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lundi 12 octobre 2020

Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec , Ha ha ha !

 

Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec, Ha ha ha ! 

 

 L’ancien premier ministre Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec pour violation de sa vie privée dans la foulée des fuites entourant l’enquête de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) sur le financement du Parti libéral. Il réclame un million de dollars.

 

REF.: Vincent Larouche
La Presse

« C’est à contrecœur que je dépose aujourd’hui une poursuite contre le gouvernement du Québec pour violation de ma vie privée », écrit M. Charest dans un communiqué.

La Presse a obtenu copie de la poursuite, dont l’existence avait d’abord été révélée par Cogeco Nouvelles.

La poursuite concerne précisément les documents d’enquête interne de l’UPAC obtenus par le groupe Québecor et publiés à partir d’avril 2017. On y retrouvait notamment des informations sur les voyages de M. Charest et un organigramme où apparaissait la photo de l’ancien premier ministre. Les informations provenaient du projet Mâchurer, une enquête qui est toujours ouverte sur le financement du PLQ, mais qui n’a mené à aucune accusation à ce jour.

« Au cours des dernières années, des informations confidentielles sur ma privée ainsi que sur ma famille ont fait l’objet de plusieurs fuites médiatiques. Ces fuites sont illégales et constituent de surcroît une entrave à la justice », plaide Jean Charest dans son communiqué.

La poursuite fait état de la « frustration » et de « l’embarras » ressentis par l’ancien politicien et sa famille. Le texte s’attaque même au nom de code choisi pour l’enquête.

« L’UPAC, qui mène l’enquête “Mâchurer”, et le gouvernement dont elle relève sont responsables de cette violation de ma vie privée », ajoute-t-il. Dans sa poursuite, l’ancien premier ministre indique qu’il a offert au gouvernement de participer à un processus de médiation pour régler l’affaire le 15 septembre dernier, sans succès. Il dit qu’il était prêt à renoncer à sa poursuite en échange d’excuses publiques du gouvernement, mais que son offre a été refusée.

M. Charest souligne que la date de prescription pour déposer une poursuite dans cette affaire était fixée au 10 octobre 2020 et qu’il devait donc aller de l’avant dès maintenant.

Une enquête

L’UPAC a interrogé de nombreux témoins dans le cadre du projet Mâchurer. En 2017, plusieurs des personnes interrogées avaient raconté à La Presse que les enquêteurs s’intéressaient au train de vie de M. Charest et posaient des questions sur la possibilité que des entreprises lui aient consenti un « pont d’or » pour qu’il prenne la tête du Parti libéral en 1998. À ce jour, rien de concret n’est ressorti de ces rencontres de témoins.

Les fuites de documents du projet Mâchurer ont mené à bien des problèmes pour l’UPAC. Le corps policier a d’abord arrêté le député Guy Ouellette, qu’elle disait lié à ces fuites, avant de libérer sans accusations et de voir ses mandats de perquisition invalidés. Plusieurs dirigeants de l’UPAC ont ensuite quitté l’organisation.

Récemment, les fuites de matériel d’enquête ont aussi mené à l’arrêt des procédures criminelles intentées contre l’ancienne vice-première ministre Nathalie Normandeau et l’ancien ministre Marc-Yvan Côté.

 

REF.:

mercredi 7 octobre 2020

Ryan Morel 69 ans rechercher par sa mère ;-)

 

 

 

 Ryan Morel 69 ans rechercher par sa mère , aidez-le !!!

morelryan69@gmail.com


 

Array Krishnada...........Un autre Français qui se prend pour le nombril du monde ;-) Commentaires………………. d'amateur ;-) Si t'as t'intéresse pas …. dégage ;-)

 

 

 Sur wordpress tu me fait de la pub lol !

La marelle .....j'adore !https://www.regles-jeux-plein-air.com/regle-de-la-marelle/

Le backup est déja fait ;-).................on publi alors ;-)

Qui n'a Pas de site Web ;-)

 Ça va pas bien avec ton FAI ???  77.150.122.149 

avec vpn nul : province: Noord-Holland municipality: Amsterdam;-)

 Ton IP number is in Charentay, France. It is hosted by SFR.(Public lol)

 

 

REF.:Array Krishnada ,domage !

mercredi 23 septembre 2020

Deux anciens hauts gradés accuse la division des affaires internes du SPVM d’avoir fabriqué des preuves incriminantes contre eux

 

 Deux anciens hauts gradés accuse la division des affaires internes du SPVM d’avoir fabriqué des preuves incriminantes contre eux 

 

 

Quatre policiers du SPVM accusés après trois ans d'enquête

L’enquête avait été ordonnée en février 2017 par le ministère de la Sécurité publique à la suite d’allégations graves à l’endroit de certaines enquêtes internes du SPVM.

undefined undefined via Getty Images

Quatre policiers de Montréal ont été accusés au terme de plus de trois ans d’enquête sur des allégations de gestes criminels graves liés aux enquêtes internes du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

Dans un communiqué laconique diffusé vendredi, la Sûreté du Québec (SQ) ne précise toutefois ni le nom des accusés, ni la nature des accusations ou des gestes qui y ont mené.

Ces accusations surviennent au terme de longs travaux d’enquête de l’Équipe mixte d’enquête sur la Direction des affaires internes du SPVM, travaux qui sont maintenant terminés. L’enquête avait été ordonnée en février 2017 par le ministère de la Sécurité publique à la suite d’allégations graves à l’endroit de certaines enquêtes internes du SPVM.

Ces accusations contre quatre policiers sont tout ce qui reste de ce que la SQ qualifie “d’analyse minutieuse de 1020 dossiers”, auxquels se sont ajoutés 136 signalements. L’Équipe mixte, qui avait initié un peu plus de 250 dossiers à la suite de ses travaux, signale simplement qu’“au terme de ces enquêtes, quatre policiers ont été visés par des accusations”, sans aucun autre détail.

L’Équipe mixte, codirigée par la SQ et le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI), était composée de 43 membres policiers et civils provenant de la SQ, de la GRC et des services de police de Québec, Longueuil et Gatineau

Les allégations de gestes criminels visaient les enquêtes de la Direction des affaires internes et L’Équipe mixte avait comme mandat de déterminer si les démarches d’enquête effectuées dans le passé avaient été faites selon les règles de l’art.

La Sûreté précise qu’elle ne formulera aucun commentaire additionnel, “compte tenu que le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a déjà rendu ses décisions dans tous les dossiers qui lui ont été soumis”.

Le DPCP n’avait pas retourné les appels de La Presse canadienne au moment d’écrire ces lignes.

La décision d’entamer cette enquête criminelle était survenue à la suite d’un premier rapport d’enquête administrative qui avait fait état de multiples irrégularités dans les enquêtes internes. Ce rapport initial du commissaire Michel Bouchard avait mené à la suspension, en décembre 2017, du directeur Philippe Pichet, qui avait finalement démissionné en juin 2018, préférant quitter de son propre chef plutôt que d’être destitué.

L’enquête du commissaire Bouchard était elle-même la conséquence d’une dénonciation de deux anciens hauts gradés qui accusaient la division des affaires internes du SPVM d’avoir fabriqué des preuves incriminantes contre eux alors qu’ils s’apprêtaient à révéler des actes de corruption au sein du service.

vendredi 18 septembre 2020

Pauvre ROGER et sa fin de contrat de Mobile

 Pauvre ROGER et sa fin de contrat de Mobile

Il était une fois Roger qui voulait mettre fin a son contrat de Mobile,il était vraiment interressé par le service satisfaction a la clientèle,mais............les gens de la boutique en question, eux ne lui donnaient pas raison et lui chargait le plein contrat.

 

On pense alors a l'humoriste Jean-François Mercier !!!

La Saga Bell c'est aussi pire !!!

Ce n'était en fin de compte qu'un erreur de numéro d'appareil(car ce client avait 4 mobiles a son nom) ,mais rien ne fut fait pour corriger l'erreur du vendeur de la boutique.Il perdit alors beaucoup de client ,mais vraiment beaucoup,c'est tout ;-)

 

Vidéo d'une autre Saga !-)

 

 

REF.: T30

jeudi 30 juillet 2020

YouTube travaille à un concurrent de TikTok (et qui se nommerait Shorts)


YouTube travaille à un concurrent de TikTok (et qui se nommerait Shorts)

02 avril 2020 à 01h27

Alors que TikTok continue son ascension fulgurante, YouTube semble déterminée à ne pas se faire marcher sur les pieds : la plateforme est en train de développer Shorts, un concurrent à l'application chinoise.

Ce n'est pas la première fois que YouTube grappille une fonctionnalité populaire sur une autre application. En 2018, elle introduisait les très appréciées stories que l'on pouvait trouver sur Snapchat, Instagram, Facebook et LinkedIn.


Utiliser la musique sous licence de YouTube Music

Il faut dire que le succès de TikTok est impressionnant. Lancée en 2016, elle passait la barre des 1,5 milliard de téléchargements au mois de novembre dernier. TikTok était également la deuxième application la plus téléchargée de l'année 2019 derrière WhatsApp.

Difficile de rivaliser avec un tel mastodonte, mais YouTube compte plus d'une corde à son arc. Selon The Information, la filiale de Google souhaite exploiter les morceaux sous licence de YouTube Music, que ses utilisateurs pourront utiliser dans de courtes vidéos similaires à celles proposées sur TikTok. Ces vidéos devraient apparaître sur un feed dédié dans l'application YouTube.



D'après le journaliste spécialisé Dylan Byers, la P.-D.G. de YouTube Susan Wojcicki devrait prochainement dévoiler davantage d'informations sur Shorts.

Source : The Verge

lundi 27 juillet 2020

Comment réagir quand un ami est accusé d’inconduite sexuelle?


Comment réagir quand un ami est accusé d’inconduite sexuelle?

La vague de dénonciations a peut-être écorché un proche. Vous pouvez couper les ponts ou l'aider à évoluer. À vous de choisir.


Avec la liste d’agresseurs allégués qui s’allonge tous les jours sur les réseaux sociaux, il y a de fortes chances que l’un d’entre eux vous soit familier. Un ami, un parent, un collègue, un ex-partenaire… Des sexologues et psychothérapeutes nous expliquent comment gérer cette situation pour le moins troublante.

La victime d’abord

Quelle que soit la nature de votre relation ou des actes qui sont reprochés à votre proche, la personne envers laquelle vous devriez avoir le plus d’empathie est toujours la présumée victime, selon les experts avec qui HuffPost Québec a discuté.

«Longtemps, les victimes sont restées dans le silence parce qu’elles avaient peur de ne pas être crues. Elles parlent enfin et ça prend du courage. Montrez-leur que vous les croyez, que vous les entendez. Quand tu invalides une victime, c’est comme si tu invalidais le viol. Ne soyez pas sur la défensive et n’allez pas tout de suite tenter de “sauver“ la réputation votre ami [potentiellement, NDLR] agresseur», avertit Véronique Jodoin, sexologue et psychothérapeute.

«C’est ben plate, mais le mouvement sert à faire peur, à faire réfléchir les agresseurs qui n’ont jamais eu de conséquences.»

- Véronique Jodoin, sexologue psychothérapeute

C’est normal d’être abasourdi, déboussolé, déçu, voire choqué envers un proche dénoncé. Un temps de recul est nécessaire. Mettez-vous dans la peau de la présumée victime, et tentez de mettre de côté votre favoritisme envers votre ami. Puis évaluez ce qui en ressort. «Chacun a le droit de réagir à sa manière envers l’agresseur [allégué, NDLR], que ce soit drastique ou non», rappelle Mme Jodoin.

«Il ne m’a jamais fait ça, donc ça ne se peut pas»

Quand on aime quelqu’un s’installe involontairement (ou injustement) un biais envers lui. Célébrités, tatoueurs et autres musiciens dénoncés ont d’ailleurs joui d’un contre-mouvement, jugé toxique par les spécialistes interviewées par le HuffPost Québec, composé d’amis et de fans qui les défendaient.

«Ce n’est pas parce que tu n’as rien fait à une personne que tout le monde est épargné. [Le tueur en série] Ted Bundy a, par exemple, tué des dizaines de femmes, mais n’a jamais fait de mal à sa femme et ses enfants», illustre Véronique Jodoin.

Et évidemment les agresseurs n’ont pas tous l’apparence et le comportement des vilains dans les bandes dessinées. Ils peuvent avoir «l’air» doux comme un agneau, mais sont plus harcelants dans certains contextes ou peuvent avoir commis une ou des fautes à un moment ou à un autre.

Un peu de compassion

Durant la vague de dénonciations, certains couperont les ponts complètement avec les agresseurs allégués, d’autres décideront de les accompagner afin de changer un possible comportement inadéquat. Le plus important, selon la sexologue psychothérapeute Caroline Messier-Bellemare, est de ne pas tomber trop vite dans le blâme, la critique et les attaques.

«Le blâme est rarement la meilleure solution, car il tend à enliser les victimes dans un état émotionnel déchirant, incluant la rage, de l’impuissance et une tristesse inouïe. Mais il induit aussi un sentiment de honte chez les agresseurs, qui vont souvent avoir tendance à devenir défensifs et nier, ce qu’on veut éviter à tout prix».


Sinon, ne vous sentez pas coupable si vous démontrez un brin de bienveillance ou de pitié à l’égard d’un proche pointé du doigt. «Le but du mouvement, c’est de conscientiser, de faire réfléchir. Vous avez tout à fait le droit de dire à un ami accusé que vous n’approuvez pas son comportement, mais que vous l’aimez quand même. Rappelez-lui que c’est un bon moment pour réfléchir. Aidez-le à cheminer […] Sans jamais oublier la victime», explique Véronique Jodoin.

Vous pouvez également profiter de cette ouverture à la discussion pour lui rappeler certains comportements inappropriés dans le passé, comme telle fois au bar… Ou lui demander plus de spécifications sur son intimité ou sur sa manière d’aborder ses partenaires. «La communication est le seul outil dont on dispose pour faire évoluer les mentalités. Pour comprendre et faire comprendre», rappelle la sociologue et féministe Chiara Piazzesi, spécialiste des relations de couple.

Le pardon, c’est possible?

Le processus ne sera pas facile, mais, oui, le pardon est envisageable dans certaines situations. Par exemple, si une personne entame une thérapie, reconnaît ses torts, présente ses excuses, se mobilise pour s’améliorer, vous pourriez être davantage prédisposé à lui accorder votre pardon.

«Pardonner, ça ne veut pas dire excuser, précise la sexologue Véronique Jodoin. Tu peux reconnaître que ce que l’autre a fait n’était vraiment pas correct, mais tu peux te libérer d’émotions négatives entretenues envers lui. Ça peut soulager. Mais, encore une fois, c’est un processus personnel. On n’est vraiment pas obligé de pardonner.»

Vous avez besoin d’aide? Voici quelques ressources :