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mercredi 10 janvier 2018

10 millions de $ pour retirer les vieux «bazous» de la circulation

Programme «Faites de l'air» - 10 millions de $ pour retirer les vieux «bazous» de la circulation
André Bélisle de l'AQLPA, en compagnie de Pierre Arcand, Sam Hamad et Michel Labrecque. 
© Luc Cinq-Mars/ Agence QMI
Tout une Lobby,....................Bush prépare le terrain,Obama subit et Harper suit pour ne pas perdre des intérêts Canada/USA !$! Depuis 2011 et ça continu,.............Encore d'actualité aujourd'hui !$!
 Les Lobbys du pétrole ne partiront pas de sitôt ,il faut de l' $ pour faire tourner la machine! Allez les moutons ,bêhehêheeeeeeeè !
Programme «Faites de l'air»,.................faîtes de l'ère ;-)

10 millions de $ pour retirer les vieux «bazous» de la circulation


MONTRÉAL – Le programme gouvernemental visant à retirer de la circulation les véhicules usagers sera renouvelé après deux années de succès. Le ministre de l'Environnement Pierre Arcand et le ministre des Transports Sam Hamad ont annoncé lundi un investissement de 10 millions $.
Depuis 2009, le programme «Faites de l’air» a permis de détruire près de 40 000 vieux véhicules.
Pour M. Arcand, l’appui accordé à ce programme est un moyen de parvenir «au plus grand défi de réduction des gaz à effets de serre (GES) d’ici 2020», dont la cible est de diminuer de 20 % l’émission de GES. Il a rappelé qu’un «véhicule âgé de 15 ans pollue 20 fois plus qu'un véhicule neuf».
L’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), qui remet des titres de transport en commun pour une période d’un an ou un rabais sur l’achat d’un vélo ou d’un véhicule éco-énergétique aux propriétaires qui acceptent de se séparer de leur voiture datant d’avant 1997, espère que ce genre d’incitatif permettra de convertir le plus de conducteurs de «bazous» possible au transport collectif.
Le président de l’AQLPA estime même, alors que des travaux imprévus perturbent la circulation au niveau de l’échangeur Turcot, que c’est peut-être l’occasion pour certains automobilistes de penser aux transports en commun pour éviter la congestion causée par la fermeture de deux voies sur trois en direction ouest sur l’autoroute 720. «Avec Turcot, nous avons un problème et cela pourrait libérer davantage la circulation.»
Le ministre Sam Hamad a profité de l’occasion pour manifester son souhait de favoriser «l’utilisation de modes de transport durables».
La Politique québécoise du transport collectif, qui est «actuellement en élaboration», fera sans doute place à de nouvelles mesures pour atteindre l’objectif d’électrifier 95 % des déplacements en transport en commun d’ici 2030. Actuellement, seulement la moitié des moyens de transport collectif de la province fonctionnent à l’électricité.
REF.:

mardi 9 janvier 2018

Société civilisée de demain : Plus tolérant ou plus responsable ?


A mesure que notre technologie avance ,surtout en neuroscience,nous deviendrons plus responsable et tolérant,simplement par une meilleure connaissance des différentes maladies du cerveau et du comportement humain.
Les troubles du cerveau connus seront bien identifiés et répertoriés, dans un prochain avenir, avec ce que nous ne connaissons pas encore assez du cerveau actuellement !

Autrefois l'épilepsie,schizophrénie,dépression,bipolaire,tumeur au cerveau,TDAH,etc....maintenant les Juges devront ainsi que la société(surtout le jurie) être au courant de certains trouble de personnalité ,et d'avoir un meilleur jugement concernant les condanations a mort ou a perpétuité ,en matière de fautes ou de responsabilités.
Surtout,pour certaines catégories de personnes ayant été non responsable de leurs actes,en fonction du développemnent du cerveau selon la maladie ou de son l'âge .
Tout est dans la prévention maintenant !

Plus on en apprendra sur le cerveau et le comportement criminel,plus le système juridique sera forcé de changer.Il devra accorder une importance accrue au traitement et a la réhabilitation des criminels,dont les responsabilité des actes incombe a leur cerveau.

 Il est vrai que la question est particulièrement controversée et ravive de houleux débats autour de la distinction entre la peine et le soin. L’une et l’autre ne sont, en principe, pas superposables : l’on ne soigne pas en punissant et l’on ne punit pas en soignant. Mais, peut-être peut-on punir et soigner en même temps . Par exemple, la prise d’inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine afin de prévenir des accès de violence, ou de traitements anti-androgènes destinés à réduire la libido .S’agissant tout particulièrement du traitement inhibiteur de la libido, parfois appelé à tort « castration chimique », il est aujourd’hui employé aux États-Unis et dans certains pays européens.
 En effet, des propositions d’intervention chirurgicale consistant à détruire une petite région du cortex chez les criminels sexuels de façon à réduire leurs pulsions, font aujourd’hui resurgir le spectre de la lobotomie , ce qui nous amène à envisager dès à présent les risques éthiques de l’application des neurosciences en matière juridique.

La lutte contre la criminalité, conformément aux anticipations futuristes de la nouvelle « Minority Report » écrite par Philip K. Dick en 1956.En France, la détection des signes avant-coureurs de la délinquance chez les jeunes enfants, l’instauration d’une peine de sûreté préventive pour garder en détention les criminels ayant purgé leur peine mais susceptibles de récidiver, etc., manifestent une tendance similaire et effraient.
Par exemple, la rétention de sûreté, instaurée dans notre droit par une loi de 2008, qui prévoit l’incarcération dans des centres de rétention de criminels dangereux à l’expiration de leur peine, participe de cette volonté de prévention de la criminalité.Sans entrer dans les débats sur le caractère récupérable ou non de certains individus, la nature de certains désordres cérébraux est telle que s’il est possible d’agir avant le passage à l’acte criminel, en détectant des comportements futurs ou des probabilités de récidive au moyen de l’imagerie cérébrale, pourquoi refuserions-nous d’en faire application ? C’est là une belle et généreuse idée à laquelle on ne peut que souscrire.

 En conclusion, nous retiendrons tout simplement qu’il n’est pas possible de conclure … De tout temps, des données scientifiques ont pu être admises après avoir été réfutées et ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera peut être plus demain. Les neurosciences pourront probablement, dans un avenir plus ou moins proche, recevoir d’autres applications dans le domaine juridique, sans que l’une ou l’autre de ces disciplines ne s’en trouve dénaturée. Toutefois, s’il est un point sur lequel les neurosciences et le droit se rejoignent déjà, c’est celui de la plasticité : plasticité du cerveau et plasticité du droit. Car, si le cerveau de l’homme est plastique, c’est-à-dire susceptible d’évoluer à tous les âges de la vie, parce que les synapses ont la faculté de modifier leur capacité de transmission de l’information , le droit, fait par les hommes pour les hommes, est quant à lui suffisamment flexible, non seulement pour s’adapter à l’évolution des techniques, mais pour accompagner, voire même précéder, les métamorphoses de l’existence.

Nota:
La neuroscience, définie comme l'étude de la structure et du fonctionnement du système nerveux, forme une discipline scientifique en pleine expansion dont les applications potentielles en dehors des laboratoires de recherche sont nombreuses. Leur impact sur les différentes sciences sociales, c'est-à-dire la philosophie, la psychologie, le marketing, les sciences de l'éducation, etc. est aujourd'hui accompagné d'une apparence juridique intéressante. Les données des neurosciences suscitent un intérêt croissant dans la sphère juridique (ou juridique) tout au long de l'utilisation des méthodes d'imagerie cérébrale ou de la prescription de traitements neuropharmacologiques. Derrière le neuro-légal et la neuro-loi, le néologisme permettant de traduire le terme anglo-saxon "neurolaw" sont des perspectives émergentes riches et des enjeux intéressants liés à l'éthique.


REF.:

Inondation planétaire, ou et quand ?



D’après l’ONU, 250 millions d’humains vont être concernés par la montée des eaux dans les prochaines années soit en 2050 environ !

Ce sont les Naufragés de l’île Jean-Charles en Louisiane en premier !

Une île de Louisiane, l’Île de Jean Charles, est en train de disparaître. La cause, ou plutôt les causes, la montée des eaux mais aussi l’érosion provoquée par l’exploitation pétrolière. Comme l’Île de Jean Charles, la Louisiane est en train de couler. L’équivalent de la surface d’un terrain de foot disparaît toutes les heures dans la mer…
Les habitants de l’île de Jean Charles sont des indiens. Depuis que le gouvernement leur a alloué 48 millions de dollars pour s’installer ailleurs, ils sont devenus les premiers réfugiés climatiques américains. Le gouvernement reconnaît enfin être victime du réchauffement climatique. Un événement aux États Unis. Mais tout ne se déroule pas comme prévu, l’argent tarde à venir. Trouver un nouveau territoire pour toute la tribu n’est pas si simple.Dans ce secteur le Port fourchon situer a Galliano possède des digues pour protéger son terminal pétrolier ou transite 90% du pétrole off shore et 20% du pétrole et du gaz consommé par les USA.

 « Cette montée des océans inondera les côtes du monde entier et affectera environ 70 % de la population mondiale » dit H. Richard Lane (Directeur de programme à la division Géologie de la National Science Foundation, qui finance cette recherche). Shanghai, Le Caire, Londres ou La Nouvelle-Orléans seraient alors totalement englouties sous les eaux, et une partie de la Floride, le Bangladesh, le Cambodge ou les Pays-Bas, une grande partie de la Belgique et du nord de la France effacée des cartes. La réalisation de ce scénario (qui, avec + 2 °C n'est pas le plus alarmant) obligerait l’humanité à densifier ses populations sur des territoires toujours plus petits.


  • Pour l'instant l'arctique fond plus vite que l'antarctique. Les glaciers continentaux pourraient apporter assez d'eau pour faire monter les mers d'environ 40 cm. La fonte du Groenland apporterait assez d'eau pour élever la mer de 6 à 8 mètres (tout en privant les terres d'eau douce). L'Antarctique-Ouest (qui s'érode aussi37) contient assez d'eau pour une élévation de 5-6 m, alors que l'Antarctique-Est s'il fondait élèverait la mer de 70 mètres supplémentaire. Les modèles ne permettent pas encore de prédire à quelles vitesse et dans quelle proportion ces fontes se feront. Les courbes ont été relativement linéaires au XXe siècle, mais des effets d'albédo et de libération massives de méthane pourraient accélérer le réchauffement, et donc la montée des mers38.
  • Enfin, les prédictions régionales sont rendues difficiles par le caractère non uniforme de l'élévation marine39 (détails ci-dessous). Certaines régions subissent une élévation plus importante que la moyenne (souvent, plus que deux fois la moyenne), et d'autres une chute40. Les modèles divergent encore quant aux probabilités de changement du niveau marin41.


Les mégapoles côtières sont de plus en plus exposées aux inondations. 
 Comment faire face ? 
De New York à Bangkok en passant par Tokyo, une ambitieuse enquête.
29 octobre 2012 : la moitié de New York, envahie par les eaux, est plongée dans le noir à la suite du passage de l’ouragan Sandy. Après Katrina et ses 1 800 morts, ce nouveau cataclysme alerte sur la vulnérabilité des mégapoles côtières face aux ondes de tempête (raz-de-marée) et aux inondations. Dans le monde, quelque 136 villes portuaires, riches ou pauvres, sont menacées, en particulier celles situées sur des deltas. À l’origine de ce phénomène : le réchauffement climatique et la montée des eaux bien sûr, mais aussi l’affaissement des sols (la subsidence) et leur liquéfaction, liés à l’urbanisation chaotique et au pompage excessif des nappes phréatiques, ainsi que la multiplication des barrages (45 000 à la surface du globe). Shanghai, Bangkok, Tokyo, Dacca ou Djakarta... : les cités asiatiques, à la croissance foudroyante, sont les plus exposées.
"Résilience urbaine"
Comment prévenir ces catastrophes, aux conséquences humaines et économiques désastreuses ? Faudra-t-il un jour abandonner ces grandes métropoles qui sombrent inexorablement ? Aujourd’hui, les habitants du littoral fuient ou s’adaptent, en surélevant leurs maisons, tandis que des digues édifiées dans l’urgence tendent à protéger les quartiers des nantis, au détriment des plus démunis. À Tokyo, le pompage des eaux souterraines est interdit et des zones rurales tampons ont été aménagées. Shanghai, dont les gratte-ciel ne cessent de s’élever toujours plus haut, met en œuvre un ambitieux programme de surveillance de la subsidence. Mais la prise en compte du phénomène relève en réalité du choix de société. Repenser l’urbanisme et vivre avec l’eau plutôt que la combattre : le modèle séculaire des Pays-Bas inspire désormais d’autres démarches de "résilience urbaine". Ainsi, à Hambourg, l'audacieuse "HafenCity" revisite le concept de pilotis, tandis qu'à New York un programme collaboratif, "Rebuild by design", reconstruit dans le respect de la nature. À travers témoignages sur le terrain et avis d’experts, cette passionnante enquête fait le point sur les inondations et les solutions qui s’ébauchent pour y répondre.

 Le phénomène des migrations climatiques est susceptible de causer des conflits dans les régions déjà sensibles de la planète. Ainsi, au Bangladesh, des conflits externes ont explosé à cause de la migration élevée vers l'Inde qui aggrave la concurrence pour l’accaparement de ressources déjà rares. Cette concurrence entraine le déclenchement de tensions ethniques à la frontière et a l’intérieur des terres118.


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