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mardi 13 février 2024

Les Êtres Bleus:Pourquoi les Na’Vi sont bleus ?

 

Les Êtres Bleus:Pourquoi les Na’Vi sont bleus ?

Si vous cherchez une grande analyse transversale sur Avatar, on ne peut que vous conseiller de (re)voir l’épisode du ciné-club consacré à ce film ou de lire l’analyse qu’en a faite Rafik Djoumi, car ici il va être question d’un détail très précis et qui a fait couler pas mal d’encre : c’est-à-dire le rapport entre Avatar et la lumière ayant une longueur d’onde située entre 476 à 483 nanomètres, plus communément appelée le bleu. La couleur des Na’Vi de James Cameron a d’ailleurs beaucoup fait jaser : qui n’a jamais entendu le film être qualifié dédaigneusement de Pocahontas chez les schtroumpfs ?

Une recherche rapide sur les autoroutes de l’information nous informe du fait que James Cameron a déjà répondu à cette question :

«Jusqu’où peut-on accepter la différence, sans qu’elle ne devienne une barrière ? La couleur de la peau c’est bien, et ça marche aussi thématiquement parce que, évidemment, c’est vraiment une grosse problématique sur notre planète, Toutes les teintes chaudes, du rose pâle canadien, aux beaux teins marron, et au rose pâle australien sont tous pris. Donc il ne reste plus que le bleu et le vert, et le vert a été pris par tous ces films de martien avec les petits hommes verts. Donc nous avons des grandes femmes bleues, pas des petits hommes verts »

Bon d’accord, c’est une raison plus que valable. Mais quand on sait le soin maniaque que James Cameron apporte à ses films et qu’il a passé 15 ans à peaufiner le moindre détail d’Avatar on se dit que le sujet mérite d’être creusé !

Débutons cette enquête en se demandant quelle est la place de cette couleur dans le monde actuel, dans notre quotidien ?



Et bien il suffit d’ouvrir les yeux pour constater qu’elle est partout, au point de ne plus être remarquée. Pour l’habillement par exemple, elle à la fois sobre et anonyme une sorte de deuxième noir : du jean troué au costume sur mesure elle transcende les styles et les modes.

Son omniprésence vient également du fait qu’il s’agit d’une couleur très prisée dans la communication, symbolisant la vérité et l’intelligence, il n’y a qu’à voir la place qu’elle occupe sur le net en général et sur les réseaux sociaux en particulier.



Autre témoignage de cette domination du bleu dans notre espace mental : depuis que ce type d’enquête existe, il est la couleur favorite de tous les occidentaux, sans distinction de sexe ou de milieu social. Comme le disait James Cameron : la différence de peau est une barrière loin d’être infranchissable, coupler cela avec une couleur rassurante et familière a peut-être été un moyen de ménager le spectateur qui devait déjà assimiler un univers exotique et des nouvelles technologies, le film étant pour la grande majorité de l’audience leur premier contact avec la 3D et la performance Capture.

Mais voyons si il n’y a pas d’autre pistes. Le titre du film par exemple. Le mot Avatar est issu du Sanskrit et est directement liée à la théologie hindouiste. En effet, avant de désigner l’incarnation virtuelle d’un joueur, il est une incarnation terrestre de la puissance divine dont la principale fonction est de rétablir l’ordre cosmique et l’équilibre sur terre. Si leur rôle est constant, les Avatars peuvent prendre des formes très variées en fonction de leurs incarnations comme la tortue, le nain ou l’homme lion. Et Krishna le huitième avatar, une des divinités les plus révérées du panthéon hindou, est un homme à la peau bleue.



Sans rentrer dans les détails d’une mythologie aussi foisonnante et riche que celle de l’Inde, il est possible de voir dans ses racines « anthropologique » un lien de plus avec Avatar. En effet Krishna trouverait son origine chez les peuples qui habitaient le sous continent indien avant l’arrivée des populations de type indo-européennes. Le bleu serait ainsi une version stylisée de la peau plus sombre des aborigènes.

Un des faits d’arme de Krishna étant d’ailleurs d’avoir convaincu les habitants d’un village d’abandonner un dieu céleste pour adorer une divinité de la nature, le mont Govarhana [1].



La thématique du rétablissement d’un lien spirituel, de la nature et du peuple de la forêt est donc bien présente. La couleur bleue des Na’Vi viendrait donc de Krishna ? Pas si simple… En effet le huitième Avatar est une divinité très très masculine, du genre à pouvoir satisfaire neuf cent quatre-vingt-dix-neuf mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf  jeunes filles en même temps…

Or le thème de la féminité est absolument primordial dans le film de James Cameron, les grandes femmes bleues étant une sorte d’antithèse des petits hommes roses.

Et si pour trouver la dimension féminine il fallait explorer l’histoire de la couleur bleu en occident ?

Pour faire vite, cette couleur est très peu présente dans le monde antique. Le ciel par exemple n’est jamais décrit comme bleu que ce soit dans la bible ou les écrits gréco-latins ; il ne s’agit pas d’une couleur noble, comme le noir et le rouge. Elle est utilisée par exemple pour teindre les vêtements des esclaves ou par les peuples celtiques et germanique dans les rituels sacrés ou comme décoration corporelle lors des batailles.



Cette situation perdure jusqu’au milieu du Moyen-âge, époque à laquelle le dieu unique des chrétiens devient un dieu de lumière, la couleur du ciel est donc progressivement adoptée pour témoigner de cette nouvelle réalité.

Mais c’est à travers la Vierge Marie, que le bleue acquiert la position dominant dont il a été question plus tôt. En effet sa représentation « traditionnelles » est celle d’une femme vêtue de rouge et drapée de bleu, un corps humain entouré d’un halo de divinité. La symbolique mariale a bien sûr à voir avec la pureté, mais c’est également un des rares îlots de féminité ayant une dimension céleste dans ce club très masculin qu’est la théologie chrétienne.



Cette dimension “féminine” du bleu perdure au moins jusqu’au XVIIIe siècle où il devient une couleur plus “virile” tandis qu’il affirme sa domination en tant que couleur standard au côté du noir et du blanc à travers les codes vestimentaires très sobres de l’éthique protestante. La dimension féminine de la couleur bleue n’est peut être plus aussi évidente qu’elle a pu l’être mais son empreinte a durablement marqué l’histoire de l’art occidental [2].

Tout en étant loin d’être exhaustif, ce rapide coup d’œil sur la signification de la couleur bleu dans l’imaginaire collectif nous a donné des pistes : le bleu est associé à la divinité et à la féminité, mais il s’agit également d’une couleur potentiellement rassurante et familière. Ces caractéristiques semblent plutôt bien coller aux intentions de James Cameron.

Cependant il reste une dernière piste où il n’est ni question d’histoire ni de théologie, mais tout simplement d’« optique ». Prenez un beau bleu Pandora et une jolie carnation humaine,


- Les êtres Rayons Bleus sont un groupe d’âmes ultra-sensibles et empathiques comme les Indigos qui sont venus de nombreuses planètes et royaumes de lumière différents pour éclairer le code génétique de l’humanité et élever la conscience divine sur Gaia. Ils sont le rayon perdu de l’Artisan de Lumière. “Shekinah”, un mot hébreu dans le “Langage de Lumière”, qui désigne un mentor. Shekinah est l’aspect perdu du Divin Féminin sacré de la Création qui est l’incarnation de la Source dans le processus d’ascension…Les Rayons Bleus sont les Navigateurs Spirituels du Plan Divin. Activer le Plan d’action centré sur le cœur pour la guérison, la communication, le langage de la lumière, la méditation et bien d’autres modalités plus puissantes. Ils sont les porteurs de la lumière qui conduira les âmes à naviguer dans leurs propres royaumes intérieurs, sachant que c’est l’Amour qui allège la charge, éclaire la route et illumine la direction divine pour que toutes les âmes puissent compléter pleinement leur contrat créatif sur cette planète. Source: http://www.soultraveller.net/

https://youtu.be/JyvObnzq1jQ

Cette haute valeur vient sans doute de la rareté du bleu dans la nature :dans l’Antiquité, le lapis-lazuli était utilisé en Mésopotamie et en Egypte comme pierre sacrée, seul moyen d’orner les temples en bleu,jusqu’au 18ème siècle, la culture du pastel dans la région de Toulouse consistait à écraser des feuilles en boule (la cocagne) pour produire une teinture bleue très recherchée.Le bleu évoque avant tout le domaine du céleste, du sacré : au Moyen-Age, « bleu » était synonyme de Dieu.




Notes :Concernant

 la couleur [des Na'vis] : le vert était pris. Il y avait déjà une longue histoire avec les aliens verts. Et puis avec Hulk. Et les couleurs humaines, les roses, les bruns, nous sont familières. Bob l'Eponge était jaune. En gros, ça laissait le bleu et le violet. Le violet est ma couleur préférée, mais je me suis dit qu'on l'utiliserait pour l'une de nos couleurs bioluminescentes principales, ce que l'on a fait en l'associant à Eywa, [une divinité], et à tout ce qui est sacré pour les Na'vis.


- James Cameron

Il y a également ce rêve que ma mère m'a raconté, dans lequel il y avait une femme bleue grande de trois mètres avec six seins. Une image sympa. Je l'ai dessiné, mais les six seins n'apparaissaient pas aussi bien qu'on pouvait l'imaginer, et ça aurait gâché la classification [du film]. Donc ouais... bleu.


- James Cameron

[1] Pour l’anecdote, en 2009 à la suite de l’immense succès d’Avatar, une tribu de l’est de l’Inde, les Dongria, estimant vivre un scénario proche de celui du film, fit appel à James Cameron pour plaider leur cause. En effet leur habitat, et notamment une colline sacrée risquait d’être ravagée par une exploitation minière. La boucle étant pour ainsi dire bouclée.

[2] Pour plus de détails, France Culture parle de l’histoire et de la symbolique du bleu.


REF.: https://www.cinephylis.fr/le-bleu-des-navi-de-james-cameron/

lundi 12 février 2024

Ce qu'est un portail organique:

 

On me demande ce qu'est un portail organique:


C'est une ouverture mémorielle (dans la forme, dans l'aura) et psychique (dans la conscience) qui laisse entrer des entités surmentales dans l'individu. En d'autres termes, le portail est le point d'entrée d'une ou de plusieurs consciences étrangères (exemple : reptiliens, etc.) dans l'individu. Il y a donc nécessairement une ouverture dans l'aura de la personne. Cette ouverture, parfois dissimulée, est identifiable par une personne qui voit ou ressent les plans subtils.


Le type de "porte" que je vois le plus souvent ressemble à une "craque" dans l'aura, comme si on avait "fendu du jello". Je vous joins une image qui donne une idée à quoi ça peut ressembler.






RÉF.: Sandra Vimont, est auteure, formatrice et conférencière dans le domaine du supramental. La visée de son travail est de faire rayonner la science du réel de la conscience humaine.

Pour approfondir le sujet aller sur le Site Web

https://www.supramental.biz/fr/index.xml


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Renseignements sur la chaîne

www.youtube.com/@SandraVimontSupramental



dimanche 11 février 2024

Voici ce qu'on tente de cacher a nos journalistes:

 Voici ce qu'on tente de cacher a nos journalistes:

AU FÉDÉRAL, IL FAUT ÊTRE PATIENT Une réponse qui arrive… deux enfants plus tard


En novembre der­nier, la Gen­dar­me­rie royale du Canada (GRC) m’a enfin envoyé la réponse à une demande for­mu­lée… le 16 jan­vier 2017. Je cher­chais alors à obte­nir des détails sur les inci­dents rela­tifs à la sécu­rité ou les poten­tielles intru­sions sur­ve­nues à la rési­dence du pre­mier ministre Jus­tin Tru­deau à Ottawa, Rideau Cot­tage.


Avant que la réponse à cette demande – pas la plus com­plexe d’entre toutes – arrive jusqu’à moi, j’ai eu le temps de mettre au monde deux magni­fiques enfants, dont l’aînée a main­te­nant six ans.


Avant que la réponse à cette demande – pas la plus com­plexe d’entre toutes – arrive jusqu’à moi, j’ai eu le temps de mettre au monde deux magni­fiques enfants, dont l’aînée a main­te­nant six ans.


La GRC avait-elle égaré ma demande pour que le délai soit si long ? Même pas, m’a répondu le corps poli­cier, dont les nom­breuses lacunes en matière d’accès à l’infor­ma­tion ont été sou­le­vées par la com­mis­saire à l’infor­ma­tion en 2020.


« Suite aux efforts de moder­ni­sa­tion, le nombre de vieux dos­siers en souf­france dimi­nue jour après jour », m’a indi­qué la porte-parole de la GRC, Marie-Eve Bre­ton. À ce jour, il res­te­rait envi­ron 50 demandes d’accès à l’infor­ma­tion datant de 2017 encore actives et « bien­tôt ter­mi­nées ».


« Suite aux efforts de moder­ni­sa­tion, le nombre de vieux dos­siers en souf­france dimi­nue jour après jour », m’a indi­qué la porte-parole de la GRC, Marie-Eve Bre­ton. À ce jour, il res­te­rait envi­ron 50 demandes d’accès à l’infor­ma­tion datant de 2017 encore actives et « bien­tôt ter­mi­nées ».


Est-ce que l’attente en valait le coup, presque sept ans plus tard ? Non. Les quelques échanges de cour­riels reçus n’ont pas donné suite à un article.


- Sarah-Maude Lefebvre


Du bri­co­lage pour lire un docu­ment


En août 2021, j’ai demandé à la Société cana­dienne d’hypo­thèques et de loge­ments (SCHL) une liste de tous les pro­jets de loge­ments abor­dables finan­cés par le gou­ver­ne­ment fédé­ral.


En août 2021, j’ai demandé à la Société cana­dienne d’hypo­thèques et de loge­ments (SCHL) une liste de tous les pro­jets de loge­ments abor­dables finan­cés par le gou­ver­ne­ment fédé­ral.


Le but était de savoir où allait l’argent des contri­buables et si les mil­liards inves­tis débou­chaient vrai­ment sur des construc­tions. Une ques­tion hau­te­ment per­ti­nente en cette époque de crise du loge­ment.


Le but était de savoir où allait l’argent des contri­buables et si les mil­liards inves­tis débou­chaient vrai­ment sur des construc­tions. Une ques­tion hau­te­ment per­ti­nente en cette époque de crise du loge­ment.


Le but était de savoir où allait l’argent des contri­buables et si les mil­liards inves­tis débou­chaient vrai­ment sur des construc­tions. Une ques­tion hau­te­ment per­ti­nente en cette époque de crise du loge­ment.


Bien que j’aie pré­cisé que je sou­hai­tais avoir le docu­ment sous forme élec­tro­nique, la SCHL m’a fait par­ve­nir par la poste 361 pages impri­mées com­plè­te­ment inuti­li­sables.


Comme il s’agis­sait au départ de deux clas­seurs Excel, les infor­ma­tions sur un même pro­jet de loge­ments étaient répar­ties sur plu­sieurs pages.


Pour ten­ter de réunir les infor­ma­tions, et ne serait-ce que lire le tableau, j’ai dû col­ler les pages avec du ruban adhé­sif. Mais comme elles avaient été impri­mées en mode recto verso, les infor­ma­tions du verso ne concor­daient évi­dem­ment pas ou se trou­vaient à l’envers.


Comble de mal­heur, le nom de tous les pro­mo­teurs pri­vés béné­fi­ciant d’argent public avait été caviardé.


- Domi­nique Cam­bron-Gou­let


Radio-Canada couvre les cachets de ses confé­ren­ciers


En novembre 2022, Radio-Canada a invité l’humo­riste P.O. For­get à se payer la tête des 400 cadres du ser­vice français réunis pour son évé­ne­ment cor­po­ra­tif annuel, bap­tisé le RC3.


Devant cette assem­blée, l’humo­riste a affirmé que le cachet donné « à un inconnu pour par­ler de manière arro­gante du tra­vail témoigne d’une décon­nexion alar­mante par rap­port à la valeur du tra­vail ». On l’a trouvé bien drôle, mais on s’est aussi posé quelques ques­tions. À com­bien s’éle­vait le cachet de l’humo­riste ? Et celui des autres confé­ren­ciers, notam­ment des vedettes de la mai­son, Rebecca Makon­nen, Alec Cas­ton­guay et France Beau­doin ? Et les coûts totaux du RC3 ?


Le Jour­nal a trans­mis une demande d’accès à l’infor­ma­tion sur les coûts de l’évé­ne­ment à la fin février 2023.


Le Jour­nal a trans­mis une demande d’accès à l’infor­ma­tion sur les coûts de l’évé­ne­ment à la fin février 2023.


La réponse est venue deux mois plus tard. Dans sa lettre et son docu­ment d’une dizaine de pages, Radio-Canada a dévoilé les frais totaux des dépla­ce­ments des par­ti­ci­pants pour la jour­née, soit 33 287,47 $.


La société d’État a tou­te­fois mas­qué les mon­tants remis aux confé­ren­ciers, sous pré­texte que leur dévoi­le­ment pour­rait « nuire aux tiers visés » et « entra­ver des négo­cia­tions contrac­tuelles futures ».


Pour­tant, le seul droit « entravé » ici, c’est celui de l’accès aux mon­tants réels remis aux confé­ren­ciers. Quand le cachet d’un humo­riste devient un secret d’État, le public a toutes les rai­sons de ne pas la trou­ver drôle.


- Danny Vear


Une demande tou­jours en trai­te­ment deux ans plus tard


En 20 ans de car­rière, j’ai sou­vent consi­déré que je per­dais mon temps avec la Loi sur l’accès à l’infor­ma­tion. L’exemple le plus élo­quent s’est pro­duit en avril 2013.


Je sou­hai­tais obte­nir des docu­ments de Trans­ports Canada conte­nant des ren­sei­gne­ments impor­tants concer­nant une com­pa­gnie de trans­port aérien.


Cinq semaines après la demande ini­tiale, l’orga­nisme a uti­lisé la pro­ro­ga­tion pré­vue à la loi, soit un délai de 60 jours.


Après plus de cinq mois, le résul­tat repo­sait sur deux pages et trois para­graphes inutiles.


Il y avait, entre autres, un cour­riel ano­nyme de 25 mots que Trans­port Canada, un orga­nisme public, consi­dé­rait comme un docu­ment offi­ciel.


Esti­mant alors que je n’obtien­drais rien de solide, j’ai tout de même publié mon repor­tage en uti­li­sant d’autres sources.


Un peu pour tes­ter le sys­tème, j’ai tou­te­fois déposé une plainte offi­cielle concer­nant ma demande.


Un peu pour tes­ter le sys­tème, j’ai tou­te­fois déposé une plainte offi­cielle concer­nant ma demande.


Incroyable, mais vrai, plus de deux ans après la publi­ca­tion de mon article, mon dos­sier de plainte che­mi­nait tou­jours et je rece­vais encore des demandes de pré­ci­sions ou des détails admi­nis­tra­tifs.


Un repor­tage sur l’absur­dité de la situa­tion aurait été très per­ti­nent à l’époque.


- Jean-François Racine


La défense natio­nale ne donne plus signe de vie


Après avoir reçu des signa­le­ments ano­nymes concer­nant le com­por­te­ment inadé­quat d’un lieu­te­nant-colo­nel des Vol­ti­geurs de Qué­bec,


nous avons fait une demande d’accès à l’infor­ma­tion auprès du Dépar­te­ment de la défense natio­nale du Canada, en juillet 2023.


Il s’agis­sait entre autres de savoir si des signa­le­ments ou des plaintes avaient été offi­ciel­le­ment dépo­sés concer­nant l’indi­vidu en ques­tion et si des mesures dis­ci­pli­naires avaient été prises.


Il s’agis­sait entre autres de savoir si des signa­le­ments ou des plaintes avaient été offi­ciel­le­ment dépo­sés concer­nant l’indi­vidu en ques­tion et si des mesures dis­ci­pli­naires avaient été prises.


Selon nos sources, les agis­se­ments du lieu­te­nant-colo­nel met­taient à mal la sécu­rité de plu­sieurs membres des Forces armées cana­diennes sur le ter­rain, d’où l’inté­rêt public de la demande.


Après une pre­mière réponse sti­pu­lant que « tous les ren­sei­gne­ments per­son­nels seront rete­nus » dans la requête, sui­vie d’un accusé de récep­tion, le Dépar­te­ment de la défense natio­nale du Canada n’a plus donné signe de vie.


Et ce, mal­gré deux demandes de suivi de la part du Jour­nal, après quelques mois. Notre requête aurait dû obte­nir une réponse favo­rable étant donné que les infor­ma­tions deman­dées ne fai­saient par­tie d’aucune exemp­tion pré­vue à la Loi de l’accès à l’infor­ma­tion.


- Jérémy Ber­nier


La troi­sième fois a été la bonne pour en savoir plus sur les fraudes à la PCU


Pour un repor­tage sur les fraudes internes liées à la Pres­ta­tion cana­dienne d’urgence (PCU), nous avions dû rédi­ger pas une, pas deux, mais plu­tôt trois demandes d’accès à l’infor­ma­tion à Emploi et Déve­lop­pe­ment social Canada (EDSC).


Dans les deux pre­mières demandes, nous sou­hai­tions obte­nir une confir­ma­tion que des fonc­tion­naires de Ser­vice Canada avaient fraudé le sys­tème de la PCU au plus fort de la pan­dé­mie.


Selon nos sources, plu­sieurs employés avaient été congé­diés pour des mal­ver­sa­tions. C’est donc avec sur­prise que nous avons lu les réponses nous infor­mant que les res­pon­sables de l’accès à l’infor­ma­tion d’EDSC n’avaient rien trouvé en lien avec notre requête.


C’est donc après une troi­sième demande d’accès à l’infor­ma­tion, dans laquelle nous sou­hai­tions obte­nir toutes les conver­sa­tions, cour­riels, mémos ou docu­ments échan­gés à l’interne au sujet de nos deux pre­mières demandes, que nous avons obtenu réponse à nos ques­tions.


C’est donc après une troi­sième demande d’accès à l’infor­ma­tion, dans laquelle nous sou­hai­tions obte­nir toutes les conver­sa­tions, cour­riels, mémos ou docu­ments échan­gés à l’interne au sujet de nos deux pre­mières demandes, que nous avons obtenu réponse à nos ques­tions.


Parmi une dizaine de cour­riels entre fonc­tion­naires, un docu­ment rem­pli par le direc­teur géné­ral de l’inté­grité interne et de la sécu­rité était dis­si­mulé, la note men­tion­nait le congé­die­ment de 44 employés ainsi que les moyens uti­li­sés pour recou­vrer l’argent volé.


- Nico­las Bras­seur


Triste obs­cu­rité à pro­pos des mil­liards cachés en Suisse


Dans la fou­lée d’un article rédigé en 2017 sur des mil­liards de dol­lars appar­te­nant à de riches Cana­diens qui auraient été cachés à la banque UBS en Suisse, je suis allé ren­con­trer Michael Dagg, une som­mité en recherche d’accès à l’infor­ma­tion de la région d’Ottawa.


Ce der­nier m’a exprimé sa frus­tra­tion à obte­nir des ren­sei­gne­ments sur ce dos­sier émi­nem­ment sen­sible par la voie d’accès à l’infor­ma­tion.


Pour­tant, l’inté­rêt public de cette affaire était bien éta­bli. C’est un ancien ministre des Finances conser­va­teur qui diri­geait la banque UBS à l’époque du scan­dale allé­gué.


Pour­tant, l’inté­rêt public de cette affaire était bien éta­bli. C’est un ancien ministre des Finances conser­va­teur qui diri­geait la banque UBS à l’époque du scan­dale allé­gué.


J’avais aussi recueilli les confes­sions de l’ancien ministre du Revenu, Jean-Pierre Black­burn. Il avait dit ne pas s’être fait don­ner le man­dat de s’occu­per de l’éva­sion fis­cale off­shore, contrai­re­ment à des décla­ra­tions publiques anté­rieures.


Michael Dagg m’a remis des demandes d’accès à l’infor­ma­tion datant de 2015 selon les­quelles le minis­tère de la Jus­tice n’avait aucun docu­ment à ce sujet.


Pour­tant, nos infor­ma­tions vou­laient que des com­mu­ni­ca­tions aient bien eu lieu. On avait même le nom d’un fonc­tion­naire fédé­ral poten­tiel­le­ment impli­qué.


Michael Dagg est décédé en 2022 sans que jamais la lumière ne soit faite.


- Jean-François Clou­tier


Longue attente pour avoir une réponse… sur un CD


Longue attente pour avoir une réponse… sur un CD


À mon arri­vée comme chef du Bureau par­le­men­taire à Ottawa en 2021, je rece­vais régu­liè­re­ment du cour­rier concer­nant des demandes d’accès à l’infor­ma­tion for­mu­lées par celle qui occu­pait le poste avant moi.


Cer­taines de ces demandes avaient été faites trois ans, voire quatre ans aupa­ra­vant.


L’objet des demandes, sou­vent très pré­cis, perd tout son inté­rêt après d’aussi longs délais. Je me rap­pelle avoir consulté un de ces fameux docu­ments, en for­mat CD (un for­mat sou­vent pri­vi­lé­gié au cour­riel), qui conte­nait quelques fichiers en PDF. À sa lec­ture, sans grande sur­prise, l’entiè­reté du texte, à quelques excep­tions près, était caviar­dée.


J’ai aussi reçu au fil des années des appels de fonc­tion­naires pour me deman­der si telle ou telle demande méri­tait d’être pour­sui­vie ou si on pou­vait aban­don­ner le dos­sier puisque, évi­dem­ment, ce n’était plus d’inté­rêt.


- Guillaume St-Pierre


Le Ser­vice cor­rec­tion­nel se mani­feste après cinq ans


Il aura fallu que cinq années passent avant que le Ser­vice cor­rec­tion­nel Canada (SCC) daigne répondre à une demande d’accès à l’infor­ma­tion concer­nant l’éva­sion du Hells Angels René Char­le­bois, en sep­tembre 2013.


Il s’était fina­le­ment sui­cidé après quelques jours de cavale, non sans avoir fait tom­ber un sur­pre­nant col­la­bo­ra­teur, le poli­cier ripou Benoit Roberge, qui avait retourné sa veste afin de vendre des élé­ments d’enquête aux motards.


Quelques mois après cette saga, nous avons voulu obte­nir auprès du SCC « tout docu­ment, incluant rap­ports, études, cour­riels en lien avec cette éva­sion ».


Notre demande est res­tée sans réponse jusqu’à la fin 2019.


Dans un souci d’essayer de « régler [leurs] dos­siers en retard », l’orga­ni­sa­tion fédé­rale vou­lait s’assu­rer que nous étions tou­jours inté­res­sés à rece­voir les docu­ments deman­dés.


Dans un souci d’essayer de « régler [leurs] dos­siers en retard », l’orga­ni­sa­tion fédé­rale vou­lait s’assu­rer que nous étions tou­jours inté­res­sés à rece­voir les docu­ments deman­dés.


Après avoir répondu par l’affir­ma­tive, nous avons eu des nou­velles du SCC neuf mois plus tard, en août 2020. Sur le docu­ment de 3350 pages, seule­ment 27 ont été par­ta­gées et se sont avé­rées peu per­ti­nentes.


- Valé­rie Gon­thier


LA GRANDE NOIRCEUR À QUÉBEC Qué­bec inves­tit des mil­liards, mais n’est pas trans­pa­rent


« Au Qué­bec, on parle de jusqu’à 30 G$ d’inves­tis­se­ment dans la filière bat­te­rie. Il y en a déjà 15 G$ de fait », s’est féli­cité en sep­tembre der­nier le pre­mier ministre du Qué­bec, François Legault. De ce mon­tant, des mil­liards de dol­lars vien­dront de nos poches.


Mais quand vient le temps d’expo­ser les risques aux contri­buables, le gou­ver­ne­ment est moins pressé. En juin 2022, Le Jour­nal a demandé au minis­tère de l’Éco­no­mie les docu­ments des deux der­nières années por­tant sur les risques liés à la filière bat­te­rie, mais on a refusé de nous les four­nir, en ren­voyant la balle à Inves­tis­se­ment Qué­bec (IQ), qui n’a pas voulu non plus les trans­mettre.


Mais quand vient le temps d’expo­ser les risques aux contri­buables, le gou­ver­ne­ment est moins pressé. En juin 2022, Le Jour­nal a demandé au minis­tère de l’Éco­no­mie les docu­ments des deux der­nières années por­tant sur les risques liés à la filière bat­te­rie, mais on a refusé de nous les four­nir, en ren­voyant la balle à Inves­tis­se­ment Qué­bec (IQ), qui n’a pas voulu non plus les trans­mettre.


Le Jour­nal a alors contesté cette déci­sion et a fini par avoir un docu­ment caviardé de Hatch por­tant sur le nickel, un an plus tard.


- Fran­cis Halin


De mul­tiples reports au sujet des tra­ver­siers


Le 2 décembre 2020, je pré­sente des demandes pour obte­nir deux rap­ports sur les pro­blèmes liés à la construc­tion des deux tra­ver­siers de Tadous­sac. Un des docu­ments a été rédigé trois ans plus tôt par la firme Fisher Mari­time, et un autre pro­vient de PWC.


Le minis­tère des Trans­ports du Qué­bec (MTQ) refuse, tout comme la Société des tra­ver­siers du Qué­bec (STQ).


Le 10 février sui­vant, je fais une demande de révi­sion auprès de la Com­mis­sion d’accès à l’infor­ma­tion. En avril, la Com­mis­sion man­date un avo­cat pour pro­po­ser une média­tion. Un an plus tard, la STQ avise qu’elle ne veut pas de média­tion. Il y aura donc une audi­tion le 25 mai 2022. En fait, non, des avo­cats de la STQ n’étant pas dis­po­nibles à cette date, l’audi­tion est repor­tée au 12 sep­tembre.


Le 10 février sui­vant, je fais une demande de révi­sion auprès de la Com­mis­sion d’accès à l’infor­ma­tion. En avril, la Com­mis­sion man­date un avo­cat pour pro­po­ser une média­tion. Un an plus tard, la STQ avise qu’elle ne veut pas de média­tion. Il y aura donc une audi­tion le 25 mai 2022. En fait, non, des avo­cats de la STQ n’étant pas dis­po­nibles à cette date, l’audi­tion est repor­tée au 12 sep­tembre.


On manque de temps, une autre audience est fixée au 30 jan­vier 2023. Une sub­sti­tu­tion d’avo­cat de côté de Qué­be­cor entraîne un nou­veau report au 26 avril.


Fina­le­ment, le 2 août 2023, le com­mis­saire accepte de rendre publiques les 12 pre­mières pages du rap­port Fisher, limi­tant le caviar­dage à sept para­graphes. Pro­tégé par le secret pro­fes­sion­nel du comp­table agréé, l’accès au rap­port PWC est refusé.


J’obtiens fina­le­ment les extraits le 31 août 2023.


Mys­tère sur les dépenses par cartes de cré­dit des fonc­tion­naires


Dans le cadre d’un dos­sier sur les dépenses des orga­nismes publics, nous avons demandé aux minis­tères, aux socié­tés d’État et à cer­taines villes toutes leurs tran­sac­tions par cartes de cré­dit pour une période don­née.


Si l’exer­cice a plu­tôt bien fonc­tionné pour les villes, la grande majo­rité des minis­tères et socié­tés d’État que nous avons contac­tés ont refusé de nous trans­mettre les don­nées.


Dans cer­tains cas, ils ont envoyé des don­nées par­tielles ou som­maires. Les res­pon­sables de l’accès à l’infor­ma­tion pré­tex­taient qu’il leur fau­drait cal­cu­ler, com­pi­ler ou créer un fichier afin de répondre à notre demande.


Or, si l’orga­nisme en ques­tion ne pos­sé­dait pas de base de don­nées sur leurs dépenses, les rele­vés de cartes de cré­dit, eux, sont faci­le­ment acces­sibles en ligne auprès d’une ins­ti­tu­tion finan­cière.


Ces demandes d’accès à l’infor­ma­tion sont néces­saires et per­mettent de véri­fier que les élus ou fonc­tion­naires ne dépensent pas les fonds publics à leur guise. - Nico­las Bras­seur


Ces demandes d’accès à l’infor­ma­tion sont néces­saires et per­mettent de véri­fier que les élus ou fonc­tion­naires ne dépensent pas les fonds publics à leur guise. - Nico­las Bras­seur


L’éner­gie éolienne, ce n’est pas de vos affaires


Dif­fi­cile de trou­ver un sujet plus d’inté­rêt public que l’appro­vi­sion­ne­ment du Qué­bec en élec­tri­cité propre.


En août der­nier, le minis­tère de l’Éco­no­mie a demandé à une firme-conseil d’ana­ly­ser et de pro­po­ser dif­fé­rents modèles d’affaires pour pro­lon­ger cer­tains contrats de pro­duc­tion d’élec­tri­cité éolienne.


L’orga­nisme public a cepen­dant cru per­ti­nent de caviar­der entiè­re­ment l’annexe E du contrat, qui conte­nait sur cinq pages la des­crip­tion des ser­vices requis à la firme pri­vée.


Pour jus­ti­fier cette déci­sion, le minis­tère de Pierre Fitz­gib­bon allègue notam­ment que la publi­ca­tion de cette infor­ma­tion équi­vau­drait à « com­mu­ni­quer le secret indus­triel d’un tiers ou un ren­sei­gne­ment indus­triel, finan­cier, com­mer­cial, scien­ti­fique, tech­nique ou syn­di­cal de nature confi­den­tielle ».


Pour jus­ti­fier cette déci­sion, le minis­tère de Pierre Fitz­gib­bon allègue notam­ment que la publi­ca­tion de cette infor­ma­tion équi­vau­drait à « com­mu­ni­quer le secret indus­triel d’un tiers ou un ren­sei­gne­ment indus­triel, finan­cier, com­mer­cial, scien­ti­fique, tech­nique ou syn­di­cal de nature confi­den­tielle ».


D’autres docu­ments – sans qu’on en pré­cise le nombre – en lien avec ce contrat ont car­ré­ment été inter­dits d’accès, cette fois parce qu’ils contiennent « des infor­ma­tions ayant des inci­dences sur l’éco­no­mie ou des déci­sions admi­nis­tra­tives ». - Pas­cal Dugas-Bour­don


Trans­pa­rence « élec­tri­sante » dans le dos­sier Nor­th­volt


Nous vou­lions obte­nir les docu­ments détaillant l’appro­ba­tion des 200 mil­lions $ inves­tis par la Caisse de dépôt et pla­ce­ment dans Nor­th­volt. Refusé.


Les échanges entre Nor­th­volt et Hydro-Qué­bec. Refusé.


La conven­tion de prêt conclue entre Inves­tis­se­ment Qué­bec et Nor­th­volt. Refusé.


Hor­mis les docu­ments que le gou­ver­ne­ment et l’entre­prise veulent bien four­nir aux jour­na­listes, il est dif­fi­cile d’en savoir plus.


« Nor­th­volt ne dévoile pas la nature de ses ententes com­mer­ciales », a répondu l’entre­prise quand Le Jour­nal a voulu savoir à com­bien s’éle­vait la fac­ture pour cou­per près de 9000 arbres sur le ter­rain de sa future méga-usine. – Fran­cis Halin


Les cachot­te­ries de la Caisse de dépôt sur ses salaires


Notre demande à la Caisse de dépôt était simple : parmi vos 1600 employés, com­bien gagnent 200 000 $ ou plus par année ?


Après tout, la rému­né­ra­tion moyenne des sala­riés de l’ins­ti­tu­tion a for­te­ment pro­gressé dans les der­nières années et dépasse main­te­nant les 300 000 $.


Hydro-Qué­bec n’a pas eu de mal à répondre à cette ques­tion, mais pour la Caisse, c’était impos­sible !


« Nous n’avons pas de docu­ment qui réponde à votre demande », nous a-ton écrit. Si elle divul­guait le nombre de ses hauts sala­riés, la Caisse se pla­ce­rait « dans une posi­tion de vul­né­ra­bi­lité dans le mar­ché par rap­port à ses com­pé­ti­teurs », a-t-elle sou­tenu. - Syl­vain Larocque


« Nous n’avons pas de docu­ment qui réponde à votre demande », nous a-ton écrit. Si elle divul­guait le nombre de ses hauts sala­riés, la Caisse se pla­ce­rait « dans une posi­tion de vul­né­ra­bi­lité dans le mar­ché par rap­port à ses com­pé­ti­teurs », a-t-elle sou­tenu. - Syl­vain Larocque


Hydro-Qué­bec muette sur l’argent versé à Mar­tin St-Louis


L’automne der­nier, Hydro­Qué­bec a attiré l’atten­tion avec une cam­pagne de publi­cité met­tant en vedette l’entraî­neur-chef du Cana­dien, Mar­tin St-Louis.


Celui-ci expli­quait la tran­si­tion éner­gé­tique en affir­mant qu’il faut que « tout le monde joue sa game, dans la game ».


Com­bien la société d’État a-t-elle versé à M. St-Louis pour ce coup d’éclat ? Impos­sible de le savoir pré­ci­sé­ment. Tout ce qu’Hydro a voulu dire, c’est que la cam­pagne a coûté 2,39 mil­lions $ en tout, dont 1,09 mil­lion $ pour sa concep­tion et sa pro­duc­tion.


La divul­ga­tion du cachet versé à l’ancien joueur « ris­que­rait vrai­sem­bla­ble­ment de cau­ser une perte à notre orga­nisme et de nuire de façon sub­stan­tielle à notre com­pé­ti­ti­vité et à celle de notre four­nis­seur [l’agence de publi­cité LG2] et à l’entre­prise de M. St-Louis », nous a-t-on répondu. – David Des­cô­teaux


La divul­ga­tion du cachet versé à l’ancien joueur « ris­que­rait vrai­sem­bla­ble­ment de cau­ser une perte à notre orga­nisme et de nuire de façon sub­stan­tielle à notre com­pé­ti­ti­vité et à celle de notre four­nis­seur [l’agence de publi­cité LG2] et à l’entre­prise de M. St-Louis », nous a-t-on répondu. – David Des­cô­teaux


Qué­bec se contente de demi-réponses sur la COP28


Notre bureau par­le­men­taire révé­lait l’automne der­nier que Qué­bec avait la plus grosse délé­ga­tion cana­dienne à la COP28 cette année à Dubaï, soit 130 per­sonnes.


Le Jour­nal a alors fait une demande média auprès des minis­tères de L’Envi­ron­ne­ment et de l’Éner­gie afin d’obte­nir la liste de toutes les per­sonnes qui accom­pa­gnaient les ministres. Ils nous ont ren­voyés au minis­tère des Rela­tions inter­na­tio­nales, qui s’occupe des mis­sions et du pro­to­cole.


Le MRI nous a fina­le­ment demandé de faire une demande d’accès à l’infor­ma­tion. « Après véri­fi­ca­tion, il vous faut faire une demande d’accès à l’infor­ma­tion afin d’obte­nir la liste com­plète de la délé­ga­tion qui sera sur place pour le COP28 à Dubaï. »


Un mois plus tard, le MRI a répondu par­tiel­le­ment à notre demande, révé­lant la liste de trois élus, deux employés de cabi­net, six fonc­tion­naires et huit employés d’Inves­tis­se­ment Qué­bec. Seule­ment 19 per­sonnes sur les 130 per­sonnes de la délé­ga­tion.


Pour obte­nir le reste de la liste, le minis­tère des Rela­tions inter­na­tio­nales signale, fina­le­ment, que cette demande d’accès relè­ve­rait de la com­pé­tence d’autres orga­nismes… soit le minis­tère de l’Envi­ron­ne­ment et celui de l’Éner­gie. - Nico­las Lachance


Chaque minis­tère inter­prète la loi à sa façon


Un des plus gros pro­blèmes avec la Loi sur l’accès aux docu­ments des orga­nismes publics, c’est l’inter­pré­ta­tion très variable qu’en font les dif­fé­rents minis­tères et orga­nismes.


Il y a quelques années, nous avions posé la même ques­tion à 19 orga­nismes et réa­lisé que per­sonne ne répon­dait de la même façon.


C’était concer­nant le coût des consul­tants pri­vés en infor­ma­tique. Le gou­ver­ne­ment venait de dénon­cer publi­que­ment que le Qué­bec dépen­dait trop du privé dans ce domaine.


Le minis­tère des Res­sources natu­relles avait été le pre­mier à répondre de façon claire et trans­pa­rente, puis nous avions fait un repor­tage sur leur dépen­dance à l’égard du privé.


Mais la majo­rité des autres orga­nismes ou minis­tères, soit 11 sur 19, ne ris­quaient pas d’être écor­chés de la sorte : ils ont sim­ple­ment refusé de répondre à la ques­tion.


Cha­cun a inter­prété la loi à sa façon.


Parmi les motifs invo­qués pour jus­ti­fier leur refus, les minis­tères écri­vaient qu’ils ne dis­po­saient pas de l’infor­ma­tion recher­chée ou même… qu’ils n’avaient pas à la trou­ver.


Pour cer­tains, c’était confi­den­tiel. Pour d’autres, ça ne l’était pas. Bref, on en per­dait notre latin.


Pour cer­tains, c’était confi­den­tiel. Pour d’autres, ça ne l’était pas. Bref, on en per­dait notre latin.


- Jean-Nico­las Blan­chet


Com­bien a coûté le chan­ge­ment de nom de la CNESST ? Mys­tère !


Il y a quelques années, la Com­mis­sion de la santé et de la sécu­rité au tra­vail (CSST) est deve­nue la Com­mis­sion des normes, de l’équité, de la santé et de la sécu­rité du tra­vail (CNESST).


Nous vou­lions savoir com­bien avait coûté ce chan­ge­ment de nom. C’est gros quand même.


Les affiches, les cour­riels, les entêtes, la pape­rasse, la signa­li­sa­tion, etc.


La réponse que nous avons reçue des rela­tions médias de l’orga­nisme : 64 505 $.


Cela nous appa­rais­sait bien peu. Nous sommes donc pas­sés par la loi en fai­sant une demande d’accès à l’infor­ma­tion en bonne et due forme.


Après un mois d’attente, nous avons été infor­més que nous n’allions pas avoir de réponse.


On nous a indi­qué que tout le bud­get a été inté­gré dans des dépenses cou­rantes et qu’ainsi, le public n’avait pas à le savoir.


C’était la pre­mière fois que je voyais une réponse de la sorte. Comme si un orga­nisme n’avait pas à jus­ti­fier les coûts d’une dépense à condi­tion qu’elle res­pecte son bud­get glo­bal annuel. - Jean-Nico­las Blan­chet


Le bureau de François Legault cache même l’opi­nion des Qué­bé­cois


Le bureau du pre­mier ministre François Legault a dépensé près de 90 000 $ pour connaître l’opi­nion des Qué­bé­cois, l’an der­nier. Mais les conclu­sions de cer­tains coups de sonde demeu­re­ront secrètes, mal­gré leur impact impor­tant sur les déci­sions du gou­ver­ne­ment.


En août der­nier, notre Bureau par­le­men­taire a demandé les « résul­tats des son­dages menés par le minis­tère du Conseil exé­cu­tif » depuis un an.


En août der­nier, notre Bureau par­le­men­taire a demandé les « résul­tats des son­dages menés par le minis­tère du Conseil exé­cu­tif » depuis un an.


En retour, le minis­tère a par­tagé les rap­ports d’éva­lua­tion de deux cam­pagnes de sen­si­bi­li­sa­tion (vio­lence conju­gale et nations autoch­tones), mais a refusé de dévoi­ler les don­nées récol­tées dans le cadre des autres son­dages menés avec des fonds publics.


Pour jus­ti­fier son refus, le minis­tère de François Legault a prin­ci­pa­le­ment invo­qué les articles 37 et 39 de la loi d’accès.


Le pre­mier per­met de conser­ver secrets les avis et recom­man­da­tions d’un consul­tant pen­dant 10 ans.


Le second applique un délai simi­laire de cinq ans pour les ana­lyses pro­duites dans le cadre d’un pro­ces­sus déci­sion­nel. - Patrick Bel­le­rose


MAUVAIS BULLETIN EN ÉDUCATION ET EN SANTÉ Des dizaines de centres de ser­vices sco­laires res­tent silen­cieux


L’automne der­nier, Le Jour­nal a voulu connaître le nombre d’ensei­gnants qui ont démis­sionné dans les écoles qué­bé­coises publiques au cours des cinq der­nières années, une don­née qui n’est pas com­pi­lée par le minis­tère de l’Édu­ca­tion.


Pour avoir l’heure juste, il a donc fallu faire une demande d’accès à l’infor­ma­tion dans cha­cun des 72 centres de ser­vices sco­laires de la pro­vince.


Or, seule­ment 44 d’entre eux ont répondu à notre demande, un taux de réponse qui est d’ailleurs loin d’être une excep­tion.


Il arrive assez régu­liè­re­ment que nos jour­na­listes fassent ce type de demandes dans tous les centres de ser­vices sco­laires et, règle géné­rale, au moins une ving­taine d’orga­ni­sa­tions ignorent com­plè­te­ment nos demandes, même si elles sont léga­le­ment tenues d’y répondre. -Daph­née­Dion-Viens


Vous ne connaî­trez pas les pro­blèmes en santé


Lan­cée en 2020, l’ini­tia­tive « On vous écoute » devait annon­cer la fin de l’omerta dans le réseau de la santé. La ministre de l’époque, Danielle McCann, invi­tait les employés à écrire des cour­riels pour dénon­cer les pro­blèmes au plus fort de la pan­dé­mie.


Lan­cée en 2020, l’ini­tia­tive « On vous écoute » devait annon­cer la fin de l’omerta dans le réseau de la santé. La ministre de l’époque, Danielle McCann, invi­tait les employés à écrire des cour­riels pour dénon­cer les pro­blèmes au plus fort de la pan­dé­mie.


« On vous écoute » a été très popu­laire : le minis­tère a reçu plus de 5000 cour­riels.


Mais quand Le Jour­nal a demandé à les obte­nir par l’accès à l’infor­ma­tion, la demande a été refu­sée étant jugée trop volu­mi­neuse.


Après des mois de déli­bé­ra­tions entre nos avo­cats et ceux du minis­tère de la Santé, nous avons pu mettre la main sur un mince échan­tillon de 550 cour­riels, les 275 pre­miers et les 275 der­niers.


Cepen­dant, la majo­rité des échanges étaient si lour­de­ment caviar­dés qu’il était impos­sible de savoir ce qui avait plombé le réseau pen­dant la crise sani­taire. - Hugo Duchaine


Une demande d’accès contre mon gré


En octobre der­nier, j’ai posé une ques­tion plu­tôt simple au ser­vice des com­mu­ni­ca­tions du Centre de ser­vices sco­laire des Hautes-Rivières. Je vou­lais obte­nir la liste des per­sonnes qui ont siégé au conseil d’éta­blis­se­ment de l’école secon­daire Mar­gue­rite-Bour­geoys entre 2002 et 2004 ainsi que la liste des pré­si­dents et des com­mis­saires à la Com­mis­sion sco­laire des Hautes-Rivières entre 2002 et 2004.


Plu­tôt que de me répondre, le ser­vice des com­mu­ni­ca­tions a alors pris l’ini­tia­tive de trans­for­mer ma requête en demande d’accès à l’infor­ma­tion, avec tous les délais sup­plé­men­taires que cela implique. C’est jus­te­ment ce que je vou­lais évi­ter en m’adres­sant au ser­vice des com­mu­ni­ca­tions.


Ça m’est arrivé à plu­sieurs reprises aussi quand j’ai demandé à des centres de ser­vices sco­laires le nombre d’armes sai­sies dans les écoles.


Cer­tains CSS m’ont répondu par le tru­che­ment de leur ser­vice des com­mu­ni­ca­tions, d’autres m’ont trans­féré direc­te­ment à l’accès à l’infor­ma­tion. Cer­tains n’étaient pas capables de me don­ner ces chiffres. - Erika Aubin


Cer­tains CSS m’ont répondu par le tru­che­ment de leur ser­vice des com­mu­ni­ca­tions, d’autres m’ont trans­féré direc­te­ment à l’accès à l’infor­ma­tion. Cer­tains n’étaient pas capables de me don­ner ces chiffres. - Erika Aubin


Un CIUSSS nous réclame 629,83 $ pour envoyer des docu­ments


À l’automne 2022, j’ai reçu une réponse à une demande d’accès de la part du CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Mont­réal, où on m’indi­quait qu’on allait me fac­tu­rer un mon­tant d’argent pour m’envoyer des docu­ments.


La fac­ture s’éle­vait à 629,83 $, mais j’ai décidé de deman­der moins de docu­ments pour fina­le­ment faire bais­ser cette note à 239,87 $.


Il est vrai que les orga­nismes publics ont le droit d’exi­ger cer­tains frais, par exemple pour la repro­duc­tion de docu­ments qu’ils veulent trans­mettre.


Mais je fais des demandes d’accès à l’infor­ma­tion depuis plus de 15 ans et je ne me sou­viens pas d’une autre orga­ni­sa­tion, outre ce CIUSSS, qui a voulu me faire payer pour m’envoyer des docu­ments.


Mais je fais des demandes d’accès à l’infor­ma­tion depuis plus de 15 ans et je ne me sou­viens pas d’une autre orga­ni­sa­tion, outre ce CIUSSS, qui a voulu me faire payer pour m’envoyer des docu­ments.


À l’époque des pho­to­co­pies ou du reco­piage de texte, exi­ger cer­tains frais pou­vait peut-être se jus­ti­fier, mais main­te­nant, à l’ère du numé­rique, c’est incom­pré­hen­sible. Sur­tout que des frais aussi éle­vés consti­tuent une grave entrave au droit du public à l’infor­ma­tion. - Yves Levesque


REF.: pressreader.com

Par la conscience, un champ scalaire particulier peut être généré entre un émetteur et un récepteur en résonance:

 Par la conscience, un champ scalaire particulier peut être généré entre un émetteur et un récepteur en résonance:


-Par: Véronique Rauzy https://www.facebook.com/vero.rauzy

6 octobre 2019

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RÉVÉLONS NOTRE DIMENSION SCALAIRE

Ce que j’appelle notre dimension scalaire est notre positionnement et notre vécu dans le champ unitaire, global.

Le champ scalaire constitue la véritable trame, le champ unifié de l’Univers où toutes les parts sont en résonance harmonique et en interdépendance. C’est dans ce champ que les organismes vivants interagissent fondamentalement.

On peut comprendre la différence entre le champ duel et le champ unitaire grâce à la compréhension de la différence entre les ondes sinusoïdales et les ondes scalaires, et comment passer des unes aux autres.

La dimension scalaire de l’humain est le résultat du changement, de la bascule dans le nouveau paradigme, avec tous les potentiels qui se manifestent. 

Honorons et révélons notre dimension scalaire, ce qui ouvre nos potentiels génétiques et cérébraux, nous permet de nous harmoniser, nous-même et notre environnement, de neutraliser la matrice duelle et de nous mettre en syntonisation pour œuvrer ensemble à l’évolution globale.

QU’EST-CE QUE LE CHAMP SCALAIRE ?

Le champ scalaire est là de tous temps : c’est notre bain énergétique vital comme l’eau pour les poissons, mais dans notre logique et dans les recherches scientifiques officielles, il a été laissé à un niveau marginal, inconnu, incompris et sous-développé, au profit de la logique binaire. Nous y sommes mais sans le savoir, car nous croyons être soumis au champ duel uniquement (la « matrice illusoire de séparation »).

Le champ scalaire global est partout. Il est émis par les astres : trous noirs/trous blancs, étoiles, soleil. Il est composé de particules appelées neutrinos, qui traversent la matière « solide » en passant la barrière électronique et pénètrent jusqu’aux noyaux atomiques. 

Ce champ est nourricier et vital : tout être vivant reçoit une partie de sa nourriture (énergie disponible) par ce champ, et ne peut survivre en étant isolé de ce champ trop longtemps (expériences faites sur des animaux et des cosmonautes). Les traditions ont donné des noms à cette énergie nourricière, par exemple le prana, le qi, le vril parlent de cela.

Notre corps reçoit la nourriture scalaire par les mitochondries cellulaires.

En pénétrant les atomes, les neutrinos y laissent de l’énergie. Ainsi la Terre augmenterait sa masse en permanence grâce à l’apport énergétique de neutrinos projetés du cosmos.

Les ondes scalaires sont assimilées aux neutrinos dans la dialectique ondes-particules. Elles ne sont pas limitées par la vitesse de la lumière comme seuil, contrairement aux ondes électromagnétiques sinusoïdales. Elles sont des particules supraluminiques.

Dans le champ scalaire, tous les êtres vivants sont mis en communication, interdépendance, communion et résonance par la trame des ondes scalaires. C’est le champ global unitaire, et le réservoir de l’énergie libre que Tesla cherchait à connecter pour offrir à l’humanité des possibilités de vivre bien sans piller les ressources matérielles de la planète.

L’énergie n’y circule pas de la manière à laquelle on est accoutumé de le croire, par bipolarisation.

Dans le champ scalaire, une onde circulant d’un émetteur vers un récepteur s’enrichit, lors de son trajet, de toutes les harmoniques en résonance qu’elle capte. Elle ne perd pas de puissance mais au contraire génère de l’énergie additionnelle, supplémentaire. La base de l’énergie libre. Elle ne réduit pas l’information mais la synthétise, l’élabore et la globalise par les harmoniques qui s’agglomèrent.

Comment le champ scalaire se constitue-t-il, au niveau physique ? Dans ma compréhension actuelle, de 4 manières.

Pour une 1ère part, depuis l’irruption des tachyons, ondes-particules supraluminiques qui font le relais entre le sans-forme, pure énergie indissociée, et les premières grandes fréquences, à la base du continuum de l’expérience différenciée de l’Univers dans lequel nous vivons (voir mon article sur les tachyons sur le blog Résonne en Cœur pour en découvrir plus sur le sujet). Les tachyons, au passage de la membrane entre le sans-forme et le monde des formes, vont générer des particules de plus en plus grosses jusqu’à former la matière. Une partie des neutrinos/ondes scalaires sont issus de ce processus.

Pour une 2e part, ils sont issus et projetés en très grande quantité par les grands astres de notre galaxie : les trous noirs, les étoiles, jusqu’à nous. Et nous en recevons particulièrement beaucoup lors des temps de minimum solaire, où les barrières solaires sont affaiblies afin de laisser entrer les informations cosmiques plus vastes. 

Pour une 3e part, cela s’étend à tous les êtres vivants : tous les êtres de tous les règnes terrestres : minéral, végétal, animal, humain, sont à la fois des émetteurs et récepteurs des ondes scalaires. Nous en recevons, nous en créons et nous en offrons.

Pour la 4e part, les neutrinos sont issus de la neutralisation d’ondes sinusoïdales entre elles. Deux ondes sinusoïdales de même fréquence, de même amplitude et de phase opposée s’annulent : cela signifie qu’elles disparaissent en tant qu’ondes sinusoïdales. Mais l’énergie qu’elles véhiculaient est réaffectée et réorganisée en ondes scalaires.

On est ici dans la compréhension du phénomène de passage de la dualité à l’unité, de la polarisation attraction/répulsion à la synthèse globale harmonique.

Dans l’immensité des ondes-particules peuplant le « vide apparent », d’innombrables interactions entre ondes sinusoïdales se soldent ainsi par leur neutralisation, la réaffectation des forces et la réorganisation de l’énergie en ondes scalaires longitudinales, notre véritable milieu. La magnitude de l’onde scalaire générée additionne l’amplitude des ondes sinusoïdales neutralisées.

ONDES SCALAIRES ET ONDES SINUSOÏDALES

Les ondes scalaires diffèrent des ondes électromagnétiques sinusoïdales : elles ne composent pas le même champ, mais l’énergie peut se transférer d’une onde sinusoïdale à une onde scalaire et réciproquement.

Les ondes scalaires sont spiralées, elles avancent longitudinalement, comme une flèche projetée, une ligne droite qui tourne en spirale dans un mouvement de vortex.

Les ondes sinusoïdales avancent perpendiculairement à leur direction, en alternant le positif et le négatif. Elles correspondent à la dualité, la bipolarité.

Une onde scalaire impressionne une antenne adaptée pour la recevoir : on peut reconnaître ce type d’antennes à leur onde de forme spiralée. Les ondes scalaires sont des ondes de formes en vortex qui rencontrent des antennes vortex. Dans le corps humain : la double hélice d’ADN, les protéines actives, les empreintes digitales, le limaçon de l'oreille interne, par exemple. Elles ont besoin de la résonance entre un émetteur et un récepteur.

L’onde scalaire n’a pas les mêmes propriétés que l’onde sinusoïdale. L’onde sinusoïdale est une onde de résistance, de rapport de forces et de tension animée par les phénomènes d’attraction/répulsion, symbolisés par l’aimant. C’est une onde de vitesse stable, mais qui perd de la force, de l’énergie et de l’information au fil de son parcours dans l’espace.

L’onde scalaire longitudinale est profilée différemment. Elle s’enroule sur elle-même en spirale et avance en ligne droite, avec très peu de frottements. Le mouvement de spirale crée une dynamique propre qui accueille les harmoniques correspondantes se trouvant dans l’environnement traversé, qui vont enrichir l’onde en force énergétique et en quantité/qualité d’informations véhiculées. Elle croît, s’intensifie en parcourant la distance entre l’émetteur et le récepteur en s’enrichissant d’harmoniques, c’est-à-dire d’ondes plus élaborées, plus complexes, plus riches en information. L’onde scalaire développe et globalise l’information initialement émise au cours de son trajet. Elle est une onde favorisant la cohérence, l’homéostasie et l’évolution du vivant.

PASSAGE DES ONDES SINUSOÏDALES AUX ONDES SCALAIRES

Ce phénomène est essentiel à comprendre pour pouvoir le transposer et le vivre en conscience, au niveau humain. Je l’ai déjà signalé plus haut dans l’article mais je tiens à lui offrir une place à part pour souligner son importance.

Deux ondes sinusoïdales de même fréquence, de même amplitude et de phase opposée s’annulent : cela signifie qu’elles disparaissent en tant qu’ondes sinusoïdales. Mais l’énergie qu’elles véhiculaient ne se perd pas : elle est réaffectée et réorganisée en ondes scalaires.

Cela est, au niveau électromagnétique, comment l’énergie bascule et circule d’un champ à l’autre, du champ duel bipolaire au champ unitaire global.

On retrouve ici ce que j’ai vu dans le schéma du 3-6-9 allié au pattern 1-2-4-8-7-5, avec ce point particulier, à l’intersection des 8∞, portail permettant de passer d’un paradigme à l’autre, du 8∞ reproduction au 9 nouveau (voir l’article correspondant pour plus de détails).

TRANSPOSITION À L’INTERFACE HUMAINE : CONSCIENCE, PRÉSENCE, PUISSANCE

Les ondes scalaires sont composées d’énergie et d’information. Ce sont des ondes porteuses d’information, qui rejoignent ce qui recherche et accepte l’information qu’elles véhiculent.

Elles sont partout et nous avons le pouvoir de les utiliser en Conscience, Présence, Puissance.

Avoir conscience du champ scalaire, s’y positionner en présence décuple sa puissance harmonique par notre engagement.

Les ondes scalaires n’ont rien de magique ni d’inaccessible : tout être humain, comme tout être vivant, est un émetteur et récepteur d’ondes scalaires.

Simplement, en le sachant et en décidant d’honorer et de potentialiser cette capacité, nous pouvons décupler ce champ harmonique : c’est ce que j’appelle « se mettre en présence », en communion avec ce qui est là, et laisser l’énergie Amour, l’information Amour circuler librement.

Les ondes scalaires sont le support de l’autoguérison par la réharmonisation qu’elles permettent. Elles véhiculent l’information rétablissant l’Unité. Quand on se connecte à ce champ nutritif/énergétique et guérisseur, on modifie notre structure.

Les ondes scalaires pénètrent profondément en nous comme dans toute la matière terrestre : elles nous nourrissent énergétiquement et nous informent pour nous maintenir en harmonie avec le vivant, en cohérence avec la globalité. Ce sont des échanges énergétiques et informationnels entre l’être humain et son environnement : le transfert d’infos harmoniques.

Cela permet tout d’abord de se guérir soi-même, si besoin, à tous les niveaux. Les ondes scalaires, supports de tout type d’informations, réharmonisent autant des organes, des systèmes physiques, que des troubles psychiques comme par exemple des addictions ou des dysfonctionnements émotionnels. Pour cela il suffit de « se brancher » sur le champ et d’accueillir la solution synthétique, l’information harmonisatrice qui attend juste qu’on l’accepte et qu’on se positionne correctement pour l’accueillir et la laisser œuvrer dans notre structure.

La compréhension et l’acceptation de vivre notre dimension scalaire nous « solarise », nous hisse à notre place d’astres de feu vivants, nourriciers et interconnectés. Notre Cœur peut enfin révéler ses propriétés conjointes de Soleil et de trou noir/trou blanc.

Dans cette interconnexion, nous œuvrons ensemble pour l’harmonie de tous et du Tout. La dimension scalaire est unitaire, elle dépasse, transmute et sublime la dimension sinusoïdale duelle.

En connectant le champ scalaire avec l’ADN, le réseau astrocytaire du cerveau et la multidimensionnalité, nous activons les potentiels accessibles maintenant.

Voyons maintenant les APPLICATIONS PRATIQUES.

Il existe des dispositifs scalaires à vendre et des thérapeutes proposant des séances scalaires entre des machines qu’ils ont achetées, machines ayant collecté et stocké de l’information considérée comme harmonieuse et la restituant par un système générateur d’ondes scalaires, mais de mon point de vue cela n’est pas nécessaire. Il est important d’apprendre à pêcher plutôt que de se nourrir de la pêche d’un autre et d’en être dépendant. Nous devons activer nos propres connexions scalaires, les honorer et les révéler. C’est notre véritable potentiel en émergence.

ÉVOLUTION PHYSIQUE, GÉNÉTIQUE ET CÉRÉBRALE

Parmi les énormités proférées par la science actuelle, on nous parle de l’ADN poubelle et de nos cerveaux sous-développés quant à leurs potentiels. Quelle arrogance de déclarer que des choses n’existent pas ou n’ont aucune importance, alors que c’est simplement l’observateur qui ne s’est pas positionné correctement ou n’utilise pas le cadre approprié de référence ou les machines adéquates pour procéder à ses mesures !

Ce qui se passe, c’est que ces parts d’ADN ou cérébrales sont actives dans le champ scalaire et pas dans le champ bipolaire étudié par la science conventionnelle, où l’activité scalaire n’est pas prise en compte. Une fois de plus on voit le filtre mental qui restreint la réalité à ses œillères, et rejette le reste.

Voyons un peu les apports de la compréhension du champ scalaire en lien avec nos organismes physiques.

Tous les échanges d’infos harmoniques dans le vivant se font avec les ondes scalaires longitudinales : c’est sur ces fréquences que communiquent nos cellules pour vivre. Le principal résonateur est la double spirale ADN. Chaque organe, chaque cellule a sa propre fréquence, et résonne avec ce qui lui correspond dans son environnement.

Lorsqu’il y a maladie ou dysharmonie, nous pouvons aider l’organisme en souffrance en le reconnectant au champ scalaire dont il est coupé pour une raison ou une autre (blocage, choc, nœud, fuite…). Par exemple : les mains d’un guérisseur génèrent un champ scalaire particulier adapté, connecté au champ scalaire global, unitaire. Il va condenser, concentrer un bain adéquat pour que les infos et l’énergie modifient la manière dont l’énergie vitale circule et ainsi influer sur la réalité. Cela n’est pas un don réservé à quelques-uns, c’est un potentiel existant chez tous les êtres humains, libre à eux de l’honorer et le développer ou pas.

En se connectant au champ scalaire on peut restaurer des informations qui vont résorber des chocs ou régénérer des tissus de manière bien plus rapide et efficace, enlevant parfois jusqu’aux mémoires de choc, par exemple. En se branchant sur l’homéostasie, la dynamique du vivant, on rétablit en nous – ou en canal pour les personnes que l’on aide – les conditions optimales pour que la vie s’épanouisse. Les ondes font des allers-retours de plus en plus élaborés entre les émetteurs/récepteurs jusqu’à rétablir l’homéostasie.

Par la conscience, un champ scalaire particulier peut être généré entre un émetteur et un récepteur en résonance. 

Entre les 2 lobes du cerveau, les 2 hémisphères cérébraux, on peut générer un champ scalaire, qui se trouvera activé dans le réseau astrocytaire du  cortex préfrontal et la glande pinéale. C’est ce qu’on appelle aussi réunir nos polarités, le féminin et le masculin, la raison et l’intuition, le Yin et le Yang, le mariage alchimique, etc. Cette unification est évolutive, nous entraîne dans de nouvelles qualités d’expériences.

Voyons le PROCESSUS DE KUNDALINI : la montée de Kundalini magnétique s’enroule en 2 ondes sinusoïdales jusqu’au cerveau où elles se rejoignent dans la glande pituitaire (3e œil, chakra Ajna). Alors il se produit la rencontre et la neutralisation des deux flux ascendants, de même fréquence, même amplitude et phase opposée. Cela libère une énorme décharge d’énergie qui déclenche l’ouverture coronale, puis 2 phénomènes : d'une part, l'expansion du tore énergétique qui se déploie tout autour de nous pour maintenir notre champ ; d'autre part,  un retour descendant de l’énergie – électrique – qui descend non plus en sinusoïdal mais en longitudinal spiralé. Le processus de Kundalini s’apparente donc à la bascule énergétique de la structure du corps du champ duel vers le champ unitaire.

En ce qui concerne notre ÉVOLUTION ET NOTRE ADAPTATION GÉNÉTIQUES : notre système solaire entre dans l’influence de la CEINTURE DE PHOTONS DES PLÉIADES : L’ANNEAU DE PHOTONS SCALAIRES.

Cette ceinture projette des photons de type scalaire. Cet événement cosmique aura des répercussions considérables sur la vie terrestre, fragile équilibre maintenu viable par l’équilibre des forces élémentaires. Notre défi global est la réussite de cette transition, qui est l’évolution de la Terre dans de nouvelles grilles informationnelles, de nouvelles trames éthériques. 

L’onde scalaire transmet à la fois de l’énergie et de l’information. Les PHOTONS SCALAIRES vont réorganiser et restructurer l’agencement cellulaire : ils adaptent notre ADN aux changements cosmiques, à la transition / évolution de la vie terrestre.

Nous pouvons aussi aider à cette restructuration et activer notre connexion aux champs scalaires en regardant, dessinant ou dansant des ondes de formes scalaires (le tore ou d’autres codes spiralés). Aussi en écoutant des sons harmoniques, émis par des instruments de silice (bols de cristal par exemple) ou autres, qui  produisent des sons en spirale dans lesquels les harmoniques sont bien audibles.

HARMONISATION PAR LA NEUTRALISATION 

À l’image de ce que nous avons vu avec deux ondes sinusoïdales opposées qui s’annulent et libèrent leur énergie pour une nouvelle forme unitaire, nous pouvons vivre cela dans notre vie psychique et énergétique.

Cette propriété de neutralisation est fondamentale, elle nous montre la voie de sortie de la matrice duelle : en neutralisant les charges, c’est-à-dire en transmutant le négatif par le positif, nous libérons en nous de l’énergie sublimée, raffinée, disponible pour notre santé et notre évolution.

C’est la fin de la posture de victime, de la prédation et de la loi du Talion. En effet, au lieu de répondre à ce que nous considérons comme une agression par le fait d’être blessé ou de renvoyer la charge, nous utilisons l’énergie contenue dans cette agression pour des fins supérieures. Toute « attaque » ressentie comme négative est absorbée et accueillie par du positif, ce qui va tramer la neutralisation, libérer l’énergie de magnitude plus grande et la réaffecter depuis le champ scalaire, c’est-à-dire le champ harmonique qui soutient le vivant.

C’est l’explication énergétique de l’attitude de Jésus le Christ qui tend l’autre joue après avoir été giflé : il récupère l’énergie qu’on a projeté vers lui pour une cause supérieure. Lui et son agresseur ne sont pas positionnés dans le même champ d’expériences.

Je parle souvent de ce phénomène car je l’ai vécu directement, énergétiquement. Toutes mes cellules, ma conscience et ma structure ont compris ce phénomène d’absorption, neutralisation des charges puis réaffectation de l’énergie libérée. Et avec l’info que c’est la voie de sortie du drame et des guerres. Voyez l’implication : au lieu de riposter ou d’être blessé, vous prenez l’énergie de l’attaque pour augmenter l’harmonie de votre structure. Vous délaissez le drame, l’histoire duelle sous-jacente et vous maîtrisez l’absorption de l’énergie qui est projetée vers vous. C’est une expérience totalement différente, à notre portée. ELLE SE VIT DANS, DEPUIS ET GRÂCE AU CŒUR ACTIVÉ. Pour neutraliser une charge négative, nous ne pouvons le faire que depuis notre Cœur, c’est une fonction de notre Cœur en paix, dans une structure correctement ancrée, centrée, alignée.

Pour donner un exemple : imaginons qu’une commère malveillante médise dans mon dos et que je ressente mes « oreilles qui sifflent », comme dit si bien l’expression. Auparavant ces comportements de médisance m’exaspéraient car j’y voyais l’inflation de la magie noire ordinaire, dégradant et polluant les trois parties : celle qui médit, celle qui écoute la médisance et cette dont on médit. Maintenant je ne vois plus le processus de cette façon. Les parties impliquées peuvent récupérer utilement cette charge projetée.

La partie qui médit, eh bien, c’est son problème si elle veut assumer son choix de malveillance. En revanche, si elle a commencé de médire en cédant à une impulsion inconsciente et si elle se rend compte de ce qu’elle est en train de faire, elle peut interrompre le processus et se remettre dans son Cœur, si possible en plongeant dans le Silence, qui va absorber l’énergie et l’unifier.

Si nous sommes amené à subir l’écoute de paroles malveillantes, nous pouvons choisir d’accueillir cette énergie depuis le Cœur, visualisé comme un bouton de rose en spirale. Sans prêter aucunement attention à ce qui est dit, sans se laisser influencer par la charge, on absorbe cette énergie dans l’émanation de notre Cœur, et on prononce en nous la décision de neutralisation. Cela va transmuter immédiatement l’énergie et nous la rendre disponible pour ce que l’on souhaite. Ainsi nous sommes dans un double processus : nous absorbons l’énergie mais pas la polarité, la charge négative, que notre Cœur neutralise sereinement. Ainsi nous ne sommes pas pollué, affecté par la malveillance émise, et bien au contraire nous réharmonisons l’environnement et nous élevons les fréquences. Si comme moi vous n’appréciez pas les commérages, je vous invite à essayer cela, voir comment la situation bascule en une seconde, comment la qualité du vécu se transforme juste par votre positionnement dans le Cœur activé.

Si nous sommes la cible de la malveillance, en général nous ne le savons pas tout de suite consciemment, mais on peut le repérer si on a développé ses antennes subtiles, on peut percevoir des charges qui sont projetées vers nous. Alors, de la même manière, sans nullement s’occuper de qui nous envoie son missile ni pourquoi, on accueille l’énergie depuis le Cœur et on la traite directement, par absorption, neutralisation, réaffectation. Ainsi, au lieu de sombrer dans la parano voire le malaise physique, on reste souverain de ce qui vient à nous, on maîtrise l’énergie qui nous parvient et on dépasse les jeux de la dualité. On choisit de se désintéresser complètement de l’histoire duelle, des gentils et des méchants, juste on accueille dans le Cœur ce qui se présente et on élève la vibration, on harmonise, par notre Présence. La logique de victime est complètement désactivée en nous.

Au-delà de cet exemple relationnel, il est important de toujours commencer par soi-même : identifier ses propres impulsions négatives, sans les vivre dans la dualité mais les considérer comme autant d’énergie disponible. La compréhension de la manière de passer du champ duel/partiel/sinusoïdal au champ unitaire/global/scalaire/spiralé nous permet de recycler notre pollution.

Le terme « négatif » n’est pas employé ici dans le sens moral mais dans le sens « dysharmonique ».

Ne pas se complaire ni alimenter ces impulsions, ne pas non plus les nier ni en culpabiliser, mais les saisir comme une ressource pour en faire autre chose. C’est ce qu’on appelle la transmutation ou sublimation.

Les moments intérieurs « négatifs » nous indiquent que nous nous positionnons en dualité ; alors nous avons simplement à rectifier, choisir de nouveau de nous positionner dans l’unitaire/global. C’est la mise en œuvre du discernement : neutraliser le « négatif » en ondes sinusoïdales,  diffuser le « positif » en ondes scalaires.

Faire les mouvements de 8∞ permet de faire circuler l’énergie pour préparer le passage au champ global (voir la vidéo qui propose une pratique simple). Le 8∞ figure les ondes sinusoïdales de même fréquence et de phase opposée. Le 8∞ représente le premier ajustement à réaliser quand on ressent que quelque chose n’est pas fluide, afin de mettre l’énergie en circulation et de l’aligner. Le point d’intersection est le lieu du spin, la porte pour basculer vers le 9, le neuf, le nouveau, se positionner dans le champ scalaire. Dans notre interface, ce point se situe dans le Cœur.

Il n’y a pas besoin d’appareils, il n’y a pas besoin de spécialistes, il s’agit juste d’être clair avec soi-même et d’assumer sa part dans l’harmonie de l’expérience vécue.

SYNTONISATION

La syntonisation est un processus d’ENRICHISSEMENT MUTUEL, une INTERDÉPENDANCE DE QUALITÉ. J’ai écrit de nombreux articles sur ce sujet qui me passionne, vous pouvez vous y référer si vous le souhaitez.

Elle se met en œuvre dans le champ scalaire. Les ondes scalaires sont absorbées par la matière, elles passent le barrage des électrons. La matière s’enrichit en permanence de nouvelles infos/énergies qui augmentent sa masse. La matière absorbe les ondes scalaires qu’elle a reçues, réceptionnées, puis les restitue et les émet à son tour, comme un processus de respiration.

Pour se syntoniser simplement, voir la vidéo sur la syntonisation : les mouvements proposées figurent les spires de l’onde scalaire.

BASCULE DE L’EXPÉRIENCE DANS LE CHAMP SCALAIRE/UNITAIRE

Le champ scalaire est la trame globale, au-delà de la matrice duelle.

Le processus de neutralisation / réaffectation permet la transition vers le champ scalaire. On l’a vu dans les exemples ci-dessus avec le passage des ondes sinusoïdales aux ondes scalaires, avec le processus de Kundalini, avec la manière de répondre aux agressions négatives tant intérieurs qu’extérieures, avec la figure 3-6-9 et 1-2-4-8-7-5 qui représente le passage de l’onde sinusoïdale à l’onde scalaire, la possibilité de voyager entre les champs différents.

Mais il existe de nombreuses autres voies pour s’y positionner, que nous avons à redécouvrir, créer, inventer, emprunter et diffuser pour y être de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps, de plus en plus nombreux.

Un filtre mental / psychique nous empêche de comprendre notre dimension scalaire. On connaît ce phénomène qui fait que l’on emprunte toujours les mêmes circuits et que l’on croit que seulement eux existent. On ne voit pas les portes, on ne devine pas les embranchements, on ne défriche pas les broussailles qui permettent d’élargir l’horizon. Et pourtant ! tout est là, à disposition, si nous nous engageons.

Pour basculer dans le champ unifié, il existe d’innombrables portes à ouvrir et créer, notre seule limite est celle de notre imagination. C’est le filtre mental duel qui crée la croyance que ces portes n’existent pas, pas plus que le champ global unifié.

Toutes les pratiques permettant de désactiver le contrôle mental sur l’interprétation duelle de la réalité vont constituer autant de portes pour nous positionner dans le champ global. Selon ce qui nous correspond et résonne pour nous, on peut multiplier les expériences de rejoindre le champ global par le biais des règnes minéral, animal ou végétal, par le mouvement, par les symboles, par la modification des états de conscience : tout ce sur quoi l’emprise du mental cède et lâche sa volonté de contrôle par le filtre duel.

Le phénomène des synchronicités se trouve dans le champ scalaire. C’est un ordre « supérieur », fluide et signifiant. Ce que j’appelle « le flux » ou « le flow ». Le lieu où s’évanouit la dualité, la bipolarité comme système paradigmatique, remplacé par l’évidence, la simplicité d’être et de suivre son « fil » = la flèche scalaire. Quand nous expérimentons les synchronicités et que nous les reconnaissons, nous sommes positionné dans le champ scalaire.

Se reconnaître et se positionner dans sa dimension scalaire est une autre manière d’être au monde. Elle s’harmonise avec tout notre vécu, mais en modifie les qualités, les propriétés, les potentiels. La communication devient de plus en plus télépathique et transparente.

Le cadre de références n’est pas le même. Les infos traitées, qu’elles soient mentales ou émotionnelles, ne sont pas polarisées, classées en « bien » ou « mal ». Elles sont des portes d’accès à la globalité, à l’unité.

La décision de se positionner dans ce champ active les potentiels génétiques et cérébraux qui étaient « en attente ». On enclenche l’interrupteur, on ouvre le circuit par notre positionnement, le fait d’être prêt et ok pour vivre l’expérience.

Cette décision résulte d’un ACCORD entre l’Être global (Être multidimensionnel ; Présence divine) et la personne interface humaine. La décision de s’aligner sur la Volonté unitaire.

La première connexion scalaire est entre ces 2 émetteurs-récepteurs. C’est LA vraie rencontre : les 2 structures interagissent et évoluent conjointement, en gagnant-gagnant.

Alors nous sommes à notre place, sortis de l’illusion et du fait de subir. Nous œuvrons pour l’Amour, l’Harmonie et la Joie.

Simplement, depuis notre interface humaine, reliée à tout ce qui EST.

REF.: https://archere-stellaire.wixsite.com/.../REVELONS-NOTRE...