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jeudi 3 juin 2010

699 policiers captés par les radars photo


Vitesse - 699 policiers captés par les radars photo
Les policiers sont habitués de remettre des contraventions. Moins d’en recevoir.
© Photo D'Archives

Il n'y a pas que les simples automobilistes qui se font prendre par des radars photo en roulant trop vite : 699 véhicules de la Sûreté du Québec ont été captés par ces appareils au cours des sept premiers mois d'opération.

C'est un peu l'histoire de l'arroseur arrosé, quand on pense que les policiers de la Sûreté du Québec font campagne pour la prudence sur les routes et le respect des limites de vitesse.

L'an dernier, la police provinciale, chargée de faire appliquer le Code de la sécurité routière, a d'ailleurs remis 524123 tickets, totalisant une somme de plus de 97M$.

À travers le Québec, une quinzaine de radars photo ont été installés et sont opérationnels depuis le 19 août dernier. Ces appareils, mis en place par le ministère des Transports du Québec, surveillent la vitesse et les feux rouges à des endroits jugés problématiques.

Conduite d'urgence

Entre le 19 août 2009 et le 31 mars 2010, pas moins de 699 voitures identifiées et banalisées de la Sûreté du Québec ont été captées par des radars photo, selon les données fournies par le corps policier.

La procédure veut, à la SQ, que les policiers ainsi captés remplissent un rapport expliquant les raisons pour lesquelles ils ont dépassé de la sorte la vitesse permise.

Dans le cas de 627 d'entre eux, leurs rapports ont été concluants et ils ont évité l'émission de constats d'infraction, leur cas ayant été rejeté par le Centre de traitement de la preuve.

«Ces véhicules étaient en conduite d'urgence et les circonstances l'exigeaient », a indiqué la porte-parole de la SQ, Martine Isabelle.

72 cas suspects

Mais pour les 72 autres conducteurs de véhicules de police, c'est plus nébuleux. Soit ils n'ont pas encore été en mesure de fournir leur rapport explicatif, soit celui-ci est en cours de rédaction ou de traitement, soit un billet d'infraction a été émis parce qu'ils n'avaient pas de bonnes raisons de rouler rapidement. La SQ ne pouvait être plus précise.

Lorsqu'un constat d'infraction est émis, les policiers fautifs ont une seconde chance de s'expliquer et il peut arriver que ce soit la Sûreté du Québec qui paye la note.

Mais de façon générale, ce sont les policiers fautifs qui doivent eux-mêmes payer l'amende et les frais du constat d'infraction.


La police a refusé de commenter davantage le sujet.

«Ce sont des procédures administratives et nous ne discutons pas publiquement de régie interne», a dit la porte-parole Martine Isabelle.

On sait toutefois que des mesures «administratives et/ou disciplinaires» peuvent s'appliquer.


Plus de 38 000 constats d’infraction ont été émis jusqu’à présent. Là-dessus, 699 véhicules de la SQ ont été captés, d'après le Journal de Montréal. Selon nos informations, une dizaine de policiers n’ont pas été en mesure de justifier leur infraction et ont dû payer l’amende de leurs poches.

«Je vous assure qu'il y a des policiers qui ont payé les amendes prévues à la loi», souligne le porte-parole de la SQ, Michel Brunet.

C’est en septembre prochain que le gouvernement étudiera la possibilité d’installer des radars photo dans tout le Québec. Un rapport d’évaluation sur leur efficacité sera alors déposé à l’Assemblée nationale. Mais déjà, la ministre des Transports Julie Boulet nous indiquait le semaine dernière que, s’il n’en tenait qu’à elle, ces appareils allaient se multiplier.

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lundi 17 mai 2010

BP offre du pétrole salé a moitié prix au mexique !


Golfe du Mexique - BP tente de siphonner le pétrole à l'aide d'un tube
Au moins 795 000 litres de pétrole fuient quotidiennement dans le Golfe du Mexique depuis l'explosion qui s'est produite il y a plus de trois semaines.
© AP

GOLFE DU MEXIQUE - Pour tenter d'arrêter la marée noire dans le Golfe du Mexique, la compagnie pétrolière BP tente désormais d'insérer un tube de 1,6km de long à la base de la principale fuite provoquée par l'explosion de la plate-forme Deepwater. Cette longue conduite doit ainsi permettre de siphonner le pétrole et le remonter à la surface.

Pour la deuxième journée consécutive, les techniciens de BP manipulaient avec précaution samedi des manettes pour guider des robots sous-marins télécommandés et installer le tube de 15 centimètres de diamètre dans le puits.

Des joints en caoutchouc entourant l'extrémité du tube devraient permettre de le maintenir en place et d'empêcher le pétrole de s'écouler dans l'océan.

Au moins 795 000 litres de pétrole fuient quotidiennement dans le Golfe du Mexique depuis l'explosion qui s'est produite il y a plus de trois semaines.

Il y a une semaine, BP a essayé de placer un caisson de confinement de cent tonnes sur la fuite, mais la compagnie a finalement dû y renoncer en raison de la formation de cristaux de glace qui bouchaient les conduits et empêchaient tout pompage du pétrole.

Par ailleurs, après avoir obtenu le feu vert des autorités fédérales, BP a commencé à pulvériser des produits chimiques sous l'eau, un procédé jugé litigieux parce que cela n'a jamais été fait jusqu'à présent sous le niveau de l'eau.



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mercredi 5 mai 2010

Les Banques crés la pauvreté !

Qui veut gagner des milliards?



La City de Londres représente la plus grande concentration de banques au monde, employant 300 000 personnes de toutes nationalités, et brassant chaque jour des centaines de milliards de livres sterling. Bien que les excès des banques aient entraîné une crise économique majeure, la City refuse d'être soumise à quelque régulation que ce soit. Tout semble y avoir recommencé comme avant : banquiers surpayés, fonds spéculatifs, pratiques risquées… Plongée au cœur d'un univers aussi feutré que cynique.


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mardi 20 avril 2010

Près de la moitié du revenu des Canadiens va au fisc


Selon l'Institut Fraser - Près de la moitié du revenu des Canadiens va au fisc


VANCOUVER - Un groupe de recherche qui dénonce fréquemment les dépenses du gouvernement affirme que les ménages canadiens consacrent plus des deux cinquièmes de leur revenu total aux impôts.

L'Indice d'imposition du consommateur canadien, compilé par l'Institut Fraser, indique que les impôts ont gobé 41,7 pour cent du revenu d'une famille moyenne en 2009.

En comparaison, en 1981, les impôts engloutissaient 40,8 pour cent du revenu familial, contre 33,5 pour cent en 1961, quand l'Indice a été compilé pour la première fois.et en 2013,pas de chance,pas de change,les consommateur deviendront des humanoides programmés par les tats ,les gros bueaucrasse pour contrôler chaque faits et gestes pour enfin prendre contrôle de votre personne a 100% vous enlevant 100% de vos revenu,pour vous laisser seulement votre esprit ! Et bien il était temps,car c'est ça qui a de l'importance et vous sauvera ;-)

Sauvez-vous et ne payer plus vos impôts Fédérailles !

Séparez-vous de votre argent et de votre pays pour vous concentrer sur vous-même LOL-LOL !



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jeudi 8 avril 2010

Le logement et le chômage: de grands obstacles économiques

Les difficultés sur le marché du logement et le chômage élevé sont les plus importants défis économiques auxquels les Etats-Unis sont confrontés, a déclaré mercredi le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke.

Après avoir traversé la pire récession qu'elle ait connue depuis celle des années 1930, l'économie semble s'être stabilisée et renoue avec la croissance, a-t-il souligné. Mais «de nombreux Américains sont encore» confrontés au chômage, à la saisie de leur bien hypothéqué ou aux deux, a averti le président de la Fed.

Dans une déclaration qu'il devait faire à des représentants d'entreprises à Dallas, Ben Bernanke a souligné qu'il n'observait aucun signe de «redressement soutenu» sur le marché du logement, notant que les saisies continuaient de croître.

Les problèmes les plus importants concernent le marché du travail. Si les licenciements ont ralenti, les embauches sont «très faibles», a remarqué M. Bernanke, ajoutant que le taux de chômage, qui atteint aujourd'hui 9,7 pour cent, était toujours proche de ses niveaux les plus élevés.

Les faibles taux d'intérêt devraient contribuer à favoriser le redressement, a jugé le patron de la Fed. Mais la croissance économique ne sera pas assez robuste, selon lui, pour faire baisser rapidement le taux de chômage.



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Quoi faire pour avoir des primes de 2,1 $ millions ?

Les primes de toutes sortes et les heures supplémentaires ont explosé au cours des dernières années dans les hôpitaux, CHSLD et CLSC de Montréal.

Selon les données rendues publiques par TVA, le coût en temps supplémentaire dans les 72 établissements de la métropole est passé de 34,1 millions $ en 2005-2006 à 55,4 millions $ l'an dernier. Il s'agit d'une hausse de 62 %.

Les primes que l'on octroie notamment pour la période estivale ou les soins intensifs sont quant à eux passées de 27,6 millions $ à 44,7 millions $ durant la même période.

Dans ce dernier cas, la hausse a été particulièrement prononcée entre 2006- 2007 et 2007-2008 alors que la hausse les primes sont passées de 33,6 millions à 41,3 millions en un an.

2,1 millions en bonis aux cadres

En plus de la pénurie d'infirmières, certains dénoncent les problèmes d'organisation pour expliquer ces hausses.

Par ailleurs, les bonis versés dans 16 établissements aux cadres ont atteint 2,1 millions. Ainsi, les cadres de l'Hôpital Sainte- Justine ont touché 224 000 $ en primes et ceux du CSSS Ahuntsic-Montréal-Nord ont touché 203 000 $.

Comme le rapportait le Journal en octobre dernier, les cadres du CHUM ont touché plus d'un million $ en primes dont 42 814 $ ont été versés au directeur des services professionnels.


  • Au total, les cadres du réseau de la santé à travers la province se sont partagé 15,8 millions $ en bonis pour 2008-2009.



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jeudi 1 avril 2010

Un petit boni avec ça ?

Québec | L'après budget 2010 !
15000 cadres auront encore des bonis

Malgré la suspension des bonis pour les hauts fonctionnaires de l’État, au moins 15 000 cadres de la fonction publique, des réseaux de la santé et de l’éducation continueront à toucher des bonis au rendement, a appris le Journal.

Vingt-quatre heures après avoir annoncé l’annulation des primes pour les hauts dirigeants de la fonction publique, le gouvernement Charest a dû reconnaître, hier, que de nombreux cadres continueront à toucher des bonis au cours des prochaines années.

Alors que le budget Bachand obligera les contribuables à se serrer la ceinture, quelque 10 600 gestionnaires du réseau de la santé, 3 800 cadres oeuvrant dans les ministères et au moins 1000 patrons du réseau de l’éducation recevront toujours des primes.

Dans les cégeps

Parmi ces cadres qui continueront de toucher des bonis figurent les gestionnaires du réseau des cégeps.

En 2008-2009, 754 cadres à l’emploi des collèges publics se sont partagé 1,3 M$ en primes de rendement, a appris le Journal.

Chacun de ces fonctionnaires a reçu un boni de 1724$, en moyenne.

Cette pratique se poursuivra au cours des prochaines années, a-t-on confirmé, hier, au cabinet de la ministre de l’Éducation.

Seuls les hauts fonctionnaires, comme les sous-ministres et leurs adjoints, les directeurs généraux de commissions scolaires et de cégeps, les PDG d’agence de santé et les recteurs d’université, notamment, verront leurs primes suspendues.

Le personnel des cabinets ministériels est aussi touché par la mesure.

Un autre boni cette année

Les bonis au rendement des hauts fonctionnaires ne sont toutefois pas suspendus immédiatement.

Le Conseil du trésor a confirmé, hier, que le versement des primes sera interrompu uniquement pour les années 2010-2011 et 2011-2012.

Concrètement, cela signifie que les gestionnaires pourront recevoir un dernier boni, dans quelques mois, en fonction de l’évaluation de rendement qu’ils auront reçue d’ici la fin de l’année 2009-2010.

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