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vendredi 26 juin 2015

L’Islande a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison. Et voici ce qui s’est produit



L’Islande a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison. Et voici ce qui s’est produit
L’Islande, l’une des nations les plus touchées par la crise bancaire, semble avoir complètement surmonté ses problèmes, et cette année, elle devrait être le premier pays du monde frappé par la crise de 2008 à dépasser le PIB le plus élevé qu’il avait atteint avant cette crise, rapporte ZeroHedge. Le pays est parvenu à ce résultat sans sacrifier son système social et les dépenses du gouvernement. Il y a encore quelques années, l’Islande est arrivée au bord de la faillite lorsque ses banques, qui au fil des ans s’étaient montrées bien trop audacieuses, se sont trouvées en situation de quasi-effondrement.
Selon le Fonds monétaire international (FMI) l’Islande a réussi à se remettre totalement de la crise, sans avoir compromis son modèle social qui prévoit la gratuité des frais de santé et d’éducation. Le pays, qui ne fait pas partie de l’Union Européenne, n’a pu compter que sur lui-même pour se relever, et pour se faire, il a opté pour une approche très originale mais efficace.
A la différence des autres pays heurtés par la crise, l’Islande a laissé ses banques faire faillite, ne préservant que les comptes des ménages résidents. Les étrangers qui avaient placé leur argent dans les banques du pays ont tout perdu lorsque ces banques ont fait faillite. Ailleurs, dans le reste de l’Europe, de nombreuses banques ont été nationalisées car il n’était pas concevable qu’elles puissent faire faillite.
Le pays a également imposé des contrôles de capitaux. Par conséquent, les Islandais ne pouvaient plus investir ou placer librement leur argent à l’étranger, ce qui était, selon de nombreux économistes, contraire aux règles du marché libre. De plus, le pays n’est pas intervenu pour empêcher la dévaluation de la couronne islandaise, et il a toléré l’inflation. Celle-ci a provoqué une hausse des prix domestiques, mais elle a aussi eu pour effet de stimuler les exportations. Les pays de la zone euro ne pourraient tolérer une telle dévaluation ; celle-ci renchérirait les dettes nationales des différents Etats-membres.
Mais le plan semble avoir fonctionné. La dette nationale de l’année dernière ne représentait que 82% du PIB du pays, comparativement à 95% il y a quatre ans. À la fin de cette décennie, la dette devrait même continuer à baisser pour atteindre 54% du PIB. Le chômage a également baissé de façon spectaculaire, et actuellement, le taux de chômage s’établit à 4%, contre près de 8% en 2009.
De tels résultats soulèvent la question de la pertinence des politiques économiques qui ont été menées dans le reste de l’Europe ou aux États-Unis en réponse à la crise. Les banques n’auraient-elles pas dû supporter elles-mêmes les conséquences de la crise qu’elles avaient causée? D’après Zéro Hedge cette réussite contredit de nombreux économistes, notamment keynésiens, qui affirmaient que le soutien de l’économie était nécessaire pour sortir de la crise.
En outre, l’Islande a fait condamner les administrateurs de Kaupthing, l’une des principales banques de la nation, non seulement à des amendes, mais à des peines de prison allant de quatre à cinq ans. Lors de leur procès, le procureur spécial islandais Olafur Hauksson s’était posé la question de la responsabilité :
Pourquoi devrions-nous tolérer qu’une partie de notre société ne soit pas soumise à la règle de droit ou qu’elle puisse échapper à ses responsabilités? Il serait dangereux de laisser quelqu’un devenir trop gros pour devenir l’objet d’une enquête. Cela laisserait l’impression qu’il existe un refuge sûr ».
http://news360x.fr/lislande-a-laisse-ses-banques-faire-faillite-et-jete-des-banquiers-en-prison-et-voici-ce-qui-sest-produit/

Pour Snowden: La seule solution pour protéger l’État juif est de lui créer un ennemi à ses frontières


Révélations de Snowden : comment les USA aident Israël et recrutent les djihadistes de Daesh



Edward Snowden
Edward Snowden
Glenn Greenwald l’avait dit : « Snowden fera d’autres révélations importantes à propos d’Israël. » Et c’est ce qui s’est passé. Le journaliste britannique qui a déclenché le scandale des écoutes illégales mises en place par la National Security Agency (l’affaire dénommée le ‘Datagate’) revient à la chargesur son site The Intercept. Les tout derniers documents top-secret examinés par Greenwald parmi les quelque 1,7 million de fichiers fournis par l’ex-agent de la CIA [et fondateur du site Wikileaks] Edward Snowden, éclairent d’un jour nouveau l’agression israélienne contre les Palestiniens de Gaza, une nouvelle fois d’actualité. Ils mettent notamment en évidence l’implication directe des USA et de leurs principaux alliés. Au cours des dix dernières années – selon ces documents – la NSA a fortement augmenté son soutien, financier, en armes et en informations, à son homologue israélienne, l’unité 8.200 (aussi appelée ‘ISNU Sigint’).
La coopération entre les deux agences a débuté en 1968 et a formé la base des relations étroites qui existent actuellement entre les autres agences de renseignement israéliennes et celles américaines, comme la CIA, le Mossad et la division des opérations spéciales.
Des services secrets alliés dans le but de tenir sous contrôle plusieurs objectifs et aussi « les pays d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient, du golfe Persique, du Sud-Est asiatique et les Républiques islamiques de l’ex-Union soviétique. » Dans de nombreux cas, la NSA et l’ISNU ont collaboré avec les agences de renseignement britanniques et canadiennes, le GCHQ et le CSEC. On découvre aussi l’aide de certains pays arabes comme la monarchie jordanienne, et le rôle des forces de sécurité de l’ANP dans la fourniture de services d’espionnage essentiels pour identifier et frapper des « objectifs palestiniens. » The Intercept montre également un reçu de paiement daté du 15 avril 2004.
Les agressions répétées contre la population de Gaza – explique Greenwald – ne seraient pas possibles sans le soutien des USA, toujours prompts à satisfaire les requêtes belliqueuses d’Israël, comme cela s’est produit avec les 225 millions de dollars additionnels approuvés pour financer le système de missiles israélien. Une attitude qui tranche avec le présumé rôle de médiateur affiché ostensiblement par les États-Unis dans le conflit israélo-palestinien. Des faits qui affaiblissent d’autant les paroles prononcées par Barack Obama, comme si le président US n’était qu’un simple spectateur face au massacre des enfants de Gaza (« C’est effrayant de voir ce qui se passe là-bas. »)
The Intercept fait observer qu’Obama parle de [la tragédie de] Gaza comme s’il s’agissait d’une calamité naturelle, d’un événement incontrôlable auquel le gouvernement des USA assiste impuissant. D’après les documents diffusés par Snowden, actuellement réfugié en Russie, la CIA et le Mossad ont entrainé Abu Bakr Al-Baghdadi, l’actuel leader de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL). L’EIIL, qui prône le retour au « Califat » a initialement été constitué en Égypte pour combattre le gouvernement de Bashar al-Assad. Il a reçu des armes de la part du renseignement US et de celui du Royaume-Uni, et des financements de l’Arabie Saoudite et de la monarchie du Qatar.
Abu Bakr Al-Baghdadi a été prisonnier à Guantanamo de 2004 à 2009. Au cours de cette période, la CIA et le Mossad l’auraient recruté pour fonder un groupe en mesure d’attirer des djihadistes de différents pays vers un endroit précis, et ainsi les tenir loin d’Israël. Pour Snowden, « la seule solution pour protéger l’État juif est de lui créer un ennemi à ses frontières, mais en le dirigeant contre les états islamiques qui s’opposent à sa présence. » Une opération secrète dénommée « Nid de frelons ».
L’étroite collaboration entre les services de renseignement de Washington et ceux de Tel-Aviv n’a pourtant pas empêché l’espionnage réciproque entre les deux grands alliés. C’est ainsi – comme le révèle le journal allemand Der Spiegel – que les services secrets israéliens ont intercepté les conversations du secrétaire d’État américain John Kerry avec les médiateurs arabes et l’Autorité palestinienne, pour avoir les réponses toutes prêtes lors de l’ultime tentative de négociations avec les Palestiniens.

dimanche 7 juin 2015

La «fin du cash» ?

Les banquiers planifient en secret une réunion à Londres sur la «fin du cash»



«Nous ferions mieux de garder l’œil bien ouvert pour cette naissance d’une société sans argent liquide qui vient beaucoup plus rapidement que prévu. Pourquoi la réunion est-elle secrète? Quelque chose ne sent pas bon par ici»


L’économiste Martin Armstrong affirme qu’il est prévu une réunion secrète sur la fin du cash qui aura lieu à Londres avant la fin du mois impliquant des représentants de la BCE et la Réserve fédérale.
Armstrong, qui est connu pour avoir prédit avec succès en 1987 le crash du lundinoirainsi que l’effondrement financier de 1998 en Russie, a exprimé avoir été choqué, qu’aucune information n’ait filtré sur cette prochaine conférence.
«Je trouve extrêmement troublant d’être le seul à signaler cette réunion secrète à Londres. Kenneth Rogoff, de l’Université de Harvard, et Willem Buiter, l’économiste en chef chez Citigroup, s’adresseront aux banques centrales pour préconiser l’élimination de toutes les espèces pour permettre la venue du jour où vous ne pourrez plus acheter ou vendre quoi que ce soit, sans l’approbation du gouvernement», écrit Armstrong.
«Quand j’ai googlé la question pour voir qui d’autre l’avait signalé, à ma grande surprise, Armstrong Economist vient en premier. D’autres me citent, jusqu’à la Banque centrale du Nigeria. Je dois encore trouver tous les rapports sur la réunion qui aura lieu à Londres, mais mes sources sont internes.»
Armstrong attire d’abord l’attention sur la réunion prévue plus tôt ce mois-ci quand il a révélé que des représentants de la Réserve fédérale, de la BCE ainsi que des participants provenant des banques centrales suisse et danoise seraient tous présents à une grande conférence à Londres à laquelle Kenneth Rogoff de l’Université de Harvard, et Willem Buiter, l’économiste en chef chez Citigroup, feraient des présentations.
«Nous ferions mieux de garder l’œil bien ouvert pour cette naissance d’une société sans argent liquide qui vient  beaucoup plus rapidement que prévu. Pourquoi la réunion est-elle secrète? Quelque chose ne sent pas bon par ici», conclut Armstrong.
Les discussions et les avancées vers l’interdiction du cash ont surgi à plusieurs reprises au cours des dernières semaines.
Willem Buiter, dont Armstrong prétend qu’il parlera à cette réunion secrète, a récemment préconisé l’abolition du cash pour «résoudre le problème des banques centrales de la planète avec des taux d’intérêt négatifs».
L’année dernière, Kenneth Rogoff a également appelé à l’abolition de la monnaie physique afin de stopper l’évasion fiscale et l’activité illégale ainsi que pour prévenir les retraits massifs d’argent lorsque les taux d’intérêt seront proches de zéro.
«Une fois que l’argent n’existera plus que sur les comptes en banque, supervisés ou même directement contrôlés par les gouvernements, les autorités seront capables de nous inciter à dépenser plus quand l’économie ralentira, et moins en cas de surchauffe.»
Sur un ton similaire, l’ancien économiste de la Banque d’Angleterre, Jim Leaviss aécrit un article pour le Telegraph de Londres plus tôt ce mois dans lequel il a dit qu’une société sans numéraire ne serait possible qu’en «forçant tout le monde à passer uniquement par voie électronique à partir d’un compte détenu par une banque agissant pour le gouvernement, qui serait surveillée, ou même directement contrôlée par ce gouvernement».
Les grandes banques tant au Royaume-Uni qu’aux États-Unis traitent déjà le retrait ou le dépôt de sommes d’argent modérément grosses comme une activité suspecte. Des rapports ont été publié en mars sur la façon dont le ministère de la Justice ordonne aux employés de banque d’envisager d’appeler les flics quand des clients retirent 5000 dollars ou plus.
Pendant ce temps, en France, de nouvelles mesures devraient entrer en vigueur en septembre qui vont limiter les citoyens français pour faire des paiements en espèces supérieurs à 1 000 euros. Armstrong suggère que la police financière pourrait appliquer cette nouvelle loi par, «la recherche de personnes transitant en train par la France juste pour voir si elles transportent des espèces, dont ils vont maintenant se saisir».
Comme le note Armstrong, en interdisant le cash afin d’éviscérer le peu de libertés économiques que les gens avaient encore pour éviter la politique désastreuse de la banque centrale keynésienne, n’est rien de moins que du totalitarisme économique.
«Dans l’esprit d’un tyran économique, l’interdiction du cash représente le Saint-Graal, écrit Michael Krieger. Forcer la plèbe à adopter un système de transactions numériques de la monnaie fiduciaire offre un contrôle total via un suivi sans faille de toutes les transactions dans l’économie, et la capacité de bloquer les paiements d’un citoyen impétueux qui oserait sortir de la ligne.»
Traduit par Hervé, relu par Diane pour le Saker Francophone
Source : http://news360x.fr/les-banquiers-planifient-en-se

jeudi 21 mai 2015

L'Intimidation ou TDAH ?



Le Moule:
 Intimidation ou TDAH ? est un film coup de poing de JoFX Productions qui aborde le sujet de l'intimidation de façon inédite.  Les parents d'une fillette intimidée sillonnent le Québec afin de trouver des pistes de solution au problème de l'intimidation. Ceux-ci sont loin de se douter de ce qu'ils vont découvrir. En l'occurrence, que la hausse des diagnostics du TDAH est liée au problème de l'intimidation en milieu scolaire au Québec.Durée: 52 minuteshttp://www.jofxproductions.com/Lettre envoyée à l'école par la maman de la fillette en juin 2013:Depuis son entrée à l'école, ma fille est victime d'intimidation. Elle ne cadre pas dans le moule. À la récréation, les enfants ont même inventé un parfum «anti-Clémence» (nom fictif) pour la repousser. Ma fille est belle, intelligente et sensible, mais elle ne cadre pas dans le moule.L'autre jour, à la récréation, j'étais là. Derrière la clôture. Les enfants se mettaient en cercle pour jouer. Celle qui devait donner la main à ma fille a lancé un gros «Yark!» bien senti. Mon cœur est tombé par terre. Cette semaine, j'ai vu une petite fille arracher violemment les fleurs sur notre terrain. Elle les jetait au sol en maudissant ma fille. Quelques jours plus tôt, j'ai vu cette même fillette gambader sur le trottoir en chantant: «Clémence la laide, Clémence la laide...» J'ai contacté la mère de cette enfant afin de discuter de la situation, et à ma grande surprise; celle-ci s'est fâchée. Elle a invoqué un «manque de respect». Soit, de ce mot nous n'avons pas la même définition...J'estime que l'école devrait prendre des mesures plus drastiques afin de sensibiliser les enfants: L'intimidation n'a définitivement pas sa place dans la cour d'école. Ma fille est loin d'être la seule aux prises avec cette situation. Une fillette stigmatisée par les autres enfants depuis la maternelle bâtit son monde intérieur différemment, elle souffre et refoule sa colère du mieux qu'elle peut.Ma fille veut tellement arriver à se faire des amis, tellement qu'elle est prête à ne pas tenir rigueur à une amie, envolée mystérieusement avec sa console de jeux vidéo. «Elle n'a peut-être pas fait exprès, maman». Intimidation, vol, vandalisme, il faut agir maintenant, parce que nous savons que l'intimidation engendre un manque d'estime de soi, de l'isolement et peut causer le suicide.



Le Moule: Intimidation ou TDAH? est un film coup de poing de JoFX Productions qui aborde le sujet de l'intimidation de façon inédite.  Les parents d'une fillette intimidée sillonnent le Québec afin de trouver des pistes de solution au problème de l'intimidation. Ceux-ci sont loin de se douter de ce qu'ils vont découvrir. En l'occurrence, que la hausse des diagnostics du TDAH est liée au problème de l'intimidation en milieu scolaire au Québec.

 

mercredi 20 mai 2015

Scandale financier: Les banques risquent de payer plus de 40 milliards de dollars d'amendes

Etats-Unis : 5,8 milliards de dollars d'amendes pour 6 grandes banques mondiales


JP Morgan Chase, Citigroup, Barclays et RBS plaident coupable dans l'affaire de manipulation des taux de change.
 
 Des charges sont aussi retenues contre UBS et Bank of America.
 
Pour la première fois depuis des décennies, des banques américaines sont forcées de reconnaître leur culpabilité devant la justice pénale. Mercredi, JP Morgan et Citigroup ont admis que des traders qu’elles employaient s’étaient entendus pour manipuler le marché des devises à leur avantage... et au détriment de leurs clients. Les traders , qui auraient dû être concurrents, se surnommaient eux-mêmes « le cartel », la « mafia » et « les mousquetaires». Les banques admettent n’avoir pas empêché leurs pratiques, malgré les avertissements de lanceurs d’alerte et les plaintes de certains clients. JP Morgan et Citigroup ne sont pas les seules dans ce cas : mercredi, ce sont pas moins de six banques (JPMorgan, Citigroup, Bank of America, RBS, Barclays et UBS) qui ont passé un accord amiable avec le ministre de la Justice américain, la Réserve fédérale et des régulateurs new-yorkais. Elles vont payer plus de 5,8 milliards de dollars d’amendes au total, qui s’ajoutent aux 3,4 milliards déjà versées pour la même affaire l’an dernier aux autorités britanniques, suisses et américaines.

Lourdes répercussions

Les amendes ont beau être très importantes, elles ne sont pas le plus intéressant dans cette affaire. La grande nouveauté est que des banques américaines soient contraintes de plaider coupable. Certains établissements étrangers l’ont déjà fait avant elles -on se souvient notamment de BNP Paribas l’an dernier . Mais les juges américains n’y avaient encore jamais forcé les banques américaines, de peur certainement de fragiliser des champions nationaux et de détruire des emplois aux Etats-Unis. Le cas « Arthur Andersen » a longtemps refroidi leurs ardeurs : le cabinet de conseil avait dû supprimer 28.000 postes après avoir reconnu sa responsabilité dans l’affaire Enron.
Les aveux de culpabilité de mercredi constituent une grande victoire pour les pourfendeurs de Wall Street, qui pensent que les amendes ne suffisent pas à changer les comportements. Plaider coupable peut avoir de lourdes répercussions : cela oblige les banques à faire acte de contrition, ce qui constitue un aveu très embarrassant vis à vis de leurs gros clients. Certains d’entre eux peuvent être contraints, pour des raisons éthiques ou réglementaires, de cesser leur collaboration avec la banque. Un risque particulièrement fort en gestion d’actifs.
Plus grave encore, le plaider coupable peut provoquer la perte de licences professionnelles, menaçant des pans entiers d’activités. Il n’y a guère de risque en Amérique, où les banques sont de grands pourvoyeurs d’emplois. Mais dans de nombreux pays, les licences bancaires sont conditionnées à l’absence de condamnations pénales. Le « plaider coupable » pourrait donc ouvrir une période d’incertitude pour ces banques, qui devront s’entendre avec des dizaines de régulateurs pour continuer à opérer localement.

Le feuilleton n’est pas fini

Les autorités américaines sont loin d’en avoir fini avec cette affaire. A en croire un rapport publié par Citigroup, les banques risquent de payer plus de 40 milliards de dollars (32 milliards d’euros) pour solder ce scandale financier. Deutsche Bank, qui a miraculeusement échappé aux sanctions pour l’instant, est la plus menacée à long terme : elle pourrait acquitter 6,5 milliards de dollars d’amendes au total, devant Barclays (4,8 milliards), indique Citigroup. Si les banques échappent aux poursuites pénales grâce aux accords amiables, elles ne protègent pas leurs salariés d’une éventuelle condamnation en justice. Des traders du forex sont actuellement poursuivis aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Les peines de prison restent toutefois extrêmement rares...
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Les 12 hommes les plus riches de tous les temps.

Les 12 hommes les plus riches de tous les temps. Le premier risque de vous surprendre.

 

 

Vous êtes-vous déjà demandé quelles étaient les personnes les plus riches de tous les temps ? Le magazine en ligne Celebrity Net Worth a fait le calcul pour vous, en tenant compte de l’inflation au cours du temps. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Bill Gates, l’homme le plus riche du monde en 2015, est la personne la plus “pauvre” sur cette liste. Quant à la personne la plus riche de tous les temps, elle est africaine.
1. Mansa Moussa : 400 milliards de dollars (378 milliards d’euros)
Mansa Moussa (ou Kankou Moussa) fut roi de l’Empire du Mali au XIVème siècle. Il a porté l’Empire du Mali à son apogée, du Fouta-Djalon à Agadez et sur les terres de l’ancien Empire du Ghana. Il a établi des relations diplomatiques suivies avec le Portugal, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte. Son règne correspond à l’âge d’or de l’empire malien.

Sa fortune, il la construit en exploitant des mines d’or et de cuivre à travers le Sahara. Il fait aussi fortune dans le commerce du sel. En 1324, il se rend en pèlerinage à la Mecque, un voyage qui le rend célèbre en Afrique du Nord et au Proche-Orient. En effet, il part avec 60 000 hommes et 12 000 esclaves. Au sein de la caravane se trouvent aussi, selon certains récits, 80 dromadaires portant entre 50 et 300 livres d’or en poudre chacun (le Mali ignorait la monnaie). Dans chaque ville qu’il traverse, Moussa offre ses richesses. On raconte aussi qu’il construit une nouvelle mosquée chaque vendredi, quelle que soit la localité où il s’arrête ce jour-là.
On lui doit notamment la mosquée Djingareyber, toujours existante.


2. La famille Rothschild : 350 milliards de dollars (331 milliards d’euros)
Les Rothschild se sont fait connaître depuis le XVIIIe siècle dans les domaines de la banque et de la finance. La fortune de cette famille est colossale. D’après le blog financier Celebrity Networth, elle serait la deuxième plus grande fortune de tous les temps avec 350 milliards de dollars américains.








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3. John Rockefeller : 340 milliards de dollars (321 milliards d’euros)
Industriel et philanthrope américain, et évidemment fondateur de la légendaire famille Rockefeller. Sa famille a été à la tête d’un empire durant près de deux siècles en créant la Standard Oil qui deviendra Esso (des initiales SO), puis ExxonMobil. John Rockefeller prend sa retraite en 1896 en étant l’homme le plus riche des États-Unis et l’un des plus puissants au monde. Son fils reprend l’entreprise.


4. Andrew Carnegie : 310 milliards de dollars (293 milliards d’euros)
Industriel et philanthrope écossais naturalisé américain, il est l’un des principaux acteurs de l’essor de l’industrie de l’acier aux États-Unis à la fin du XIXe siècle. Le succès de sa société, Carnegie Steel, est essentiellement lié à sa capacité de produire en grande quantité et à bas prix des rails de chemin de fer, dont la demande est forte à cette époque. Il fonde notamment en 1865 la Keystone Bridge Company qui est à l’origine du pont Eads. Il participe également à la fabrication de matériel ferroviaire avec la Pittsburgh Locomotive and Car Works. En 1901, pour la somme de 480 millions de dollars, il vend ses propriétés industrielles à un groupe de financiers mené par J. P. Morgan, ce qui constitue à l’époque un record pour une cession commerciale. Il est surnommé  l’homme le plus riche du monde et devient l’incarnation parfaite du rêve américain.On se souvient surtout d’Andrew Carnegie en tant que bienfaiteur et philanthrope. Jusqu’à sa mort, en 1919, il aura laissé plus de 350 millions de dollars américains à diverses fondations, et les derniers 30 millions de sa fortune restant à sa mort sont légués à diverses œuvres de charité.


5. Nicolas II de Russie : 300 milliards de dollars (283 milliards d’euros)
Nicolas II est « tsar de toutes les Russies », de 1894 à 1917. Sous son règne et sous celui de son père, la Russie connaît un essor économique, social, politique et culturel sans précédent. La fortune personnelle de Nicolas II était colossale.
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source : wikimedia
Nicolas II gouverne de 1894 jusqu’à son abdication en 1917. Il ne réussit pas à mettre fin à l’agitation politique de son pays ni à mener les armées impériales à la victoire pendant la Première Guerre mondiale. Son règne se termine avec la révolution russe de 1917, pendant laquelle lui et sa famille sont emprisonnés d’abord dans le palais Alexandre à Tsarskoïe Selo, puis plus tard dans la maison du gouverneur à Tobolsk, et finalement dans la villa Ipatiev, à Ekaterinbourg.
Nicolas II, son épouse, son fils, ses quatre filles, le médecin de la famille, son domestique personnel, la femme de chambre et le cuisinier seront ensuite mis à mort par les bolcheviks dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918.



6. Fateh Jang `Othman `Alî Khân Asaf Jâh VII : 230 milliards de dollars (217 milliards d’euros)
Né le 6 avril 1886 à Hyderâbâd, un ancien État du centre de l’Inde, et mort le 24 février 1967 dans le même ville, il est le dernier souverain régnant de la dynastie des Nizâm de l’Hyderâbâd et de Berar (l’un des cinq sultanats de l’époque). Il a la réputation d’être l’homme le plus riche du monde à son époque. Malgré cela il menait une vie plutôt simple et frugale.


7. Guillaume le Conquérant : 229 milliards de dollars (216 milliards d’euros)
Appelé également Guillaume le Bâtard, Guillaume II de Normandie et enfin Guillaume Ier d’Angleterre, il est duc de Normandie de 1035 à sa mort et roi d’Angleterre de 1066 jusqu’à sa mort en 1087. Outre les taxes, les possessions du roi Guillaume le Conquérant sont augmentées des grandes propriétés qu’il possède dans toute l’Angleterre. En tant qu’héritier du roi Édouard, il contrôle l’ensemble des domaines royaux, et y ajoute une grande partie des terres de Harold et sa famille, ce qui fait de lui le plus grand propriétaire du royaume (et de loin) : à la fin de son règne, ses terres en Angleterre sont quatre fois plus importantes que celles de son demi-frère Odon, le propriétaire le plus important après lui, et sept fois plus que celles de Roger de Montgommery. Une étude récente fait de Guillaume le 7ème homme le plus riche ayant jamais vécu.


8. Mouammar Kadhafi : 200 milliards de dollars (189 milliards d’euros)
Kadhafi a dirigé la Libye pendant près de 42 ans. Mort en 2011, il était un des hommes les plus riches au monde. Sa fortune, provenant de l’extraction du pétrole et du gaz, était estimée à 144 milliards d’euros, soit 200 milliards de dollars américains à l’époque, qu’il aurait sortis de Libye durant les trente années précédant sa chute. D’après le blog financier Celebrity Networth, il serait le huitième homme le plus riche de tous les temps.
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source : pixabay
L’administration américaine a découvert que le régime libyen possédait près de 27 milliards d’euros sur des comptes et des investissements aux États-Unis ; ils ont depuis été gelés. En Europe, près de 22 milliards d’euros ont été saisis par les gouvernements français, italien, britannique et allemand. Kadhafi investissait dans des entreprises comme Total, Alsthom, Fiat, dans les secteurs des médias (Financial Time) ou du sport (7,5% de la Juventus). En France, il possédait, par exemple, le bâtiment parisien qui abrite la Fnac des Ternes dans le 17ème arrondissement de Paris.

Plusieurs enquêtes menées par des responsables américains, européens et libyens ont révélé que Kadhafi investissait massivement dans de nombreux pays du Moyen-Orient et de l’Asie du Sud-Est. La plupart de ces fonds étaient placés dans des institutions gouvernementales libyennes comme la Banque centrale de Libye, la Compagnie pétrolière libyenne, la Banque extérieure de Libye, ainsi que des compagnies d’investissements telle que la Libya African Investment Portfolio. En juin 2013, le Sunday Times rapporte que Kadhafi aurait caché un milliard de dollars américains en liquide, or et diamant dans quatre banques et deux sociétés de sécurité en Afrique du Sud.
Kadhafi possédait un Airbus A340, qu’il avait acheté au prince saoudien Al-Waleed bin Talal pour 120 millions de dollars américains en 2003.
 L’avion était décoré avec les couleurs de la compagnie basée à Tripoli, Afriqiyah Airways. Il est utilisé en 2009 pour rapatrier le terroriste Ali al-Megrahi de sa prison d’Écosse. L’avion est capturé en août 2011 lors la guerre civile libyenne. Le journaliste de la BBC John Simpson rapporte que l’avion est équipé de manière luxueuse, avec notamment un jacuzzi.
 À partir de février 2011, le pouvoir de Kadhafi, en place depuis plus de 41 ans, est menacé par une contestation populaire, que la répression transforme rapidement en insurrection armée, puis en guerre civile. Lors de la prise de Tripoli par les rebelles en août 2011, Mouammar Kadhafi fuit la capitale. Le 20 octobre, il est capturé, lynché et tué dans les environs de Syrte.



9. Henry Ford : 199 milliards de dollars (188 milliards d’euros)
Né le 30 juillet 1863 et mort le 7 avril 1947 à Dearborn aux États-Unis, Henry Ford est le fondateur du constructeur automobile Ford.
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source
Son nom est notamment attaché au fordisme, une méthode industrielle alliant un mode de production en série fondé sur le principe de ligne d’assemblage et un modèle économique ayant recours à des salaires élevés. La mise en place de cette méthode au début des années 1910 révolutionne l’industrie américaine en favorisant une consommation de masse et lui permet de produire à plus de 15 millions d’exemplaire la Ford T ; Henry Ford devient alors l’une des personnes les plus riches et les plus connues au monde.



10. Cornelius Vanderbilt : 185 milliards de dollars (175 milliards d’euros)
Né le 27 mai 1794 et mort le 4 janvier 1877 à New York, il a bâti sa fortune dans la construction maritime et les chemins de fer, ce qui lui valut le surnom de Commodore. A sa mort, sa fortune équivaut à 1,15% du PNB des États-Unis ! C’est à lui que New York doit l’immense gare de Grand Central. Côté anecdote, Cornelius serait l’un des acteurs de l’invention des chips !


11. Alain le Roux  : 179 milliards de dollars (169 milliards d’euros)
Né vers 1040 et mort le 4 août 1093, Alain le Roux était un noble breton qui participa à la conquête normande de l’Angleterre et en devint l’un des plus riches barons grâce à de nombreuses terres en Angleterre. Dans un livre intitulé The Richest of the Rich (en français “les plus riches des riches”), Philip Beresford et William D. Rubinstein désignent Alain le Roux comme la personne le plus riche d’Angleterre de tous les temps.


12. Bill Gates : 136 milliards de dollars (128 milliards d’euros)
Bill Gates a construit sa fortune grâce à l’entreprise Microsoft qu’il a créé à l’âge de 20 ans.
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 Source.:












Le Pétrole c'est la Bête 666

vous devrez passer le message suivant aux pétrolières !$!

Le pétrole vient de l'enfer,.............. au plus profond du sol de la Terre !

Quand l'essence est trop chère, on en met peu,..............pour environ 6.66$  ?
Mais le numéro de service a la clientèle de Shell a quand même 3 six dedans !



Source.:leYâwbe !