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jeudi 19 octobre 2023

Poème: Lac-Mégantic

 Poème: Lac-Mégantic

On se remet pas d'une histoire comme ça

On survit.

On s'accroche a ceux qui restent.

On redécouvre même parfois avec un regard différent

et c'est là que les étoiles retrouvent leur lumière

et leur beauté.

Je crois toujours pas au hasard

et j'ai espoir dans le fameux grand plan.

L'Univers est mystérieux

et la foi aussi.




REF.: Tiré du film Mégantic , en 2023 https://videotron.com/divertissement/club-illico/megantic

Musique thème , par Dazmo:  https://www.youtube.com/watch?v=OWPTCURwP0I&list=PLKpgUrihI6PRLKpePVYROhIWBOD1o1OtS&index=97


Nota: L’accident ferroviaire de Lac-Mégantic s'est produit le 6 juillet 2013 à 1 h 14 heure locale (HAE) à Lac-Mégantic, une municipalité de la région de l'Estrie, au Québec (Canada).


Le déraillement d'un convoi à la dérive de 72 wagons-citernes contenant 7,7 millions de litres1 de pétrole brut léger provoque des explosions et un incendie qui détruisent, dans le centre-ville, une quarantaine d'édifices dans une zone de 2 km2, tuant 47 personnes.


Deux mille autres personnes doivent être évacuées de leur domicile.

mardi 17 octobre 2023

Le premier baiser remonterait à environ 4 500 ans : qui dit mieux ?

 Le premier baiser remonterait à environ 4 500 ans : qui dit mieux ?

Par: Rémi Bouvet

20 mai 2023 à 16h00



Le baiser amoureux/sexuel (le baiser avec la langue, le french kiss si vous préférez ou encore le cataglottisme si vous souhaitez frimer) est une pratique courante dans nos sociétés. À en croire deux biologistes de l'université d'Oxford, Troels Pank Arbøll et Sophie Lund Rasmussen, les Homo sapiens se « galocheraient » depuis plus longtemps qu’on ne l’imagine…


La pratique du baiser remonterait à 3 500 ans. Du moins, c'est ce que l'on pensait avant. En effet, de nouvelles recherches révèlent des traces de cette pratique au moins 1 000 auparavant, soit il y a 4 500 ans. Certains chercheurs estiment même que les néandertaliens s'embrassaient déjà il y a 100 000 ans !


Depuis 1 500 avant J.-C. seulement ? Certainement pas !

Jusqu’à présent, c’est un manuscrit daté de 1 500 av. J.-C. environ, provenant d’Inde, qui faisait foi quant à l’origine du « premier baiser ». Toutefois, à la suite d’une étude publiée en 2022 qui suggérait que les baisers romantiques dans les sociétés anciennes pouvaient être liés à la propagation de certaines souches du virus de l'herpès simplex, les deux chercheurs susmentionnés ont retrouvé des évocations de cette pratique dans « un corpus substantiel de preuves négligées » remontant à 2 500 ans avant notre ère.


« […] nous avons rapidement réalisé que la plupart des études de la communauté scientifique au sens large citaient une source indienne datant d'environ 1 500 avant notre ère comme la première référence au baiser romantique sexuel », explique M. Arbøll. « Je savais qu'il existait des documents antérieurs provenant de l'ancienne Mésopotamie et, lorsque j'ai commencé à me documenter sur le sujet, je me suis rapidement rendu compte que les preuves avaient été largement rassemblées dans un résumé dès les années 1980, mais que ces informations n'avaient apparemment jamais été diffusées dans d'autres domaines et qu'elles étaient donc inconnues dans le discours scientifique plus large sur le baiser ».


Selon les chercheurs, les habitants de Mésopotamie (Irak et Syrie actuelles) et d’Égypte se livraient déjà à cette joyeuseté il y a 4 500 ans. Et le baiser semblait déjà être un élément ordinaire de l'intimité, inscrit dans les mœurs.


Deux textes datant de 1 800 av. J.C. sont assez révélateurs. L'un décrit comment une femme mariée a failli être dévoyée par le baiser d'un autre homme, l'autre évoque une femme célibataire jurant d'éviter d'embrasser et d'avoir des relations sexuelles avec un homme en particulier.


Une pratique répandue

De manière générale, les auteurs estiment que le baiser amoureux a de nombreuses origines indépendantes et qu'il n'est pas apparu dans une seule région, du moins à cette époque.


« Les sources de l'ancienne Mésopotamie suggèrent que les baisers liés au sexe, à la famille et à l'amitié faisaient partie intégrante de la vie quotidienne dans les régions centrales de l'ancien Moyen-Orient à partir de la fin du troisième millénaire avant notre ère. Par conséquent, le baiser ne doit pas être considéré comme une coutume provenant exclusivement d'une seule région et se propageant à partir de celle-ci », écrivent-ils.


Ils ajoutent : « Dans notre article, nous affirmons que cette forme de baiser est attestée dans une vaste zone géographique dans l'Antiquité, notamment en Inde et en Mésopotamie, et que les preuves ne pointent pas vers un point d'origine unique, du moins à l'époque historique. Si quelqu'un insiste pour que l'on en trouve un, il faudrait le faire remonter très loin dans la préhistoire. »


Une pratique possiblement encore plus ancienne...

Notez que nous parlons ici du baiser sexuel. Le baiser amical et parental serait encore plus universel et ancien. Le baiser amoureux s’inscrit vraisemblablement dans un contexte culturel plus restrictif (y compris dans nos sociétés actuelles).


Par ailleurs, sachez que chez nos plus proches cousins, chimpanzés et bonobos s’embrassent également : les premiers pratiquent le baiser amical dans un contexte de relations sociales, tandis que les seconds sont les seuls – avec les humains – à s’adonner aux baisers sexuels.


Pour en revenir à notre origine du premier baiser, Troels Pank Arbøll et Sophie Lund Rasmussen affirment que les références mésopotamiennes aux baisers montrent que cette pratique n'est pas une invention isolée : elle serait apparue au sein d'un large éventail de cultures à des époques multiples qui pourraient remonter jusqu'à la préhistoire.


Pour appuyer leurs dires, ils citent les auteurs d’une étude portant sur le transfert du coccobacille buccal Methanobrevibacter oralis (une bactérie). Ces derniers ont émis l'hypothèse selon laquelle les néandertaliens auraient déjà embrassé sur les lèvres des ancêtres des humains modernes il y a plus de 100 000 ans.


La période exacte d'apparition du baiser romantique reste dans tous les cas incertaine. La sculpture ci-dessous, appelée les Amants de Ain Sakhri, qui date d'il y a 12 000 ans, fait néanmoins dire à nos deux chercheurs que la pratique existait bien avant l'invention de l'écriture.



S’embrasser ? Mais pour quoi faire ?

Outre « depuis quand ? », l’autre grande question est peut-être « pour quoi faire ? ». Alors, si vous vous demandez pour quelles raisons les humains s’embrassent, les auteurs de l’article nous donnent quelques pistes.


Aux origines, le baiser romantique aurait pu servir à évaluer certains aspects d'un partenaire potentiel, et ce, grâce à des indices chimiques transmis par la salive ou simplement l'haleine.


En outre, le baiser aurait aussi agi comme une sorte de « médiateur » des sentiments d'attachement entre les individus.


Enfin, plus prosaïquement, il aurait permis de faciliter l'excitation sexuelle, et, par conséquent, les relations sexuelles à des fins de reproduction.


Source : https://www.clubic.com/mag/sciences/actualite-470592-le-premier-baiser-remonterait-a-environ-4-500-ans-qui-dit-mieux.html?_ope=eyJndWlkIjoiNzM2OGQyYTA1M2UxYjUzYTEzZDE0MDAzYWQ0Yzg1YWMifQ%3D%3D


Notre représentation de la Voie lactée est-elle erronée ?

 

Notre représentation de la Voie lactée est-elle erronée ?

Des scientifiques suggèrent qu'elle a une forme différente de celle que l'on connait.

ROCH ARÈNE 

  • 2 min

Notre représentation de la Voie lactée est-elle erronée ?

Depuis notre position à l’intérieur de la Voie lactée, il est difficile de déterminer de manière précise sa morphologie. Les astronomes considèrent qu’il s’agit d’une spirale composée de quatre bras principaux qui s’enroulent autour d’un noyau central. C’est d’ailleurs de cette façon qu’elle est représentée dans la plupart des livres scientifiques.

On distingue clairement sur l’illustration visible ci-dessous les différents éléments, mais de nouvelles données suggèrent que cette vision est erronée et que la Voie lactée n’a pas vraiment cette apparence :

 
Illustration de la voie lactée : Wikipédia 

Une galaxie (trop) unique en son genre ?

Les instruments récents ont permis aux astronomes de déterminer qu’il existe trois formes principales de galaxies dans l’univers : elliptique, irrégulière et spirale. Et pour cette dernière catégorie, la grande majorité est dotée de deux bras spiraux. Ce constat a poussé des scientifiques de l’Académie chinoise des sciences à s’intéresser de plus près à notre galaxie et ses quatre bras supposés…

Les recherches qu’ils ont publié reposent sur des données probantes qui proviennent notamment du télescope spatial Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) lancé en 2013. Ils se sont concentrés sur des étoiles spécifiques qui bougent très peu pendant leur existence, ce qui permet d’obtenir des informations précises malgré les distances importantes. 

Résultat, il semblerait que notre galaxie à quatre bras, n’en a en fait que deux… « En utilisant les emplacements précis des objets très jeunes, nous proposons pour la première fois que notre galaxie a une morphologie à bras multiples qui se compose d’une symétrie à deux bras », peut-on lire. « Les bras de Norma et de Persée sont probablement les deux bras symétriques dans la Voie lactée intérieure. En s’étendant de la galaxie intérieure aux parties extérieures, ils bifurquent et se connectent aux bras du Centaure et du Sagittaire » qui se seraient en fait créés lors de collisions avec d’autres galaxies. 

Source /

Quelle est une simple vérité sur le vieillissement que la plupart des gens ignorent ?

 

Quelle est une simple vérité sur le vieillissement que la plupart des gens ignorent ?

Le vieillissement du visage reflèterait le vieillissement systémique au niveau de plusieurs organes de notre corps.


Il est courant d’entendre, c’est incroyable ce qu’il/elle fait jeune, il/elle ne fait pas son âge, ou au contraire, il/elle n’a que 65 ans, il/elle fait vraiment plus âgé(e), je lui donnais 75 ans ! L’aspect de notre visage serait-il le reflet de notre âge physiologique et des aptitudes biologiques de nos tissus? Comme le dieu romain Janus représenté avec deux visages opposés, nous aurions aussi deux visages, celui tourné vers l’extérieur serait le miroir du visage tourné vers l’intérieur de notre corps. La comparaison peut paraitre osée mais elle découle de la lecture d’un intéressant article paru récemment dans le British Journal of Dermatology.


Que savait-on sur ce sujet ? Des études antérieures avaient déjà montré que la différence entre l'aspect du visage, c’est-à-dire l’âge perçu ou estimé, par rapport à l’âge chronologique, permettait de mesurer notre âge biologique, le risque de maladies cardiovasculaires et son impact sur la longévité. On aurait bien l’âge de nos artères ! Plus étonnant encore, dans une étude de jumeaux monozygotes, le jumeau d'apparence plus âgée est décédé avant celui qui paraissait plus jeune. Ainsi la longévité serait écrite sur le visage.


Que nous dit l’étude du British journal of dermatology sur l’impact de la différence entre l’âge perçu et l’âge chronologique ?


Cette étude repose sur une cohorte qui a débuté en 1990 dans la ville de Rotterdam, aux Pays-Bas. Elle comporte 2679 personnes, d'origine européenne, avec une légère prédominance de femmes (F= 54% ; H=46%), âgés de 51,5 à 87,8 ans (âge médian 65,8 ans). Des photographies faciales ont été utilisées pour évaluer l'âge perçu par un panel de 27 observateurs indépendants qui ne connaissaient pas l'âge chronologique ni les antécédents médicaux des participants à l’étude. Schématiquement, les évaluateurs ont sélectionné une tranche d'âge de 5 ans pour classer les images des personnes qu’ils regardaient. Elles ont été classées trois groupes : « semble plus jeune » (en moyenne 5 ans), « semble leur âge » et « semble plus âgée ».


L’objectif des auteurs était d’étudier l'association avec les maladies les plus répandues liées au vieillissement et donc à l’âge de divers organes/tissus : pathologies cardiovasculaires, pulmonaires, ophtalmologiques (dégénérescence maculaire liée à l'âge, cataractes et glaucome), neurocognitives (basée sur une batterie de tests cognitifs), rénales, squelettiques (arthrose et ostéoporose) et perte auditive.


Les résultats : Un âge perçu inférieur de 5 ans (c'est-à-dire avoir l'air plus jeune de 5 ans pour son âge (il s’agissait majoritairement d'hommes : 61%) était associé à moins d'ostéoporose, moins de maladie pulmonaire obstructive chronique (même après ajustement sur le statut tabagique), moins de perte auditive liée à l'âge, moins de cataractes et à un meilleur fonctionnement cognitif.


Comment expliquer que l’âge perçu soit un bon reflet du vieillissement systémique du corps humain ?


Au niveau de la peau, la diminution de la production de tissu conjonctif, et donc de la production de fibroblastes cutanés et de collagène pourrait expliquer un aspect plus âgé. Elle pourrait également expliquer l'ostéoporose (moindre densité osseuse) en rapport avec une diminution de l'activité des ostéoblastes, impliqués dans la synthétise et le renouvellement de la matrice osseuse. En effet, en culture cellulaire, les fibroblastes sont comparables aux ostéoblastes et expriment les mêmes gènes. D’où l’association des rides avec l'ostéoporose. Les auteurs de l’article suggèrent que l'ostéoporose du fait de la perte perte osseuse faciale participerait aussi aux modifications du massif facial et à un aspect plus âgé.


Les mécanismes moléculaires du vieillissement sont très complexes mais quelques études pointent le rôle des télomères. En bref, il s’agit de séquences d’ADN localisées à l’extrémités des chromosomes, dépourvues de gènes, mais qui préservent l’intégrité de notre patrimoine génétique. A chaque division, les cellules perdent un petit bout de télomère et l’accumulation de ces pertes entraine un arrêt de la division et du métabolisme cellulaire. On parle de « sénescence cellulaire » dont la contribution au vieillissement est bien établie (E Blackburn, C Greider et J Szostak : prix Nobel de physiologie ou médecine 2009). Il est possible que la télomérase, qui est l’enzyme chargée de maintenir la taille des télomères, soit plus efficace chez les personnes qui vieillissent moins vite….


Les auteurs concluent que « les mesures de la santé physique et cognitive sont associées à un âge apparent plus jeune que l’âge chronologique ».


En relisant ma réponse, j’ai pensé aux nombreux SDF qui font la manche devant un grand magasin du centre-ville. Je les croise régulièrement en rentrant de mon club de bridge. Soumis aux privations, au froid, à l’alcool et parfois à la drogue, j’estime que leur âge perçu est probablement supérieur de 10 ans, voire plus, à leur âge chronologique et donne une idée de leur vieillissement systémique. Je ne peux m’empêcher de les comparer aux visages des bridgeurs que je viens de quitter, qui pour la plupart paraissent beaucoup plus jeune que leur âge chronologique. Je pense, notamment, à une dame qui aura 100 ans avant la fin de l’année et qui en parait 85 ans. Je dois dire que ses aptitudes cognitives et son enthousiasme sont impressionnants. Il est vrai qu’elle a une coxarthrose, mais l’article du British journal of dermatology indique que sa survenue est indépendante de l’âge perçu….


Référence : Selma Mekić et al, Younger facial looks are associate with a lower likelihood of several age-related morbidities in the middle-aged to elderly, British Journal of Dermatology ; 188, 390–395 ; 2023


REF.: Georges Delsol,Anciennement Professeur à la retraite à Université Toulouse III Paul Sabatier (1972–2012).

https://fr.quora.com

Mon Carnet - De la bonne volonté sur les réseaux sociaux

 Mon Carnet - De la bonne volonté sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont devenus incontournables. Ils offrent des opportunités pour établir des liens et partager des idées, mais peuvent également être le lieu d'échanges offensants. Il est donc crucial de faire preuve de civisme lors des conversations sur les réseaux sociaux afin de promouvoir un environnement respectueux pour tous.



Dans notre société de plus en plus connectée, les interactions sociales se font de plus en plus fréquentes à travers les réseaux sociaux. Ces plateformes offrent des opportunités inestimables pour établir des connexions avec des personnes du monde entier et partager des idées et des perspectives. Cependant, elles peuvent également être le lieu d'échanges peu respectueux et offensants. Il est donc essentiel de faire preuve de civisme et de bon comportement lors d'échanges et de conversations sur les réseaux sociaux.


Il est important de se rappeler que les mots ont un pouvoir considérable. Ce que nous disons sur les réseaux sociaux peut avoir des répercussions réelles et durables dans la vie des autres. Les commentaires que nous publions peuvent avoir un impact sur la façon dont les autres nous perçoivent et peuvent également avoir des conséquences sur notre réputation en ligne. Il est donc essentiel de se montrer respectueux et d'éviter les propos offensants ou blessants.



Pour couter Radio Mon Carnet  wwwRadioMonCarnetcom

Pour écouter Radio Mon Carnet : www.RadioMonCarnet.com

Il est aussi important de faire preuve d'empathie et de considération envers les autres lors d'échanges sur les réseaux sociaux. Nous ne savons jamais ce que les autres traversent dans leur vie et comment ils pourraient interpréter nos propos. Les commentaires maladroits ou inappropriés peuvent blesser les autres et causer des dommages émotionnels importants. Il est donc important d'être conscient de nos propres émotions et de prendre le temps de réfléchir avant de publier des commentaires ou des réponses.


Mais, il est surtout essentiel de respecter les opinions et les croyances des autres. Les réseaux sociaux offrent une plateforme pour échanger des idées et des perspectives différentes, et cela est une partie importante de la vie en communauté. Cependant, il est important de se rappeler que tout le monde n'a pas la même opinion ou la même croyance que nous. Nous devons être ouverts d'esprit et respectueux de ceux qui ont des points de vue différents. Nous devons apprendre à écouter et à apprendre des autres, plutôt que de chercher à imposer nos propres opinions.


Gardez en tête qu'il est primordial de se montrer responsable de nos actions sur les réseaux sociaux. Nous devons prendre en compte l'impact que nos commentaires pourraient avoir sur les autres, ainsi que sur nous-mêmes. Nous devons être conscients de l'effet que nos actions peuvent avoir sur notre communauté en ligne et sur la société dans son ensemble. Il est important de se rappeler que nos actions en ligne peuvent avoir des répercussions réelles dans le monde réel.


Et à l'occasion, il est sain de se rappeler que les réseaux sociaux ne sont pas un lieu pour les attaques personnelles ou la haine envers les autres. Les insultes, le harcèlement et la discrimination ne sont pas acceptables, que ce soit en ligne ou hors ligne. Nous devons nous rappeler que nous sommes tous des êtres humains, avec des sentiments et des émotions, et nous devons traiter les autres avec dignité et respect. Nous devons apprendre à construire des ponts plutôt que des murs, et à travailler ensemble pour créer un monde plus positif et inclusif.


Les réseaux sociaux offrent de nouvelles façons de communiquer et de connecter avec les autres, mais cela ne signifie pas que nous devons abandonner notre sens du civisme et de la décence. Au contraire, il est essentiel que nous continuions à faire preuve de bon comportement et à nous comporter de manière responsable sur les réseaux sociaux.


En adoptant une attitude respectueuse et empathique envers les autres, nous pouvons créer des communautés en ligne plus saines et plus positives. Nous pouvons également contribuer à promouvoir la tolérance, la compréhension et l'inclusion dans notre société. Nous avons tous un rôle à jouer dans la création d'un monde meilleur, et cela commence par les choix que nous faisons chaque jour sur les réseaux sociaux.


En faisant preuve de civisme et de bon comportement sur les réseaux sociaux, nous pouvons aider à promouvoir une culture de respect, de compréhension et de compassion. Nous pouvons également contribuer à créer un environnement en ligne plus sûr, où chacun se sent libre d'exprimer ses opinions et ses idées sans craindre le harcèlement ou les attaques personnelles.


Nous devons nous rappeler que les réseaux sociaux sont un outil puissant, mais avec ce pouvoir vient également la responsabilité de l'utiliser de manière responsable et respectueuse. En agissant de la sorte, nous pouvons contribuer à créer un monde plus positif et inclusif pour tous.


REF.: https://moncarnet.blog/2023/04/28/mon-carnet-du-28-avril-2023/

Par: Bruno Guglielminetti

Quelle est la deuxième sensation corporelle provoquant le plus de plaisir ?

 Quelle est la deuxième sensation corporelle provoquant le plus de plaisir ?

Question d'origine : Quelle est la deuxième sensation corporelle provocant le plus de plaisir ?

Probablement l'orgasme. Peut-être faire caca.


Si vous pensiez que le ‘sexe‘ était ce qui provoquait le plus de plaisir au corps humain, vous n'avez jamais ressenti de soif extrême.


Ce n'est pas pour rien que tant de littérature religieuse (en particulier celle du Moyen-Orient sec) fait référence à l'eau et à notre besoin d'eau. Les rapports sexuels sont un bonus insignifiant par rapport à la consommation de la substance dont l'organisme humain dépend le plus.


REF.: Quora.com

Bienvenue dans le monde de la #désinfluence

 Bienvenue dans le monde de la #désinfluence


-Désinfluence : cette mode virale sur TikTok incite-t-elle réellement les internautes à moins consommer ?



Table des matières

Qu’est-ce que la désinfluence ?

Pourquoi cette popularité ?

Quelles conséquences pour le marketing d’influence ?

Ce phénomène est-il parti pour durer ?

Si vous avez été actif sur les réseaux sociaux au cours des dernières semaines, vous êtes certainement déjà vous êtes tombé sur une vidéo d’un influenceur parlant d’un produit, lui donnant un avis négatif et disant à ses followers de ne pas l’acheter. Jusqu’ici, rien d’anormal. Pourtant, en faisant défiler votre fil, vous avez pu constater qu’un nombre croissant de vidéos similaires, mentionnant beaucoup de marques ou de produits, étaient publiées par des créateurs et invitaient leurs followers à fuir ces articles à tout prix.


Mais des d’influenceurs ne sont-ils pas censés faire tout le contraire ? En vérité, ils empruntent juste une toute nouvelle voie : bienvenue dans le monde de la #désinfluence.


Qu’est-ce que la désinfluence ?

À l’instar d’autres phénomènes de mode, la désinfluence a été lancée par un hashtag sur TikTok. Elle permet de prendre le contrepied des influenceurs traditionnels en rejetant, purement et simplement, les articles ou les produits tendance et généralement onéreux qu’ils promeuvent. « Contreinfluence » est le néologisme qui colle le mieux à cette mode encourageant les internautes à ne pas jeter leur argent par les fenêtres.


D’aucuns pourraient affirmer que cette tendance n’a rien de révolutionnaire, mais il ne s’agit pas d’un phénomène isolé : rien que sur TikTok, la recherche du hashtag #désinfluence donne plus de 150 millions de vidéos, et ce n’est que le début. Il est évident que les utilisateurs des réseaux sociaux apprécient particulièrement ce type de contenu.


Pourquoi cette popularité ?

La montée en flèche de la désinfluence est le résultat d’une combinaison de facteurs au cœur de l’environnement actuel de marketing d’influence.


Il est indéniable que les répercussions post-pandémie et l’instabilité économique ont eu un réel impact sur les consommateurs. Pour beaucoup, les revenus disponibles sont un sujet de préoccupation, car l’augmentation rapide des prix sur des marchés stratégiques, américains par exemple, est bien réelle. La revendication d’une démarche moins consumériste a donc plus de chances d’être bien mieux accueillie qu’une autre promouvant les achats à tout va ou les dépenses élevées.


L’influence du FOMO sur les décisions d’achat ne doit pas non plus être prise à la légère, et notamment chez les jeunes, lesquels représentent la majorité des audiences sur TikTok. Le FOMO (acronyme de Fear Of Missing Out, ou « peur de rater quelque chose » en français) fait référence à une anxiété sociale que peut ressentir un individu qui décide de ne pas acheter un produit ou de ne pas participer à un évènement en particulier. Malheureusement, si la plupart des produits promus par les influenceurs sont des articles haut de gamme (p. ex., Dyson Supersonic, Airwrap, Drunk Elephant, Tatcha, etc.) faisant office de signe extérieur de richesse, ils sont également hors de portée du consommateur lambda. En se portant garante de leur décision (consciente ou non) de ne pas se procurer un produit surcoté, cette tendance rassure les utilisateurs des réseaux sociaux, tout en les incitant à regarder plus de vidéos similaires.


La désinfluence est un phénomène en vogue, car les internautes apprécient le sentiment de proximité avec les créateurs. Des similitudes entre audiences et influenceurs permettent de resserrer les liens, et donc, d’améliorer l’engagement avec les publications. Quoi de mieux pour inspirer confiance qu’une personne qui vous explique que l’achat d’un produit de beauté hors de prix est inutile ?


Quelles conséquences pour le marketing d’influence ?

La désinfluence n’est jamais qu’un mot à la mode et une nouvelle manière d’influencer le comportement des consommateurs.


Si ce phénomène semble, au premier abord, décourager les achats, il incite en réalité à l’adoption d’une consommation alternative. Un créateur peut effectivement vous dissuader d’acheter une crème pour le visage à 100 €, mais il vous proposera généralement une alternative moins chère sur Amazon : au final, les internautes sont quand même invités à consommer.


On sait que les audiences sont plutôt favorables aux influenceurs qui passent pour courageux ou transparents en s’élevant contre des produits populaires surcotés. Sachant cela, les créateurs auraient tout intérêt à adapter leur contenu afin de surfer sur cette tendance en vue d’inspirer confiance et d’établir une base d’abonnés fidèles. Un influenceur connu pour critiquer ouvertement certains produits à la mode met tous les atouts de son côté : il passera pour quelqu’un de crédible la prochaine fois qu’il fera de vraies recommandations.


Les marques plus petites et plus abordables bénéficient d’une occasion en or de collaborer avec des influenceurs réputés pour leurs pratiques de désinfluence et pour l’honnêteté des contenus qu’ils publient. Le fait de s’associer à des influenceurs de confiance avec un taux d’engagement élevé est une priorité absolue pour la plupart des marques : elles savent qu’il est plus que jamais nécessaire de tirer parti des recommandations d’influenceurs pour améliorer la notoriété de la marque et mettre leurs produits sur le marché auprès de leur audience cible. Des marques bon marché, qui travaillent avec ces créateurs de niche, pourraient se positionner en tant qu’alternative légitime à un produit sous le feu de la critique.


Au final, la désinfluence modifie simplement la manière dont les marques et les créateurs vont utiliser le marketing d’influence, et n’est donc pas forcément de mauvais augure.


Ce phénomène est-il parti pour durer ?

Il est difficile de répondre à cette question. Cependant, il faut avant tout prendre en compte les domaines où la désinfluence connaît une forte popularité. Si ce sujet est brûlant sur TikTok et est repris dans quelques vidéos YouTube, sur Instagram, moins de 1 000 publications contiennent le hashtag #désinfluence. Instagram étant toujours l’espace privilégié pour le marketing d’influence, il ne semble pas (du moins, pas encore) que cette tendance aura des répercussions au niveau marketing sur la plateforme.


Seul le temps nous dira si la désinfluence aura un impact sur le comportement des consommateurs. Les tendances TikTok sont volatiles et sans cesse remplacées par de nouveaux sujets. Ce phénomène étant principalement concentré sur la plateforme, il y a de fortes chances que sa popularité batte de l’aile au cours des prochains mois.


REF.: https://hypeauditor.com/blog/fr/desinfluence-cette-mode-virale-incite-t-elle-reellement-a-moins-consommer/?utm_source=hamail&utm_medium=fr_desinfluence_blog_post&utm_campaign=110423&utm_content=btn