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dimanche 7 juin 2015

La «fin du cash» ?

Les banquiers planifient en secret une réunion à Londres sur la «fin du cash»



«Nous ferions mieux de garder l’œil bien ouvert pour cette naissance d’une société sans argent liquide qui vient beaucoup plus rapidement que prévu. Pourquoi la réunion est-elle secrète? Quelque chose ne sent pas bon par ici»


L’économiste Martin Armstrong affirme qu’il est prévu une réunion secrète sur la fin du cash qui aura lieu à Londres avant la fin du mois impliquant des représentants de la BCE et la Réserve fédérale.
Armstrong, qui est connu pour avoir prédit avec succès en 1987 le crash du lundinoirainsi que l’effondrement financier de 1998 en Russie, a exprimé avoir été choqué, qu’aucune information n’ait filtré sur cette prochaine conférence.
«Je trouve extrêmement troublant d’être le seul à signaler cette réunion secrète à Londres. Kenneth Rogoff, de l’Université de Harvard, et Willem Buiter, l’économiste en chef chez Citigroup, s’adresseront aux banques centrales pour préconiser l’élimination de toutes les espèces pour permettre la venue du jour où vous ne pourrez plus acheter ou vendre quoi que ce soit, sans l’approbation du gouvernement», écrit Armstrong.
«Quand j’ai googlé la question pour voir qui d’autre l’avait signalé, à ma grande surprise, Armstrong Economist vient en premier. D’autres me citent, jusqu’à la Banque centrale du Nigeria. Je dois encore trouver tous les rapports sur la réunion qui aura lieu à Londres, mais mes sources sont internes.»
Armstrong attire d’abord l’attention sur la réunion prévue plus tôt ce mois-ci quand il a révélé que des représentants de la Réserve fédérale, de la BCE ainsi que des participants provenant des banques centrales suisse et danoise seraient tous présents à une grande conférence à Londres à laquelle Kenneth Rogoff de l’Université de Harvard, et Willem Buiter, l’économiste en chef chez Citigroup, feraient des présentations.
«Nous ferions mieux de garder l’œil bien ouvert pour cette naissance d’une société sans argent liquide qui vient  beaucoup plus rapidement que prévu. Pourquoi la réunion est-elle secrète? Quelque chose ne sent pas bon par ici», conclut Armstrong.
Les discussions et les avancées vers l’interdiction du cash ont surgi à plusieurs reprises au cours des dernières semaines.
Willem Buiter, dont Armstrong prétend qu’il parlera à cette réunion secrète, a récemment préconisé l’abolition du cash pour «résoudre le problème des banques centrales de la planète avec des taux d’intérêt négatifs».
L’année dernière, Kenneth Rogoff a également appelé à l’abolition de la monnaie physique afin de stopper l’évasion fiscale et l’activité illégale ainsi que pour prévenir les retraits massifs d’argent lorsque les taux d’intérêt seront proches de zéro.
«Une fois que l’argent n’existera plus que sur les comptes en banque, supervisés ou même directement contrôlés par les gouvernements, les autorités seront capables de nous inciter à dépenser plus quand l’économie ralentira, et moins en cas de surchauffe.»
Sur un ton similaire, l’ancien économiste de la Banque d’Angleterre, Jim Leaviss aécrit un article pour le Telegraph de Londres plus tôt ce mois dans lequel il a dit qu’une société sans numéraire ne serait possible qu’en «forçant tout le monde à passer uniquement par voie électronique à partir d’un compte détenu par une banque agissant pour le gouvernement, qui serait surveillée, ou même directement contrôlée par ce gouvernement».
Les grandes banques tant au Royaume-Uni qu’aux États-Unis traitent déjà le retrait ou le dépôt de sommes d’argent modérément grosses comme une activité suspecte. Des rapports ont été publié en mars sur la façon dont le ministère de la Justice ordonne aux employés de banque d’envisager d’appeler les flics quand des clients retirent 5000 dollars ou plus.
Pendant ce temps, en France, de nouvelles mesures devraient entrer en vigueur en septembre qui vont limiter les citoyens français pour faire des paiements en espèces supérieurs à 1 000 euros. Armstrong suggère que la police financière pourrait appliquer cette nouvelle loi par, «la recherche de personnes transitant en train par la France juste pour voir si elles transportent des espèces, dont ils vont maintenant se saisir».
Comme le note Armstrong, en interdisant le cash afin d’éviscérer le peu de libertés économiques que les gens avaient encore pour éviter la politique désastreuse de la banque centrale keynésienne, n’est rien de moins que du totalitarisme économique.
«Dans l’esprit d’un tyran économique, l’interdiction du cash représente le Saint-Graal, écrit Michael Krieger. Forcer la plèbe à adopter un système de transactions numériques de la monnaie fiduciaire offre un contrôle total via un suivi sans faille de toutes les transactions dans l’économie, et la capacité de bloquer les paiements d’un citoyen impétueux qui oserait sortir de la ligne.»
Traduit par Hervé, relu par Diane pour le Saker Francophone
Source : http://news360x.fr/les-banquiers-planifient-en-se

mercredi 20 mai 2015

Scandale financier: Les banques risquent de payer plus de 40 milliards de dollars d'amendes

Etats-Unis : 5,8 milliards de dollars d'amendes pour 6 grandes banques mondiales


JP Morgan Chase, Citigroup, Barclays et RBS plaident coupable dans l'affaire de manipulation des taux de change.
 
 Des charges sont aussi retenues contre UBS et Bank of America.
 
Pour la première fois depuis des décennies, des banques américaines sont forcées de reconnaître leur culpabilité devant la justice pénale. Mercredi, JP Morgan et Citigroup ont admis que des traders qu’elles employaient s’étaient entendus pour manipuler le marché des devises à leur avantage... et au détriment de leurs clients. Les traders , qui auraient dû être concurrents, se surnommaient eux-mêmes « le cartel », la « mafia » et « les mousquetaires». Les banques admettent n’avoir pas empêché leurs pratiques, malgré les avertissements de lanceurs d’alerte et les plaintes de certains clients. JP Morgan et Citigroup ne sont pas les seules dans ce cas : mercredi, ce sont pas moins de six banques (JPMorgan, Citigroup, Bank of America, RBS, Barclays et UBS) qui ont passé un accord amiable avec le ministre de la Justice américain, la Réserve fédérale et des régulateurs new-yorkais. Elles vont payer plus de 5,8 milliards de dollars d’amendes au total, qui s’ajoutent aux 3,4 milliards déjà versées pour la même affaire l’an dernier aux autorités britanniques, suisses et américaines.

Lourdes répercussions

Les amendes ont beau être très importantes, elles ne sont pas le plus intéressant dans cette affaire. La grande nouveauté est que des banques américaines soient contraintes de plaider coupable. Certains établissements étrangers l’ont déjà fait avant elles -on se souvient notamment de BNP Paribas l’an dernier . Mais les juges américains n’y avaient encore jamais forcé les banques américaines, de peur certainement de fragiliser des champions nationaux et de détruire des emplois aux Etats-Unis. Le cas « Arthur Andersen » a longtemps refroidi leurs ardeurs : le cabinet de conseil avait dû supprimer 28.000 postes après avoir reconnu sa responsabilité dans l’affaire Enron.
Les aveux de culpabilité de mercredi constituent une grande victoire pour les pourfendeurs de Wall Street, qui pensent que les amendes ne suffisent pas à changer les comportements. Plaider coupable peut avoir de lourdes répercussions : cela oblige les banques à faire acte de contrition, ce qui constitue un aveu très embarrassant vis à vis de leurs gros clients. Certains d’entre eux peuvent être contraints, pour des raisons éthiques ou réglementaires, de cesser leur collaboration avec la banque. Un risque particulièrement fort en gestion d’actifs.
Plus grave encore, le plaider coupable peut provoquer la perte de licences professionnelles, menaçant des pans entiers d’activités. Il n’y a guère de risque en Amérique, où les banques sont de grands pourvoyeurs d’emplois. Mais dans de nombreux pays, les licences bancaires sont conditionnées à l’absence de condamnations pénales. Le « plaider coupable » pourrait donc ouvrir une période d’incertitude pour ces banques, qui devront s’entendre avec des dizaines de régulateurs pour continuer à opérer localement.

Le feuilleton n’est pas fini

Les autorités américaines sont loin d’en avoir fini avec cette affaire. A en croire un rapport publié par Citigroup, les banques risquent de payer plus de 40 milliards de dollars (32 milliards d’euros) pour solder ce scandale financier. Deutsche Bank, qui a miraculeusement échappé aux sanctions pour l’instant, est la plus menacée à long terme : elle pourrait acquitter 6,5 milliards de dollars d’amendes au total, devant Barclays (4,8 milliards), indique Citigroup. Si les banques échappent aux poursuites pénales grâce aux accords amiables, elles ne protègent pas leurs salariés d’une éventuelle condamnation en justice. Des traders du forex sont actuellement poursuivis aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Les peines de prison restent toutefois extrêmement rares...
Lire aussi

  Source.:

Les 12 hommes les plus riches de tous les temps.

Les 12 hommes les plus riches de tous les temps. Le premier risque de vous surprendre.

 

 

Vous êtes-vous déjà demandé quelles étaient les personnes les plus riches de tous les temps ? Le magazine en ligne Celebrity Net Worth a fait le calcul pour vous, en tenant compte de l’inflation au cours du temps. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Bill Gates, l’homme le plus riche du monde en 2015, est la personne la plus “pauvre” sur cette liste. Quant à la personne la plus riche de tous les temps, elle est africaine.
1. Mansa Moussa : 400 milliards de dollars (378 milliards d’euros)
Mansa Moussa (ou Kankou Moussa) fut roi de l’Empire du Mali au XIVème siècle. Il a porté l’Empire du Mali à son apogée, du Fouta-Djalon à Agadez et sur les terres de l’ancien Empire du Ghana. Il a établi des relations diplomatiques suivies avec le Portugal, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte. Son règne correspond à l’âge d’or de l’empire malien.

Sa fortune, il la construit en exploitant des mines d’or et de cuivre à travers le Sahara. Il fait aussi fortune dans le commerce du sel. En 1324, il se rend en pèlerinage à la Mecque, un voyage qui le rend célèbre en Afrique du Nord et au Proche-Orient. En effet, il part avec 60 000 hommes et 12 000 esclaves. Au sein de la caravane se trouvent aussi, selon certains récits, 80 dromadaires portant entre 50 et 300 livres d’or en poudre chacun (le Mali ignorait la monnaie). Dans chaque ville qu’il traverse, Moussa offre ses richesses. On raconte aussi qu’il construit une nouvelle mosquée chaque vendredi, quelle que soit la localité où il s’arrête ce jour-là.
On lui doit notamment la mosquée Djingareyber, toujours existante.


2. La famille Rothschild : 350 milliards de dollars (331 milliards d’euros)
Les Rothschild se sont fait connaître depuis le XVIIIe siècle dans les domaines de la banque et de la finance. La fortune de cette famille est colossale. D’après le blog financier Celebrity Networth, elle serait la deuxième plus grande fortune de tous les temps avec 350 milliards de dollars américains.








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3. John Rockefeller : 340 milliards de dollars (321 milliards d’euros)
Industriel et philanthrope américain, et évidemment fondateur de la légendaire famille Rockefeller. Sa famille a été à la tête d’un empire durant près de deux siècles en créant la Standard Oil qui deviendra Esso (des initiales SO), puis ExxonMobil. John Rockefeller prend sa retraite en 1896 en étant l’homme le plus riche des États-Unis et l’un des plus puissants au monde. Son fils reprend l’entreprise.


4. Andrew Carnegie : 310 milliards de dollars (293 milliards d’euros)
Industriel et philanthrope écossais naturalisé américain, il est l’un des principaux acteurs de l’essor de l’industrie de l’acier aux États-Unis à la fin du XIXe siècle. Le succès de sa société, Carnegie Steel, est essentiellement lié à sa capacité de produire en grande quantité et à bas prix des rails de chemin de fer, dont la demande est forte à cette époque. Il fonde notamment en 1865 la Keystone Bridge Company qui est à l’origine du pont Eads. Il participe également à la fabrication de matériel ferroviaire avec la Pittsburgh Locomotive and Car Works. En 1901, pour la somme de 480 millions de dollars, il vend ses propriétés industrielles à un groupe de financiers mené par J. P. Morgan, ce qui constitue à l’époque un record pour une cession commerciale. Il est surnommé  l’homme le plus riche du monde et devient l’incarnation parfaite du rêve américain.On se souvient surtout d’Andrew Carnegie en tant que bienfaiteur et philanthrope. Jusqu’à sa mort, en 1919, il aura laissé plus de 350 millions de dollars américains à diverses fondations, et les derniers 30 millions de sa fortune restant à sa mort sont légués à diverses œuvres de charité.


5. Nicolas II de Russie : 300 milliards de dollars (283 milliards d’euros)
Nicolas II est « tsar de toutes les Russies », de 1894 à 1917. Sous son règne et sous celui de son père, la Russie connaît un essor économique, social, politique et culturel sans précédent. La fortune personnelle de Nicolas II était colossale.
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source : wikimedia
Nicolas II gouverne de 1894 jusqu’à son abdication en 1917. Il ne réussit pas à mettre fin à l’agitation politique de son pays ni à mener les armées impériales à la victoire pendant la Première Guerre mondiale. Son règne se termine avec la révolution russe de 1917, pendant laquelle lui et sa famille sont emprisonnés d’abord dans le palais Alexandre à Tsarskoïe Selo, puis plus tard dans la maison du gouverneur à Tobolsk, et finalement dans la villa Ipatiev, à Ekaterinbourg.
Nicolas II, son épouse, son fils, ses quatre filles, le médecin de la famille, son domestique personnel, la femme de chambre et le cuisinier seront ensuite mis à mort par les bolcheviks dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918.



6. Fateh Jang `Othman `Alî Khân Asaf Jâh VII : 230 milliards de dollars (217 milliards d’euros)
Né le 6 avril 1886 à Hyderâbâd, un ancien État du centre de l’Inde, et mort le 24 février 1967 dans le même ville, il est le dernier souverain régnant de la dynastie des Nizâm de l’Hyderâbâd et de Berar (l’un des cinq sultanats de l’époque). Il a la réputation d’être l’homme le plus riche du monde à son époque. Malgré cela il menait une vie plutôt simple et frugale.


7. Guillaume le Conquérant : 229 milliards de dollars (216 milliards d’euros)
Appelé également Guillaume le Bâtard, Guillaume II de Normandie et enfin Guillaume Ier d’Angleterre, il est duc de Normandie de 1035 à sa mort et roi d’Angleterre de 1066 jusqu’à sa mort en 1087. Outre les taxes, les possessions du roi Guillaume le Conquérant sont augmentées des grandes propriétés qu’il possède dans toute l’Angleterre. En tant qu’héritier du roi Édouard, il contrôle l’ensemble des domaines royaux, et y ajoute une grande partie des terres de Harold et sa famille, ce qui fait de lui le plus grand propriétaire du royaume (et de loin) : à la fin de son règne, ses terres en Angleterre sont quatre fois plus importantes que celles de son demi-frère Odon, le propriétaire le plus important après lui, et sept fois plus que celles de Roger de Montgommery. Une étude récente fait de Guillaume le 7ème homme le plus riche ayant jamais vécu.


8. Mouammar Kadhafi : 200 milliards de dollars (189 milliards d’euros)
Kadhafi a dirigé la Libye pendant près de 42 ans. Mort en 2011, il était un des hommes les plus riches au monde. Sa fortune, provenant de l’extraction du pétrole et du gaz, était estimée à 144 milliards d’euros, soit 200 milliards de dollars américains à l’époque, qu’il aurait sortis de Libye durant les trente années précédant sa chute. D’après le blog financier Celebrity Networth, il serait le huitième homme le plus riche de tous les temps.
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source : pixabay
L’administration américaine a découvert que le régime libyen possédait près de 27 milliards d’euros sur des comptes et des investissements aux États-Unis ; ils ont depuis été gelés. En Europe, près de 22 milliards d’euros ont été saisis par les gouvernements français, italien, britannique et allemand. Kadhafi investissait dans des entreprises comme Total, Alsthom, Fiat, dans les secteurs des médias (Financial Time) ou du sport (7,5% de la Juventus). En France, il possédait, par exemple, le bâtiment parisien qui abrite la Fnac des Ternes dans le 17ème arrondissement de Paris.

Plusieurs enquêtes menées par des responsables américains, européens et libyens ont révélé que Kadhafi investissait massivement dans de nombreux pays du Moyen-Orient et de l’Asie du Sud-Est. La plupart de ces fonds étaient placés dans des institutions gouvernementales libyennes comme la Banque centrale de Libye, la Compagnie pétrolière libyenne, la Banque extérieure de Libye, ainsi que des compagnies d’investissements telle que la Libya African Investment Portfolio. En juin 2013, le Sunday Times rapporte que Kadhafi aurait caché un milliard de dollars américains en liquide, or et diamant dans quatre banques et deux sociétés de sécurité en Afrique du Sud.
Kadhafi possédait un Airbus A340, qu’il avait acheté au prince saoudien Al-Waleed bin Talal pour 120 millions de dollars américains en 2003.
 L’avion était décoré avec les couleurs de la compagnie basée à Tripoli, Afriqiyah Airways. Il est utilisé en 2009 pour rapatrier le terroriste Ali al-Megrahi de sa prison d’Écosse. L’avion est capturé en août 2011 lors la guerre civile libyenne. Le journaliste de la BBC John Simpson rapporte que l’avion est équipé de manière luxueuse, avec notamment un jacuzzi.
 À partir de février 2011, le pouvoir de Kadhafi, en place depuis plus de 41 ans, est menacé par une contestation populaire, que la répression transforme rapidement en insurrection armée, puis en guerre civile. Lors de la prise de Tripoli par les rebelles en août 2011, Mouammar Kadhafi fuit la capitale. Le 20 octobre, il est capturé, lynché et tué dans les environs de Syrte.



9. Henry Ford : 199 milliards de dollars (188 milliards d’euros)
Né le 30 juillet 1863 et mort le 7 avril 1947 à Dearborn aux États-Unis, Henry Ford est le fondateur du constructeur automobile Ford.
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Son nom est notamment attaché au fordisme, une méthode industrielle alliant un mode de production en série fondé sur le principe de ligne d’assemblage et un modèle économique ayant recours à des salaires élevés. La mise en place de cette méthode au début des années 1910 révolutionne l’industrie américaine en favorisant une consommation de masse et lui permet de produire à plus de 15 millions d’exemplaire la Ford T ; Henry Ford devient alors l’une des personnes les plus riches et les plus connues au monde.



10. Cornelius Vanderbilt : 185 milliards de dollars (175 milliards d’euros)
Né le 27 mai 1794 et mort le 4 janvier 1877 à New York, il a bâti sa fortune dans la construction maritime et les chemins de fer, ce qui lui valut le surnom de Commodore. A sa mort, sa fortune équivaut à 1,15% du PNB des États-Unis ! C’est à lui que New York doit l’immense gare de Grand Central. Côté anecdote, Cornelius serait l’un des acteurs de l’invention des chips !


11. Alain le Roux  : 179 milliards de dollars (169 milliards d’euros)
Né vers 1040 et mort le 4 août 1093, Alain le Roux était un noble breton qui participa à la conquête normande de l’Angleterre et en devint l’un des plus riches barons grâce à de nombreuses terres en Angleterre. Dans un livre intitulé The Richest of the Rich (en français “les plus riches des riches”), Philip Beresford et William D. Rubinstein désignent Alain le Roux comme la personne le plus riche d’Angleterre de tous les temps.


12. Bill Gates : 136 milliards de dollars (128 milliards d’euros)
Bill Gates a construit sa fortune grâce à l’entreprise Microsoft qu’il a créé à l’âge de 20 ans.
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 Source.:












dimanche 8 mars 2015

Comment crée-t-on l’argent ?




Comment crée-t-on l’argent ?
Comment crée-t-on l’argent ?
Si le peuple comprenait notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain. »-Henry Ford

La planche à billets ?

Pour la plupart des personnes, l’image ci-dessus représente la création d’argent. Les gens se disent que l’Etat, ou toute autre organisation, imprime des billets pour créer toute la monnaie nécessaire.
Il n’en est rien !
En fait, seulement 5% de la masse monétaire (tout l’argent sur terre) se trouvent être des pièces ou des billets. Les 95% restants sont des écritures informatiques, dit « argent scripturale ». Ces écritures, pour simplifier, disent par exemple : Mme X est à +10 000 € sur son compte, le FC Barcelone est à – 500 millions d’euros.
Vous avez déjà du entendre que si tout le monde retirait l’argent de son compte, le système s’effondrerait, en voici l’une des raisons : l’ensemble de l’argent n’existe pas matériellement !!!
Il est aussi facile de comprendre que, lorsque vous payez par carte bancaire au supermarché, votre compte sera débité de 150 € par exemple et que le compte du supermarché va passer de 300 000 € à 300 150 €. Pourtant, aucun échange de billet ou de pièce n’a été effectué, seules les écritures informatiques ont changées. De même que vous ne recevez jamais votre salaire en billets et pièces (ce qui est plus pratique) et que de plus en plus de transactions s’informatisent (traites, virements bancaires…).
« FAIT N°1 : 95% de l’argent sur Terre est informatique. Les 5% restant sont les pièces et billets que nous connaissons tous. »

La création monétaire par le crédit

Voici la partie sûrement la plus difficile à comprendre. Il est impératif de bien en cerner les subtilités. Prenez votre temps pour lire ce qui suit. Si le phénomène reste encore flou après explication, nous vous encourageons à relire ce passage une fois de plus :
La plupart des personnes pense que les banques ne prêtent que l’argent qu’elles possèdent.
Il n’en est rien !
En fait, la loi permet aux banques de prêter plus que ce qu’elles ont dans leurs comptes. Les « réserves obligatoires » représentent la partie d’argent que la banque se doit de garder pour accorder un prêt plus important.
N.B. : vous n’y croyez peut-être pas, mais cela est un fait ! Dans l’Union Européenne par exemple, les banques doivent seulement garder 8 € pour pouvoir en prêter 100 ! (Taux de réserve de 8%, c’est la loi !)
« FAIT N°2 : les banques peuvent prêter plus d’argent qu’elles n’en possèdent. Elles créent donc de l’argent en accordant un crédit ! »
Si vous pensez encore le contraire, rappelez-vous que 95% de l’argent sur la Terre est scriptural. Cette informatisation des échanges permet donc aux banquiers de réaliser le petit tour de passe-passe suivant :
Imaginez que Mr. Robert emprunte à une banque, 200 000 €, afin d’acheter sa maison. Que se passe-t-il ? La banque va uniquement changer les écritures du compte de Mr. Robert.
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Par ce jeu d’écritures, 200 000 € s’affichent sur le relevé de compte de Mr. Robert ! Bien sûr, la banque vérifie si elle pourra être remboursée. Mais remarquez qu’aucun billet n’a été imprimé, seules les écritures informatiques ont changé !
Son banquier doit bien sûr garder 4 000 € (taux de réserve de 2%). Mais le fait est que la banque vient de créer 196000 € ! Cet argent arrivera sur le compte d’une autre banque lorsque Mr. Robert payera le constructeur de sa maison. La banque du constructeur pourra alors créer 192 080 € Et ainsi de suite… Les 192 080 € arriveront dans une autre banque qui pourra créer 188 238 €…etc… C’est donc l’ensemble des banques qui crée l’argent. Une banque seule ne pourrait se le permettre. Avec 10 % de taux de réserve et un dépôt initial de 1 000 € les banques peuvent créer 5 513 € en seulement 9 prêts. Les accords de Bâle régissent la valeur de ce taux.
Par la suite, et suivant une échéance bien réglée, Mr. Robert doit rembourser ses dettes. Il pourra le faire, car il touche un salaire. De la même façon, ces dettes sont effacées sans échange de pièces et de billets.
En fait l’argent disparaît au fur et à mesure que le prêt est remboursé. La banque crée une somme et l’emprunteur la rembourse avec l’argent qu’il aura gagné. Il échange du temps de travail contre de l’argent, et tout cela de façon informatique. La banque prête par rapport à la richesse potentielle de l’emprunteur.
Le système de création monétaire par le crédit est un système que nous pensons idéal ! Sans lui, aucune entreprise ne pourrait subsister et aucune nouvelle construction ne serait lancée par manque d’argent ! Cette création de monnaie reste le système le plus perfectionné à ce jour afin de motiver l’Homme pour investir dans le futur. En fait, la monnaie ne devrait servir qu’à fluidifier les échanges. Malheureusement, notre système est légèrement différent.    
Les banquiers demandent des taux d’intérêt…

La création monétaire par le crédit avec taux d’intérêt

 « FAIT N°3 : Les banquiers vous prêtent de l’argent qu’il n’ont pas et vous demandent un loyer dessus!  (Taux d’intérêt) »
Mr. Robert : « Je veux une maison… »
- Son banquier : « Pas de problème, voilà, je viens de créditer votre compte de 200 000 €, je ne les ai pas, mais la loi me le permet, je vais donc créer 200 000 €. Attendez, j’entre juste ça dans l’ordinateur… 200 000 € pour vous… Vous nous devez maintenant 343 739 € (taux de 4% / an) que vous rembourserez pendant 30 années. »
Trouvez-vous cela juste ? Si mon voisin me prête un billet de 100 €, il est normal que je paye un loyer et que je lui rende 104 €. Car il ne peut plus se servir de son billet. Je lui paye donc 4 € pour le service qu’il me rend. Mais les banques quant à elles, n’ont pas l’argent. Cela revient à se faire payer pour une chose qu’elles ne possèdent pas, qu’elles peuvent créer à partir de rien !
Nous l’avons vu, lorsqu’une banque accorde un prêt, elle rend disponible de l’argent qui ne l’était pas. Pour bien comprendre ce mécanisme, il faut imaginer que l’économie mondiale est une baignoire. La monnaie est donc l’eau qui la remplit.
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Lorsque la banque accorde le crédit à son client, elle crée cette somme d’argent à partir de rien. La baignoire se remplit donc du montant du prêt, 100 €.
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Voilà donc que la totalité de l’argent sur Terre vient d’augmenter de 100 € ! En contrepartie, lorsque l’emprunteur paye ses dettes, l’argent va disparaître. Mais comme la banque lui demande des intérêts, 104€ vont être demandés. La baignoire se vide donc plus vite (-104 €) qu’elle ne se remplit (+100 €) !
« FAIT N°4 : Lorsqu’un banquier crée (à partir de rien !!) 100€, il en demande 104 €. L’argent des intérêts n’a donc jamais été créé ! Les banquiers demandent plus d’argent qu’ils n’en créent ! »
 C’est pourquoi l’ensemble des banquiers mondiaux doivent constamment accorder de nouveaux prêts afin de remplir la baignoire ! Cette technique a cependant 2 limites :
 1)  Le marché est très moutonnier : par exemple, lorsque la confiance règne, les crédits vont et viennent comme jamais, tous les acteurs du marché suivent la même direction. De l’argent est créé en continu. Mais lorsqu’elle est altérée, la confiance va aussi très vite dans le sens inverse. Et si elles ont peur de ne pas se faire rembourser, les banques vont arrêter d’accorder des prêts afin d’être sûr d’être les premières à être remboursées. La baignoire se vide alors au fur à mesure que les prêts se remboursent. Lors de la crise de 2007, les banques se sont arrêtés de prêter, nous avons tous vu le résultat : le chômage commence à augmenter, plus d’argent, plus d’investissement.
2) Lorsque des personnes stockent de grandes quantités d’argent sans la réinvestir dans l’économie, une partie de l’eau de la baignoire reste indisponible !
Et lorsque que ces deux limites sont atteintes celui qui ne trouve plus d’argent peut-être :
- La personne qui vit seule et qui ne peut plus rembourser son emprunt auto, elle reçoit alors la visite d’un huissier.
– Le patron d’entreprise qui ne trouve pas assez d’argent et doit soit délocaliser soit fermer son entreprise. Dans les 2 cas, cela entraîne une augmentation du nombre de chômeurs.
– L’État qui, lorsqu’il ne peut pas rembourser ses dettes, doit réemprunter (donc augmenter encore ses frais d’intérêt à payer) afin de pouvoir payer sa dette !
Par essence, la création monétaire ex nihilo (à partir de rien) que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents » - Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Economiques
Rémi Mathieu (extrait du livre Comprendre la monnaie)
 

mardi 17 février 2015

Cyberbraquage : comment les pirates ont réussi à voler un milliard de dollars


Les cybercriminels s’introduisaient de manière banale par des emails piégés pour, ensuite, réaliser un minutieux travail d’espionnage et de renseignement avant de passer à l’action. Du grand art.


Un milliard de dollars volés dans plus d’une centaine de banques dans le monde... Détecté par Kaspersky, le cyberbraquage mené par cette équipe internationale de pirates non identifiés était un vrai travail de professionnel, remarquablement organisé et techniquement sophistiqué. Mais concrètement, comment ont-ils procédé ?
Pour s’introduire dans les réseaux informatiques des banques, les pirates ont utilisé un moyen ultraclassique : des emails piégés forgés sur mesure et envoyés à des employés. Le corps du message faisait référence à une invitation, à une réglementation financière, à une demande client, etc. En pièce jointe figurait un fichier Word 97-2003 ou des fichiers systèmes (.CPL) cachés dans une archive RAR. Il suffisait de cliquer et hop, l’ordinateur était infecté par une porte dérobée baptisée Carbanak. Ce dernier, pour rester discret, disposait même d’une signature valide. A noter que les vulnérabilités exploitées pour compromettre les postes de travail sont connues depuis quelques années et qu’il existe des patchs. Les systèmes des victimes n’étaient donc pas à jour (ce qui est fréquent, hélas).
Exemple de message d\'un email piégé.
© Kaspersky
Exemple de message d'un email piégé.
Grâce à la porte dérobée Carnabak, les pirates ont pu espionner à loisir le réseau et les processus de travail de la banque infectée. Ils récupèrent les mots de passe système de l’utilisateur, naviguent à travers ses fichiers et ses emails,  analysent les applications métier intallées, sondent le réseau et les contacts pour trouver des administrateurs systèmes à infecter, installent des logiciels d’administration à distance, etc. Des captures d’écran sont prises toutes les 20 secondes pour connaître précisément le travail de la victime. Si une webcam est disponible, elle sera même filmée. Toutes ces informations seront renvoyées sous forme compressée à des serveurs de commande et contrôle situés à l’étranger, puis stockées de manière systématique dans des bases de données.
Base de données des ordinateurs infectées
© Kaspersky
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L\'activité de la victime est enregistrée par des séquences de  copies d\'écran.
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L'activité de la victime est enregistrée par des séquences de copies d'écran.
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Cette phase de reconnaissance dure entre deux et quatre mois. Une fois qu’ils sont parfaitement renseignés, les pirates passent à l’action. Ils créent de fausses transactions internationales (SWIFT) pour alimenter leurs comptes bancaires et insèrent de faux ordres de paiements en ligne. Parfois, pour rester discrets, ils augmentent artificiellement le solde d’un compte bancaire puis transfèrent la différence sur un compte dont ils ont le contrôle. Ce qui permet de rester sous le radar des contrôles comptables.
Plus impressionnant : les pirates ont parfois pu accéder au réseau informatique qui reliait les distributeurs de billets. Si ces derniers pouvaient être administrés à distance - ce qui n’est pas toujours le cas - il leur suffisait d’envoyer quelques lignes de commandes pour leur faire cracher le pactole. Pour réaliser toutes ces opérations, pas la peine d’exploiter une quelconque vulnérabilité : les pirates utilisaient les identifiants et mots de passe de leurs victimes, tout simplement.
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Lire aussi:
Piratage de la Banque postale : alerte aux malwares sur les smartphones ! , le 07/11/2014
Source:
Kaspersky

lundi 26 janvier 2015

La malédiction continue: mort d’un nouveau banquier



U
n autre bankster se “suicide”, le 3e depuis le début de l’année 2015

Après la mort de 36 banquiers l’année dernière , 2015 commence avec un début peu prometteur avec le suicide rapporté de Chris Van Eeghen, aristocrate hollandais très connu et le 4ème suicide d’un banquier d’ ABN Amro au cours des dernières années .Comme le rapporte Quotenet, la mort de Van Eghen, le chef des marchés financiers et du capital des sociétés ABN” , s’est suicidé à l’âge de 42 ans alors que rien ne présagé une telle action. Ces amis et collègues étaient surpris par cette nouvelle, il avait une bonne réputation au travail et provenait d’une illustre famille. Selon la presse hollandaise, il avait tout pour être heureux ( femme, argent, voiture etc)
Il a travaillé à Amsterdam pour ABN / AMRO
Il était apprécié sur la scène nationale et était le nouvel petit amis de Tatjana Simic (une célèbre modèle croate-néerlandaise, chanteuse, actrice).

La plupart des gens pensent que son suicide n’est pas lié à son travail à la banque (…)



C’est le troisième banquier mort en 2015 …
1) Michael Flanagan, 45 ans, chef de Foreign Exchange, National Australia Bank, Londres, Angleterre
2) Omar Meza, 33, vice-président, AIG, Los Angeles, Amérique
3) Chris van Eeghen, 42, chef des marchés ABN / AMRO, Amsterdam, Pays-Bas

Après 36 mort l’année dernière…

1) David Bird, 55, long-time reporter for the Wall Street Journal working at the Dow Jones news room
2) Tim Dickenson, a U.K.-based communications director at Swiss Re AG
3) William Broeksmit, 58, former senior manager for Deutsche Bank
4) Ryan Henry Crane, age 37, JP Morgan
5) Li Junjie, 33, Hong Kong JP Morgan
6) Gabriel Magee, 39, age JP Morgan employee
7) Mike Dueker, 50, who had worked for Russell Investments
8) Richard Talley, 57, was the founder and CEO of American Title (real estate titles)
9) James Stuart Jr. 70, Former National Bank of Commerce CEO was found dead in Scottsdale, Ariz
10) Jason Alan Salais, 34 year old IT Specialist at JPMorgan since 2008
11) Autumn Radtke, 28, CEO of First Meta, a Singapore-based virtual currency trading platform
12) Eddie Reilly, 47, investment banker, Vertical Group, New York
13) Kenneth Ballando, 28, investment banker, Levy Capital, New york
14) Joseph A. Giampapa, 55, corporate bankruptcy lawyer, JP Morgan Chase
15) Jan Peter Schmittmann, 57, voormalig topbestuurder ANB/AMRO, Laren, Nederland
16) Juergen Frick, 48, CEO Bank Frick & Co AG, Liechtenstein
17) Benoît Philippens, 37, directeur BNP Parisbas Fortis Bank, Ans, België.
18) Lydia…, 52, bankier Bred-Banque-Populaire, Parijs
19) Andrew Jarzyk, 27, bankier, PNC Bank, New York
20) Carlos Six, 61, Hoofd Belastingdienst en lid CREDAF, België
21) Jan Winkelhuijzen, 75, Commissaris en Fiscalist (voormalig Deloitte), Nederland.
22) Richard Rockefeller, 66, achterkleinzoon elitebankier John D. Rockefeller, Amerika
23) Mahafarid Amir Khosravi (Amir Mansour Aria), 45, bankeigenaar, zakenman en derivatenhandelaar, Iran
24) Lewis Katz, 76, zakenman, advocaat en insider in de bancaire wereld, Amerika
25) Julian Knott, Directeur Global Operations Center JP Morgan, 45, Amerika
26) Richard Gravino, IT Specialist JP Morgan, 49, Amerika
27) Thomas James Schenkman, Managing Director Global Infrastructure JP Morgan, 42, Amerika
28) Nicholas Valtz, 39, Managing Director Goldman Sachs, New York, Amerika
29) Therese Brouwer, 50, Managing Director ING, Nederland
30) Tod Robert Edward, 51, Vice President M & T Bank, Amerika
31) Thierry Leyne, 48, investeringsbankier en eigenaar Anatevka S.A., Israël
32) Calogero Gambino, 41, Managing Director Deutsche Bank, Amerika
33) Shawn D. Miller, 42, Managing Director Citigroup, New York, Amerika
34) Melissa Millian, 54, Senior Vice President Mass Mutual, Amerika
35) Thieu Leenen, 64, Relatiemanager ABN/AMRO, Eindhoven, Nederland
36) Geert Tack, 52, Private Banker ING, Haaltert, België

En complément, la liste des victimes fournie par Anonymous, elle est impressionnante !
http://stopmensonges.com/le-groupe-anonymous-publie-une-liste-etonnante-sur-la-mort-des-banquiers/

Source de l’information:
http://www.fromthetrenchesworldreport.com/cheerful-dutch-financier-becomes-4th-abn-amro-banker-suicide/120298
http://www.quotenet.nl/Nieuws/ABN-Amro-bankier-Chris-van-Eeghen-pleegt-zelfmoord-144415


Anonymous publie une liste étonnante sur la mort des banquiers


Si vous aviez des doutes sur la mort des banquiers, jeter un coup d’œil à cette liste et comment ces gens sont morts. Simplement stupéfiant
1. Nov – Shawn Miller, 42 ans, banquier retrouvé mort dans une baignoire avec la gorge tranchée.
2. Oct – Edmund Reilly, 47ans, trader chez Vertical Group de Midtown, s’est jeté devant un train à toute vitesse ( Long Island Rail Road ).

3. Juillet – Julian Knott, 45 ans, directeur général de JPMorgan, Global Tier 3 Network Operations, se serait tiré une balle lui-même.
4. Juin – Richard Gravina, 49, chef d’équipe de l’application, JP Morgan, cause de la mort soudaine inconnu / en attente
5. Juin – James McDonald – Président & CEO de Rockefeller & Co – apparemment se serait tiré une balle lui même
6. Mai – Thomas Schenkman, 42, directeur général de Global Infrastructure, JP Morgan, une mort soudaine,  cause inconnue / attente
7. Mai – Naseem Mubeen – vice-président adjoint de la Banque ZBTL, Islamabad, suicide par saut
8. Mai – Daniel Leaf – gestionnaire principal à la Bank of Scotland gestionnaires / Gérants de fonds sarrasins, est tombé d’une falaise
9. Mai – Nigel Sharvin – Senior Relationship Manager Ulster Bank gérer portefeuille d’entreprises en difficulté, noyade accidentelle
10. Avril – Lydia (pas de prénom) 52 ans, Bred-Banque Populaire de France, suicide par saut
11. Avril – Li Jianhua, 49, Non-bank Financial Institutions Supervision Department of the regulator, attaque cardiaque
12. Avril – Benoît Philippens, directeur / manager Banque Ans-Saint-Nicolas, froidement exécutés avec sa femme de plusieurs balles par un tireur caché derrière leur maison.
13. Avril – Tanji Dewberry – vice-président adjoint de Crédit Suisse,  feu de maison
14. Avril - Amir Kess, co-founder and managing director Markstone Capital Group private equity fund, heurté par un véhicule sur son vélo
15. Avril – Juergen Frick, Bank Frick & Co. AG, tué par balle
16. Avril - Peter Schmittmann – ancien PDG de la Banque néerlandaise ABN Amro, possible suicide par balle
17. Avril - Andrew Jarzyk – Vice-présidente adjointe, Services aux entreprises à PNC Financial Services Group, disparition / meutre
18. Mars – Mohamed Hamwi – System Analyst au Trepp, un cabinet d’analyse des données et financière, tué par balle
19. Mars – Joseph Giampapa – avocat JP Morgan , cycliste heurté par un minibus
20. Mars – Kenneth Bellandro, ancien JP Morgan, suicide par saut
21. Février – John Ruiz , analyste de la dette à Morgan Stanley Municipal Debt, est décédé subitement, pas cause donnée
22. Février – Jason Alan Salais, 34 ans, spécialiste de technologie de l’information chez JPMorgan, retrouvé mort à l’extérieur d’une pharmacie
23. Février – Autumn Radtke, PDG de First Meta, une firme de change cyber-monnaie, SUICIDE
24. Février – James Stuart Jr, ancien chef de la direction de National Bank of Commerce CEO, TROUVÉ MORT
25. Février - Edmund (Eddie) Reilly, trader chez Vertical Group de Midtownâ € ™, SUICIDE
26. Février – Li Junjie, JP Morgan, SUICIDE
27. Février – Ryan Henry Crane, JP MORGAN, la cause de la mort soudaine inconnue
28. Février – Richard Talley, cause inconnue
29. Jan – Gabriel Magee, vice président JP Morgan, SUICIDE
30. Jan – William ‘Bill’ Broeksmit, pendaison/ suicide possible
31. Jan – Mike Dueker, Russell Investments, la cause de la mort soudaine inconnue
32. Jan – Carl Slym, Tata Motors, SUICIDE
33. Jan – Tim Dickenson, la cause de la mort subite inconnue
34. Décembre 2013 – Robert Wilson, un retraité et fondateur de fonds spéculatif , s’est suicidé en sautant du 16e étage.
35. Décembre 2013 – Joseph. Ambrosio, 34 ans, analyste financier chez JP Morgan, est décédé subitement à partir d’un syndrome respiratoire aigu
36. Décembre 2013 – Benjamin Idim, Deutsche Bank, ACCIDENT DE VOITURE 
37. Décembre 2013 – Susan Hewitt – Deutsche Bank,  noyade
38. Novembre 2013 – Patrick Sheehan, ACCIDENT DE VOITURE
39. Novembre 2013 – Michael Anthony Turner, Carrière de banquier, cause inconnue
40. Novembre 2013 – Venera Minakhmetova Ancien analyste financier chez Bank of America Merrill Lynch, CYCLISTE HIT
41. Octobre 2013 – Michael Burdin, SUICIDE
42. Octobre 2013 – Ezdehar Husainat – ancien banquier JP Morgan, tué dans un ACCIDENT ANORMAL quand son 4 x 4 l’a écrasée et conduit à la mort
43. Septembre 2013 – Guy Ratovondrahona – banque centrale de Madagascar, mort soudaine non confirmée
44. Août 2013 – Pierre Wauthier, directeur financier de Zurich Insurance, SUICIDE
45. Août 2013 – Moritz Erhardt, stagiaire dans une banque londonienne,  mort d’avoir trop travaillé
46. Juillet 2013 Hussain Najadi, CEO of merchant bank AIAK Group, tué par balle
47. Juillet 2013 Carsten Schloter, SUICIDE
48. Juillet 2013 Sascha Schornstein – RBS dans son financement de matières premières, disparition
49. Avril 2013 David William Waygood, Italian bank Monte dei Paschi di Siena, SUICIDE
50. Mars 2013 – David Rossi – directeur de la communication de la difficulté banque italienne Monte dei Paschi di Siena (MPS), suicide
51. Fang Fang – JP Morgan, chef de la direction de Chase & Co. de la banque d’investissement pour la Chine ,  deshonored
52. Nick Bagnall – Directeur à la Banque de Tokyo-Mitsubishi, son accidentally killed himself while trying to re-enact a Tudor hanging
53. Robin Clark – RP Martin – à survécu à des coups de feu
54. Kevin Bespolka – Citi Capital Advisors, Dresdner Bank, Merrill Lynch et Morgan Stanley, grièvement blessé et son fils mort
55. Robert Wheeler, 49 ans, un conseiller financier à la Deutsche Bank, deshonored
56. Chris Latham – Bank of America, à l’essai, tueur à gage
57. Igor Artamonov – West Siberian Bank of Sberbank, fille retrouvé mort (suicide POSSIBLE)
58. Hector Sants, Barclays – a démissionné à cause du stress et de l’épuisement, après avoir été informé qu’il risquait des conséquences plus graves pour sa santé s’il continuait à travailler
59.  21st Avril – Bruce A. Schaal, 63 ans, est décédé subitement 
60.  Avril 20th- Keith Barnish 58 ans, est décédé subitement (travaillait encore comme Senior Managing Director at Doral Financial Corporation. Auparavant Bear Stearns, vice-président Bank of America
61.  12th Mars- Jeffrey Corzine, 31 ans, le fils du chef de la direction et président de  MF Global Jon Corzine impliqués dans le crime bancaire a été retrouvé mort dans un suicide apparent.
62. Keiran Toman, 39, ancien banquier qui a cru qu’il était traqué par une équipe de télé-réalité est mort de faim dans une chambre d’hôtel, une enquête a été lancée.
63. Une enquête a été ouverte après sa mort en Juillet 2010, mais sa famille a demandé une seconde audience car ils n’ont pas été informés. La police a trouvé tout de M. Tomanâ € les possessions ™ dans la salle, mais en dépit des documents citant sa famille, ne ont pas leur dire qu’il était mort.
64. Nicholas Austin, 49, un ancien directeur de la banque de Hersden mort après avoir bu de l’antigel dans un effort pour “se défoncer”. Il a été retrouvé dans le coma par sa femme Lynn à leur domicile de Blackthorne Road le 5 Octobre . Il est mort le même jour.

Traduction: stopmensonges
REF.: Liste visible en anglais sur quickleak.org

jeudi 8 janvier 2015

En attendant la première monnaie mondiale ?

monnaie-mondiale
the-economist-phoenix 

 imf-phoenix-rising
L’espoir du Phénix peut déployer ses ailesDans les vastes déserts du cielEt, toujours, peut défier le destinRevivre, et renaître de ses cendres.(Miguel de Cervantès, Don Quichotte)monnaie-mondialeSi vous voulez bien on va laisser de côté les sempiternelles et bien pratiques suspicions et accusations de complot, conspiration, et autres façons de discréditer, souvent les tordus qui peuvent les inventer, mais aussi parfois ceux qui voient clair mieux que les autres et avant eux. Des complots de l’oligarchie il n’y a que ça depuis des lustres. Celle qui nous gouverne, qui nous tient à la gorge et nous rançonne, est super organisée et nous concocte des crises ainsi que de la dette souveraine qui nous rend esclaves, même si nous en sommes les honteux et pitoyables complices par notre consumérisme délirant. Elle consiste à nous priver de battre monnaie, lever une armée, édicter nos lois et diriger notre système d’éducation. Quatre choses que l’Europe, en exemple, nous enlève selon Marie France Garaud qui a tout-à-fait raison de le prétendre. La façon de recouvrer tout ça serait de sortir de l’Euro et de l’Europe. Mais ceci est une autre histoire qui mériterait un autre article sur la souveraineté perdue et l’impuissance crasse à agir sur notre destin national.Ne digressons pas, revenons à l’oligarchie ou si vous aimez mieux aux TPTB (the power that be), les globalistes ou à la cabale magnifiquement flanquée des banquiers internationaux tant l’argent est le dénominateur commun et l’arme totale. Avec un arsenal impressionnant à leur disposition. De la Réserve Fédérale, des autres banques centrales dont la Banque Centrale Européenne, de la Banque des Règlements Internationaux mère de toutes les banques mondiales et outil de prédilection de la cabale, du FMI, de l’Organisation du Commerce International, de l’Otan, etc. Même l’ONU, qui a du mal depuis près de 70 ans à excuser Israël pour leur action envers la Palestine. La Palestine qui a d’importantes réserves de pétrole prouvées dans ses eaux territoriales. Gageons que ça excite des convoitises et je vous laisse deviner de qui. J’en passe et des meilleures, comme le Council of Foreign Relations, la Trilatérale et le Bilderberg. Et avec leurs vassaux, l’Allemagne, le Japon, l’Europe, l’Angleterre et l’Australie pour ne citer qu’eux. Rejoints par la Pologne et les Pays Baltes. Les outils financiers de la cabale sont les QE, les quadrillions de dollars des dérivés et les taux d’intérêt au ras des pâquerettes ainsi que la manipulation des cours de l’or et de la bourse. Mais le règne du dollar et aussi des États-Unis est essoufflé, fini, usé, consumé, pulvérisé. D’où la nécessité pour la cabale de le sacrifier pour les SDR (DTS) et donner un rôle nouveau et central au FMI.Le bon DSK était trop socialiste, concerné un peu plus par les moins riches que la cabale et correspondait mal au rôle nouveau du FMI que les globalistes ourdissaient. Exit DSK via peut-être ses instincts mal maîtrisés semble t’il, mais surtout grâce à ce qui peut faire penser à un piège pratique et fort à propos pour se débarrasser d’un directeur gênant. Il ne le dira pas que sa qualité de directeur peu docile du FMI lui a coûté tous ces ennuis judiciaires, et son partenaire dans la banque commune de ces deux associés vient de sauter d’une fenêtre élevée. Malheureusement les vingt étages l’ont tué. D’autres banquiers sont morts dans cette période de transition vers un nouvel ordre mondial accru, et la fréquence des accidents mortels exclut la coïncidence.the-economist-phoenixIl ne fait pas bon non plus suggérer de remplacer le dollar par d’autres monnaies et le patron de total, Christophe de Margerie, qui l’a crié sur les toits, a rencontré un chasse-neige sur la trajectoire de son avion au décollage alors qu’aucune neige obstruait la piste en automne. Çà n’a pas été relevé par les supporters des équipes de foot ou les clients de la malbouffe, c’est l’essentiel, on a eu chaud. Çà aurait fait mauvais genre pour la bien-pensance et les dictateurs intéressés de la pensée qui empêchent le débat. Ce grand patron a rejoint Saddam et Kaddafi qui eux aussi ont contourné l’obligation de commercer le pétrole en pétrodollars. Non, je ne compare pas ces gens entre eux, mais ils sont sans doute morts pour les mêmes raisons. Non, je ne suis pas non plus adepte des théories de la conspiration, même si je dénonce des faits qui y ressemblent fort. Je joins quand même une audio fort instructive de Kennedy avant sa mort. Je salue sa mémoire, lui qui avait tout compris dans le début des années 60. Il en est mort car vous ne croyez tout de même pas que Lee Harvey Oswald l’a trucidé, non ?Le cas des Etats-Unis est ambigu car si eux aussi sont globalistes, surtout les néo-conservateurs de Washington, la cabale ce n’est pas eux en premier, même s’ils en font partie pour certaines choses. Il y aurait une encyclopédie qui serait nécessaire pour expliquer à certains esprits confus en quoi ils sont différents, souvent alliés mais aussi souvent ennemis jurés. Prenons l’exemple de l’Ukraine. L’Amérique veut les sanctions et la guerre, pas la cabale. Voir les prises de position de Kissinger et celles, opposées sur le sujet, de George Soros. Voyez les mots très durs d’Hillary Clinton et de Dick Cheney, tous deux cabalistes, sur Obama l’Américain et sa façon débile de gérer l’international. Presque tous, parmi les plus éclairés pourtant des blogueurs Internet, ne savent ni faire la distinction, ni connaissent la dichotomie de ces deux clans de super puissance. Cette méconnaissance les amène à affaiblir leurs analyses et tout confondre.C’est ce que l’avenir proche va nous démontrer dès 2015 avec la chute du dollar US et les Droits de Tirage Spéciaux du FMI, ainsi que la déconfiture intégrale des États-Unis qui les mène au désastre social et à la ruine du pays. Autant pour les vendus aux thèses américaines, notamment les Européens fourvoyés dans la défense et la protection des intérêts d’un empire américain en décomposition. Il y aura très vite des lendemains qui déchantent pour les Polonais et Ukrainiens de Kiev, pour qui les États-Unis sont les maîtres. À cet effet, ce que fera l’Allemagne envers l’Europe sera déterminant. Et la France qui suivra. Le fameux ‘couple Franco-Allemand’, une fumisterie défendue par des politiciens fourvoyés et des journalistes comme Jean Quatremer. Tant qu’on aura des pseudo journalistes comme Laurent Joffrin ou David Pujadas, on se fera farcir la tête de désinformation manipulée. Un premier acte de liberté serait de virer ces gens là. Les États-Unis et l’Europe seront bientôt défunts, les États-Unis par les soins de la cabale et l’Europe par les peuples.Une autre arme redoutable pour la cabale est la presse grand public, âme damnée de celle-ci sur laquelle est exerce un contrôle total, et aussi, on l’oublie trop souvent, une bonne part des sites et blogs Internet. Ne soyons pas naïfs, la cabale a miné l’Internet et planté sa manipulation là comme ailleurs. Un conseil : en lisant un article, avez vous affaire à un menteur (lier), un raconteur d’histoires (story teller) ou à un chercheur de vérité (truth seeker). Vous verrez, cette classification va vous aider à éviter les pièges de la manipulation qu’on connaît depuis Goebbels. Faites aussi le distinguo entre USA et cabale.Mais revenons au phénix, aux SDR, et à l’émergence d’une monnaie mondiale. Le FMI avait publié un long essai il y a une dizaine d’années sur l’intérêt de créer la monnaie mondiale pour les réserves de change par les DTS (SDR). Déjà, le 9 Juin 1988, le journal ‘The Economist’ avait déjà publié un long article ‘Soyez prêts pour une monnaie mondiale’. En couverture un phénix qui piétinait un tas de billets de différents pays en train de brûler, symbole de la monnaie fiduciaire et qui annonçait cet événement, qui semblait farfelu à cette époque, pour 2018. Notez que le phénix porte une couronne qui symbolise sa qualité de roi et une pièce sur la poitrine avec justement la date de 2018. Tiens tiens ! Quand je vous dis que les événements à venir projettent leur ombre en avant… Çà prouve que l’œuvre de la cabale est de longue haleine, planifiée, inexorable. Numérotez vos abatis. Si vous croyez que la révolution Française vous a acheté la démocratie ou que vos syndicats et vos grèves et même vos votes vous protègent du rouleau compresseur. Comme disait Hollande avant son élection pour vous enfumer « mon ennemi c’est la finance ». Ouaf ouaf ! Faut oser !imf-phoenix-risingLes cabalistes sont des psychopathes qui rêvent du nouvel ordre mondial. Une monnaie unique, un gouvernement unique. La disparition de la souveraineté des pays, un pouvoir économique réservé aux plus riches, les taches de production mal payées à des travailleurs des pays pauvres mêlés par émigration ou compétition aux travailleurs qui un temps s’étaient organisés par le Front Populaire et les avancées sociales. Chaque année qui passe érode nos libertés.Il est temps de parler des SDR et je vous suggère de lire, comme introduction sur le sujet, mon article « vous avez dit DTS ou SDR et FMI » pour lequel j’ajoute ici certains éclaircissements.Le nouvel ordre mondial des cabalistes, dont le renouveau des SDR est une composante majeure, signifie de sacrifier États-Unis et dollar US. Les deux ont bien servi en leur temps mais il est révolu. Le rôle du dollar a été de centraliser toutes les banques centrales sous la coupe de la Banque des Règlements Internationaux (BIS) et d’exporter son inflation (celle des USA) vers tous les pays sous forme de la dette souveraine. Ces dettes seront consolidées grâce aux SDR. Les 3000 milliards de dollars US de cash et de treasuries US (bons du trésor à 5, 10 ou 30 ans) que la Chine détient seront compensées par leur part dans les SDR de la Chine. La Chine a acheté pour un peu plus de 700 millions de dollars l’immeuble de JP Morgan et il est vraisemblable qu’elle achètera JP Morgan et la Fed. Je sais ça semble incroyable. Toutes les monnaies seront en parité étroite (peg) avec les SDR, et les ressources (commodities) le seront aussi. D’où le fait que presque toutes les banques se sont déjà retirées du marché des commodités, de la Deutsche Bank à JP Morgan. Presque seule, Goldman Sacks a gardé ce segment.Vous me direz qu’une monnaie fiduciaire qui fait un effet de levier en l’imprimant à bon compte, le dollar, va être remplacée par les SDR, qui est la même chose et sera imprimée à outrance par le FMI. Çà marchera 10 ou 15 ans, en attendant la première monnaie mondiale, peut-être basée sur l’or.Les BRICS(Brésil, Russie, Inde et Chine (remplacé le 14 avril 2011 par le BRICS depuis l'adhésion de l'Afrique du Sud - ajout du S de South Africa - à ce groupe)) sont demandeur d’une réforme en Juillet 2015 du FMI, ce qui leur donnera un plus grand poids international dans la gouvernance du monde. La cabale aussi mais pas les USA qui verront leur puissance au FMI diluée. Ils traînent les pieds depuis 2010 et le Congrès n’a toujours pas ratifié l’accord.Même sans, les réformes se feront avec un plan B de la cabale, que j’ai expliqué en annexe de mon article précédent.La référence à l’apparition du Phénix n’est ni une illusion ni une fausse info. Le grand œuvre des âges modernes est né d’une divergence fondamentale entre ignorance et savoir.J’espère que vous me cataloguerez dans les truth seekers et pas les story tellers. Mais ça c’est l’avenir proche qui vous donnera la réponse. Je ne résiste pas, pour finir ma diatribe, à citer ici Channing, dont je crois avoir adopté depuis bien longtemps les principes :
 “To live content with small means; to seek elegance rather than luxury, and refinement rather than fashion; to be worthy, not respectable, and wealthy, not rich; to listen to stars and birds, babes and sages, with open heart; to study hard; to think quietly, act frankly, talk gently, await occasions, hurry never; in a word, to let the spiritual, unbidden and unconscious, grow up through the common — this is my symphony”. WILLIAM HENRY CHANNING

Source.: 

mercredi 3 décembre 2014

Léo-Paul Lauzon: L'emmerdeur s'intéresse toujours aux banquiers canadiens

Léo-Paul

Ce matin, le coloré professeur de sciences comptables Léo-Paul Lauzon va probablement découper cet article, souligner des passages avant de le classer dans une chemise thématique, probablement celle consacrée aux banques et aux paradis fiscaux.


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«J'haïs ces gens-là»
Jour après jour, dans sa résidence des Laurentides, c'est le rituel matinal du titulaire de la Chaire socioéconomique de l'UQAM: il consacre deux heures à la lecture des journaux du jour, à les annoter et à les classer méticuleusement.
«Les ordinateurs, je n'aime pas beaucoup ça», avoue-t-il.

Une phrase qui étonne quand même, depuis 2010, dans la bouche d'un professeur universitaire. Ce qui surprend aussi, c'est d'apprendre que ce prof de comptabilité rebelle a maintenant 67 ans.

Quoique, à bien y penser, il y a longtemps que le prof Lauzon est présent dans le paysage médiatique, lui qui demeure l'un des seuls à offrir un contre-discours et à montrer la face cachée du capitalisme.

Les banques dans sa valise

Comme il le fait une fois l'an, le prof Lauzon s'est envolé pour un séjour vacances-travail de trois semaines dans une maison qu'il loue à Cuba (il ne découpera donc pas cet article ce matin!).

Dans ses valises, il a apporté quelques-unes de ses chemises thématiques remplies de découpures de journaux et de magazines, ainsi que des rapports annuels.

Il s'intéressera cette fois-ci à l'évasion fiscale des banques et de certaines grandes entreprises (avec la complicité des banques) dans les paradis fiscaux.

Quelques questions qui font mal

«À Cuba, je travaille quatre heures par jour sans téléphone, sans personne pour me déranger. C'est incroyable la quantité de travail qu'on peut abattre dans ce temps-là», dit-il.

Les détracteurs du prof Lauzon trouvent qu'il utilise trop souvent des raccourcis douteux.

Mais d'aucuns s'entendent pour dire qu'ils soulèvent souvent de très bonnes questions, dont plusieurs qui font mal. Dans le club de la haute finance, on l'a baptisé «l'emmerdeur» depuis longtemps.

«Si quiconque dérange l'ordre établi est un emmerdeur, alors oui, j'en suis un!», avait-il d'ailleurs lui-même reconnu, un jour, en entrevue à La Presse.

Bouffons de service...

Vingt-cinq ans après son premier rapport socioéconomique décapant sur Vidéotron, alors propriété de la famille Chagnon (qui avait été largement financée par la Caisse de dépôt pour doter le Québec de son premier réseau de câblodistribution), le prof Lauzon trouve que les Québécois se laissent encore trop souvent endormir par l'élite.

Il n'a rien contre le monde des affaires proprement dit. Ceux qu'il vise, ce sont ces «bouffons de service» et «ces affairistes et opportunistes» qui, selon lui, disent «faites ce que je dis, pas ce que je fais».

«Je ne me prends pas comme un gars intelligent, dit-il. Mais quand je vois toutes les énormités et les inepties que disent ces gens-là, je me dis que je peux pas faire pire qu'eux!»

Son dédain inclut aussi des économistes bien connus, qu'il considère en total conflit d'intérêts lorsqu'ils acceptent de lucratifs mandats de consultation, à gauche comme à droite, en plus de leurs fonctions bien rémunérées de professeurs d'université.

Et ça inclut aussi les journalistes qui, selon lui, couvrent le monde économique avec un esprit contemplatif, en surfant trop souvent sur leurs dossiers et en posant rarement les vraies bonnes questions.


Source.:

A quand la fin des Banques ?

 Lauzon

«J'haïs ces gens-là»

En 2010 , il disait, et dit encore :
J'haïs ces gens-là, ces faces de carême-là, ces faux frères qui donnent des leçons, qui s'expriment sur tout, dont la santé et le décrochage scolaire, et qui se comportent autrement. Ils ont du front tout le tour de la tête!»


Aussi sur Canoe.ca
Léo-Paul Lauzon n'apprécie pas, entre autres, de voir un banquier comme Jacques Ménard, de la Banque de Montréal, publier un livre ( Au-delà des chiffres... une affaire de coeur) consacré au décrochage scolaire.
«Pourquoi n'y a-t-il pas un journaliste ici qui lui apporte son propre rapport annuel et lui demande poliment: «Regardez, M. Ménard, pourquoi votre banque a-t-elle des bureaux dans les paradis fiscaux? Pourquoi les banquiers se font-ils payer en options d'achat pour éviter de payer de l'impôt? Vous savez, la fiscalité, ça a un lien avec le décrochage scolaire et nos hôpitaux en décrépitude...»»

Dans une chronique publiée il y a deux semaines dans l'hebdomadaire Métro, le prof Lauzon reprenait d'autres propos du banquier Ménard, lui qui déclarait il y a un mois: «Moi, je n'ai pas de bibittes ou d'appréhensions existentielles à l'égard du monde syndical. Ça fait partie de la toile sociale qu'est le Québec.»

«Parlant de bibittes, lui répond le prof Lauzon dans la chronique, il faut dire qu'il n'y a pas de syndicat à la Banque de Montréal...»

Il s'étonne encore aujourd'hui qu'il n'y ait pas eu un seul journaliste pour lui poser la question à savoir pourquoi les banques avaient toujours réussi à éviter la syndicalisation, elles qui n'ont d'ailleurs pas toujours pris des moyens gracieux pour le faire.


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lundi 27 octobre 2014

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque Mondiale



La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque Mondiale
La Chine et vingt autres pays ont signé, le 24 octobre, un protocole d’accord visant à créer une banque régionale spécialisée dans le des infrastructures, et conçue comme une alternative à la .
L’Inde, Singapour, le Kazakhstan, le Pakistan, le Vietnam et le Qatar figurent parmi les  21 pays signataires de l’accord. Le Japon n’a pas signé cet accord en raison de la rivalité avérée entre Pékin et Tokyo sur les plans , économique et politique.
A noter également que l’Australie, l’Indonésie et la Corée du Sud n’étaient pas représentées à cette cérémonie.
La  «Banque asiatique d’ dans les infrastructures» (AIIB) sera dotée d’un capital initial de 50 milliards de dollars, et son siège sera situé à Pékin, selon les médias officiels chinois.
Les financements devraient notamment servir à développer des infrastructures dans toute la région, dont une ligne de chemin de fer colossale reliant Pékin à Bagdad, selon des sources citées par le Financial Times. «En chinois, nous avons un vieux proverbe qui dit: si vous voulez devenir riche, construisez d’abord des routes ; je crois que cela décrit de façon concrète l’importance des infrastructures pour le développement économique», a déclaré à cette occasion le président chinois Xi Jinping.
L’attachement de Pékin à mettre en place un concurrent à la Banque mondiale reflète sa frustration devant la domination des pays occidentaux sur la gouvernance des différents bailleurs de fonds multilatéraux.
Les puissances émergentes des (, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) avaient créé en juillet leur propre banque et un fonds de réserves, affichant ouvertement leur désir d’élaborer une architecture financière distincte d’organisations jugées aux mains des pays occidentaux.
Agence Ecofin