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samedi 19 mai 2012

450 000$ de fraude pour 21 mois en d'dans ;-)


Fraudeur informatique - Condamné à 21 mois de prison
Sébastien Massicotte-Lalumière 
© Courtoisie

LAVAL – Sébastien Massicotte-Lalumière, ce fraudeur informatique qui a mis la main sur plus de 450 000$ en fraudant des clients de différentes institutions financières du Québec, a écopé, jeudi , de 21 mois moins un jour d'emprisonnement.
Le fraudeur avait réussi à dérober d'importantes sommes d'argent à plusieurs Québécois en procédant à l'envoi de courriels qui imitaient les sites internet d'institutions financières. Il a effectué des changements d'adresse postale au nom de ses victimes pour ensuite s'y faire livrer de nouvelles cartes de crédit.
Lors du procès, la poursuite avait suggéré une peine de trois ans de prison. De son côté, l'avocat de la défense, Clemente Monterosso, avait fait valoir qu'une peine de 18 mois à laquelle il faudrait soustraire la détention préventive serait suffisante.
Selon la défense, l'année en prison doit compter pour une année et demie en raison des difficultés vécues par l'accusé en détention. Il était la risée des autres prisonniers et a dû être placé en isolation pour les mêmes raisons. «Je crois sincèrement que mon client a compris sa leçon. Il a de profonds regrets», a ajouté Me Monterosso. En raison d'un manque de preuves, la juge Lise Gaboury n'a pas pu prendre en considération les difficultés qu'il a connues en détention.
Témoignage saisissant
Avant que la sentence soit prononcée, Sébastien Massicotte-Lalumière s'est adressé à la juge. «Aujourd'hui, cela fait exactement un an jour pour jour que je suis en prison. Ce que je souhaite de tout mon cœur, c'est de reprendre une vie normale et de retourner aux études faire un cours de 1800 heures en informatique», s'est exprimé l'accusé.
La juge a affirmé que son arme à lui, c'était un ordinateur. « Ce serait donc une drôle de décision de lui permettre de se spécialiser encore plus dans le domaine qui lui a valu son crime », a commenté Mme Gaboury.
Sébastien Massicotte-Lalumière a finalement écopé d'une peine initiale de trois ans de détention. Étant donné qu'il a déjà passé une année en prison, il lui en reste deux à purger. L'accusé a aussi écopé de trois ans de probation à sa sortie de prison. Il lui sera interdit de se servir d'un ordinateur. À sa sortie de la salle d'audience, il s'est exclamé en riant : «C'est absolument n'importe quoi tout ça!».
Sébastien Massicotte-Lalumière a déjà eu de nombreux démêlés avec la justice en raison notamment d'accusations pour alcool au volant, vol et possession de stupéfiants.


REF.:

Le Fédéral gaspille votre argent ? Des Édifices à moitié vide Coût: 11,5 millions $

Édifices à moitié vide - Coût: 11,5 millions $
L’analyste du marché Barry Nabatian. 
©Tony Caldwell / Archives / Agence QMI

OTTAWA – Des immeubles fédéraux à moitié vides coûtent 11,5 millions $ par année aux contribuables, selon des documents obtenus par l’Agence QMI en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.
Il y a près d’un million de pieds carrés de bureaux fédéraux vides à Ottawa. Selon les documents, il y a 18 édifices de Travaux publics et Services gouvernementaux qui ont un taux d’inoccupation de plus de 50 % dans la région d'Ottawa-Gatineau, et plusieurs d'entre eux sont vacants depuis des années et mêmes des décennies, ce qui coûte aux contribuables des millions $ pour le chauffage, l’eau et l’éclairage, la sécurité ou les taxes foncières.
En raison de la mise à pied de 4 800 employés fédéraux d’ici 2015, l’espace vacant devrait doubler. En outre, quatre nouveaux édifices fédéraux présentement en construction à Gatineau accueilleront des fonctionnaires fédéraux en 2013.
«Je pense que toute personne raisonnable pourrait se demander pourquoi le gouvernement jette par la fenêtre des millions $ pour l’entretien de bâtiments vacants», a déclaré le directeur pour l’Ontario de la Fédération canadienne des contribuables, Gregory Thomas. «Je pense que Travaux publics doit une explication aux contribuables.»
Selon l’analyste du marché Barry Nabatian, qui travaille pour Shore-Tanner and Associates, il existe un réel problème de gestion.
«Ils n’administrent cela vraiment pas correctement. Aucune société immobilière, aucune entreprise de gestion du secteur privé ne permettrait que cela se produise».
«Des espaces vacants pendant quelques mois, cela est parfois inévitable, mais année après année, c’est incroyable», a ajouté M. Nabatian.
Selon lui, la seule solution viable consiste en un partenariat public-privé pour louer les espaces gouvernementaux vacants.
Il fait valoir que le gouvernement fédéral devrait accueillir de petites firmes de consultation et des entreprises de haute technologie en démarrage, afin de louer l'espace vacant avec des contrats à court terme, qui pourraient prendre fin lorsque le gouvernement aurait besoin à nouveau de cet espace.
«Dans l'intervalle, les bâtiments seraient occupés, le gouvernement obtiendrait des recettes et augmenterait aussi la sécurité», a déclaré M. Nabatian.
Le porte-parole à Travaux publics et Services gouvernementaux, Sébastien Bois, a toutefois fait valoir que les édifices fédéraux, y compris l'espace inutilisé, ont contribué à l'économie locale, avec le versement de 74,63 millions $ en taxes versés directement dans les coffres de la ville d’Ottawa en 2011.




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Prêts et bourses ? l'argent est utilisé à d’autres fins ?

Québec a reçu depuis un an un pactole de 550 millions de dollars du gouvernement fédéral pour financer les bourses aux étudiants des cégeps et des universités. L’argent est utilisé à d’autres fins.
Un premier chèque de 275 millions de dollars est entré en janvier 2011, puis un deuxième du même montant a été versé en janvier dernier, a confirmé Ressources humaines et développement des compétences Canada (RHDCC). L’argent est versé en vertu du Programmes canadien de prêts aux étudiants. Même s’il ne participe pas à ce programme, le Québec a droit à « des montants compensatoires qui visent à appuyer ses propres programmes d’aide financière aux étudiants », a expliqué RHDCC par voie de courriel.
Les contributions du fédéral couvrent les années 2009-2010 et 2010-2011. RHDCC n’a pas confirmé si le versement du transfert sera reconduit pour l’année 2011-2012. Au lieu d’utiliser cet argent pour financer le programme de prêts et bourses aux étudiants, Québec l’injecte dans le fonds consolidé du revenu, de sorte qu’il sert au financement de différentes missions de l’État, a déjà confirmé le ministère des Finances.
Étudiants défavorisés
Les associations étudiantes des cégeps et des universités demandent au gouvernement Charest d’utiliser au moins une partie de l’argent provenant du fédéral pour bonifier le régime de prêts et bourses.
« Ça fait partie de nos revendications depuis plusieurs années. On s’est rendu compte l’an dernier qu’il y avait eu une bonification de 70 millions du transfert fédéral. Et on a encore eu les 70 millions de plus cette année. C’est de l’argent qui devrait aller aux étudiants. On doit bonifier le système de prêts et bourses. Les étudiants défavorisés en ont besoin », demande Martine Desjardins, présidente de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ).
Le régime d’aide financière aux étudiants des cégeps et des universités est doté cette année d’une enveloppe de 568,7 millions de dollars, en hausse de 62,6 millions par rapport à l’année 2011-2012.


Pologne: IBM et HP impliqués dans une affaire de corruption

Pologne - IBM et HP impliqués dans une affaire de corruption
 
© AFP / Jean-Pierre Clatot

VARSOVIE - Les groupes informatiques IBM et Hewlett-Packard seraient impliqués dans une affaire de corruption concernant l'informatisation des administrations en Pologne, croit savoir jeudi le quotidien polonais Rzeczpospolita.
Le porte-parole de la police anti-corruption (CBA) Jacek Dobrzynski a refusé de confirmer ou de démentir les informations du journal.
Ces informations font suite à l'annonce mercredi par CBA de l'interpellation d'un haut fonctionnaire au sein de la direction de la police nationale et de deux dirigeants d'une société informatique polonaise, NetLine selon Rzeczpospolita, mis en examen tous les trois pour pots-de-vin.
«Les présidents de la société NetLine interpellés hier coopéraient étroitement avec les géants informatiques IBM et HP», a affirmé le journal.
Au début de l'année, CBA avait arrêté plusieurs hauts fonctionnaires et deux anciens directeurs de sociétés informatiques, mis en examen pour corruption dans les appels d'offres, a rappelé M. Dobrzynski.
Les porte-parole d'IBM et de HP en Pologne ont implicitement confirmé jeudi l'implication dans l'affaire de leurs anciens employés.
«Hewlett-Packard Polska coopère pleinement avec les autorités polonaises dans le cadre de l'enquête et ne commente pas son déroulement», a déclaré à l'AFP sa porte-parole Anna Marciniak, tout en soulignant que l'un des hommes inculpés, Tomasz Z., «n'était plus employé de HP Polska depuis février 2010».
De son côté, IBM «prend note des informations de presse au sujet d'un ancien employé d'IBM», a déclare son porte-parole en Pologne Tomasz Stachera.
«Nous prenons cette affaire très au sérieux et coopérons avec toutes les institutions chargées de l'enquête. Nous n'en commentons pas les détails à ce stade», a-t-il précisé.


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Les Riches vivent a Singapour

Oui, les riches sont imposés à 20% au lieu de 35% !

Voici l'histoire d' Eduardo Saverin : (un riche au pays de pauvres ! )

Loin de l'agitation de Wall Street où Facebook s'apprête à entrer en Bourse, un cofondateur du géant des réseaux sociaux, Eduardo Saverin, mène une vie tranquille à Singapour où il investit sa fortune dans des start-ups technologiques.

Le Brésilien, qui avait créé Facebook avec Mark Zuckerberg et deux autres amis à Harvard en 2004, a abandonné sa nationalité américaine et veut s'installer définitivement à Singapour, la ville-État prospère du sud-est asiatique.
Comme le raconte le film «The social network», Saverin, âgé maintenant de 30 ans, avait mis son sens des affaires au service de l'entreprise, portée par le génie informatique de Zuckerberg, lorsqu'ils ont créé ensemble le site internet le plus populaire au monde.
Les deux amis se sont violemment disputés lorsque la part de Saverin dans le capital a été fortement diluée, mais il devrait largement bénéficier de la mise en Bourse de Facebook, prévue vendredi.
Les critiques affirment que Saverin a renoncé à sa nationalité américaine pour éviter de payer l'impôt sur la plus-value sur sa fortune, estimée à 3,4 milliards de dollars US par le site internet «À qui appartient Facebook?».
Selon ce site, le jeune Brésilien détient 4% du capital.
Si ce chiffre est confirmé, Eduardo Saverin sera un des résidents de Singapour les plus riches.
Fuyant les médias, il bénéficie dans ce centre technologique et financier de l'Asie d'un anonymat qui lui échapperait aux États-Unis.
Tom Goodman, le porte-parole de Saverin à New York, a refusé de préciser la part de son client dans le capital de Facebook et affirme que la question des impôts n'a pas joué dans la décision de s'exiler.
C'est simplement que «Saverin a trouvé plus pratique de devenir un résident de Singapour» pour le long terme.
«Il estime que Singapour est au centre de la zone où il faut être pour la croissance, notamment dans tout ce qui touche à la technologie grand public, avec un marché internet et de portables qui s'accroît vite et va devenir dominant au niveau mondial», a déclaré Tom Goodman.
«Il prévoit d'investir dans des groupes brésiliens et internationaux qui sont très intéressés par l'entrée sur les marchés asiatiques», a-t-il ajouté.
L'impôt sur la plus-value n'existe pas à Singapour.
Les habitants les plus riches sont imposés à 20%, un taux moins élevé que les 35% de taux marginal pour les plus riches aux États-Unis.
Eduardo Saverin, dont l'argent et les conseils sont très recherchés par les acteurs du secteur de la technologie à Singapour, refuse les entretiens avec la presse et limite ses apparitions publiques.
Ceux qui le connaissent assurent qu'il est sans prétention et qu'il protège sa vie privée, mais qu'il reste accessible.
Il est apparu à quelques reprises dans la presse au bras de jeunes beautés, dont Rachel Kum, Miss Singapour 2009.
Perx, une start-up du web de Singapour, est une des entreprises dans laquelle Saverin a investi.
Selon le cofondateur de l'entreprise, Andrew Roth, Saverin a mis la main à la poche en 2011 et fournit ses conseils sur le développement de son application pour l'iPhone, une carte virtuelle de fidélité qui récompense les clients de restaurants, boutiques et autres établissements. Elle compte 40 000 clients.
«Il s'investit de plus en plus côté produits (...) et nous a donné des conseils très pertinents sur la façon de s'améliorer», a indiqué Roth.
Anideo, autre société technologique singapourienne connue pour son application de streaming vidéo sur mobile, Denso, a également reçu des fonds de Saverin.
Pour Tom Goodman, la présence de cette star des nouvelles technologies attire des entreprises «de première classe» à Singapour et dynamise le secteur des start-ups.


mardi 15 mai 2012

Comment faire annuler un ticket

Comment faire annuler un ticket

Voici quatre méthodes éprouvées pour avoir gain de cause en Cour

Il est possible de contester des contraventions comme celle reçue par une cinquantaine de citoyens du quartier St-Michel à Montréal, qui ont été mis à l’amende pour s’être stationnés à moins de cinq mètres d’une intersection.
Il est possible de faire annuler une contravention, même quand la loi est du côté du policier.
Il y a quelques semaines, une cinquantaine d’automobilistes du quartier montréalais Saint-Michel se sont réveillés avec une contravention de 52 $ sur leur pare-brise. La raison : avoir stationné leur véhicule à moins de cinq mètres d’une intersection. Plusieurs pourraient contester leur billet d’infraction.
Exiger la preuve
« À la rigidité de certains policiers, il faut opposer des questions de méthodologie », philosophe Alfredo Munoz, ancien policier et fondateur de SOS Ticket, l’une des entreprises qui aident les consommateurs à contester une contravention.
Assurez-vous que la preuve du policier est en béton. « A-t-il mesuré la distance ? Avait-il un ruban à mesurer ? D’où a-t-il pris la mesure ? Ce genre de question permet de contester avec succès toutes les contraventions », dit M. Munoz.
Cette preuve ne se trouve pas sur le constat. Pour l’obtenir, il suffit d’écrire sur le formulaire de réponse de la contravention « Je veux qu’on me divulgue la   preuve ».
Sur le billet d’infraction, on vous invite à expliquer pourquoi vous contestez. L’organisme Éducaloi vous implore de ne pas le faire. « En pratique, l’information que vous y indiquez est souvent utilisée contre vous et a rarement l’effet escompté (par exemple, l’annulation de l’amende) », écrit l’organisme sur son site Web.
Se préparer
Les utilisateurs de cellulaires traînent avec eux un appareil photo. Il faut s’en servir pour étoffer sa cause. Par exemple pour photographier la glace qui empêche de stationner l’auto à moins de 15 cm du trottoir. Un juge pourrait être sensible à un cliché qui démontre qu’il était difficile de se stationner plus près et que l’infraction n’empêchait pas les gros véhicules de déneigement ou les camions de pompier de circuler.
« Photographier un banc de neige qui vous empêchait de voir l’arrêt obligatoire peut aussi être très utile », ajoute Nadia Fortin, avocate pour Solution Ticket.
Argumenter
Plaider qu’on n’a pas vu le panneau d’interdiction de stationnement, qu’il neigeait ou qu’on ignorait le règlement risque de se retourner contre vous. En contrepartie, arriver avec des informations précises, comme des distances calculées au centimètre près, ou mettre en évidence les imprécisions du policier peut être payant.
Avant de passer devant le juge, plusieurs vont négocier avec le procureur. Une journée chargée et il pourrait se montrer conciliant pour éviter un débat. Ce qui peut permettre par exemple de faire passer la vitesse enregistrée par le policier de 120 à 119 km/h. Dans une zone de 70 km/h, ce petit km/h de moins permet d’économiser environ 500 $ et de faire passer la perte de points d’inaptitude de 10 à 5.

  • Les entreprises comme SOS Ticket et Solution Ticket vous demanderont entre 160 $ à 600 $, selon le nombre de points d’inaptitude en jeu. Le service ne s’adresse pas aux clients qui contestent des billets de stationnement, où on ne perd aucun point.

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Politicaillerie: Pourquoi Line Beauchamp démissionne ?

Line Beauchamp en prenant le flambeau pour la règlementation des hausses de frais de scolarité,a agit avec un poignard dans le Dos que tenaient, Jean Charest et la Ministre Courchesne.Ceux-ci avaient une protection ,en faisant agir la Ministre Line Beauchamp avec tant de maladresse,donc mal coaché et ayant agit avec un trop gros Égo, assaisonné de "Mère Thérésa".C'est ça la Politicaillerie,...............en faisant accroire a Line Beauchamp qu'elle serait la prochaine première Minustre du Kébec ,tout comme l'ex-MinUstre Nathalie Normandeau,Jean Charest sait attirer les femmes de tête,pour leurs faire perdre la face !Lui,il perdra ses bas !


Démission de Line Beauchamp - Forte réaction sur les réseaux sociaux
Line Beauchamp 
© Agence QMI / Archives

MONTRÉAL – La démission de la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, tout particulièrement sur Twitter.
Près de 10 minutes après avoir annoncé sa démission, le nom de Line Beauchamp est passé à la première position des tendances Twitter au Canada et à la 10e position dans le monde entier, selon Twitter.com.
La très grande majorité des commentaires exprimés sont positifs. Plusieurs utilisateurs ont souligné un possible passage au privé pour l'ex-ministre.
D'autres ont mentionné que cette démission ne règlerait pas de sitôt le conflit et ont utilisé l'ironie en faisant un lien avec les accusations de corruption qui affectent le gouvernement depuis un moment.
Voici quelques réactions:
— Elle ne démissionne pas, c'est un congé pour se faire refaire les dents. 10 ans de travaux et le contrat a été refilé à SNC-Lavalin. #ggi — @kimlizotte
— RT @JulieMaudeB : Bon ben Charest vient de perdre sa 2e Vice-Première ministre en 1 an! #assnat #GGI #Polqc — @DanBigras
— Charest perd une autre ministre : Line Beauchamp démissionne. Elle retourne aux études, sans doute! — @fabienmajor
— J'espère que la twittosphère fera preuve de retenu et de respect à l'endroit de Line. Elle démissionne avec beaucoup de dignité. — @DenisCoderre
— Ce n'est pas la démission de Line Beauchamp que veulent les étudiants en grève, c'est l'annulation de la hausse. #modesolution #ggi — @jeanhughesroy
— La démission de Line Beauchamp me laisse toute pantoite. #ggi — @embruns
— Line Beauchamp démissionne. Ce n'est pas la première fois qu'on sacrifie le goaler! #ggi — @PatrickHuard — Menute là. Line Beauchamp pense VRAIMENT être en train de se «sacrifier au nom de la démocratie»? Eh boy... — @emilegirard
— Pour quelle entreprise privée ira travailler Line #Beauchamp maintenant? — @thibodeau
— C'est le plus beau jour de ma vie!

REF.: René Lévesque.com,Alain jeanbon surnommé le Gros,Google,