce que la majorité des gens imaginent».
Ces nouvelles technologies ont chamboulé la doctrine de l'Air Force. Pendant des décennies, les pilotes étaient formés pour faire face à un ennemi tout en volant loin au-dessus du territoire ennemi ou bombarder une cible.
Dorénavant, les scénarios envisagent la conjugaison de différents systèmes, des drones brouillant par exemple les défenses anti-aériennes ennemies tandis que des avions pilotés se chargent du bombardement proprement dit.
D'autres drones, «jetables» et plus petits pourraient même à l'avenir être largués depuis un autre appareil pour accomplir une tâche précise avant de s'écraser au sol.
Le principal obstacle technique pour les scientifiques du Pentagone reste toutefois de pouvoir fournir une garantie à toute épreuve que les engins les plus autonomes ne commettront pas d'erreur aux conséquences potentiellement catastrophiques.
«Nous devons montrer que le système ne va pas fonctionner de travers», explique le scientifique, selon qui il est «très difficile» d'apporter une preuve par la négative.
Certains, à l'instar de Ronald Arkin, professeur de robotique au Georgia Institute of Technology, sont convaincus qu'au bout du compte, des pays auront recours à des drones totalement autonomes capables de tuer des ennemis sans intervention humaine.
Il faut donc selon lui mettre au point des armes capables de distinguer un combattant d'un civil, qui commettront moins d'erreur que des hommes car elles sont simplement dénuées d'émotions.
«Je ne prétends pas qu'elles seront parfaitement éthiques mais elles seront meilleures que les humains sur le champ de bataille», ajoute Ronald Arkin.


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dimanche 15 juillet 2012

Le criminel nazi le plus recherché a été retrouvé

Budapest - Le criminel nazi le plus recherché a été retrouvé
 
Photo Martin Cintula - Fotolia.com

JÉRUSALEM - Le criminel nazi le plus recherché au monde Laszlo Csatary, âgé de 97 ans et accusé de complicité dans la mort de 15 700 juifs pendant la Deuxième Guerre mondiale, a été retrouvé à Budapest, a indiqué dimanche le directeur du bureau du centre Wiesenthal en Israël.
«Je confirme que Laszlo Csatary a été identifié et retrouvé à Budapest», a déclaré à l'AFP Efraim Zuroff. «Le (quotidien britannique) Sun a pu le photographier et le filmer grâce à des informations que nous avions fournies en septembre 2011», a-t-il ajouté.
Le quotidien britannique a annoncé dimanche sur son site en ligne que le criminel de guerre nazi hongrois le plus recherché au monde «a été identifié et retrouvé» dans la capitale hongroise.
«Il y a dix mois, un informateur nous a donné des renseignements qui nous ont permis de localiser Laszlo Csatary à Budapest. Cette informateur a reçu la prime de 25 000 dollars que nous accordons contre des informations permettant de retrouver des criminels nazi», a expliqué M. Zuroff dans un entretien téléphonique à l'AFP.
Il a ajouté que les informations sur la localisation avaient été transmises en septembre 2011 au Parquet de Budapest.
Le Procureur adjoint de la République à Budapest, Jenö Varga, n'a pas été en mesure de confirmer l'information, se bornant à déclarer dimanche: «Une enquête est en cours. Le Parquet étudie les informations reçues».


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vendredi 6 avril 2012

«Le Seigneur de Guerre» condamné à 25 ans de prison


États-Unis - Un trafiquant d'armes condamné à 25 ans de prison
L'énoncé de la peine contre Viktor Bout avait été reporté deux fois à la demande de la défense, qui avait réclamé un délai pour préparer sa demande de clémence. 
© Reuters

NEW YORK - Le Russe Viktor Bout, reconnu coupable en novembre 2011 de trafic d'armes en faveur de la guérilla en Colombie, a été condamné jeudi par une juge new-yorkaise à 25 ans de prison. L'ancien pilote de l'Armée rouge, qui a inspiré le personnage joué par Nicolas Cage dans le film «Lord of War» («Le Seigneur de Guerre») sorti en 2005, est considéré par les États-Unis comme l'un des plus grands marchands d'armes clandestins du monde.
La juge Shira Scheindlin a condamné Viktor Bout à la peine minimale de 25 ans de prison pour l'un des chefs pour lesquels il avait été inculpé, et à 15 ans de prison pour chacun des trois autres chefs, mais a décidé de confondre ces peines.
«Vingt-cinq ans, c'est assez», a-t-elle déclaré en prononçant le verdict après que Viktor Bout eut pris la parole devant la cour, répétant qu'il était innocent.
L'énoncé de la peine contre Viktor Bout avait été reporté deux fois à la demande de la défense, qui avait réclamé un délai pour préparer sa demande de clémence. Agé de 45 ans, Viktor Bout avait été reconnu coupable par un jury fédéral de tous les chefs d'accusation qui pesaient contre lui.
Il avait notamment été jugé coupable d'avoir essayé de vendre en 2008 un arsenal de fusils et de missiles à des agents secrets américains se faisant passer pour des guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie.
Il avait été arrêté en Thaïlande en 2008, après avoir accepté, selon l'accusation, de vendre ces armes, que ces pseudo-guérilleros disaient vouloir utiliser pour abattre des hélicoptères américains aidant l'armée colombienne dans son combat contre les Farc.
Selon ses avocats, Viktor Bout n'a jamais eu l'intention de commercialiser ces armes et souhaitait en fait vendre deux avions cargo à ses interlocuteurs.




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vendredi 16 mars 2012

Chiens a guerre ?

Nom de code: poilus d'Alaska

UNE HEURE SUR TERRE présente ce vendredi l'histoire d'une incroyable odyssée de la première guerre mondiale ; celle de deux officiers de l'Armée française chargés d'amener sur le front des Vosges en Alsace 450 chiens de traîneaux et leurs attelages depuis l'Alaska et le Québec. L'objectif de leur mission secrète: sauver le front de l'Est face à l'invasion allemande de 1915. Les aventuriers devront traverser un continent et un océan avec une meute de 450 chiens pour venir en aide aux soldats français, les Poilus de la Première Guerre.

La vie de milliers de soldats français est alors en jeu dans les forêts enneigées des Vosges où les déplacements sont pratiquement impossibles en hiver. Le Capitaine Louis Moufflet et le Lieutenant René Haas, aidés par le légendaire conducteur d'attelage, Scotty Allan, ont 120 jours devant eux pour parcourir 10,000 kilomètres sous la menace allemande.

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mercredi 14 mars 2012

Ben Laden: victime d'un complot d'Al-Qaïda ou de Musharraf ?

Complot d'Al-Qaïda - Ben Laden trahi par une de ses femmes jalouse?
 
© KARIN ZEITVOGEL / AFP
Complot d'Al-Qaïda

Ben Laden trahi par une de ses femmes jalouse?


RAWALPINDI - Oussama ben Laden, sénile et lâché par Al-Qaïda, a-t-il été donné aux Américains par l'une de ses premières femmes, jalouse de la plus jeune dans le huis clos d'Abbottabad? C'est la thèse avancée par un ancien général pakistanais au terme d'une longue enquête. Dix mois après, les dessous du raid américain qui a tué le chef d'Al-Qaïda dans son paisible refuge d'Abbottabad, dans le nord du Pakistan, restent mystérieux, nourrissant de multiples théories, dont celle de la trahison.
Shaukat Qadir, un général de brigade à la retraite, a enquêté pendant huit mois. Fort de ses relations au plus haut niveau de l'armée, il a pu visiter la maison, avant qu'elle en soit détruite en février, et parler aux agents qui ont interrogé les femmes de ben Laden, arrêtées après l'opération américaine.
Il en a tiré une théorie iconoclaste: ben Laden, marginalisé et amoindri, aurait été victime d'un complot d'Al-Qaïda, qui a utilisé une de ses femmes pour mettre les Américains sur sa trace.Et sans oublier la collaboration du Président Perez Musharrafdu Pakistan !
Comme tout ce qui concerne la fin du chef d'Al-Qaïda, elle souffre de l'absence de preuves. Et d'un doute sur son impartialité, l'ancien général disculpant quasiment l'armée pakistanaise, accusée d'avoir fermé les yeux pendant des années sur sa présence à Abbottabad.
Selon lui, ben Laden «a commencé dès 2001 à souffrir de déficience mentale», qui a progressivement conduit son bras droit, l'Égyptien Ayman Al-Zawahiri, à vouloir l'éliminer. «Il en avait marre des lubies fantasmatiques de ben Laden», qui voulait par exemple «s'emparer d'une centrale nucléaire» au Pakistan, explique-t-il à l'AFP.
Après plusieurs années de cavale dans le nord-ouest pakistanais, Al-Qaïda décide de le cacher à Abbottabad, où elle fait bâtir une grande maison.
Ben Laden s'y installe en 2005 avec deux de ses femmes et plusieurs de leurs enfants, dont un fils adulte, Khalid. Ce dernier, comme les deux protecteurs pakistanais du chef d'Al-Qaïda, y vient également avec femmes et enfants. Au total, 27 personnes vivaient dans la maison et sa dépendance à la veille du raid fatal du 2 mai, selon le général Qadir.
Ben Laden s'installe au dernier étage avec sa dernière femme, la Yéménite Amal Abdulfattah, 29 ans, qu'il a épousée en 1999 et qui l'a suivi depuis. Ils auront cinq enfants, dont deux nés à Abbottabad.
Selon le général Qadir, tout le monde vit en bonne harmonie, y compris Amal et l'autre femme de ben Laden, la Saoudienne Seehan, la mère de Khalid, dans cette maison entourée d'un grand jardin et quasi autosuffisante.

Khairia
Mais les choses changent au printemps 2011, lorsque débarque une autre femme de ben Laden, elle aussi saoudienne, Khairia, qu'il avait épousée dans les années 1980 et n'avait pas revue depuis la fin 2001. Réfugiée et mise en résidence surveillée en Iran jusqu'à la fin 2010, elle a ensuite passé selon Shaukaut Qadir plusieurs mois dans un camp d'Al-Qaïda en Afghanistan avant de rejoindre Abbottabad en mars 2011. Moins de deux mois avant le raid. L'ancien général en est persuadé: Khairia est celle qui l'a trahi. «Et c'est également ce que pense Amal», qui l'a dit aux enquêteurs, ajoute-t-il.
À son arrivée dans la maison, Khairia, réputée pour sa jalousie maladive, s'installe au premier étage. Elle éveille vite les soupçons, notamment chez Khalid. Citant Amal, le général Qadir raconte que «Khalid n'arrêtait pas de lui demander pourquoi elle était venue et ce qu'elle voulait d'Oussama. Et elle lui a juste répondu: «Je dois faire une dernière chose pour mon mari». Inquiet, Khalid a fait part à son père de ses craintes de trahison. Mais ben Laden, fataliste, a juste dit: «Que ce qui doit arriver arrive»».
Le chef d'Al-Qaïda sentait-il venir la mort? Selon Amal, «il a alors tenté de persuader ses deux autres femmes de fuir, mais elles ont voulu rester avec lui», ajoute le général Qadir.
Pour ce dernier, Al-Qaïda, Al-Zawahiri en tête, a téléguidé Khairia pour orienter les Américains vers la maison d'Abbottabad et précipiter la fin de ben Laden. Et l'interception par les Américains d'une communication téléphonique de Khairia contribuera à les persuader que ben Laden se trouvait bien là.
Washington a de son côté écarté tout complot, assurant avoir repéré ben Laden par ses propres moyens. L'armée pakistanaise a elle toujours affirmé ignorer sa présence à Abbottabad. Selon Shaukat Qadir, elle l'a découvert, mais tard, à la toute fin avril, et a été pris de court par le raid américain.
Dans tous les cas, les preuves manquent. Les aura-t-on un jour? L'ancien général sourit: «C'est comme pour l'affaire JFK.»


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dimanche 19 février 2012

Un Traité international sur le commerce des armes classiques (TCA) ?

Traité sur le commerce des armes - L'ONU définit la marche à suivre
 
©Yuri Cortez/Archives AFP
Traité sur le commerce des armes

L'ONU définit la marche à suivre

NEW YORK - Les pays membres de l'ONU se sont mis d'accord vendredi sur la marche à suivre pour négocier en juillet prochain un traité réglementant le commerce des armes conventionnelles dans le monde, ont indiqué des participants à la réunion.
Cette dernière réunion du Comité préparatoire, au niveau des diplomates et des experts, se déroulait à New York depuis lundi.
Un Traité international sur le commerce des armes classiques (TCA) doit être négocié du 2 au 27 juillet à l'ONU.
Les pays participants ont adopté vendredi le règlement intérieur de cette conférence de négociation, en particulier le principe du consensus pour prendre des décisions.
«La négociation pourra aller de l'avant en juillet, c'est définitivement un progrès», a estimé Brian Wood, de l'ONG Amnesty International. Mais il reste beaucoup de problèmes de fond à trancher, comme les systèmes d'armes qui seront pris en compte ou les modalités de surveillance et de révision du traité.
Les organisations comme Amnistie Internationale souhaitent que ce traité soit le plus contraignant possible et qu'il fixe une série de critères objectifs qui puissent empêcher le transfert d'armes conventionnelles vers des pays où elles pourraient être utilisées contre les populations civiles.
Les gros exportateurs d'armes comme la Russie, la Chine ou les États-Unis sont réticents, Washington souhaite par exemple exclure les munitions du cadre du traité et la Chine les armes de faible calibre.
Les pays de l'Union européenne approuvent le principe d'un texte contraignant mais certains rechignent à donner leur accord formel tant que leurs concurrents ne jouent pas le jeu.
Selon Amnistie Internationale, l'Iran, le Pakistan ou l'Égypte s'efforcent aussi de limiter l'efficacité d'un futur traité en affaiblissant les critères ou en prévoyant des échappatoires.
Les exportations d'équipements militaires de la Russie ont atteint 13,2 milliards de dollars en 2011, un montant record, selon le gouvernement russe.
Amnistie dénonce régulièrement les ventes d'armes de Moscou à Damas ou les transferts, malgré un embargo, d'armes russes et chinoises vers le Soudan qui les utilise ensuite au Darfour.



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lundi 21 novembre 2011

Les «indignés» américains anti-Wall Street devraient se déplacer contre la haute finance à Washington et non à New York

Déclaration - Oliver Stone: pas de démocratie même sous Obama
La réalisateur américain Oliver Stone lors du Festival International du Film à Alger le 19 novembre 2011. 
© AFP

Oliver Stone: pas de démocratie même sous Obama

ALGER - Le cinéaste et réalisateur américain Oliver Stone a déclaré samedi à Alger que les États-Unis ne vivent pas en démocratie même sous Barack Obama, élu en 2008, dénonçant pèle-mêle Wall Street, le bellicisme américain et l'indifférence de ses compatriotes envers le reste du monde.
Dans une conférence de presse en français, M. Stone a jugé que les «indignés» américains anti-Wall Street devraient plutôt déplacer leur mouvement de contestation contre la haute finance «à Washington et non pas à New York, pour avoir plus d'impact». C'est à ce prix que les pressions seront «efficaces» sur les politiques pour assainir le système financier, dit le réalisateur de Wall street (1987) et Wall street, l'argent ne dort jamais (2010).
Invité à l'occasion du «festival du film engagé» à partir du 29 novembre à Alger, ce fils d'ancien financier de Wall street et de mère française s'est dit «choqué de voir comment l'argent était vénéré par les Américains» et les effets de la crise.
Aujourd'hui «la classe moyenne (américaine) en est la plus grande victime, mais rien ne peut faire bouger le système» américain qu'il qualifie de «non-démocrate, même après l'arrivée d'Obama».
Le cinéaste a dénoncé «30 années de mensonges» avec la guerre du Vietnam qui lui a inspiré Platoon (1986). Les Américains ont vécu avec l'idée que «le communisme va dominer le monde», alors qu'il s'est écroulé en 1989, poursuit le cinéaste.
«Ma vie était déjà pervertie», a-t-il dit, lorsqu'il est allé faire la guerre et c'est après qu'il a découvert la réalité, notamment le pouvoir militaro-industriel qui a continué à dominer son pays pour mener ailleurs d'autres guerres. «C'est un système qui va détruire le monde», a-t-il affirmé.
Interrogé sur le soutien américain à Israël, M. Stone a affirmé qu'on «ne pouvait pas parler de cela en Amérique. Il y a une telle puissance, l'argent, les médias et le lobyying sont tels que les faits, la vérité ne sortent pas», a-t-il dit.
A 65 ans, il juge avec sévérité ses compatriotes. «Les Américains ne sont pas tellement intéressés dans les problèmes de l'étranger», a-t-il dit. «Il n'ont pas d'empathie pour eux».


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jeudi 3 novembre 2011

Le seigneur de guerre Viktor Bout,reconnu coupable de trafic d'armes

États-Unis - Le Russe Viktor Bout reconnu coupable de trafic d'armes
Viktor Bout a inspiré le personnage joué par Nicolas Cage dans le film Lord of War
©AFP/ Archives/ Saeed Khan
Lord of War NEW YORK - Le Russe Viktor Bout, considéré par les États-Unis comme un des plus grands marchands d'armes clandestins au monde, a été reconnu coupable mercredi à New York d'avoir voulu vendre un arsenal de fusils et missiles destiné à tuer des Américains. Bout, 44 ans, qui avait plaidé non coupable, va faire appel, a aussitôt annoncé son avocat. «Ce n'est absolument pas la fin de la procédure. Nous ferons appel», a déclaré Me Albert Dayan.
Viktor Bout a été reconnu coupable par un jury fédéral de tous les chefs d'accusation qui pesaient contre lui. Il est passible de la réclusion criminelle à perpétuité.
Le verdict est tombé moins d'un mois après l'ouverture du procès de l'ancien pilote de l'armée rouge, qui était accusé d'avoir essayé de vendre un arsenal de fusils et de missiles à des agents secrets américains se faisant passer pour des guérilleros des FARC colombiennes.
Il avait été arrêté après avoir accepté, selon l'accusation, de vendre des armes destinées à tuer des Américains. Selon ses avocats, il n'a jamais eu l'intention de vendre ces armes et souhaitait en fait vendre deux avions cargo à ses interlocuteurs.
Après son arrestation, Russes et Américains s'étaient livrés à un long bras de fer auprès des autorités thaïlandaises, avant que ces dernières ne finissent pas extrader Viktor Bout aux États-Unis l'an dernier.
Au-delà des poursuites engagées par la justice américaine, Viktor Bout est soupçonné d'avoir utilisé une flotte d'avions cargo constituée après la fin de la guerre froide pour transporter des armes en Afrique, en Amérique du Sud et au Moyen-Orient. Ayant utilisé au moins sept pseudonymes dans sa carrière et parlant plus de six langues, il est considéré par certains comme un ancien membre du renseignement militaire soviétique.
Il a inspiré le personnage joué par Nicolas Cage dans le film Lord of War (Le seigneur de guerre) sorti en 2005.

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dimanche 27 mars 2011

C'est quoi la différence entre une Guerre et un Tsunami ?

Il n'y en n'a pas ,....................les deux sont bon pour stimuler l'Économie ;-)
Concernant le japon,il y a beaucoup de richesse,beaucoup de vieux, et l'économie est stagnante a cause de cela,car les vieux qui sont majoritaires,ne voit pas l'intérêt d'investir comme le ferait la majorité des jeunes.Alors maintenant les vieux sont obliger de rebâtir leurs maisons détruites !


Japon - Le séisme pourrait coûter jusqu'à 217 milliards d'euros
Des soldats japonais disposent des cercueils de victimes du tremblement de terre/tsunami. 
© AFP

OSAKA - Le gouvernement japonais a estimé mercredi que le séisme et le tsunami du 11 mars pourraient coûter jusqu'à 217,4 milliards d'euros (302 milliards $ can) à la troisième puissance économique mondiale. Ce chiffre correspond au montant évalué des dégâts sur les infrastructures, les logements et les entreprises du nord-est du Japon, dévasté par la catastrophe du 11 mars, a précisé le cabinet du Premier ministre, ajoutant que ces dommages pourraient abaisser la croissance du Produit intérieur brut de 0,5 point de pourcentage.
Le coût final pourrait être plus élevé au final, car cette estimation ne prend pas en compte l'impact des coupures d'électricité dans la région de Tokyo, provoquées par l'arrêt de centrales nucléaires et thermiques depuis le séisme.
Le gouvernement a toutefois ajouté que les travaux de reconstruction nécessaires sur la côte Pacifique du nord-est permettraient un certain rebond de l'activité et de la consommation dans l'archipel.


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