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mercredi 14 février 2024

Conte pour tousse: Baptista et Séléna et la meute de Loup.

 

Conte pour tousse: Baptista et Séléna et la meute de Loup.


Le fils de Baptista demande a son père papa dessine-moi un coeur. Son père lui répondit, ça prend beaucoup d'homme, beaucoup de vie pour en arriver la, mais je vais te le dessiner. Entre-temps, son père qui sommeilla se coucha a l'ombre d'un olivier ,a Gethsémani. Dans son rêve son père vit la décollation de Jésus , comme si c'était lu qu'on exécutait, sous l'ordre d'Hérode. C'était réel comme si la douleur était intense, mais le fit sourire de joie dans son coeur plein d'amour.Il y eu une nuit,il y eu un jour!

À son réveil, sa fille , la plus vieille, Séléna s'occupait comme d'habitude de ses moutons. La vie continue, il y eut, un jour, il y eut une nuit ! Elle demanda à son père de se reposer, elle aussi, ce qu'accepta son père. Séléna se mit, elle aussi, sous le même olivier pour se relaxer. Elle s'endormit aussitôt. Séléna rêva qu'elle surveillait des Loups, une meute de loup. Dans son rêve, elle prit soin d'un nouveau Loup, pour l'introduire dans la meute. Elle observait que tous les loups de la meute sentirent le nouvel arrivant, qui était évidemment trop anxieux face à la sérénité de la meute qui contenait 64 loups.  En un instant, trois loups attaquèrent le nouvel arrivant et le mirent à mort, sa tête était complètement arrachée. Elle n'a pas eu le temps de même réagir, surtout face à 64 loups. Le choc fut si grand qu'elle se réveilla en pleur.

 Elle raconta à son père, Baptista, ce qu'elle a vécu dans son rêve. Son père la rassura et lui dit simplement, tu vois dans une meute tous les loups ressentent leur énergie comme s'il y a juste un loup qui représente la Meute, les 64; mais ce que tu as vu concernant les 3 loups, c'est que ces loups alpha contrôlent la meute et agisse pour le bien-être de la meute,ils devaient montrer au nouveau loup en le corrigeant qu'il est dans une meute, et qu'il est soumis aux règles de la meute. Ça peut aller jusqu'à la mort ; mais normalement, moi, j'ai vu que les mâles alpha corrige le comportement du nouveau loup, et celui-ci part seul pour former une autre meute. C'es-tu pourquoi Séléna ? Non, mon père ? C'est parce que ce loup était aussi un mâle alpha. Alors, ma fille, que ce loup soit mort quand même aujourd'hui, ne change rien, car ce n'était pas réel, tu rêvais ma belle !


REF.: T30



Une autorisation des « Vikings » pour le logo du Bluetooth

 

Une autorisation des « Vikings » pour le logo du Bluetooth

Par: Pierre Dandumont | 

Si vous connaissez un peu la norme Bluetooth, vous connaissez peut-être l'origine de son nom et de son logo : ils viennent du roi danois Harald Blåtand, dit « Harald la dent bleue ». La norme a en effet été créée par des sociétés scandinaves (dont Nokia et Ericsson) et Harald est connu pour avoir unifié différents peuples. Comme le but du Bluetooth était de rassembler différentes technologies (et fonctions) sous une même bannière, le surnom1 d'Harald a été choisi.

La rune qui sert de logo au Bluetooth.

Et dans la foulée, le logo a été construit à partir des deux runes de son nom : Hagall (ᚼ) et Bjarkan (ᛒ). Et 25 ans après la sortie de la norme Bluetooth, l'autorisation d'utiliser le nom d'Harald 1er et sa rune a été symboliquement demandée au musée de la ville de Jelling, dans laquelle le roi en question aurait vécu. Et selon l'AFP, l'autorisation d'employer le nom aurait été donnée pour les 1 000 prochaines années, dans un esprit de bonne volonté et de coopération de la part des « représentants » des Vikings. Vous y penserez peut-être la prochaine fois que vous verrez l'icône dans la barre de menus de macOS ou d'iOS.


  1. L'origine exacte du surnom n'est pas connue. Certaines sources parlent de ses dents gâtées (le mot d'origine peut se traduire par sombre), d'autres du fait qu'il aimait les myrtilles, ce qui est moins impressionnant. 

REF.: macg.ca

mardi 13 février 2024

Appel à tous : On cherche un interviewer pour conférence Supramental:

 Appel à tous : On cherche un interviewer pour conférence Supramental:


Préférable une femme ouverte aux sciences Supramental, bien sûr les hommes pleinement conscients sont les bienvenus!Je connais des amis qui font des soupers rencontre, mais ici c’est pour la formule duo ou en groupe comme BdM faisait !


Merci de me répondre par courriel! 


RÉF.: T30 , c’est pour partager avec ceux qui veulent grandir dans le Supramental, Merci 🤍

Le Luciférisme, qu'est-ce que c'est?

 Le Luciférisme, qu'est-ce que c'est? 


Le Luciférisme est un courant relativement abstrait, tenant davantage de la philosophie que de la religion. Cependant, cela n’empêche pas bon nombre de Lucifériens d’avoir des croyances qui leur sont propres.


C’est parce que le Luciférisme n’est soumis à aucun dogme qu’il est aussi difficile à décrire et que chaque Luciférien a souvent sa propre version du Luciférisme. Cependant il n’en est pas moins pourvu de quelques bases que nous allons aborder aujourd’hui.


Lucifer, le porteur de Lumière

Lucifer peut être considéré comme un Dieu, comme un égrégore, comme une partie de nous même, ou tout simplement comme un symbole dont on peut s’inspirer. Il est le porteur de lumière, autrement dit, celui qui apporte la connaissance. Mais il incarne aussi l’image de l’adversaire, du rebelle qui s’est opposé à Dieu pour faire ce qui lui semblait juste (enseigner les hommes).


Il ne faut donc pas voir Lucifer comme une figure du mal, bien au contraire. Il est un puissant symbole d’illumination au travers de la connaissance de soi et de l’univers, mais aussi d’indépendance.



Statue de Lucifer « Le Génie du Mal » de Guillaume Geefs, située dans la cathédrale Saint-Paul à Liège, en Belgique

Lucifer et Satan

Certaines branches du Luciférisme, bien qu’assez rares, associent Lucifer à Satan. C’est un concept assez Chrétien, auquel chacun est libre d’adhérer ou non. À vous, donc, de faire vos propres travaux afin de ressentir leur énergie et d’en tirer vos propres conclusions! Mais sachez que malgré tout, la plupart des Lucifériens rejettent cette croyance, considérant Lucifer comme une entité très positive, qui n’a rien à voir avec le Diable ou Satan. Le Luciférisme n’a d’ailleurs rien à voir avec le Satanisme, qu’il soit traditionnel ou Laveyien.


La philosophie Luciférienne

Le Luciférisme se base avant tout sur un désir d’évolution intellectuelle, morale et spirituelle. Il s’agit de s’élever en travaillant, et donc de récolter ce que l’on mérite. Autrement dit, plus on travaille dur, et plus on évolue.


Cela peut bien sûr concerner toutes les sphères de l’existence, et non pas seulement la sphère professionnelle ou spirituelle. Il peut par exemple s’agir de travailler ses capacités psychiques, s’ouvrir à différentes pratiques occultes, lire le plus possible pour tenter d’apprendre de nouvelles choses, travailler sur soi et se remettre constamment en question afin d’évoluer, faire de nouvelles expériences… La vie entière peut être riche en enseignement, pour peu qu’on veuille apprendre.


C’est pourquoi bon nombre de Lucifériens auront généralement des pratiques occultes assez variées et poussées, un travail dans lequel ils se sentiront bien, enrichissant intellectuellement, et une spiritualité relativement élevée.


L’élévation via la connaissance

Le Luciférisme prône donc le désir d’accroître ses connaissances autant que possible, car c’est à travers la connaissance que l’on grandit et que l’on évolue. Il ne s’agit pas là d’un désir orgueilleux de pouvoir montrer son savoir, mais bien d’un besoin de s’élever à travers la compréhension de soi et du monde qui nous entoure.


Le Luciférisme attache notamment de l’importance à la science en générale, à l’ésotérisme, aux religions, et à tous ce qui pourrait permettre de comprendre le fonctionnement de l’univers et de ses lois.



Les valeurs morales

Cependant, la connaissance seule ne suffit pas, et les valeurs morales ont également une grande importance. C’est pour cette raison que bon nombre de Lucifériens seront engagés dans des causes et auront un grand intérêt pour l’écologie, l’humanitaire et la protection animale.


Cela n’a cependant rien à voir avec des valeurs communes aux religions modernes, les Lucifériens étant des personnes recherchant la liberté d’opinion, ils forgent généralement leurs valeurs en se basant sur leurs connaissances et leurs expériences, et sont ouverts aux échanges d’idées, pourvues qu’elles soient argumentées.


Mais là encore, je suis forcée de généraliser pour la rédaction de cet article, gardez en tête que ce ne sont que des grandes lignes et que chaque Luciférien aura sa propre façon de voir les choses.


La spiritualité et le développement personnel

L’évolution spirituelle, qui se fait à travers l’acquisition de connaissances et des valeurs morales, nécessite également un travail sur soi permanent. C’est pourquoi le développement personnel tiendra généralement une place non négligeable dans la vie des Lucifériens. Ainsi, ils attacheront beaucoup d’importance à donner le meilleur d’eux mêmes en toutes circonstances, et à s’épanouir à travers le travail, l’art, et la réalisation de leurs aspirations personnelles.


L’ambivalence de l’univers et notre impact sur le monde

Aux yeux des Lucifériens, l’univers est ambivalent. Tout possède un pôle positif et un pôle négatif, et à l’image de la nature qui donne la vie et la reprend, nous avons toujours le choix de faire le bien ou le mal.


Tous nos actes ont des conséquences, et il est très important d’agir en ayant conscience de l’influence que nous avons sur le monde qui nous entoure.


Nous ne sommes pas seulement responsables de ce que l’on fait, nous le sommes aussi de ce que l’on ne fait pas.


Lao-Tseu

Le parallèle avec l’évolution des esprits

Récemment, je vous avais parlé de la classification des esprits faites par Allan Kardec. Il est amusant de constater que la philosophie Luciférienne cherche à devenir ce que cette classification nomme des esprits purs, en acquérant les connaissances, les valeurs morales et la spiritualité nécessaires à cette condition. Je pense que cette similitude est due au hasard, dans la mesure où tous les Lucifériens ne croient pas en la réincarnation, mais ça n’en pas moins intéressant de faire le rapprochement.



Pendentif Sigil de Lucifer

Les croyances des Lucifériens

Les croyances liées au Luciférisme ne sont pas obligatoires. Il existe un grand nombre de Lucifériens qui ne croient qu’en eux mêmes, et ça ne concerne qu’eux. Chacun est libre de suivre son chemin et d’évoluer à sa façon.


Cependant, il y a aussi un très grand nombre de Lucifériens qui rattachent des croyances (qui leur sont propres) à la philosophie Luciférienne. Comme je le disais au début de cet article, il n’existe aucun dogme, et chacun est libre de croire en ce qu’il veut.


Lucifer, Dieu ou égrégore?

Parmi les croyances les plus fréquentes, Lucifer est en général vu comme un Dieu. Certains le voient même comme une entité ayant eu différents noms au fil des siècle, et donc comme un ancien Dieu païen diabolisé par le judéo-christianisme sous le nom de Lucifer.


Dans la Wicca Luciférienne, Lucifer est même associé au Dieu, et donc à l’énergie masculine de l’univers, aux côtés de la déesse Lilith, symbole de l’énergie féminine. Il est important cependant de noter que la Wicca Luciférienne n’est pas vraiment une branche du Luciférisme, même si certains font le lien entre les deux.


Mais pour d’autres, Lucifer est un égrégore créé par les croyances judéo-chrétiennes. Son énergie serait donc basée sur l’image que ces croyances véhiculent, et aurait ensuite développé une conscience.


Le travail avec les veilleurs

Un grand nombre de Lucifériens travaillent avec des entités, et plus particulièrement avec les déités que nous nommons veilleurs. Ce travail coule de source puisque les veilleurs enseignent tout ce que les Lucifériens cherchent à acquérir: la connaissance, les valeurs morales, la spiritualité, le développement personnel, les pratiques occultes.


Le travail avec les déités et les démons

En dehors de la recherche d’un veilleur, le travail avec des déités ou avec des démons est très fréquent. Ceci n’a bien sûr rien de maléfique, ce qui serait à l’encontre de la philosophie même du Luciférisme. Le but de ces rituels ou de ces travaux est en général le développement spirituel et personnel.


En résumé

Le Luciférisme est avant tout une philosophie prônant l’élévation au travers de la connaissance, du travail, et de la spiritualité. Les croyances et les pratiques occultes ne sont pas obligatoires, bien qu’elles soient très présentes. Les Lucifériens aspirent à évoluer spirituellement dans le but de devenir la meilleur version d’eux mêmes et d’apporter quelque chose de positif dans le monde qui les entoure.


Ils ne rejettent pas leur part d’ombre, mais la transcende afin d’en faire quelque chose d’utile, et donc de positif.


REF.: the-witching-hour.com/blog/index.php/le-luciferisme-quest-ce-que-cest/

Extrapolations : critique de notre fin du monde sur Apple TV+

 Extrapolations : critique de notre fin du monde sur Apple TV+

Alexandre Janowiak | 24 avril 2023 

Science-fiction Drame

Avec la satire technologique de Black Mirror, les séries d'anticipation se sont multipliées à partir de 2011. Parmi les plus alarmantes, on peut évoquer les crises politiques et économiques dépeintes par Years and Years ou, plus pertinente encore, The Handmaid’s Tale dont la fiction a été largement rattrapée par les lois anti-avortement faisant reculer les droits des femmes aux Etats-Unis. Dans Extrapolations, Scott Z. Burns explore les conséquences de la crise écologique sur notre monde avec un casting cinq étoiles (Meryl Streep, Sienna Miller, Marion Cotillard, Tahar Rahim, Kit Harington ou Edward Norton). Le résultat fait froid dans le dos, mais n'est pas parfait.


Photo Marion Cotillard66

WASTED LAND

En 2011, le réalisateur Steven Soderbergh et son scénariste Scott Z. Burns dévoilaient Contagion, film racontant les événements d'une pandémie sur Terre. Si le film avait reçu un accueil positif à sa sortie, personne ne s'inquiétait alors vraiment de sa vraisemblance avec le futur. Pourtant, dès mars 2020, lorsque le Covid-19 est venu bousculer le monde entier, le long-métrage est devenu une oeuvre visionnaire au vu de son réalisme (désinformation, distanciation sociale, millions de victimes, guerre du vaccin...).


Une exactitude déboussolante notamment due aux longues recherches et multiples entretiens avec la communauté scientifique de Scott Z. Burns pour écrire le scénario du film. Et c'est peut-être ce qui est le plus effrayant devant la série Extrapolations : si Scott Z. Burns (showrunner de la série) a pu prédire avec une justesse aussi impressionnante une telle pandémie, comment ne pas voir Extrapolations non plus comme une simple fiction, mais comme la vision de notre propre futur avant l'heure ?


 


Play Video

 


Une nouvelle fois, Burns s'est démené pour coller le plus possible à la réalité, creusant les rapports du GIEC et les innombrables prédictions sur l'impact de tels ou tels éléments sur l'avenir de la planète. La série commence ainsi en 2037, au moment où le réchauffement mondial a atteint +1,55°C, soit le seuil que les dirigeants s'étaient fixé à ne pas dépasser lors des accords de Paris de 2015 pour préserver au mieux l'écosystème.


S'ouvrant sur des feux de forêt détruisant des milliers d'espèces en Europe et Amérique du Nord, des ouragans de plus en plus intenses, des marées noires dévastatrices et la fonte de glaciers faisant irrémédiablement monter le niveau des océans, Extrapolations ne fait pas les choses à moitié. L'heure est grave et la série a beau débuter sur les négociations de la COP42 pour tenter de trouver des solutions face à l'augmentation des réfugiés climatiques ou l'accès difficile à l'eau face aux sécheresses, le peuple semble livré à lui-même.


Il est prêt à se rebeller, conscient qu'il devra se battre pour assurer son avenir, faisant régner un climat d'instabilité politique et social de plus en plus virulent. Autant dire que la série démarre comme un vrai coup de poing en pleine figure et sonne comme un vrai signal d'alarme à ne pas prendre à la légère.


 


Extrapolations : Photo Tahar RahimEn quête de 


 


SOLEIL ROUGE

Se déroulant entre 2037 et 2070, la série Apple TV+ s'emploie ainsi à suivre l'évolution de la crise environnementale à travers les destins d'une dizaine de personnages un peu partout dans le monde. Bien aidé par une direction artistique extrêmement soignée (typique des productions Apple TV+), chaque épisode s'attarde alors, plus ou moins, sur un personnage et une donnée en particulier, causée par le réchauffement climatique. D'après les différentes simulations des experts, les génériques donnent le ton : 1 million de personnes meurent chaque année à cause de la chaleur en 2059 tandis que près de 100 millions d'individus sont obligés de fuir leur pays à cause des changements climatiques.


Dès 2046, plus de 411 000 espèces ont disparu du globe, et un an plus tard, le niveau des océans a grimpé de plus de 38 cm, engloutissant une bonne partie de Miami, par exemple. Forcément, à ce rythme-là, chaque événement a une répercussion sur un autre, dans un effet boule de neige assez terrifiant. Les feux et la pollution intoxiquent de plus en plus l'air, donc l'air devient de moins en moins respirable. L'air cause alors des maladies respiratoires graves dès la naissance (tout comme le soleil) et augmente le risque de mortalité ou simplement de vulnérabilité économique et sociale.


 


Extrapolations : Photo Sienna MillerUne chaleur de plus en plus étouffante


 


Extrapolations est clair et net : l'humanité court à sa propre perte, les solutions engagées n'étant pas suffisantes ou arrivant trop tard. En reposant sur huit épisodes quasi-anthologiques (ils sont plus ou moins liés sur le long terme), la série se plaît par conséquent à regarder la fin du monde à travers des regards différents. Difficile de ne pas tomber sous le charme du deuxième épisode mené par l'excellente Sienna Miller, par exemple, où son personnage de scientifique tente de rester en contact avec la dernière baleine encore en vie.


Une poésie funeste et mélancolique se dégage de ses échanges avec l'animal (car oui, il y a une technologie qui permet de discuter avec les baleines) autant que dans la jolie réflexion théologique qui se déploie dans l'épisode 3, lorsqu'un rabbin essaie d'expliquer à une jeune croyante pourquoi Dieu n'agit pas. Toutefois, si la série propose évidemment une vision intrigante et alarmante de l'évolution du monde, on peut largement regretter la tournure scénaristique de l'ensemble au fur et à mesure des épisodes.


 


Extrapolations : Photo Matthew Rhys, Heather GrahamSe promener dans le cercle arctique en mini veste


 


LE SIÈCLE DE TROP

En effet, Extrapolations s'éloigne peu à peu de la simple série d'anticipation concrète dont elle était l'objet pour s'enfoncer au coeur d'un récit de pure science-fiction. Scott Z. Burns ne souhaite pas uniquement dépeindre le malheureux futur écologique qui attend probablement les spectateurs, mais plus globalement les conséquences que cela aura sur leur vision de l'existence, de l'amour, de la famille, du travail... Sur le papier, c'est une formidable "opportunité de regarder de près un aspect du changement climatique et de se dire que, si nous ne faisons pas des choix différents, c’est à ça que ressemblera notre futur" comme l'a précisé Burns au Huff Post. Sauf que dans l'exécution, c'est loin d'être à la hauteur.


Car tristement, Extrapolations s'attarde surtout (exception faite de l'épisode 5) sur des personnages privilégiés. En suivant une scientifique, des cadres supérieurs, milliardaires, avocats, représentants politiques... elle oublie de se focaliser sur les premières victimes de la crise environnementale : les plus pauvres. D'où cette sensation d'acte manqué tout au long de la série, le scénario préférant développer son univers à coups de technologies innovantes (une ventoline de nanobots, un passeport digital, des publicités hologrammes, un service permettant de revoir ses souvenirs, drones livreurs...) que de s'enfoncer dans l'enfer vécu par les plus défavorisés.


 


Extrapolations : Photo Tobey Maguire, Eiza GonzálezIsn't it time to really Look Up ?


 


C'est peut-être l'épisode 7 se déroulant en 2068, au moment où la température a grimpé de 2,44°C, la population mondiale a atteint près de 10 milliards d'habitants et où il est impossible de se promener à San Francisco sans masque, qui en est le plus symptomatique. Alors qu'un groupe d'amis se réunit pour fêter le Nouvel An (avec un repas qui leur a coûté très cher en crédit carbone), l'un des personnages explique avoir décidé de télécharger sa conscience dans un super-Cloud pour se réveiller dans une réalité virtuelle loin du chaos mondial. En résulte, une petite parenthèse tragique sur l'amour – et non sans rappeler l'épisode San Junipero –, mais loin du cri d'alerte écologique prévu.


Même chose pour l'épisode 6, suivant la solitude d'un personnage dans un monde où la précarité engloutit les plus démunis, où les liens qui unissent les uns et les autres sont de plus en plus rares, voire artificiels. Extrapolations bascule alors dans un simili Black Mirror pour laisser place à un petit délire SF plus classique et moins pertinent.


Et si ladite crise écologique est bien évidemment la cause de ses changements sociaux, elle semble trop largement reléguée au second plan au profit de petits gadgets réservés aux plus aisés et loin des préoccupations des plus modestes (nous, les spectateurs). À moins que ce soit pour une raison toute simple : le futur, tel qu'il se présente, n'a pas d'avenir pour nous. Glaçant.


SebSeb 02/05/2023 à 16:17

Le changement climatique est une certitude et peut très bien se gérer, le vrai problème c'est la pollution causée par la société industrielle , et la prédation des ressources par les multinationales comme si elles étaient infinies. C'est ça qui est en train de tuer toute vie sur la planète.

On pompe l'eau comme des malades et ensuite on s'étonne que des sols secs ou imperméabilisés ne puissent pas tout absorber quand des pluies diluviennes arrivent, et que ça fasse des dégats jamais vus. Quelle découverte.

Et qu'en soi une multinationale opérant des montages invraisemblables pour ne payer aucun impôt, et qui cible des CSP+ leur ponde un programme présentant une vision catastrophiste des habitudes de gaspillage actuel étirées sur 50 ans, en présentant le nombre comme le problème, on voit où ça amène : ben oui, plutôt que de mettre des limites à ce modèle industriel, et si on limitait pas plutôt le nombre de personnes pouvant vivre avec ce confort ? Et faire payer aux autres le reste (on s'en fout ils sont pauvres. Et s'ils étaient pas là, qu'est-ce que ça serait mieux d'ailleurs). Bref, tout plutôt que la remise en question de l'enrichissement individuel au détriment de la vie collective.

NOTA: Il y a des technologies informatiques, au-dela du surmental qui nous montre le lien entre l'homme, sa pensée qui vient d'ailleurs et le cloud qui est le Divin en somme, l'homme communique avec le cloud!

REF.: ecranlarge.com/saisons/critique/1472172-extrapolations-critique-de-la-crise-ecologique-qui-nous-attend-sur-apple-tv

La Juste une Messagère est fâchée par les Messages de l’Esprit:

 La Juste une Messagère est fâchée par les Messages de l’Esprit: 

Je ne suis pas là pour te divertir. Je ne suis pas là pour te réparer. Je ne suis pas là pour te sauver, te guérir ou te ranimer. Je ne suis pas là pour te faire parler. Je ne suis pas là pour te donner toute mon énergie. Je ne suis pas là pour faire de ton histoire la mienne. Je ne suis pas là pour t'écouter sans cesse.

Je ne suis pas là pour te faire plaisir. Je ne suis pas là pour te dissiper. Je ne suis pas là pour te distraire de l'ennui et de la banalité. Je ne suis pas là pour masquer ta tristesse et nourrir ton cœur fragile. Je ne suis pas là pour te tenir la main. Je ne suis pas ici pour régler tes blessures d'âme. Je ne suis pas là pour te livrer au monde.

Je suis là pour t'aimer fortement ! Je suis là pour t'aimer de la même façon que je m'aime. Je suis là pour être un ajout à la joie que tu as déjà. Je suis ici pour me reposer, mais pas m'effondrer en toi. Je suis là pour te soutenir, t'entendre, te voir. Je suis là pour te faire l'amour. Je suis ici pour t'aimer doucement, doucement et férocement. Je suis ici pour vivre des choses avec toi. Je suis là pour t'accompagner. Je suis là pour grandir à côté de toi...!!!


Nous avons oublié le langage de l'amour. Nous ne sommes plus assez courageux pour aller dans cette aventure qu'on appelle l'amour. Aussi, les gens sont intéressés par le sexe, parce que le sexe n'est pas risqué. Il est momentané, vous n'avez pas besoin de vous impliquer. L'amour est une participation, un engagement. Il n'est pas instantané. Une fois qu'il prend racine, il peut être présent pour toujours. Il peut être un engagement à vie. 

L'amour a besoin d'intimité, et seulement quand vous êtes en intimité, l'autre devient un miroir. Lorsque vous avez une relation sexuelle avec une femme ou un homme, vous ne vous êtes pas du tout rencontrés, en fait, vous avez évité l'âme de l'autre personne. Vous n'avez fait qu'utiliser le corps de l'autre et vous esquiver, et l'autre personne n'a fait qu'utiliser votre corps et s'est esquivée. Vous n'êtes jamais devenus assez intimes pour révéler l'un à l'autre votre visage originel. 

L'amour est le plus grand Koan Zen. Il est douloureux, mais ne l'évitez pas. Si vous l'évitez vous passer à côté de la plus grande opportunité de grandir.

Entrez dans cette espace, souffrez d'amour, parce que de cette souffrance vient une grande extase. Oui, c'est une agonie, mais de l'agonie nait l'extase. Oui, vous devrez mourir en tant qu' ego, mais si vous pouvez mourir en tant qu' ego, vous allez naître en tant que Dieu, en tant qu'un bouddha. L'amour vous donnera le goût du Tao, du soufisme, du Zen. L'amour vous donnera la première preuve que Dieu existe, que la vie n'est pas dénuée de sens (...)


Par: Osho


Page : Juste une Messagère

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Par: Janne ROBINSON


RÉF.: Page : Juste une Messagère

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Les Êtres Bleus:Pourquoi les Na’Vi sont bleus ?

 

Les Êtres Bleus:Pourquoi les Na’Vi sont bleus ?

Si vous cherchez une grande analyse transversale sur Avatar, on ne peut que vous conseiller de (re)voir l’épisode du ciné-club consacré à ce film ou de lire l’analyse qu’en a faite Rafik Djoumi, car ici il va être question d’un détail très précis et qui a fait couler pas mal d’encre : c’est-à-dire le rapport entre Avatar et la lumière ayant une longueur d’onde située entre 476 à 483 nanomètres, plus communément appelée le bleu. La couleur des Na’Vi de James Cameron a d’ailleurs beaucoup fait jaser : qui n’a jamais entendu le film être qualifié dédaigneusement de Pocahontas chez les schtroumpfs ?

Une recherche rapide sur les autoroutes de l’information nous informe du fait que James Cameron a déjà répondu à cette question :

«Jusqu’où peut-on accepter la différence, sans qu’elle ne devienne une barrière ? La couleur de la peau c’est bien, et ça marche aussi thématiquement parce que, évidemment, c’est vraiment une grosse problématique sur notre planète, Toutes les teintes chaudes, du rose pâle canadien, aux beaux teins marron, et au rose pâle australien sont tous pris. Donc il ne reste plus que le bleu et le vert, et le vert a été pris par tous ces films de martien avec les petits hommes verts. Donc nous avons des grandes femmes bleues, pas des petits hommes verts »

Bon d’accord, c’est une raison plus que valable. Mais quand on sait le soin maniaque que James Cameron apporte à ses films et qu’il a passé 15 ans à peaufiner le moindre détail d’Avatar on se dit que le sujet mérite d’être creusé !

Débutons cette enquête en se demandant quelle est la place de cette couleur dans le monde actuel, dans notre quotidien ?



Et bien il suffit d’ouvrir les yeux pour constater qu’elle est partout, au point de ne plus être remarquée. Pour l’habillement par exemple, elle à la fois sobre et anonyme une sorte de deuxième noir : du jean troué au costume sur mesure elle transcende les styles et les modes.

Son omniprésence vient également du fait qu’il s’agit d’une couleur très prisée dans la communication, symbolisant la vérité et l’intelligence, il n’y a qu’à voir la place qu’elle occupe sur le net en général et sur les réseaux sociaux en particulier.



Autre témoignage de cette domination du bleu dans notre espace mental : depuis que ce type d’enquête existe, il est la couleur favorite de tous les occidentaux, sans distinction de sexe ou de milieu social. Comme le disait James Cameron : la différence de peau est une barrière loin d’être infranchissable, coupler cela avec une couleur rassurante et familière a peut-être été un moyen de ménager le spectateur qui devait déjà assimiler un univers exotique et des nouvelles technologies, le film étant pour la grande majorité de l’audience leur premier contact avec la 3D et la performance Capture.

Mais voyons si il n’y a pas d’autre pistes. Le titre du film par exemple. Le mot Avatar est issu du Sanskrit et est directement liée à la théologie hindouiste. En effet, avant de désigner l’incarnation virtuelle d’un joueur, il est une incarnation terrestre de la puissance divine dont la principale fonction est de rétablir l’ordre cosmique et l’équilibre sur terre. Si leur rôle est constant, les Avatars peuvent prendre des formes très variées en fonction de leurs incarnations comme la tortue, le nain ou l’homme lion. Et Krishna le huitième avatar, une des divinités les plus révérées du panthéon hindou, est un homme à la peau bleue.



Sans rentrer dans les détails d’une mythologie aussi foisonnante et riche que celle de l’Inde, il est possible de voir dans ses racines « anthropologique » un lien de plus avec Avatar. En effet Krishna trouverait son origine chez les peuples qui habitaient le sous continent indien avant l’arrivée des populations de type indo-européennes. Le bleu serait ainsi une version stylisée de la peau plus sombre des aborigènes.

Un des faits d’arme de Krishna étant d’ailleurs d’avoir convaincu les habitants d’un village d’abandonner un dieu céleste pour adorer une divinité de la nature, le mont Govarhana [1].



La thématique du rétablissement d’un lien spirituel, de la nature et du peuple de la forêt est donc bien présente. La couleur bleue des Na’Vi viendrait donc de Krishna ? Pas si simple… En effet le huitième Avatar est une divinité très très masculine, du genre à pouvoir satisfaire neuf cent quatre-vingt-dix-neuf mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf  jeunes filles en même temps…

Or le thème de la féminité est absolument primordial dans le film de James Cameron, les grandes femmes bleues étant une sorte d’antithèse des petits hommes roses.

Et si pour trouver la dimension féminine il fallait explorer l’histoire de la couleur bleu en occident ?

Pour faire vite, cette couleur est très peu présente dans le monde antique. Le ciel par exemple n’est jamais décrit comme bleu que ce soit dans la bible ou les écrits gréco-latins ; il ne s’agit pas d’une couleur noble, comme le noir et le rouge. Elle est utilisée par exemple pour teindre les vêtements des esclaves ou par les peuples celtiques et germanique dans les rituels sacrés ou comme décoration corporelle lors des batailles.



Cette situation perdure jusqu’au milieu du Moyen-âge, époque à laquelle le dieu unique des chrétiens devient un dieu de lumière, la couleur du ciel est donc progressivement adoptée pour témoigner de cette nouvelle réalité.

Mais c’est à travers la Vierge Marie, que le bleue acquiert la position dominant dont il a été question plus tôt. En effet sa représentation « traditionnelles » est celle d’une femme vêtue de rouge et drapée de bleu, un corps humain entouré d’un halo de divinité. La symbolique mariale a bien sûr à voir avec la pureté, mais c’est également un des rares îlots de féminité ayant une dimension céleste dans ce club très masculin qu’est la théologie chrétienne.



Cette dimension “féminine” du bleu perdure au moins jusqu’au XVIIIe siècle où il devient une couleur plus “virile” tandis qu’il affirme sa domination en tant que couleur standard au côté du noir et du blanc à travers les codes vestimentaires très sobres de l’éthique protestante. La dimension féminine de la couleur bleue n’est peut être plus aussi évidente qu’elle a pu l’être mais son empreinte a durablement marqué l’histoire de l’art occidental [2].

Tout en étant loin d’être exhaustif, ce rapide coup d’œil sur la signification de la couleur bleu dans l’imaginaire collectif nous a donné des pistes : le bleu est associé à la divinité et à la féminité, mais il s’agit également d’une couleur potentiellement rassurante et familière. Ces caractéristiques semblent plutôt bien coller aux intentions de James Cameron.

Cependant il reste une dernière piste où il n’est ni question d’histoire ni de théologie, mais tout simplement d’« optique ». Prenez un beau bleu Pandora et une jolie carnation humaine,


- Les êtres Rayons Bleus sont un groupe d’âmes ultra-sensibles et empathiques comme les Indigos qui sont venus de nombreuses planètes et royaumes de lumière différents pour éclairer le code génétique de l’humanité et élever la conscience divine sur Gaia. Ils sont le rayon perdu de l’Artisan de Lumière. “Shekinah”, un mot hébreu dans le “Langage de Lumière”, qui désigne un mentor. Shekinah est l’aspect perdu du Divin Féminin sacré de la Création qui est l’incarnation de la Source dans le processus d’ascension…Les Rayons Bleus sont les Navigateurs Spirituels du Plan Divin. Activer le Plan d’action centré sur le cœur pour la guérison, la communication, le langage de la lumière, la méditation et bien d’autres modalités plus puissantes. Ils sont les porteurs de la lumière qui conduira les âmes à naviguer dans leurs propres royaumes intérieurs, sachant que c’est l’Amour qui allège la charge, éclaire la route et illumine la direction divine pour que toutes les âmes puissent compléter pleinement leur contrat créatif sur cette planète. Source: http://www.soultraveller.net/

https://youtu.be/JyvObnzq1jQ

Cette haute valeur vient sans doute de la rareté du bleu dans la nature :dans l’Antiquité, le lapis-lazuli était utilisé en Mésopotamie et en Egypte comme pierre sacrée, seul moyen d’orner les temples en bleu,jusqu’au 18ème siècle, la culture du pastel dans la région de Toulouse consistait à écraser des feuilles en boule (la cocagne) pour produire une teinture bleue très recherchée.Le bleu évoque avant tout le domaine du céleste, du sacré : au Moyen-Age, « bleu » était synonyme de Dieu.




Notes :Concernant

 la couleur [des Na'vis] : le vert était pris. Il y avait déjà une longue histoire avec les aliens verts. Et puis avec Hulk. Et les couleurs humaines, les roses, les bruns, nous sont familières. Bob l'Eponge était jaune. En gros, ça laissait le bleu et le violet. Le violet est ma couleur préférée, mais je me suis dit qu'on l'utiliserait pour l'une de nos couleurs bioluminescentes principales, ce que l'on a fait en l'associant à Eywa, [une divinité], et à tout ce qui est sacré pour les Na'vis.


- James Cameron

Il y a également ce rêve que ma mère m'a raconté, dans lequel il y avait une femme bleue grande de trois mètres avec six seins. Une image sympa. Je l'ai dessiné, mais les six seins n'apparaissaient pas aussi bien qu'on pouvait l'imaginer, et ça aurait gâché la classification [du film]. Donc ouais... bleu.


- James Cameron

[1] Pour l’anecdote, en 2009 à la suite de l’immense succès d’Avatar, une tribu de l’est de l’Inde, les Dongria, estimant vivre un scénario proche de celui du film, fit appel à James Cameron pour plaider leur cause. En effet leur habitat, et notamment une colline sacrée risquait d’être ravagée par une exploitation minière. La boucle étant pour ainsi dire bouclée.

[2] Pour plus de détails, France Culture parle de l’histoire et de la symbolique du bleu.


REF.: https://www.cinephylis.fr/le-bleu-des-navi-de-james-cameron/