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mercredi 27 mars 2013

En 2011: plus de 57% des dommages économiques sont d'origine naturels

Désastres naturels | 2012 - 138 milliards de dollars de pertes
C'est la troisième année consécutive que ce chiffre dépasse la barre des 100 milliards de dollars. 
Photo AFP

GENEVE - Les coûts économiques engendrés par les catastrophes naturelles ont atteint l'an dernier la somme de 138 milliards de dollars (112 milliards d'euros), la moitié des pertes ayant été causée par l'ouragan Sandy et la sécheresse qui ont frappé les États-Unis, a indiqué jeudi l'ONU.
C'est la troisième année consécutive que ce chiffre dépasse la barre des 100 milliards de dollars, ont relevé les Nations unies en dévoilant à Genève les statistiques pour 2012.
«L'examen des pertes économiques causées par les catastrophes majeures depuis 1980 révèle une augmentation depuis depuis la moitié des années 1990», a expliqué la directrice de la Stratégie Internationale de Prévention des Catastrophes des Nations unies (UNISDR), Elizabeth Longworth, en conférence de presse.
Elle a relevé que cette tendance se poursuivait malgré le fait qu'en 2012 il n'y ait pas eu de «méga-catastrophe» comme peut l'être un tremblement de terre en milieu urbain.
Jusqu'à présent, 2011 reste l'année record en termes de pertes économiques (371 milliards de dollars) : la très grande majorité (214 milliards de dollars) des coûts avait eu pour origine le séisme et le tsunami qui avaient frappé le Japon en mars de cette année.

Importants dans les pays riches

D'une façon générale, a souligné Mme Longworth, les coûts demeurent élevés lorsqu'une catastrophe affecte un pays industrialisé, comme ce fut le cas en 2012 avec la sécheresse (20 milliards de dollars) et l'ouragan Sandy (50 milliards de dollars) aux États-Unis.
Le chiffre des coûts globaux liés aux catastrophes naturelles est toutefois plus élevé, préviennent les Nations unies, qui ne comptabilisent que les pertes des assurances. Or, dans les pays en développement, seule une minorité de la population dispose d'une telle assurance.
Et si les pertes économiques engendrées par les désastres naturels sont plus importants dans les pays riches, ce sont les pays pauvres qui continuent d'enregistrer les pertes les plus importantes en termes de vies humaines.
Selon l'ONU, 9.330 personnes sont décédées dans le monde suite à une catastrophe naturelle, contre 30.770 en 2011, et 297.000 en 2010 (année du tremblement de terre en Haïti).


Les dommages de la crise Bancaire de 1980,ressenti 33 ans plus tard ?

La crise bancaire ? ;-)


Corruption - Olympus: 5 ans de prison requis contre un ancien président

Photo Yuriko Nakao / Reuters
M. Olympus ????$$$???? 2,1 milliards $ de pertes,pour 5 ans,.............................un deal ! Wow un vieux  British de 90 ans qui a découvert tout ça !

TOKYO - Un procureur de Tokyo a requis mardi cinq ans de prison contre un ancien président d'Olympus accusé d'avoir joué un rôle central dans le maquillage des comptes de cette entreprise qui avait provoqué un vaste scandale.

Aussi sur Canoe.ca:
Un ex-PDG d'Olympus arrêté pour manipulations comptables

Tsuyoshi Kikukawa et deux autres anciens dirigeants de la firme d'appareils photo sont jugés pour des malversations comptables ayant permis de dissimuler 130 milliards de yens (2,1 milliards $) de pertes.
Les accusés ont plaidé coupable et présenteront leur défense le mois prochain. Le verdict n'est pas attendu avant plusieurs semaines.
Le parquet a également requis quatre ans et demi de prison contre un ex-contrôleur de gestion et quatre ans contre l'ancien bras droit de Tsuyoshi Kikukawa.
Il a réclamé en outre une amende d'un milliard de yens (10,7 millions $) contre Olympus, poursuivie en tant que personne morale.
«Le montant énorme (des dissimulations) est inédit. Cela a sapé la confiance nationale et internationale dans le marché» japonais, a souligné un procureur cité par l'agence Jiji Press.
La dissimulation de ces pertes colossales avait permis à la direction de l'entreprise de cacher pendant des années le fiasco d'investissements effectués durant la période de la bulle (fin des années 1980).
Olympus a déjà été condamné par le régulateur financier du Japon à près de 2,62 millions $ d'amende dans cette affaire révélée en octobre 2011 par son ancien PDG, Michael Woodford.
Ce Britannique, premier PDG étranger de la société en 90 ans, avait été renvoyé en octobre 2011 quelques mois seulement après le début de son mandat pour s'être montré trop curieux sur des acquisitions douteuses de sociétés ou d'obscures opérations financières.
Il avait peu après tout déballé à la presse.
L'ensemble des membres de la direction d'Olympus et du conseil d'administration avaient démissionné quelques mois plus tard.



dimanche 18 novembre 2012

Pourquoi l'essence sera cher d'ici les 6 prochaines années ?







Le groupe pétrolier britannique BP a annoncé jeudi qu'il allait payer une amende record de plus de 4,5 milliards de dollars aux autorités américaines dans le cadre de l'accord à l'amiable pour régler une partie du dossier de la marée noire du golfe du Mexique. 
Photo: Archives Reuters
Lisez ceci:
Ça prend pas un gros quotient intellectuel pour savoir ça.BP paye de l'impôt,le gouvernement prend sa taxe,et BP repaye le gouvernement en amende pour ensuite augmenter le prix de l'essence ,par le fait même ,le gouvernement prend encore ses taxes sur l'essence,génial !Qui paye ? Le gouvernement ? Non,....................Vous !


LONDRES - Le groupe pétrolier britannique BP a annoncé jeudi qu'il allait payer une amende record de plus de 4,5 milliards de dollars aux autorités américaines dans le cadre de l'accord à l'amiable pour régler une partie du dossier de la marée noire du golfe du Mexique.
«Le montant total de l'accord est d'environ 4,5 milliards de dollars avec des paiements étalés sur une période de six ans», a indiqué BP dans un communiqué.

Aussi sur Canoe.ca:
En photos: le désastre pétrolier de BP, 2010
Dans le cadre de cet accord, BP plaide «coupable» des accusations de faute professionnelle ou de négligences liées aux onze morts lors de l'explosion de la plateforme Deepwater Horizon.
Dans le détail, BP va payer 4 milliards de dollars au ministère américain de la justice (DOJ) en échange de l'abandon des poursuites pénales fédérales et 525 millions de dollars à l'autorité boursière américaine (SEC).
Cette amende record - «la plus grosse amende pénale de l'histoire américaine» selon une source proche du dossier - dépasse les 1,3 milliard de dollars versés en 2009 par le laboratoire pharmaceutique Pfizer pour solder des litiges sur ses pratiques commerciales concernant un anti-inflammatoire.
L'explosion le 20 avril 2010 de la plateforme Deepwater Horizon, à 80 kilomètres au large de La Nouvelle-Orléans dans le sud des États-Unis, avait fait onze morts et répandu des centaines de millions de litres de brut dans le golfe du Mexique jusqu'à la fermeture du puits quatre mois plus tard.
«Nous tous chez BP regrettons profondément la perte tragique de vies causée par l'accident de Deepwater Horizon ainsi que l'impact de la marée noire sur la région côtière du Golfe», a déclaré le directeur général de BP, Bob Dudley.
BP, qui a déjà provisionné 38,1 milliards de dollars dans cette affaire, va passer une provision supplémentaire de 3,85 milliards pour couvrir le paiement de cette amende.
Le groupe a déjà vendu pour plus de 35 milliards de dollars d'actifs à ce jour, sur un objectif de 38 milliards, pour faire face à ses conséquences financières, ce qui signifie qu'il pourra absorber sans trop de difficultés cette nouvelle provision.
Cet accord ne concerne toutefois pas certaines poursuites civiles fédérales, privées ou émanant de certains États contre lesquelles BP indique qu'il va «continuer à se défendre vigoureusement».
Le groupe avait déjà par ailleurs conclu un accord à l'amiable de 7,8 milliards de dollars avec des victimes de la marée noire.


REF.:

lundi 8 octobre 2012

Le Fédéral de Harper devra épargner 5 milliards $ annuellement pour réparer la crise économique

Toutes ces compressions budgétaires font partie d'une stratégie plus vaste qui vise à épargner 5 milliards $ annuellement en vue de rembourser le déficit de 56 milliards $ créé il y a quelques années pour soutenir l'économie du Canada pendant la crise.

Réduction des dépenses fédérales

Les fonctionnaires devront se serrer la ceinture

Réduction des dépenses fédérales - Les fonctionnaires devront se serrer la ceinture
Le président du Conseil du trésor, Tony Clement. 
Photo Chris Wattie / Reuters

OTTAWA - Les fonctionnaires fédéraux devront se serrer la ceinture. Le gouvernement de Stephen Harper a en effet annoncé lundi la mise en place d'une nouvelle mesure pour prévenir le gaspillage des fonds publics.
Les ministres devront désormais superviser toutes les dépenses de plus de 25 000 $ liées à l'organisation d'événements par les départements de leur ministère, a expliqué le président du Conseil du trésor, Tony Clement. Auparavant, les fonctionnaires pouvaient effectuer de telles dépenses pratiquement sans supervision.
La nouvelle mesure touche les frais de voyage (transport, hébergement et repas), d'accueil, de conférences et de location d'espace ainsi que les honoraires professionnels.
Le règlement aurait par exemple proscrit à l'Agence des services frontaliers du Canada de payer l'avion à 200 de ses cadres de partout au pays pour qu'ils participent à un séminaire à Montréal plus tôt cette année. Le rassemblement de trois jours dans un hôtel luxueux avait coûté des centaines de milliers de dollars aux contribuables alors qu'une simple séance de vidéoconférence aurait fait l'affaire.

Heures supplémentaires éliminées

L'implantation de cette nouvelle mesure survient une semaine après que Tony Clement eut éliminé les heures supplémentaires des chauffeurs des ministres en échange d'une augmentation salariale et qu'il eut mis fin aux subventions de stationnement pour les chefs de cabinet afin d'épargner 40 000 $ annuellement.
«Notre gouvernement scrute tous les secteurs afin de réduire les dépenses opérationnelles, incluant celles de nos propres cabinets ministériels», a affirmé Tony Clement, que les néo-démocrates accusent d'avoir lui-même gaspillé des fonds publics en utilisant 50 millions $ à des fins partisanes dans le cadre du Sommet du G8 en 2010.
La Fédération canadienne des contribuables a salué la mesure. Le président, Gregory Thomas, a estimé toutefois que le gouvernement fédéral devrait suivre l'exemple de l'Alberta et de Toronto qui publient le détail des dépenses publiques sur internet dans un souci de transparence.
«Le meilleur moyen d'éviter les dépenses inutiles est de devoir les justifier auprès des contribuables», a-t-il soutenu.
La prochaine cible du gouvernement conservateur est la réduction des pensions du secteur public et de celles des députés.
Toutes ces compressions budgétaires font partie d'une stratégie plus vaste qui vise à épargner 5 milliards $ annuellement en vue de rembourser le déficit de 56 milliards $ créé il y a quelques années pour soutenir l'économie du Canada pendant la crise.


 REF.:

mercredi 15 août 2012

Auto a essence: Les Fabricants ont déja décidé pour nous ?

Le moteur à essence va nous enterrer

Le  président de Ford, Alan Mulally, embrasse le moteur Ford Écoboost de 1  litre, 3 cylindres qui a gagné le prix du moteur de l'année 2012 en  Europe.
Le président de Ford, Alan Mulally, embrasse le moteur Ford Écoboost de 1 litre, 3 cylindres qui a gagné le prix du moteur de l'année 2012 en Europe.
Photo fournie par Ford
Denis Arcand | La Presse
Publié le 15 août 2012 | Mise à jour le 15 août 2012 à 07h10
Ce graphique montre le ratio de la pression d'air à l'entrée et à la sortie d'un turbocompresseur Garrett GT-20.
Ce graphique montre le ratio de la pression d'air à l'entrée et à la sortie d'un turbocompresseur Garrett GT-20.
Non seulement le moteur à explosion n'est pas mort, il est là pour durer encore des décennies. En fait, quand tous les baby-boomers seront assez gagas pour avoir perdu leurs permis de conduire, dans 30 ou 40 ans, le moteur à explosion sera probablement encore le moteur de prédilection dans l'automobile.
Les ingénieurs essaient ces jours-ci toutes sortes de petites modifications qui, ensemble, vont presser plus de performance et de kilométrage de chaque goutte d'essence et, plus tard, de diesel. Le micro-perfectionnement du moteur à essence une des tendances fortes qui se dégagent d'un congrès de gestionnaires et d'ingénieurs automobiles qui s'est tenu ce mois-ci à Traverse City, dans le Nord du Michigan.

Par exemple, les ingénieurs planchent actuellement sur une modification grâce à laquelle la chaleur excessive générée par la combustion servirait utilisée pour chauffer plus rapidement les lubrifiants de la voiture, écrit le columniste Erik Vellequette, du magazine Automotive News, qui a assisté au congrès . Cela réduirait la friction dans le moteur et un peu partout, surtout durant l'hiver. La consommation d'essence des premiers kilomètres serait réduite.

«Pour atteindre nos objectifs, il faut qu'on améliore toutes sortes de petites choses, comme les athlètes olympiques», dit le PDG de la firme d'ingénierie FEV, cité par Automotive News lors du Séminaire du Center for Automotive Research, un colloque annuel.

C'est surtout un congrès où les grandes questions de production sont abordées. Mais on parle cette année des micro-perfectionnements envisagés parce qu'ils doivent être fabriqués pour pas trop cher et intégrés dans les méthodes de fabrication à la chaîne. En dernière analyse, toutes les améliorations proposées aux moteurs vont finir entre les mains d'ingénieurs en production. Si on peut les fabriquer sans être obligé de hausser beaucoup le prix des autos, elles auront le feu vert.

Voici les sujets qui intéressent les ingénieurs automobiles et qui pourraient prolonger la vie du moteur à explosion. On vous la présente en unités de mesure.

Centimètres cubes : les moteurs rapetissent; moins de volume, moins de cylindres. Les jours du V8 - et même du V6 -  sont comptés, mais le 4-cylindres est là pour très longtemps. Et les constructeurs préparent déjà des trois et deux cylindres qui auront la puissance des quatre-cylindres d'aujourd'hui. Les moteurs à un cylindre, qui s'en viennent en Europe, traverseront aussi l'Atlantique un de ces jours. Pour compenser, les moteurs vont finir par être dotés de turbos.

Kilopascals : en Amérique du Nord, environ 10 % des moteurs d'autos étaient munis d'un turbo en 2010. En 2016, 40 % des voitures neuves nord-américaines en auront un. Un turbo augmente la pression (de plus de 200 kilopascals, souvent) d'air dans la chambre de combustion des cylindres et permet un mélange air-essence plus efficace. En Europe, 85 % des voitures seront turbocompressées en 2015. On peut imaginer un avenir proche où toutes les voitures seront construites avec un moteur turbo.

Volts : la voiture tout électrique demeurera un petit marché jusqu'au milieu du XXIe siècle, selon un rapport récent du Département de l'Énergie. Indépendamment des vraies voitures hybrides, des composantes hybrides seront généralisées, comme le e-Assist (ou Mild Hybrid) de GM, où de petits moteurs électriques aident le moteur à explosion à basse vitesse. Cela permettra de rentabiliser le développement de systèmes comme le freinage régénératif, qui captent de l'énergie autrement perdue.

Degrés centigrades : la gestion thermique deviendra un sujet d'importance accrue. Les futurs moteurs réchaufferont leurs lubrifiants plus vite, pour réduire la friction. Le refroidissement à l'eau des gaz d'échappement sera généralisé, pour protéger les turbocompresseurs de la surchauffe.

Octanes : le moteur à explosion ne sera pas qu'à essence. Le diesel et l'éthanol vont continuer à se répandre et le gaz naturel aura un impact majeur sur notre continent bien avant l'auto électrique. Chrysler vient de commencer à produire un moteur HEMI de 5,7 litres au gaz naturel, pour le gros pick-up Ram. Cette camionnette, qui aura deux réservoirs de 130 litres pouvant tenir du gaz naturel comprimé à 25 000 kilopascals. Son coût d'exploitation par kilomètre sera trois fois moindre que celui du Ram à essence.

Newtons-mètre(ou livres-pied) : l'adaptation du moteur à explosion à un monde où l'essence est chère sera aidée par des transmissions plus sophistiquées, qui amélioreront le couple transmis aux roues par des moteurs plus petits.


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dimanche 13 mai 2012

Ce qu'il y a derrière les contestations Occupons Mtl,occupons wall Street,Printemps Arabe,contestation Prêts et Bourses ?

Derrière,.......................ça,c'est pas le chomage,.....................c'est plutot la répartition des richesses et les fraudes et escrocris financières dans des Paradis fiscaux !$!
La Faute ?,............................Les Banques et la Bourse a prêts toxiques avec le piège du crédit facile et surtout avec l'implantation des cartes de crédits ,que plusieurs ne veulent plus !  La France vient de devenir Socialiste et c'est tant mieux !

Les C ont tous compris et vous remplacerons bientôt , Messieurs !
Les quatre jeunes arrêtés relativement aux bombes fumigènes qui ont paralysé le métro de Montréal, jeudi, sont accusés de complot, méfaits et « incitation à craindre des activités terroristes », un chef d’accusation rare.
Ils ont brièvement comparu, hier midi, par vidéoconférence au palais de justice de Montréal.
À la télévision d’une petite salle de comparution, Roxanne Belisle, 23 ans, Geneviève Vaillancourt, 25 ans, Vanessa L’Écuyer, 22 ans, et François Vivier-Gagnon, 22 ans, se tenaient côte à côte, l’air plutôt calme.
Ce dernier fait aussi face à une accusation de possession d’une arme prohibée, soit un couteau papillon.
L’avocat de la Couronne, Me Steeve Larivière, s’est opposé à leur libération conditionnelle en raison de la gravité des accusations qui pèsent contre eux, notamment celle reliée au terrorisme. Les quatre jeunes doivent revenir dans le box des accusés, lundi, pour savoir s’ils seront libres pour la suite des procédures judiciaires.
Après avoir vu leur photo faire le tour des médias, les quatre étudiants ont plié sous la pression et se sont livrés aux policiers, vendredi après-midi.
Perquisition
Ils ont été arrêtés en lien avec les bombes fumigènes lancées sur les rails à la station de métro Lionel-Groulx.
D’autres suspects sont toujours recherchés concernant les méfaits commis dans d’autres stations de métro en pleine heure de pointe, jeudi matin.
Lors du passage du Journal, hier après-midi, des policiers de l’identification judiciaire effectuaient une perquisition à l’appartement de Roxanne Belisle, dans l’arrondissement Verdun.
Aucun locataire n’était sur place, s’est contenté de dire un enquêteur.
Selon Daniel Lacoursière, porte-parole au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), deux autres appartements et un véhicule étaient toujours fouillés, en fin de journée.
Vendredi matin, les policiers avaient également visité le logement de Vanessa L’Écuyer et François Vivier-Gagnon, dans Hochelaga-Maisonneuve. Les policiers ont emporté quelques boîtes ainsi qu’un sac.
Une mère dévastée
Contactée par téléphone, hier, la mère de Vanessa L’Écuyer s’est dite complètement dévastée. « Ça ne va pas bien, a-t-elle dit. Ça fait deux jours que je ne dors pas. »
Les grands-parents de l’étudiante étaient également soufflés par cette nouvelle. « Je ne pensais pas qu’elle était allée jusque-là, lance la grand-mère de Vanessa. Elle a été influencée. »
Avec la collaboration de l’Agence QMI

REF.:

Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc !

Montréal - Les indignés de retour
Les indignés du mouvement «Occupons Montréal» s’installent à nouveau au square Victoria. 
©ELIZABETH LAPLANTE/AGENCE QMI
Après occupons wall street ,........................................

Les indignés de retour


L'Espagne reviens après 1 an,avec sont mouvement de contestation du chômage et de la crise économique.80 villes d'Espagne y participe !

MONTRÉAL – Les indignés du mouvement « Occupons Montréal » étaient de retour au square Victoria, samedi, à Montréal. Dès 9 h, ils se sont à nouveau installés à l'endroit même où ils s'étaient réunis pendant plusieurs semaines, l'automne dernier, pour dénoncer les injustices du système capitaliste.
En milieu d'après-midi, ils étaient près de 150 personnes à avoir répondu à l'appel. Au programme : quatre jours de mobilisation intensive, du 12 au 15 mai.

À LIRE ÉGALEMENT:
Journée mondiale d'action
«On vit une mobilisation sans précédent et ce qu'on veut, c'est élargir la cause étudiante aux autres luttes sociales», a expliqué Carminda Mac Lorin, du collectif Journées d'actions populaires pour un printemps érable et global (JAPPEL). Selon Mme Mac Lorin, qui a participé à chaque journée de mobilisation d'Occupons Montréal à l'automne dernier, il n'est pas impossible que le mouvement s'étale sur plus de quatre jours. « Les gens qui sont ici sont indignés et assez créatifs […] Je ne peux pas vous dire ce qui va se passer, mais que ce soit ici ou d'autres façons, il y aura de la mobilisation », a-t-elle affirmé.
«On l'espère», ont pour leur part indiqué Alain Mignault et Francine Nadal, qui après avoir participé à Occupons Montréal à l'automne, souhaitent que cette nouvelle mobilisation s'étirera durant plusieurs jours.
Outre des tables, des réserves de nourriture et plusieurs affiches installées un peu partout, aucun campement n'était encore apparent, vers 16 h 30, au square Victoria. Sur les réseaux sociaux, les organisateurs sollicitaient l'aide de la population pour se doter de tables, chaises, sacs de couchage et matériel pour prodiguer des premiers soins, entre autres choses.
D'ailleurs, parmi les gens rassemblés en matinée, Sylvie était responsable des premiers soins. Secouriste de formation, il s'agit de sa première expérience à Occupons Montréal. La dernière fois, «je l'avais suivi à distance. Là, j'ai décidé de sortir de derrière mon clavier», a-t-elle dit.
En novembre dernier, la Ville de Montréal avait exigé le démantèlement des abris permanents qui avaient été construits sur le site. Les contestataires avaient peu à peu quitté le square Victoria pour l'hiver, se promettant de revenir au printemps.
Questionnée au sujet du lien établi jusqu'à présent avec la Ville de Montréal et les policiers, Mme Mac Lorin a indiqué qu'elle avait reçu un appel très courtois de la Ville en début de semaine, afin de savoir ce qui se préparait.
Quant à la police, la jeune femme a indiqué que «la dernière fois, ça c'était bien passé avec la police. Là, la conjoncture est différente donc on verra bien.»
Nouvelle réglementation
Le 27 janvier dernier, soit peu de temps après le démantèlement du campement au square Victoria, une nouvelle règlementation a été adoptée par la Ville de Montréal.
Ce règlement sur la prévention des incendies prévoit que les tentes doivent être homologuées selon le Laboratoire des Assureurs du Canada (UCL) et les appareils de cuisson de même.
Rejoint par téléphone, le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) a indiqué que des agents se sont rendus au square Victoria samedi afin de vérifier les installations du mouvement Occupons Montréal.
«Pour l'instant, il n'y a pas de tentes ou d'appareils de chauffage donc on va suivre le déroulement durant la fin de semaine et on va se prononcer plus officiellement lundi», a souligné Julie Gascon, chargée de communication au SIM.


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CIBC: Chute d'au moins 10% du marché immobilier d'ici 2013

L’immobilier inquiète ?


Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.


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Le Canada,premier pays a abandonner la carte de crédit ?

Êtes-vous en burnout du crédit?

 par: - 10 mai 2012 Commençons-nous à « slaquer » sur la carte de crédit? Votre voisin a-t-il abandonné l’idée de s’acheter un château avec garage double, pour se rabattre sur un joli cottage, plus abordable?
Avons-nous enfin écouté les avertissements de Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, qui nous répète depuis des mois dans les médias qu’il faut cesser de s’endetter comme si demain n’existait pas?
Si c’est le cas, applaudissons notre retour sur terre.
Benjamin Tal, lui, pense que oui. L’économiste de la CIBC a publié un rapport dans lequel il explique qu’une « fatigue du crédit » commence à s’abattre sur le Canada.
Le crédit à la consommation a augmenté de seulement 2,3 % depuis un an. Il a même diminué en mars par rapport au mois précédent. C’est le rythme le plus faible depuis les années 1990. Tout ça, rappelons-le, avec des taux d’intérêt qui demeurent historiquement bas.
Le marché hypothécaire aussi ralentit. Le solde des prêts hypothécaires a augmenté de 6,3 % annuellement. Oui, ça demeure élevé. Mais c’est un rythme plus faible que la moyenne des deux dernières années (7,3 %). Et par rapport au mois dernier, l’augmentation est de 0,5 %. La plus faible depuis 2001, souligne Tal, qui n’hésite pas à donner une part du crédit à Mark Carney et à la Banque du Canada pour avoir martelé leur message de prudence.
Il était temps
Un passage de l’étude m’a fait sursauter. Imaginez : pour la première fois depuis 2002, le crédit à la consommation au Canada augmente plus lentement qu’aux États-Unis.
Attendez… la première fois depuis 2002? Nous, Canadiens, avons été encore plus accrocs au crédit que nos voisins Américains depuis tout ce temps?
Oui. Contrairement à la perception populaire, nous dit l’économiste, le crédit à la consommation au Canada a augmenté deux fois plus vite qu’aux États-Unis durant la dernière décennie. Suite à la crise, alors que ce recours au crédit ralentissait aux États-Unis et sombrait même en territoire négatif, il continuait d’augmenter au Canada. Et même à accélérer! Aujourd’hui, les rôles s’inversent. La consommation à crédit augmente chez nos voisins du sud, et ralentit au Canada.
L’immobilier inquiète
Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.

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mardi 8 mai 2012

Plus de 114 milliards $ pour aider nos Banques, depuis 2008


Nos banques, pas si solides

Le mythe des super banques canadiennes vient d’en prendre un coup. Nos grandes banques ont eu besoin de notre aide pendant la crise financière, et pas à peu près.
C’est David Macdonald, du Centre canadien de politiques alternatives, qui a déterré les chiffres. Enfin, il a fait une estimation. C’est tout ce qu’il a pu faire, car la Banque du Canada n’est pas très transparente dans ce dossier, semble-t-il.
Depuis 2008, les six grandes banques ont reçu une aide totale de 114 milliards $. Des prêts à court terme de la Banque du Canada, de la Réserve fédérale des États-unis, ainsi que des rachats de titres hypothécaires par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). En proportion, ça ressemble beaucoup à l’aide qu’ont reçue les banques américaines de leur gouvernement au plus fort de la crise. Sauf qu’ici, les médias en ont très peu parlé.
OUPS !
À première vue, ça semble embarrassant pour le ministre des Finances Jim Flaherty et le premier ministre Harper. Ces deux-là ne se sont pas gênés, depuis le début de la crise, pour vanter la « solidité » de nos banques. « Nous avons les seules banques dans le monde occidental qui n’ont pas besoin de bailout (sauvetage avec l’argent public) ou de quoi que ce soit du genre », avait dit Stephen Harper sur les ondes d’une chaîne américaine en 2009.
Mais attention. L’association des banquiers canadiens s’est empressée de préciser que ce n’était pas un bailout, mais bien un « soutien à la liquidité ». Pendant la panique, le crédit se faisait rare sur les marchés. Pour s’assurer que les banques puissent continuer à se financer et à prêter aux consommateurs, l’état, avec l’aide de la SCHL et de la Banque centrale, est intervenu. D’ailleurs les banques ont, à ce jour, remboursé tous ces prêts. Et si le but était de maintenir en santé le marché immobilier, on peut dire que l’opération a fonctionné. D’ailleurs, peu de temps après le renflouement de liquidités par la SCHL, les taux d’intérêt hypothécaires diminuaient.
N’empêche que la CIBC, la BMO et la Banque Scotia ont eu besoin de financement qui égalait ou surpassait leur valeur en Bourse. Sans cette aide gigantesque, est-ce que leur problème de « liquidité » en serait devenu un de « solvabilité » ? Si la réponse est oui, appelons ça un bailout. Mais on ne le saura probablement jamais.
Trop gros pour tomber
De toute façon, rien de tout ça ne devrait nous surprendre. L’oligopole bancaire canadien est too big to fail, comme disent les Américains. Et au moindre problème, le gouvernement sera là pour l’aider.
Dans son étude, Macdonald cite le PDG de la Banque TD, Edmund Clark, lors d’une conférence en 2009. Ce dernier déclarait à des investisseurs : bien que cette garantie du gouvernement ne soit pas explicite, « quelles sont les chances que la TD ne soit pas sauvée si elle faisait quelque chose de stupide ? » Cinq jours plus tard, un haut placé du gouvernement canadien tapait sur les doigts de M. Clark, affirmant qu’il était faux de croire une telle chose.
Cette chose s’appelle un aléa moral. Pile je gagne, face les contribuables perdent. Sachant que le gouvernement est là pour corriger nos erreurs, c’est tentant de prendre plus de risques. Mais rassurezvous. On dit que les banques canadiennes sont bien gérées et ne prennent pas le genre de risques que les banques américaines ont pris.
Gardons-nous quand même un brin de scepticisme. Après tout, plusieurs croyaient aussi que les banques canadiennes n’avaient pas eu besoin d’aide pendant la crise…


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