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mardi 21 février 2012

LES COMPLOTISTES À L'ASSAUT DU NET .

 Depuis quelques années, on assiste à une véritable explosion de l'information sur Internet. Si cette réalité comporte de nombreux avantages, elle a aussi son lot de dérives.  La toile est notamment devenue le nouveau terrain de jeu des complotistes.  Enquête sur le côté sombre du Net, en matière d'information...ou de désinformation.


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dimanche 19 février 2012

Un Traité international sur le commerce des armes classiques (TCA) ?

Traité sur le commerce des armes - L'ONU définit la marche à suivre
 
©Yuri Cortez/Archives AFP
Traité sur le commerce des armes

L'ONU définit la marche à suivre

NEW YORK - Les pays membres de l'ONU se sont mis d'accord vendredi sur la marche à suivre pour négocier en juillet prochain un traité réglementant le commerce des armes conventionnelles dans le monde, ont indiqué des participants à la réunion.
Cette dernière réunion du Comité préparatoire, au niveau des diplomates et des experts, se déroulait à New York depuis lundi.
Un Traité international sur le commerce des armes classiques (TCA) doit être négocié du 2 au 27 juillet à l'ONU.
Les pays participants ont adopté vendredi le règlement intérieur de cette conférence de négociation, en particulier le principe du consensus pour prendre des décisions.
«La négociation pourra aller de l'avant en juillet, c'est définitivement un progrès», a estimé Brian Wood, de l'ONG Amnesty International. Mais il reste beaucoup de problèmes de fond à trancher, comme les systèmes d'armes qui seront pris en compte ou les modalités de surveillance et de révision du traité.
Les organisations comme Amnistie Internationale souhaitent que ce traité soit le plus contraignant possible et qu'il fixe une série de critères objectifs qui puissent empêcher le transfert d'armes conventionnelles vers des pays où elles pourraient être utilisées contre les populations civiles.
Les gros exportateurs d'armes comme la Russie, la Chine ou les États-Unis sont réticents, Washington souhaite par exemple exclure les munitions du cadre du traité et la Chine les armes de faible calibre.
Les pays de l'Union européenne approuvent le principe d'un texte contraignant mais certains rechignent à donner leur accord formel tant que leurs concurrents ne jouent pas le jeu.
Selon Amnistie Internationale, l'Iran, le Pakistan ou l'Égypte s'efforcent aussi de limiter l'efficacité d'un futur traité en affaiblissant les critères ou en prévoyant des échappatoires.
Les exportations d'équipements militaires de la Russie ont atteint 13,2 milliards de dollars en 2011, un montant record, selon le gouvernement russe.
Amnistie dénonce régulièrement les ventes d'armes de Moscou à Damas ou les transferts, malgré un embargo, d'armes russes et chinoises vers le Soudan qui les utilise ensuite au Darfour.



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vendredi 17 février 2012

Les Québécois sont capables de gérer un compte d’épargne-retraite

Maîtriser son avenir

Le système de retraite québécois, non viable et peu performant, inquiète. Pour trouver des solutions, la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Julie Boulet, a mandaté un comité d’experts pour réfléchir sur l’offre des régimes complémentaires. En revanche, le Régime des rentes du Québec, notre régime de retraite universel administré par l’État, n’est pas remis en question. Pourtant, il est loin d’être irréprochable.
Accepterions-nous qu’une banque nous oblige à acheter un produit financier pour lequel elle promet un rendement intéressant alors qu’elle est incertaine de pouvoir respecter ses engagements ? Accepterions-nous qu’à notre décès, la banque hérite de nos économies  ? Jamais ! C’est néanmoins selon un principe très similaire que fonctionne le Régime des rentes du Québec.
10,05 % de notre revenu
En collaboration avec notre employeur, nous envoyons 10,05  % de notre revenu à la Régie des rentes du Québec (ce taux augmentera de 0,15 % par année pour atteindre 10,80 % en 2017)
On nous dit qu’on épargne pour nos vieux jours alors que les sommes récoltées servent à verser les prestations aux retraités actuels. On nous fait croire que l’argent nous appartient, alors qu’il n’en est rien. Par exemple, quand le cotisant décède, ses contributions sont saisies en tout ou en partie par le Régime. Si le défunt n’a ni conjoint ni enfant mineur, ses cotisations sont entièrement empochées par le régime. Au mieux, les héritiers reçoivent une prestation de décès de 2 500  $.
Pour le commun des mortels, ce mode de fonctionnement répond à la définition d’une escroquerie pyramidale. Pour la classe politique, il assure « l’équité intergénérationnelle !  »
LE CHILI EN EXEMPLE
Le comité se trompe de cible en limitant son analyse aux régimes complémentaires. Il ferait mieux de s’attaquer au cœur du problème, soit le principe même de la retraite par répartition. Il pourrait étudier le système chilien et peut-être même s’en inspirer. Après tout, il a été imité par une trentaine de pays (y compris la Suède !) et est reconnu par le FMI comme étant un modèle.
En 1981, confronté à un système de retraite en faillite, le Chili remplace son régime public par un modèle basé sur des comptes individuels de capitalisation. Aujourd’hui, les travailleurs sont propriétaires de leur compte d’épargne-retraite et peuvent le confier à l’institution de leur choix. Ils déterminent également leurs placements en fonction de leur tolérance au risque et de leurs préférences et, à leur décès, c’est leur famille, et non l’État, qui hérite de l’intégralité du régime. Côté rendement, il est enviable : depuis l’implantation du régime en 1981, la rentabilité annuelle moyenne du fonds principal dépasse 9 %.
L’État québécois a pris en charge nos retraites parce qu’il nous en jugeait incapables. L’expérience montre que c’est lui qui est inapte à garantir notre sécurité financière. Pire encore, il nous impose un système immoral. Il est donc temps de le relever de ses fonctions. Les Québécois n’ont pas à être dépendants de l’État. À l’instar des Chiliens, nous sommes parfaitement capables de gérer un compte d’épargne-retraite. Mais pour cela, notre classe politique doit sortir de son prisme idéologique et rendre aux travailleurs la maîtrise de leurs finances et de leur avenir !


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jeudi 16 février 2012

Corruption de la Construction: Un avocat de Tony Accurso aurait influencé Revenu Québec pour bloquer la diffusion d'un communiqué de presse


Construction - Un avocat de Tony Accurso aurait influencé Revenu Québec
Tony Accurso 
© Archives
Construction

Un avocat de Tony Accurso aurait influencé Revenu Québec


MONTRÉAL – Un avocat de Tony Accurso aurait réussi à faire pression auprès de Revenu Québec pour bloquer la diffusion d'un communiqué de presse, selon le témoignage du journaliste d'enquête Alain Gravel lors d'une requête pour outrage au tribunal. Il a aussi annoncé qu'il protègera l'identité de la source qui lui a fourni ces informations. Le journaliste d'enquête a témoigné mercredi au palais de justice de Montréal, dans le cadre d'une poursuite pour outrage au tribunal intentée par Constructions Louisbourg ltée, une entreprise de Tony Accurso, contre la Société Radio-Canada.
Au cours de son interrogatoire par l'avocat de Louisbourg, Me Luc Giroux, Alain Gravel a expliqué avoir appris qu'un avocat de Tony Accurso aurait «fait pression», avec succès, auprès de Revenu Québec pour bloquer la diffusion d'un communiqué de presse au sujet de cette affaire.
Il avait eu la confirmation qu'un communiqué allait être émis, et en avait même obtenu une copie d'une source confidentielle. Sauf que le communiqué n'a jamais été diffusé suite aux pressions de l'avocat, selon Alain Gravel.
Cité pour outrage
Les parties se sont retrouvées devant le tribunal, car Louisbourg allègue que la société d'État a commis un outrage au tribunal lors de la diffusion, l'an passé, de deux reportages à propos d'évasions fiscales touchant des entreprises de Tony Accurso.
Ils étaient basés sur une dénonciation de Revenu Québec mise sous scellés par un juge de la Cour du Québec. Alain Gravel a annoncé qu'il avait obtenu le document de sa source avant la mise sous scellés, et qu'elle n'était pas sous le coup d'une ordonnance de non-publication.
Le document visait à obtenir la communication de la preuve réalisée lors d'une enquête de l'Agence du revenu du Canada.
Me Giroux a tenté de connaître l'identité de la fameuse source, mais sans succès.
«Le lien de confiance avec ma source est absolu», a déclaré le journaliste.
L'avocat a alors proposé que son identité soit protégée par une ordonnance de non-publication ou qu'elle ne soit révélée qu'aux avocats, mais là encore le journaliste a refusé.
«La source est très nerveuse que je sois ici, a déclaré Alain Gravel. Elle a peur pour sa situation professionnelle et pour son intégrité physique.»
Les deux entreprises en question, Simard-Beaudry et Constructions Louisbourg, avaient plaidé coupable à des chefs de fraudes fiscales de plus de quatre millions de dollars.


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mercredi 15 février 2012

Pensée du soir

-Le temps,c'est la réorganisation de la matière supramentale a travers les différentes vibrations de la lumière.

-L'espace,c'est la limite imposée par la vie ,pour contenir la forme .

Par: Bernard de Montréal.

Voila une des solutions au coûts exorbitants de la bande passante et ses quotas :


Bram Cohen, créateur du protocole BitTorrent qui fait frémir l'industrie du divertissement depuis des années déjà, a dévoilé hier les plans du nouveau service BitTorrent Live. Son objectif : appliquer la même formule au modèle télévisuel actuel.

Le créateur de BitTorrent s'attaque à la télévision en direct

Bram Cohen, créateur du protocole BitTorrent qui fait frémir l'industrie  du... (Photo: AFP)

« Mon objectif est de tuer la télévision. » C'est l'expression, pas très subtile, utilisée par Cohen sur scène, à San Francisco, lorsqu'il a présenté sa nouvelle technologie. Comme le protocole BitTorrent avant lui, BitTorrent Live facilite la webdiffusion de contenu audiovisuel grâce à une distribution poste-à-poste qui accélère et allège le téléchargement à partir d'un point donné.
>>> Suivez Alain McKenna sur Twitter! (@mcken)
Ainsi, il serait possible pour un diffuseur de transmettre la vidéo d'une conférence, d'un spectacle, d'un événement sportif ou de tout autre type de programmation via BitTorrent Live, et le téléspectateur ne subirait que quelques secondes de décalage par rapport à l'action réelle, à un coût à peu près nul.
« L'infrastructure physique du modèle télévisuel actuel est inévitablement appelée à disparaître, mais le téléviseur comme outil de consommation de contenu vidéo, lui, est là pour rester », a résumé M. Cohen dans le cadre de l'événement MusicTech Summit, consacré à l'avenir de l'industrie musicale.
Bram Cohen affirme avoir investi trois années de développement dans cette technologie, qui pourrait servir tant à l'internaute désireux de diffuser du contenu à ses amis que des entreprises de plus grande envergure, comme Netflix, ou comme un télédiffuseur généraliste ou spécialisé. Contrairement à un modèle de téléchargement normal, BitTorrent Live réduit de 99 % la charge sur la source à l'origine du contenu, distribuant à chaque utilisateur une portion du contenu à échanger avec les autres internautes.
Cette technique se traduit par un décalage de seulement cinq secondes entre le moment où l'action est filmée et celui où elle est perçue par les téléspectateurs, estime le promoteur de BitTorrent Live.
Comme en témoignent les nouveaux téléviseurs intelligents, le virage vers l'accès à du contenu télévisuel via la Toile est déjà amorcé. La télévision classique, dont le mode de distribution n'a pas changé depuis plusieurs années, fait face à une concurrence beaucoup plus efficace et beaucoup moins coûteuse.
Bram Cohen compte surfer sur cette vague et apporter à la télé en direct le même genre de changement qui s'opère déjà du côté du contenu enregistré. Il travaille déjà sur les outils qui permettront à tous les diffuseurs intéressés d'adopter à peu de frais sa technologie. Certains auraient déjà témoigné leur intérêt.
Il faudra voir si les télédiffuseurs réagiront comme les producteurs de musique et de films, tentant par tous les moyens de freiner l'adoption de cette nouvelle technologie, ou si, au contraire, ils y verront une solution à la hausse des dépenses et la réduction des revenus associés à la diffusion d'événements en direct.


mardi 14 février 2012

Costa Rica: Paradis ou Enfer ?

 Drapeau du Costa Rica
 Armes du Costa Rica


C'est la même chose ,que ce soit fiscal ou social ,c'est pareil !
Que ce soit les anges de l'enfer,ou pour un tourisme en mal de liberté ce sera une destination de rêve.
Daniel Andreas San Diego un militant de la cause animale recherché pour avoir posé des bombes visant deux entreprises en Californie en 2003,et aurait été vu au Costa Rica selon le FBI.

Le publicitaire Jean Lafleur (scandale des commandites)qui avait facturé 10 Millions $ au gouvernement Fédéral ,et que des 6 Millions $ réclamé ; 1.5 Millions $ aurait placé a l'étranger(banque offshore,Costa Rica,paradis fiscaux...)et que cette somme confié a son avocat (Richard St-Julien)qui lui aurait investi 460,000 $ au Bélize,dans sa propre compagnie "Parameter",et que cette compagnie en fallitte . L'avocat de Lafleur "Richard St-Julien" serait au Costa Rica.Tandis que Lafleur travaille a 10$/hr dans un resto d un copain de Montreal.

La taupe du SPVM , M.Davidson ?

Le Dr Jacques Roy, ......................aux îles Caïmans( Bienvenu a la Banque Royale du Canada)




il y a en a plein d'autres !

Les critères et les listes de l'OCDE

Quatre critères sont retenus par l'OCDE pour définir un paradis fiscal :
- Des impôts insignifiants ou inexistants ;
- L'absence de transparence sur le régime fiscal ;
- L'absence d'échanges de renseignements fiscaux avec d'autres Etats ;
- Le fait d'attirer des sociétés écrans ayant une activité fictive.

La liste noire : Costa Rica - Malaisie - Philippines - l'Uruguay
La liste grise : Autriche - Andorre - Anguilla - Antigua et Barbuda - Aruba - Bahamas - Bahreïn - Belgique - Belize - Bermudes - Brunei - Les îles Caïmans - Chili - Les îles Cook - République dominicaine - Gibraltar - Grenade - Guatemala - Liberia - Liechtenstein - Les îles Marshall - Luxembourg - Monaco - Montserrat - Nauru - Antilles néerlandaises - Niue - Panama - Saint-Kitts et Nevis - Sainte-Lucie - Saint Vincent et les Grenadines - Samoa - Saint-Marin - Singapour - Suisse - Iles Turks et Caïques - Vanuatu - Les îles Vierges


Ref.: google,canoe,