Rechercher sur ce blogue

lundi 24 mars 2014

Vendre du vent, avec passion...mes Coco

 Coco ne fesait que,vendre du vent, avec passion,........................car l"argent, n'existe que dans vos têtes !
Consommer,avec l'argent des autres,ont fait tous ça,et le plaisir de partager et faire vendre votre produit, ça c'était lui,c'était sa passion,pour combler son manque d'amour et de vivre dans le luxe de la vie des gens riches et célèbres du Jet set international  !

Douglas,.......Coco : un rêveur ,mais passionné !

samedi 8 mars 2014

La peur ne devrait jamais exister ?

La photo de Les Dieudonnistes du Maghreb United.
il y a 6 minutes
La peur n'a jamais exister pour lui ,car il savait que c'était une création du cerveau de l'Homme !
QUENELLE COLLECTOR :

Une des plus belles Quenelles, celle de notre ami Quenellier Romain, trop tôt disparu.... Qu'il repose en Paix...

Comme dirait Dieudo, à la fin de son spectacle ASU ZOA, en hommage à Romain : "Quenelle dans le fion de la peur !!!"




D'un point de vue neurologique, la peur est essentiellement une activation de l'amygdale (ensemble de noyaux au niveau des lobes temporaux)1. L'activation de l'amygdale correspond généralement à un sentiment de danger imminent. Elle peut entrainer une inhibition de la pensée et prépare l'individu à fuir ou à se défendre.
Photo: QUENELLE COLLECTOR :

Une des plus belles Quenelles, celle de notre ami Quenellier Romain, trop tôt disparu.... Qu'il repose en Paix...

Comme dirait Dieudo, à la fin de son spectacle ASU ZOA, en hommage à Romain : "Quenelle dans le fion de la peur !!!"
  •  La peur est générée par les comportements spécifiques de l'évitement et de la fuite, alors que l'anxiété est le résultat de menaces perçues comme étant incontrôlables ou inévitables!
    il y a 2 minutes · J’aime
  •  D'autres facteurs, tels les hormones entrent en ligne de compte. Ainsi, la puberté, la maternité et la ménopause provoquent des bouleversements hormonaux chez la femme qui vont renforcer l'anxiété et donc la capacité à développer des sentiments de peur.

samedi 1 mars 2014

Cybersécurité : les données liées à 360 millions de comptes sur le marché noir



Sécurité : Le spécialiste en cybersécurité Hold Security affirme avoir découvert sur divers marchés noirs en ligne un stock de 360 millions d’identifiants obtenues suite à plusieurs cyberattaques qui n’auraient pas encore été rendues publiques.

360 millions d’identifiants contenant des adresses emails, accompagnées de mots de passe qui dans la plupart des cas ne sont pas chiffrés, sont actuellement en vente au marché noir sur Internet. C’est ce qu’a découvert au cours des trois dernières semaines Hold Security, une entreprise spécialisée dans la cybersécurité.
Ces données seraient le fruit de plusieurs attaques qui n’ont pas encore été rendues publiques et dont les victimes n’ont peut-être pas encore connaissance précise-t-on. Parmi ces données figurent des adresses électroniques issues des principaux webmail, à savoir AOL, Google, Microsoft et Yahoo ainsi que la « quasi-totalité des sociétés du Fortune 500 et des organismes à but non lucratif », précise Reuters.
Comptes en banques, réseaux d'entreprises visés ? 
Entre les mains des pirates, ces données sont considérées comme beaucoup plus dangereuses que les coordonnées de cartes bancaires, surtout lorsque les usagers se servent des mêmes identifiants et mots de passe, ce qui est souvent le cas. Selon Hold Security, cela pourrait notamment permettre d’accéder à des comptes en banque, des réseaux d’entreprise ou des données médicales.
Il est important de souligner que ces révélations sont utilisées par Hold Security pour promouvoir son nouveau service de surveillance du web invisible ou deep web.


jeudi 6 février 2014

Le monde à l'envers,........le film ?

Upside Down ou Un monde à l'envers au Québec est un film franco-canadien coécrit et réalisé par le réalisateur argentin Juan Solanas et sorti en 2012.

Adam et Eden vivent dans un univers dans lequel deux planètes vivent l'une en dessous de l'autre avec des centres de gravité opposés, où toute matière d'un monde obéit à la gravité de celui-ci. Eden vit dans le monde d'en haut, prospère et riche, et Adam vit dans le monde d'en-bas, monde pauvre. Lorsqu'ils sont petits, Adam et Eden prennent l'habitude de se retrouver sur la montagne de la sagesse où les deux mondes se touchent presque. Adolescents, ils sont amoureux mais il est interdit de communiquer entre les deux mondes et la police les surprend lorsqu'ils sont ensemble. Alors qu'Adam aide Eden à retourner sur son monde, la police lui tire dessus et il lâche Eden qui tombe et se frappe la tête. Suite à cet accident, Eden devient amnésique et Adam ne peut plus revenir à la montagne de la sagesse. Dix ans plus tard, Adam voit Eden à la télévision et tente l'impossible en défiant les lois de la gravité.
Dans le fond le monde dans bas se fait exploiter(extraire leur pétrole pour leur vendre de l'électricité) par les riches dans haut ? Ahhhh,pas nouveau sauf que la vrai vie c'est a l'envers du Monde dans Haut !$!

REF.:

La police veut une télécommande pour stopper les véhicules


Un groupe de travail regroupant les services de polices européens a défini une liste d’objectifs en matière d’équipements et de capacités high-tech. La voiture connectée fait particulièrement rêver les forces de l’ordre.


Les polices européennes veulent une télécommande pour stopper les véhicules
Les polices européennes veulent une télécommande pour stopper les véhicules
Il n’y a pas que les services secrets qui veulent profiter du boom des nouvelles technologies. Les polices aussi cherchent à perfectionner leurs méthodes de travail et d’investigation. La voiture et son système d’information embarqué les intéressent particulièrement, comme le montre le programme 2014-2020 de l’ENLETS (European Network of Law Enforcement), une plateforme d’échange entre les  services de police des différents états membres de l’Union européenne. Ce document a été rendu public il y a quelques jours par statewatch.org, une association britannique qui défend les droits des citoyens.
Ainsi, parmi les cinq projets high-tech que ce groupe de travail souhaite développer en priorité, figure « l’arrêt à distance des véhicules ». Ce projet a été proposé à l’origine par la police britannique. Il part de la constatation qu’il est difficile de prendre en chasse des criminels en fuite, en raison du danger que cela représente pour la population. La solution imaginée par les policiers serait donc de faire en sorte que les véhicules européens soient, à terme, dotés par défaut d’une technologie permettant aux forces de l’ordre de stopper un véhicule à distance. Comment ?  Rien n’est encore défini, mais il est très probable que cela se fera - si cela se fera - grâce à l’informatique embarquée qui équipe de plus en plus nos voitures.
© ENLETS
Ces systèmes peuvent assister ou contrôler les fonctions mécaniques d’un véhicule (freinage, injection, conduite...). Ils peuvent également intégrer des fonctions de communication, que ce soit dans un but récréatif (téléchargement de musique ou d’applis) ou de maintenance (prise de contrôle par un technicien pour une mise à jour du firmware, par exemple). En théorie, toutes les briques technologiques sont déjà là pour créer une « télécommande » d’arrêt d’urgence.
Les policiers européens sont également attirés par les techniques d’espionnage et de surveillance, qui concerne trois autres projets prioritaires. Ainsi, ils souhaitent développer « l’espionnage open source », c’est-à-dire basé sur les sources ouvertes et accessibles à tout le monde (réseaux sociaux, web, mobile, etc.). Ils souhaitent également se perfectionner dans l’espionnage électronique (« signal intelligence ») et dans la surveillance vidéo.

REF.:

mercredi 5 février 2014

Les pilules comme des bonbons ?

Santé
Les jeunes québécois consomment de plus en plus d’antidépresseurs, a appris le Journal . Depuis cinq ans, le nombre d’ordonnances remises aux moins de 18 ans a augmenté de 58 %, une situation que bien des experts condamnent.
Des chiffres obtenus auprès de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) révèlent que le nombre de jeunes consommateurs d’antidépresseurs a augmenté de 15 %, entre 2006 et 2010.
Les spécialistes joints par le Journal dénoncent cette situation. Ils estiment que ces médicaments ne constituent bien souvent que «des pansements sur des plaies ouvertes. » « C’est une banalisation des troubles psychologiques que peuvent vivre nos jeunes, s’indigne Joël Monzée, psychothérapeute et docteur en neurosciences. De plus en plus, les médecins généralisent et confondent les symptômes», dit-il.

Des médecins dénoncent aussi les prescriptions À profusion de médicaments contre le cholestérol.Les compagnies pharmaceutiques ont convaincu tout le monde que le cholestérol est le nouveau démon À combattre chez l'être humain. Mais des médecins québécois estiment au contraire que tout cela est fait pour vendre des pilules qui sont, pour la plupart,inefficace.




 Les statines sont devenues une pilule miracle pour compenser les mauvaises habitudes de plusieurs patients, déplorent des médecins.
« Les gens veulent une pilule qui va pallier leur mode de vie pour pouvoir continuer à manger des Big Macs » , indique Paul Poirier, professeur à l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec.
«Ce n’est pas la meilleure affaire depuis le pain tranché, les statines. Mais c’est la solution pour les gens qui ne font pas les bons choix de vie», ajoute-t-il.
CHANGER LES HABITUDES
Tous les médecins interrogés par le Jour
nal à propos des statines s’entendent pour dire que les habitudes de vie jouent un rôle majeur dans l’amélioration de la santé de leurs patients.
Malbouffe, inactivité, tabagisme: ces facteurs ont une incidence négative sur le taux de cholestérol.
«Comme médecin, je ne veux pas que mon patient meure. Je vais faire de mon mieux pour qu’il se prenne en charge. Mais s’il décide de ne pas changer, je vais le pénaliser en ne lui donnant pas de statines? Je vais lui dire qu’il ne mérite pas un médicament qui peut l’aider?» demande le Dr George Thanassoulis, directeur du programme de cardiologie préventive et de génomique cardiovasculaire au Centre universitaire de santé McGill.
TROP FACILE DE PRESCRIRE ?
« Je passe un temps fou à parler d’habitudes de vie à mes patients. Mais c’est extrêmement difficile de changer et on n’obtient pas les résultats qu’on espérerait » , souligne le Dr Jean- Claude Tardif, de l’Institut de cardiologie de Montréal.
«Mais je ne pense pas que les médecins ont la gâchette trop facile sur les statines pour sauver du temps», ajoute-t-il.
De son côté, le Dr Colin Rose ne prescrit pas de statines en prévention avant que le patient ait contrôlé ses dépendances. Il constate toutefois que cette pilule est devenue la voie de la facilité.
«Tout le monde est content et c’est beaucoup moins compliqué. Qui va s’en plaindre?» souffle-t-il.
Beaucoup trop de patients québécois prennent des pilules contre le cholestérol pour rien, déplorent des médecins.
« C’est devenu un plat de bonbons, dénonce un médecin qui veut garder l’anonymat parce qu’il dit avoir reçu des pressions de la direction de son hôpital. C’est une immense bourde scientifique.»
« C’est ce qu’on appelle du marketing, croit aussi le cardiologue Colin Rose, retraité du Centre universitaire de santé McGill ( CUSM). Dans 100 ans, on va se dire qu’on était stupides de prendre cette pilule.»
DÉBAT PARTOUT
La controverse mondiale entourant les statines, qui visent à diminuer le taux de cholestérol, n’épargne pas le Québec.
Récemment, un reportage australien a créé une onde de choc, alors que des cardiologues américains ont témoigné ne pas croire aux bienfaits de ce médicament, un des plus prescrits au monde (voir autre texte).
À l’automne dernier, l’adoption de nouvelles lignes directrices pour hausser la prescription des statines à 30 % des adultes américains (plutôt que 15 %) a fait aussi beaucoup jaser.
Au Québec, la consommation de statines est d’ailleurs en forte progression. En 2013, 12,7 millions d’ordonnances ont été prescrites, selon la Régie de l’assurance maladie du Québec, un bond de 30 % depuis cinq ans (voir tableau).
Sur le marché depuis environ 30 ans, les statines sont prescrites pour diminuer le taux de cholestérol à deux catégories de patients: ceux qui ont eu un problème cardiaque, ou en prévention primaire.
Si les médecins reconnaissent en général le bienfait des statines chez les patients cardiaques, la prescription préventive ne fait pas l’unanimité. Et selon le Dr Rose, jusqu’à 95 % des prescriptions sont à titre préventif.
LE CHOLESTÉROL, UN DÉMON ?
Au Canada, les lignes directrices prévoient qu’un patient doit prendre des statines s’il a 20 % de risques d’avoir un épisode cardiaque dans les 10 prochaines années.
Plusieurs facteurs sont utilisés pour calculer le taux de risque: âge, sexe, taux de cholestérol, antécédents familiaux, habitudes de vie, etc.
«C’est du lavage de cerveau. Les compagnies pharmaceutiques ont convaincu tout le monde que le cholestérol est le démon. Mais c’est juste pour vendre des pilules! Ça n’a aucun sens», croit fermement le médecin sous le couvert de l’anonymat, qui a cessé d’en prescrire à ses patients en prévention. «Et ils se portent très bien», lance-t-il. «Il n’y a aucun effet bénéfique prouvé», ajoute le Dr Rose. Ces spécialistes sont d’ailleurs convaincus qu’un taux de cholestérol élevé ne cause pas directement des problèmes cardiaques.
CONVAINCUS DES BIENFAITS
Directeur du Centre de recherche de l’Institut de cardiologie de Montréal, le Dr JeanClaude Tardif réfute cependant ces opinions. «Depuis 40 ans, la littérature scientifique montre sans aucun doute que les statines réduisent le risque de mourir», dit-il.
«Ce qui est dommage avec le discours de ces médecins qui font du sensationnalisme, c’est que des patients qui lisent l’article cessent leur médication, alors qu’ils en ont besoin. Beaucoup de gens vont faire des infarctus s’ils cessent les statines » , ajoute-t-il.
«C’est de la médecine d’anecdote, ce ne sont pas des opinions basées sur des données, croit aussi le Dr George Thanassoulis, directeur du programme de cardiologie préventive et de génomique cardiovasculaire au CUSM. Plein de patients prennent des statines en prévention et n’ont pas d’infarctus. Mais ça ne veut pas dire qu’elles n’aident pas.»
D’ailleurs, le Québec a un haut taux de patients qui font de l’hypercholestérolémie familiale, une maladie génétique. Pour ces patients, les statines sont essentielles, souligne le Dr Tardif.Selon lui, le débat actuel concerne surtout la zone grise pour les patients qui ont un taux de risque faible ou moyen, soit entre 10 % et 20 %.










La guerre au cholestérol une JOKE ?

Reportage controversé en Australie

La diffusion du reportage australien La guerre au cholestérol a créé une onde de choc, car plusieurs spécialistes y expliquent ouvertement que les statines n’aident pas les gens à vivre plus longtemps.
«Vous pouvez prendre des statines durant plusieurs années et vous aurez tout autant de risque de mourir», souligne la professeure Rita Redberg, de l’Université de San Francisco, en Californie.
Selon cette dernière, 1 % ou 2 % de la population bénéficie des statines. Pour les autres, il n’y a aucun impact positif.
EMPÊCHER LA DIFFUSION
Diffusé en octobre dernier, le reportage a fait tellement de vagues en Australie que des représentants de la santé publique ont tenté d’en bloquer la diffusion. Ils craignaient que le reportage encourage des patients à cesser leur médication et puisse causer leur mort.
Selon Rita Redberg, le marketing s’est concentré à tort sur l’importance de diminuer le taux de cholestérol.
«Le taux de cholestérol n’est qu’un chiffre. On s’en fout du taux si ça n’a pas de bienfait sur la santé du patient», dit-elle.
«Même chez les gens à haut risque d’avoir un problème cardiaque. […] Les données scientifiques ne montrent pas qu’elles devraient prendre des statines», ajoute-t-elle.
D’ailleurs, le reportage souligne que le taux de cholestérol acceptable ne cesse de baisser.
«Est-ce que c’est basé sur la science? Absolument pas. C’est juste une théorie qu’un taux plus bas, c’est mieux. Et on a plus de patients», souligne le Dr Ernest N. Curtis.
CHOLESTÉROL « TOXIQUE »
«On prétend que le cholestérol est toxique et qu’il faut le baisser à tout prix. Mais penser qu’on peut radicalement faire ça sans qu’il y ait de conséquences sur le corps humain est ridicule. C’est de la mauvaise science», ajoute le Dr John Abramson, de l’école de médecine de l’Université Harvard.
Dans le reportage, on souligne que les statines peuvent avoir des effets secondaires graves (diabète, problèmes musculaires, pertes de mémoire, etc.). Pour visionner le reportage australien: www.abc.net.au/catalyst/heartofthematter