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vendredi 9 décembre 2011

Detroit Destroy

C’était la capitale de l’automobile. Les géants de l’auto GM, Ford et Chrysler semblaient projeter sur Détroit la promesse d’un avenir radieux aux plus beaux jours du rève américain. Aujourd’hui, Détroit n’est plus que l’ombre d’elle-même. Sa population a fui vers d’autres villes. Des quartiers entiers sont dévastés et abandonnés. La ville a décidé de détruire pour reconstruire et les élus municipaux cherchent des solutions. Parmi celles-ci, transformer ces nouveaux espaces disponibles en terres agricoles

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lundi 5 décembre 2011

intimidation: La cour de la protection de la jeunesse pourrait_elle entreprendre des poursuites contre les contrevenants ?

Intimidation à l'école - Un cas troublant à Québec
 
©TVA Nouvelles
On attend les lois a cette effet !



QUÉBEC - Le suicide de Marjorie Raymond, de Sainte-Anne-des-Monts, met en lumière d'autres cas graves d'intimidation à l'école.
TVA Nouvelles a rencontré un père de famille de Québec complètement bouleversé. Ses enfants de 9 et 11 ans sont victimes d'intimidation depuis trois ans.
«Ils vivent avec des coups de bâton derrière la tête, des claques, des poussées, ils se font lancer des cailloux. Mon garçon a eu un caillou dans l'oeil.»
Le fils en est tellement bouleversé qu'il a développé des comportements troublants dernièrement, menaçant même de s'enlever la vie.
«Il fait des grosses crises dans la maison, il se frappe le visage, il s'égratigne la figure.»
La famille a multiplié les plaintes à la police, à l'école et à la commission scolaire, mais rien n'a changé.
«On se questionne, on tente de trouver des solutions, on cherche», explique Émilie Taillon, directrice de l'école primaire Le Châtelet, que fréquentent les deux enfants.
En désespoir de cause, le père a retiré ses enfants de l'école vendredi dernier. La directrice de l'école admet que toutes les démarches entreprises ont échoué.
«Les solutions qu'on a mises en place, pour le moment, ça n'a pas été un succès. On tente de trouver d'autre chose. J'ai fait des offres, ce matin, à la mère.»
La direction de l'école propose de réintégrer les enfants lundi et d'appliquer certaines mesures de sécurité pour les protéger.
Mais les parents refusent. Ils ont fait parvenir une lettre à la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, pour lui demander qu'on transfère leurs enfants dans une autre école. Sans frais, parce qu'ils ont peu de moyens financiers.
Le bureau de la ministre Beauchamp a bien reçu la demande mais s'abstient de la commenter pour le moment.


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mercredi 20 juillet 2011

L'Affaire Turcotte: Bêler avec le troupeau.


Les médias comme jurés ?
Vous allez me dire que c’est une bizarre d’intervention dans cette page, mais difficile pour moi qui observe les médias de si près, de ne pas m’interroger sur les suites qu’a eues le procès du Dr Guy Turcotte.
Un jury de 11 personnes honnêtes et consciencieuses a jugé que l’homme n’était pas responsable de ses actes quand il a assassiné ses deux enfants à coups de couteau, mais la radio, la télé et les médias sociaux ont décidé qu’il l’était !
Heureusement, certains commentateurs et certaines personnes comme l’abbé Raymond Gravel ont décidé de faire confiance au jury plutôt que bêler avec le troupeau.

*
Raymond Gravel(décédé en Août 2014) était compréhensif, aimant.
«Si ça peut aider les parents à aimer encore plus leurs enfants, je pense que la mort d'Anne-Sophie et d'Olivier n'aura pas été inutile», avait-il dit, dans une tentative de consolation. Il avait souligné le courage et la force de la mère des petits, avait aussi exprimé le souhait de rencontrer le père assassin «pour le réconforter, sans le juger».

Quoi,..................comme l'aurait fait le Nazaréen !
Allons-nous avec les médias sociaux revenir à l’époque où la foule décidait de la culpabilité des gens avant de les brûler, les pendre ou les lapider sur la place publique ?



mardi 17 mai 2011

Un crime: c'est deux victimes

Avant, un crime impliquait un coupable et une victime.

Maintenant, un crime implique deux victimes : la personne qui a été volée ou agressée, et la personne qui a été poussée sur la voie du crime et de la délinquance par la société.

La deuxième victime est même plus victime que la première, car elle a été « agressée » et « violée » par la société toute entière, plutôt que par un seul individu ! Et ce crime a été concerté, planifié, voulu par le méchant système capitaliste !

Se faire voler prend dix minutes. On a peur, mais on s’en remet.

Alors que devenir un criminel est le résultat de plusieurs années de misère.

Il faut donc s’intéresser davantage à la deuxième victime qu’à la première.

Comme raisonnement tordu, on a rarement vu pire…



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samedi 9 avril 2011

La loi Anastasia ? .....vous connaissez ?.............

La découverte d'un pistolet de départ et d'un appareil Taser dans le casier d'un ado a provoqué tout un émoi, vendredi dernier, dans une polyvalente de la Rive-Sud.
Pour souligner le jour du poisson d'avril, des élèves avaient décidé de faire éclater des pétards à mèche à l'intérieur de l'école secondaire Saint-François-Xavier, à La Prairie. «La direction ne voulait pas que ça se reproduise et a décidé de fouiller les casiers de certains élèves», explique la porte-parole de la Commission scolaire des Grandes Seigneuries, Mylène Godin. Cela a permis de découvrir «des objets qui pouvaient ressembler à des armes à feu» dans le casier d'un élève de 14 ans, relate-t-elle.
Loi Anastasia
Il s'agissait en fait d'un pistolet de départ pouvant tirer des balles à blanc et d'un appareil Taser «pouvant donner un choc électrique», dit l'agent René Fleury, de la Régie de police Roussillon. L'appareil n'était pas dangereux, puisqu'il n'était pas muni d'une pile, souligne le policier.
L'adolescent a été rencontré par les policiers, avant d'être relâché sans condition et sans accusation. Son dossier a été soumis à un procureur de la Couronne. «Avec la loi Anastasia [qui a été adoptée à la suite de la fusillade meurtrière du Collège Dawson], c'est interdit d'avoir une arme ou une imitation d'arme dans un milieu scolaire», rappelle René Fleury.
Même si la sécurité des élèves n'a pas été menacée, l'incident a provoqué tout un émoi. «Il y a des parents qui pensaient qu'il y avait une arme à feu qui avait été pointée sur des élèves. Mais leurs craintes sont non fondées», dit M. Fleury.

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